Rencontre étonnante [PV John Elfinger]

La journée était magnifique ce jour-là. Le ciel un tantinet dégagé, laissant apparaître quelques nuages blancs. Il était rare d’avoir un temps comme celui-ci avec une température douce. La matinée était passée à une vitesse, en même temps, Alessandra ne voyait jamais le temps passer quand elle enseignait. Mais aujourd’hui c’était différent, elle avait donné une interrogation à deux classes et du coup elle aurait davantage de copies à corriger pour la semaine. Mais qu’importe, il fallait bien constater si les élèves apprenaient leurs cours. Elle a toujours essayé de donner le change à ses élèves, une manière de les intéresser réellement à la géographie, même si c’était plus facile pour l’histoire. L’après-midi avait déjà commencé depuis une heure, elle avait prit le temps de déjeuné avec ses collègues avant de les quitter. L’avantage était qu’elle n’avait pas classe le vendredi après-midi, donc un long week end en perspective.

En ce temps radieux, elle prit sa veste et son sac et alla profiter de sa journée. Elle avait de la chance, car elle était toute proche de chez elle, mais aussi de Central Park. En chemin, elle décida de s’arrêter pour profiter de sa journée. La pelouse était un vert clair, les pousses avaient donné des fleurs par-ci, par-là, c’était vraiment agréable. La rouquine marcha tranquillement dans les allées qu’elle voyait, sans en suivre réellement le chemin. Elle y croisa des jeunes amoureux, des enfants, des personnes plus âgées qui observaient le paysage. Bref, une ambiance agréable. Alessandra marcha encore quelques mètres avant de s’asseoir sur un vieux banc, elle était face une grosse fontaine. Il y avait des enfants et leurs parents, ils venaient jouer avec des avions et bateaux électriques. Elle ne pu s’empêcher de ressentir le plastique qui servait de matériel aux jouets.
La femme resta un moment silencieuse, puis sortit un livre. Elle se perdit dans son roman une bonne heure, elle n’aimait pas commencer un chapitre et ne pas savoir comment il se terminait, le pire c’est quand elle ne met pas son marque pages au bon endroit. Du coup, pour être sûr de ne rien raté, elle recommence soit depuis le début, soit au début de la partie. Peu importe elle avait toujours du temps pour lire. En ce moment, elle était sur « Le pourquoi du comment », c’était un livre qui relatait des différentes questions qu’on se pose. Elle trouvait amusant de lire ce genre de livre, c’était un bon moyen de se décontracter voire de se déconnecter du stress du monde professionnel. Il lui en fallait peut pour se perdre dans ses questions/réponses.

Ce qui lui en sortit fut les gémissements d’un petit garçon, il était près de la fontaine et n’arrivait pas à faire démarrer son bateau. Ce n’était pas faute d’essayer de le secouer, de voir ce qui n’allait pas et pourtant l’objet restait inerte. Les piles étaient bonnes d’après le grand-père qui était à côté de lui. Ça devait être un défaut de fabrication, lui indiquait le vieil homme. Alessandra attendit le bon moment pour donner un petit coup de pouces au petit garçon. Le tout était de ne pas se faire repérer et de rendre le sourire au petit bonhomme. Elle ferma les yeux pour tenter de repérer le plan du bateau, pour finalement trouver ce qui n’allait pas, c’était en effet un défaut de fabrication. Un morceau de plastique trop long et qui bouchait le capteur de la manette. L’enseignante regarda alors le jouet puis discrètement leva un doigt pour rétracter le morceau de plastique. Au même moment, le grand-père toucha le bateau et appuya à un endroit, pour enfin demander à son petit-fils de retenter sa chance. La bateau répondit à l’action de la manette et sur le visage du petit garçon, un sourire se dessina. Alessandra sourit et repartit dans sa lecture, elle se demanda si quelqu’un l’avait vu, pendant quelques secondes. A première vue, non car personne ne bougeait.

[Hj: j'espère que ça ira, le titre est nul, mais je ne suis pas douée pour ça bonne lecture ]

John était arrivé à l'institut depuis quelque jours et il si sentait déjà mal, c'était un monde un peu différent du sien, du coup il en profita pour repartir à New-York. Il aimait bien l'appel de la foule, le danger, c'était un endroit ou il pouvait utiliser son pouvoir pour le bien ainsi que pour sauver des vies. Il avait fait du stop toute la matinée comme à son habitude pour pouvoir arriver là-bas, ce fut un bon samaritain qui le prit, un vieil homme avec un vieux 4x4. Il semblait très gentil et il emmena John non loin du Central Park, ce fut alors la destination de John qui avait bien envie de retourner dans ce parc géant. Là-bas, il y trouvait un endroit paradisiaque, un Eden, il y avait souvent du monde, des jeunes qui rigolaient en bande, des enfants qui jouaient avec les parents à côté. Mais il n'avait jamais vu de problème dans ce parc, c'est pourquoi il aimait y aller, il n'était pas très loin, Central Park était à quelque rue de sa position actuelle. Traversant une rue après l'autre, attendant le feu vert pour traverser, si il ne faisait pas un si beau temps, john n'aurait pas eu autant de patience.
Quand il arriva au parc, ce fut autre chose, l'ambiance semblait différente, la rue était juste à côté mais John semblait l'oublié, c'était comme si il venait de rentrer dans sa bulle. Il se baladait d'un pas lent pour garder tout ce qu'il voyait en mémoire, il contemplait tout même les choses les plus improbables comme un buisson en forme de vache. il voyait à l'ombre, contre un arbre, un groupe de jeune qui jouait de la guitare tout en chantant des chansons avec une mélodie lente et entraînante. Plus loin, deux vieilles personnes qui faisaient une partie d'échec, et juste à côté un adolescent qui jouait avec une personne âgée et cela fit sourire John. Il continua de marcha tranquilement et il arriva non loin d'une fontaine, ce fut le cri d'un jeune garçon qui le fit tourner de la tête. Il voyait ce petit garçon qui avait son bateau qui ne marchait pas, et ses grands parents ne savaient pas pourquoi il n'avançait pas. Il remarqua alors une femme d'une quarantaine d'année et rousse, qui s'approcha du garçon. Il remarqua quelque chose de bizarre avec cette femme, elle avait prit le bateau pour ensuite fermer les yeux, elle ne fit rien d'autre à part prendre le bateau et en même temps le grand-père toucha le bateau et ensuite il marcha. Mais John gardait quand même à l'idée que cette femme était bizarre car le bateau ne marchait pas et ce n'était pas le petit contact du grand-père qui allait le faire marcher. Il garda l'image de cette femme qui tenait le bateau tout en fermant les yeux, une mutante? Il n'en était pas sur mais le doute n'était pas permit et d'ailleurs il voulait vérifier par lui même. Il remarqua que la femme était repartie s'assoir sur le banc et John décida de la rejoindre mais juste avant il remarqua son doute.
Il partit vers elle et lui fit un petit signe de tête en signe de salutation avant de s'assoir, il ne regarda pas vraiment ce qu'elle lisait, il regarda au loin des enfants qui jouaient à la fontaine, c'est alors qu'en pleine lecture il lui sortit.

"Je ne savait pas qu'il y avait de bonne samaritaine par ici. Surtout des samaritaines qui aide les jeune garçon en réparant un objet sans vraiment y touché."

John n'en dit pas plus, il se contenta de garder son regard vers la fontaine, il faisait comme les espions dans les films qui voyaient sur les télévisions des centres commerciaux. il ne voulait pas attirer l'attention des personnes qui pouvait voir leur discution, et puis il voulait surtout faire croire à la femme qui lisait à coté de lui qu'il n'avait rien dit.

[Hj: désolée mais je ne suis pas super fort pour les longs texte j'espère que ce que j'ai écrit est bon]

[hj : Nan c’est super, t’inquiète il m’arrive rarement de faire des « romans » en rp. Y a juste un petit truc, c’est qu’elle ne prends pas le bateau, elle reste assise sur le banc, mais ça colle aussi donc pas de soucis ]

Alessandra était de nouveau plongée dans son livre, amusée de voir autant de questions simplistes et de définitions rigolotes. Elle avait sortit ses lunettes de son sac, même s’il faisait beau, les yeux se fatiguait plus rapidement à la lecture. Elle sentit une présence arrivée près d’elle, finalement quelqu’un l’avait vu, un jeune homme. Non peut être pas, il lui fit signe de la tête en guise de salutations et s’assit à côté d’elle. L’enseignante lui répondit par un sourire et se remit à sa lecture.

Ce fut seulement après quelques secondes que le jeune homme à lunettes commença à parler.

"Je ne savais pas qu'il y avait de bonne samaritaine par ici. Surtout des samaritaines qui aide les jeunes garçons en réparant un objet sans vraiment y touché."

Alessandra tourna la tête rapidement, comme si elle avait été dénoncée. Légèrement apeurée, la méfiance des autres la mettait mal à l’aise, faute de quoi, elle était une mutante après tout. Quand au jeune homme, il regardait loin devant lui, comme s’il comprenait qu’il fallait se faire discret. La femme se demanda alors, est ce qu’il était comme elle ? Il n’avait rien de particulier en apparence, en même temps, elle non plus. Délicatement, elle referma son livre et répondit aux interrogations du jeune homme.

-Pardon !?

Il y avait quelque chose dans l’attidude du jeune homme. Un côté, je vous parle mais je ne vous regarde pas, il voulait peut être ne pas attirer la conversation sur les deux protagonistes. Elle hésita pour finalement en conclure, qu’il pouvait bien être mutant lui aussi. Maintenant c’était de savoir s’il était là pour attaquer ou tout simplement – comme Alessandra – profiter du beau temps. Elle misa sur la deuxième idée et puis l’enseignante avait un peu d’expérience dans les retournements de situations. Avec tout le plastique des jouets qui étaient autour d’elle, n’aurait aucun mal à se protéger fasse au jeune homme. A moins peut être que son pouvoir soit plus grand qu’elle ne croit. Quoi de mieux que de faire connaissance pour en être certaine ?

-…Vous êtes un fin observateur, jeune homme. Hé cette capacité d’observer est un don ou est ce de l’entraînement ?

Voilà comment entamer une conversation sans trop en dire. On ne sait jamais et la méfiance pouvait se ressentir assez facilement, quand on écoutait Alessandra parler.

John avait réussis à se faire remarquer par la femme qui était à coté de lui, il sentait un léger sentiment de méfiance envers elle et vu sa réaction, elle était longue à répondre, une grande réflexion devait se faire dans sa tête. Elle semblait analyser John mais celui-ci ne tourna pas la tête, regardant toujours tout droit, ce fut la question de la jeune femme qui fit réagir John. Sa fine observation, un don ou de l'entrainement, John sentait le piège dans cette question, le don devait signifier si il était mutant d'après John, et si il disait qu'il était mutant son identité allait directement être découverte et il ne voulait pas se battre car vu l'apparence de la femme il se doutait que son pouvoir ne visait pas le corps à corps. Il poussa un petit soupire avec un grand sourire en levant la tête vers le ciel bleu taché de blanc, il passa ses mains derrière la tête en faisant signe qu'il ignorait la question de la femme, mais il ne savait quoi répondre, il avait toujours était méfiant et donc sa bonne observation venait à la fois d'un don mais aussi d'entrainement. John devait répondre rapidement pour ne pas faire remarquer son doute, de plus il devait trouver une réponse assez complexe pour lui faire perdre l'idée qu'il était un mutant, il décida alors de lui répondre:

" Si par don vous entendez le fait que je sois un mutant, un mutant ayant comme pouvoir un développement des sens ou une très bonne observation, je ne suis pas de ce bord là, être un de ses mutants me gènerait beaucoup, déjà que beaucoup de monde les déteste, sa me ferai mal d'être un de ses mutant au sens développé. Je tire cette bonne observation à des années de méfiance donc j'en conclurait par entrainement, pourquoi donc ?"

John parlait à la femme tout en regardant le ciel, il jouait se rôle bizarre et agaçant ou l'homme parlait à une personne tout en l'ignorant mais il se doutait qu'une tel attitude allait quand même attirer son regard. Il décida alors de la jouer plus tranquille, il baissa sa tête et regarda la femme avec un grand sourire, il remarqua qu'elle avait des lunettes, après tout elle ne semblait pas très jeune alors la fatigue des yeux était un effet qui venait avec l'âge. Il remarqua aussi qu'elle lisait un livre et John tourna la tête pour regarder le contenu du livre, il avait complètement changer d'attitude. Il se mit alors à fixer à nouveau la femme avec un drôle de sourrire, elle allait sans doute le prendre pour un fou, un psychopathe. John s'amusait à tenir plusieurs rôle à la fois, cela était plutôt un jeu même si cela ne faisait pas partie de son tempérament habituelle, mais il savait une chose, c'est un faisant n'importe quoi que la personne qui est en face de nous comprend le moins de chose, John voulais essayer de savoir des choses sur la femme tout en disant le moins de chose sur lui. Il décida alors de lui dire:

"Etes-vous une mutante? Moi je pense que oui mais vous qu'en pensez vous ?"

Maintenant que le ton était donné, les deux interlocuteurs devraient jouer franc jeu. A moins que la plus âgée s’est fait avoir par l’innocence de la jeunesse ? Non, elle n’était pas à sa première erreur avec les adolescents. Et puis, celui-là lui inspirait une légère confiance, elle l’observa avec un sourire amusé afin d’éviter le malaise entre les deux. Il jouait avec Alessandra, évitant de croiser son regard, il préféra regarder le ciel, pensait-il trouver les réponses en regardant les nuages ? L’enseignante marqua son livre et le déposa sur ses genoux. Elle garda ses lunettes et attendit qu’il redescende sur terre. Ce fut le cas quand il lui répondit, enfin.

" Si par don vous entendez le fait que je sois un mutant, un mutant ayant comme pouvoir un développement des sens ou une très bonne observation, je ne suis pas de ce bord là, être un de ses mutants me gênerait beaucoup, déjà que beaucoup de monde les déteste, ça me ferai mal d'être un de ces mutants au sens développé. Je tire cette bonne observation à des années de méfiance donc j'en conclurais par entrainement, pourquoi donc ?"

Il n’était donc pas mutant, et pourtant il ne semblait pas vouloir la dénoncer. C’était bizarre comme situation, une nouvelle erreur sur la personne. Alessandra avait tendance à se laisser avoir par un beau visage. Mais son instinct, resta sur l’idée que ce garçon avait quelque chose de différent en comparaison de personnes de son âge. Elle resta sur l’idée, d’une éventualité origine mutante. Pour l’heure, elle devait répondre aux paroles du garçon. Même si elle n’appréciait pas son comportement – il regardait toujours le ciel – son manque de respect envers un adulte plus âgé d’une part, mais aussi par rapport à l’égo de l’enseignante d’autre part. Rare était les jeunes qui lui tenaient tête pour un oui ou pour un nom. Finalement, la rouquine trouva une réponse convenable et éviter par la même occasion de rester dans l’embarras.

-Je comprends, je ne voulais pas vous vexer. Il n’y a pas que des mauvais mutants, tous ne sont pas détestés par les autres, humains. Pour répondre à votre question, je ne vous demandais cela juste pour bavarder. J’aime souligner des qualités quand je les vois chez de jeunes gens. Excusez-moi, mais qu’avez-vous vu là haut, pour ne pas me regarder quand vous me parlez ?

Ou comment lui indiquer son impolitesse, de manière délicate. Alessandra n’est pas quelqu’un d’agressive en général, il lui arrivait seulement de montrer son désaccord avec un ton plus sec. Pendant qu’il regardait vers le haut, elle faisait des allers – retours entre son interlocuteur et la fontaine. Le soleil s’amusait avec les nuages en se cachant par moment, c’était une sensation agréable de sentir les différences de températures suivant si, on était à l’ombre ou au soleil.
Finalement, il se décida à baisser la tête et à la regarder, avec un grand sourire. Il s’amusait c’était la jeunesse qui voulait ça et Aless n’en pouvait rien. Après tout, elle était passée par là, elle aussi. Le jeune homme avait totalement changé, comme si c’était une autre personne, il était en train de regarder le livre qu’elle tenait entre ses doigts. Il était plus attentif à elle, d’ailleurs il ne perdit pas le nord et enchaîna sur un sujet, que l’enseignante n’aimait pas être interrogée. Chacun son tour…

"Etes-vous une mutante? Moi je pense que oui mais vous qu'en pensez vous ?"
-Je pense que vous êtes quelqu’un d’étonnant. A moins que vous ayez une double personnalité, je dirais que vous n’êtes pas aussi différent que moi, arrêtez-moi si je me trompe, jeune homme.

C’est jouer à l’arroseur-arrosé. Alessandra n’était pas dupe même si elle préférait avoir le dernier mot, c’était la seule façon qu’elle avait trouvé pour ne pas répondre réellement à la question posée. Enfin, elle avait répondit mais pas explicitement, il serait plus simple de se présenter, au moins le prénom histoire de voir, s’il y avait moyen de mieux se comprendre (entre esprit complexe pour ne pas dire mutant). Elle retira ses lunettes avant de les ranger dans leur étui et se tourna vers le jeune homme. Comme si elle mettait au pied du mur, un de ses élèves qui aurait triché et qui se serait fait prendre.

[hj : désolée de te répondre tardivement, j'ai eu des imprévus]

John s'amusait avec se petit jeu, il sentait que la femme ne voulait pas avouer qu'elle était mutante du moins c'était la forte impression qu'elle donnait en répondant à ces questions par une autre ou sinon par une réponse vague en changeant de sujet. Tout d'abord elle affirma qu'il n'existait pas que de méchant mutant, pour John il s'agissait presque d'un avoeux car dire qu'il n'ya pas que des méchant signifie à dire qu'elle pouvait être une gentille mutante, c'était une dérive sur ce qu'elle voulait vraiment dire, en tout cas c'était la traduction de John. Elle lui demanda ce qu'il regarda dans le ciel mais John n'écouta pas cette partie là ou plutôt se décida de ne pas répondre, car si il lui disait qu'il n'y avait rien dans le ciel, qu'il faisait juste cela pour l'ignorier, il serait passer pour un être grossier, et il trouvait que ne pas lui répondre serait bien plus audacieux. Et quand il lui demanda si elle était mutante, elle ne répondit pas, elle le flâta en disant qu'il était étonnant et ajouta qu'elle n'était pas aussi différente de lui. Pour John cela avait un double sens, si elle gardait l'idée qu'il est un mutant cela signifie qu'elle l'est aussi, mais si elle croit qu'il est humain elle dit qu'elle est humaine. C'est alors qu'une nouvelle intérogation arriva à la bouche de John, il voulait lui porter confusion.

"Vous n'êtes pas aussi différente que moi. Mais qui suis-je ? Un mutant ? Un humain ? Qui le sait, moi ou peut-être vous ? Je vous ai dit que je n'étais pas de ce bord là en parlant des mutants ayant un développement des sens. Cela voudrais dire que je ne suis pas mutant. A moins que je sois un mutant mais que je ne possède pas de pouvoir lié à mes sens comme l'observation, après tout je n'ai jamais nié être un mutant. j'ai dit que cela me ferai mal d'être un mutant au sens développé, mais je n'ai pas dit que je n'étais pas un mutant avec d'autre pouvoir. Alors que suis-je? Mutant ou humain? A vous de voir, si vous trouvez la réponse, je trouverai la votre. Haha!"

Par cette longue tirade lié d'interrogation, de diverse question et une accumulation du même mystère, mutant ou humain et il jouait le rôle très bien. Il cherchait à la perdre en disant que dans ces phrases il ne niait pas avoir une nature de mutant, mais il pouvait tout autant le nier, tout ce qu'il disait avait juste pour but de la perdre et de la faire réfléchir. John n'avait aucun but principale avec tout cela, c'était juste un jeu, il s'amusait à joué avec les idées de cette femme et il pense que cela va l'amuser aussi, il pourrait passer pour un fou mais pour certains il serait amusant. Elle avait enlevé ses lunettes et se tourna vers John avec un air bizarre, un petit air autoritaire comme faisait son père, et cela fit éclaté de rire sans pour autant perdre de vue la jeune femme. Puis d'un coup il s'arrêta net de rire, il était devenu sérieux, son regard se figea mais pour autant la lueur de ses yeux était remplie de joie comme si ils continuaient à rire. John fouilla alors dans sa sacoche et sortit un pomme, une pomme verte pas loin de pourrir, elle était pour autant toujours appétissante, du moins pour une personne affamé. Il la prit d'une main et la tenait juste en face de la femme pour qu'elle porte son attention dessus.

"Alors qu'elle est votre réponse. Tik tak! Le temps passe il va falloir répondre. Celui qui répondra à la question aura la lumière sur cette sombre véritée!"

[HRP: désolée moi aussi pour le retard]

Le comportement des deux interlocuteurs était comique, car ils ne se répondaient pas réellement. Ils trouvaient un moyen de contourner la réponse souhaitée, en même temps, ils ne se connaissaient pas assez pour se confier. Alessandra jouait au même jeu que son interlocuteur, peut être que oui, peut être que non. L’avantage qu’a la rousse était qu’elle était d’une part, plus âgée et d’autre part, enseignante. Manier les mots était facile pour elle, la transmission du message devait faire réfléchir les autres. C’est d’ailleurs, un de ses points forts, ou faibles suivant de quel côté on se trouve. Côté élève, c’était pénible alors que côté adulte, c’était un plus. Finalement, le jeune homme décida de lui répondre.

"Vous n'êtes pas aussi différente que moi. Mais qui suis-je ? Un mutant ? Un humain ? Qui le sait, moi ou peut-être vous ? Je vous ai dit que je n'étais pas de ce bord là en parlant des mutants ayant un développement des sens. Cela voudrait dire que je ne suis pas mutant. A moins que je sois un mutant mais que je ne possède pas de pouvoir lié à mes sens comme l'observation, après tout je n'ai jamais nié être un mutant. J’ai dit que cela me ferai mal d'être un mutant au sens développé, mais je n'ai pas dit que je n'étais pas un mutant avec d'autre pouvoir. Alors que suis-je? Mutant ou humain? A vous de voir, si vous trouvez la réponse, je trouverai la votre. Haha!"

En écoutant les dires du jeune homme, elle eut l’impression d’avoir déjà vécu cette conversation. Par exemple, un élève qui arrive en retard et qui explique « sa » raison. *Bonjour, excusez-moi d’être en retard le pneu de la voiture a crevé, ah non je n’ai pas de voiture, c’est celui du vélo, ah et heu non je l’ai déjà faite celle-là, rho en fait mon réveil n’a pas sonné enfin si mais j’étais fatigué…et puis je suis là. Bon d’accord le cours à commencer y a une demi-heure, mais le principal c’est que je suis là, non ? Je peux rester ?*. Ce genre de conversation avait un seul but pour l’interlocuteur était de cacher la vérité, mais surtout perdre l’autre dans ses paroles. Or Alessandra avait le don d’écouter et d’analyser les dires, pratique pour ne pas se laisser avoir par de simples paroles. Et en général, les petits rusés se trahissent à un moment ou à un autre. D’ailleurs, se fut le cas. Dans sa tirade, il essayait de l’embrouiller jusqu’à une phrase qui tiqua l’enseignante : « après tout je n'ai jamais nié être un mutant ». Elle lui sourit sans pour autant dire le moindre moment, attendant sagement son tour de parler.

Pour ce qui en était du jeune homme, elle ne savait pas dans quelle « case » le mettre. Un coup, ils disaient oui, un autre non. Mutant ou pas mutant ? L’enseignante fut dans une impasse pendant un moment.
C’est alors qu’il sortit une pomme, ça donne faim de dire des bêtises ? Par moment, Aless se demanda si elle avait bien fait d’adresser de lui parole. Il avait une double personnalité ou quoi ? Elle n’était pas habituée à ce genre d’individu, il fallait toujours mesurer ses paroles, à moins que ce soit qu’un simple de jeu-test. Ah qu’elle n’aimait pas ce genre de conversation…Elle regarda la pomme quelques secondes et le jeune homme reprit.

"Alors qu'elle est votre réponse. Tic tac ! Le temps passe il va falloir répondre. Celui qui répondra à la question aura la lumière sur cette sombre vérité !"
-Vous avez un esprit très philosophique pour un jeune homme. Bravo, vos parents doivent être fiers. Vos repas de famille doivent être étonnant. Je pense que vous savez ce qu’est un dialogue de sourds. Et bien, ce n’est pas ce que nous faisons, au contraire. Par ma profession, je comprends à quel jeu vous jouez. C’est très amusant, mais cela ne vous avance à rien, vous gagnez du temps d’où votre tic tac. Vous vous êtes trahi et maintenant je suis certaine à qui je m’adresse. Et vous, en suivant votre raisonnement, connaissez-vous la vérité ?

Ce fut à son tour de rire quelques secondes. Non mais ce n’est pas au singe qu’on apprend à faire la grimace !

-Et s’y nous marchons un peu. Vous pourrez dépenser le sucre qu’il y a dans votre pomme.

Peut être serait-il plus facile de voir son pouvoir loin des regards indiscrets ? Après tout, elle pourrait avoir l’âge de sa mère, les traits familiaux n’étaient pas au rendez-vous, mais deux personnes qui parlent ce n’est pas suspect, si ? Il va bien trouver quelque chose à dire à cela. Elle se prépara à une éventuelle promenade.

Les premières paroles de la femme fut un peu choquante pour John, elle disait qu'il avait un esprit très philosophique et que ses parents devaient être fier de lui. Mais ce n'était pas le cas, une personne qui abandonne son enfant peut-elle être fier, de lui ? John savait très bien que non car il n'avait pas eu de nouveau contact avec ses parents, en même temps il changeait toujours d'endroit alors le retrouver serait très dur. Puis elle lui expliqua qu'elle avait tout comprit à son jeu et qu'elle savait qui il était vraiment, et elle lui demanda si lui savait qui elle était, mais cela était absurde car pour John, il était certain de l'identité de la femme rousse qui se trouvait en face de lui. Puis elle se mit à rire et lui demanda même si il ne voulait pas marcher un petit peu pour dépenser les calories qui se trouvaient dans la pomme qu'il tenait, mais pour John, le fait de demander de se balader peu avoir d'autre sens. Peut être voulait-elle aller autre part pour l'attaquer, lui dévoilé aussi sa vrai identité alors le fait de se balader pouvait signifier bien des choses. John lui décida avant tout de continuer son petit jeu mais avant tout il voulait faire un petit geste sympathique pour montrer qu'il n'était pas méchant.

"Alors madame, si nous nous baladons je ne devrais pas être le seul à manger cette pomme. Alors vous voulez quoi ? La moitié de ma pomme ? Un quart ? Bon soyons fou vous en prendrez autant que vous voulez."

John posa la pomme sur le banc et avec sa main droite, il chercha dans sa sacoche si il avait un couteau, evidemment il n'en avait pas. Il avait mit la main pour que la femme ne vois pas son pouvoir, il forma une lame qui sortit de la paume de sa main et serra le poing pour faire croire qu'il tenait un couteau. Il sortit alors la main de la sacoche et coupa la pomme en six morceaux et il remit sa main dans la sacoche pour faire disparaître la lame. Il mangea trois part de pomme et se leva en regardant la femme en lui faisant des signes pour lui dire qu'elle devait manger de la pomme. Puis il commença à s'étirer le bras puis les jambes pour faire signe qu'il était d'accord pour la balde, il prit alors sa petite sacoche et la mit sur son épaule, il comença à marcher un peu et se tourna vers la femme avec un grand sourire.

"Je suis partant pour une petite ballade, après tout il fait beau et rester assit sur un banc n'est pas génial comme hobie."

Contre toute attente, le jeune homme ne semblait pas flatté des paroles qu’Alessandra venait de prononcer. Elle se demanda alors pourquoi ? Peut être que les parents du garçon n’acceptaient la différence de leur fils ? A moins qu’ils soient morts ou disparus. Ce n’était pas le souci de la rousse mais un malaise s’installait petit à petit entre les deux. Heureusement qu’elle avait proposé une petite balade, pour détendre l’atmosphère.

Elle le vit s’étirer de long en large, Aless le regarda faire se demandant ce qu’il lui préparait encore. Il se contenta de lui tendre des morceaux de pommes qu’il avait tout juste coupé. D’ailleurs avec quoi, elle l’avait observé ranger sa pomme dans son sac puis la ressortir en petits bouts. Il n’y avait pas assez de place pour un couteau ou quoique ce soit d’autre. Et puis, pourquoi ne pas avoir coupé à l’extérieur évitant ainsi de mettre du jus dans ses affaires ? L’enseignante comprit alors que le pouvoir du garçon était une transformation mais laquelle. Quelque chose qui lui permettait de couper rapidement en morceaux un fruit.

"Alors madame, si nous nous baladons je ne devrais pas être le seul à manger cette pomme. Alors vous voulez quoi ? La moitié de ma pomme ? Un quart ? Bon soyons fou vous en prendrez autant que vous voulez. "
-C’est très gentil, merci.

Avant même qu’elle prenne le morceau de pomme, si gentiment offert. Elle rangea son livre et ses lunettes dans son sac d’école. On aurait dit que tous les professeurs avaient le même fournisseur. Il était marron et en cuir. Elle le prit d’une main et de l’autre, elle attrapa un morceau de pomme toujours tenu par le garçon. Enfin, garçon elle devrait l’homme. En apparence, il devait avoir une vingtaine d’années, il avait des lunettes qui cachaient qui des yeux marron. Il semblerait qu’il soit d’origine asiatique, mais il avait toutes les aptitudes de quelqu’un ayant vécu ici. Enfin, ce n’était pas un interrogatoire mais Alessandra avait tendance à trop observer son environnement.

"Je suis partant pour une petite ballade, après tout il fait beau et rester assit sur un banc n'est pas génial comme hobby. "

Tous les deux prirent un chemin qui longeait la fontaine. Tranquillement ils échangèrent leurs idées, pour plus de faciliter, Alessandra décida de faire le premier pas.

-Il serait plus simple de nous appeler par notre prénom, ça serait moins “distant”. Je m’appelle Alessandra et vous ? Je me doute que vous n’allez pas me donner votre véritable nom, puisque vous ne m’avez pas dit la vérité, du moins pas tout de suite, sur votre nature. Maintenant que nous sommes loin des oreilles indiscrètes, vous pouvez répondre à ma question. Comment est ce que vous vous appelez ?

Alessandra ne cherchait pas son nom mutant, bien sûr, si il lui donnait, elle ne dirait pas non et aurait une réponse depuis le début de la conversation mais…en connaissant le jeune homme ce n’était pas gagné. Elle continua à marcher en prenant soin de ne pas tomber sur les pavés qui ornaient le sol.

John marchait avec la femme rousse, longeant le chemin de la fontaine, le fait de se ballader pouvait le mettre à couvert des oreilles indiscrètes, d'ailleurs cela se sentait car la femme fit le premier pas. Disant s'appeler Alessandra, elle dit aussi que s'appeller par leur prénom ferait moins distant dans la conversation et John décida d'en faire autant mais allait-il donné son vrai prénom après tout il ne savait pas si le sien était vrai. Il regardait un peu partout pour voir si personne les regardait d'un air bizarre, ou si il y avait des espions. Il ne répondit pas directement, il se contenta de sourire en regardant vers le ciel, les mains dans les poches, et marchant au même pas que la dîtes Alessandra. Puis il se décida alors à lui répondre, il ne savait trop quoi dire mais il savait qu'il devait dire quelque chose.

"Mon prénom est John. Et ma nature est humaine, après tout un être vivant ayant toujours une forme humaine est humain, qu'il possède des pouvoirs ou non. Je suis un sans-abrit car dans l'adolescence j'ai fait quelque chose que je n'aurai pas du faire, et mes parents m'ont abandonné. Voila qui je suis."

John venait de tout avouer sur lui mais pour autant il ne disait pas tout, et espérait aussi que la femme pense que cela serait un tissu de mensonge, il ne pouvait connaître sa réaction. Il avait dit sa franchement et d'un air naturel, il n'avait pas cherché à voir qui le regardait ou non, après tout si il disait cela avec un air suspect, cela ne pouvait que attirer l'attention sur lui. Il continua alors à marcher comme si de rien était, il ni'gnorait pas la femme, il se tournait vers elle avec un grand sourire puis regardait un peu partout, mais il passait clairement une grande partit de son temps à regarder le ciel, la seule chose qui lui faisait oublié tout les soucis de ce monde.

"Et vous ? Êtes-vous vraiment Alessandra?"

Il ajouta cela en regardant dans le ciel, tout à fait naturelement et cette phrase avait un sens bizarre car on pourrait croire qu'il connaîtrait Alessandra et qu'il lui demandait si c'était vraiment elle. Alors que John ne connaissait pas du tout la femme avec qui il marchait, il commença à prendre un chemin faisant le tour d'un étang avec des canards au milieux. John souriait en regardant un petit garçon qui était avec son père, tout deux jettait des miettes de pains au canards pour les nourrir, il souriait en regardant cette scène magnifique, c'était une chose qu'il n'avait pas connu longtemps, l'amour d'un père pour son fils, et même en souriant, dans ses yeux se lisaient une profonde solitude. il s'arrêta alors pour regarder se petit garçon et son père, il était dans sa bulle, tout les bruits du monde extèrieur avait disparut, et il n'entendait même plus Alessandra et le bruit des voitures. C'était comme si le temps c'était arrêter pour lui , il ne clignait pas des yeux, il fixait la scène sans bouger, on pourrait même croire qu'il ne respirait pas, il était figer.

[hrp: il n'avait pas mit la pomme dans son sac mais sur la banc pour la coupé avec une lame en forme de couteau mais cela ne fait rien.]

[hj : oups. J'espère que ça ne te gênes pas que je reprenne tes réponses dans mon post. ça me permet de me repérer dans la conversation ]

Aless laissait un doute entre eux. Mais il semblerait que ça ne gênes pas pour autant le jeune homme qui ne manqua pas une seconde de sauter sur l’occasion pour continuer à tourner autour du pot. Elle lui souriait malgré, qu’elle n’arrivait pas à mettre les points sur les « i ».

"Mon prénom est John. Et ma nature est humaine, après tout un être vivant ayant toujours une forme humaine est humain, qu'il possède des pouvoirs ou non. Je suis un sans-abri car dans l'adolescence j'ai fait quelque chose que je n'aurai pas du faire, et mes parents m'ont abandonné. Voila qui je suis."
-Oh. J’en suis navrée. Excusez-moi d’enfoncer le clou mais vous n’avez pas de logement. Vous n’avez pas l’apparence de quelqu’un qui vit dehors, John.

Une apparence pouvait en cacher une autre. Même si le sujet de cette conversation n’était pas agréable à entendre. Maintenant, elle comprenait mieux pourquoi ce John était si méfiant pour se confier. Même à des questions anodines. Ils continuèrent à marcher, le temps était radieux en cette période. Lorsqu’elle tourna la tête vers lui, il regardait « encore » le ciel. C’était à se demander s’il le faisait exprès de l’ignorait. En général, Alessandra passait son chemin devant ce genre d’individu, mais là c’était différent, il l’intriguait et puis, c’était lui qui était venu et qui avait commencé la conversation.

"Et vous ? Êtes-vous vraiment Alessandra?"
-Pourquoi mentirais-je ? Un prénom est un prénom, mais celui-ci je le tien d’un parent.

Quand elle lui répondit, ils passèrent non loin d’un étang. Un père et son fils donnait à manger à des canards. Alessandra remarqua le regard triste de John. Ce regard elle le connaissait, parfois elle-même triste de ne pas avoir sa propre famille. Alessandra allait reprendre la conversation, quand elle se rendit compte que John ne le suivait plus. Il était resté là, à regarder le père et le fils, comme s’il était observateur d’un souvenir passé. Elle se rapprocha du jeune homme et lui parla d’une voix douce.

-Nous avons chacun nos failles on dirait.

Alessandra soupira, elle allait reprendre mais elle vit quelque chose arriver – vite – dans leur direction. Un ballon avec des motifs dessus avait été lancé avec une telle force dans leur direction que par instinct ou bien est ce de la peur. Bref, Alessandra l’arrêta à quelques centimètres de John. Il était en plastique, heureusement pour lui, car le cuir lui aurait davantage fait du mal. Aussitôt arrêté dans son élan, le ballon roula sur le sol. La rousse regarda autour d’elle, si la personne qui l’avait envoyée était loin ou non, mais surtout vérifier que personne ne l’avait vu. Silencieuse, elle regarda John. L’air de méfiance qui avait disparu, réapparu à l’instant.

-Rien de mal ?

Un petit garçon blond arriva à son tour, il cherchait son ballon.

John qui continuait à regarder le père et son fils ne se rendit pas compte que Alessandra lui parlait, il ne remarqua même pas le ballon qui se dirigeait vers lui. Au moment ou il reprit ses esprits, Alessandra lui demanda si il n'avait rien de mal, bien sur John ne comprenait rien à ce qu'elle voulait dire car il venait de sortir de sa petite bulle. Il vit alors un ballon de foot roulé par terre et un petit qui venait pour chercher son ballon. John fit alors le rapprochemententre le ballon qui était par terre et la phrase de Alessandra demandant si il n'avait rien de mal. Mais si elle lui pose ce genre de question cela voulais dire que ce ballon devait avoir quelque chose de dangeureux, sans doute un tir puissant mais un si petit garçon ne pouvait alors frappé aussi fort. John ramassa le ballon et le remit dans les mains du petit garçon avec un sourire, il lui secoua les cheveux en signe d'amitié et le petit repartit en souriant, alors, John se releva. Il se tourna à nouveau pour revoir le père et son fils, mais tout deux avaient disparut, il regarda dans tout les sens pour les chercher mais il ne les vit pas. C'est alors qu'il se tourna vers Alessandra:

" Excusez moi, je n'ai pas écoutez ce que vous disiez Alessandra. J'étais dans ma bulle coupé du monde et je ne vous ai ni écoutez, ni regardez cela est impolie alors je tiens à m'en escusez sincèrement."

Puis il retourna pour repartir marcher et se balader, il regardait un peu partout et il ne semblait plus triste, il arrêtait pas de sourire et il regardait un peu partout. Au loin il vit un attroupement d'enfant provoqué par notre grand ami aux petits et aux grand, le marchand de glace. Il se dirigea vers le marchand de glace tout content, en sifflotant, et oublia presque Alessandra. il se tourna alors vers elle, un grand sourire sur le visage et il lui demanda:

"Vous voulez une glace? C'est bon les glaces, c'est frais et sucré ! En plus la glace sa redonne le moral, sa vend du sourire et même que le marchand de glace c'est le monsieur le plus gentil du monde, il est même devant le Père Noël car le marchand de glace il est là tout les jours."

En même temps, il chercha un billet dans sa sacoche, un petit billet, quelque sous pour s'acheter une glace et sa préférait c'était la Banana-Split. Il se dirigea alors en chancelant et en sautillant comme un enfant de huit ans, vers le marchand de glace. il voyait plein d'enfant mangé des glaces, mais il y avait trop de monde et John n'était pas patient, il repartit alors pour s'assoir sur un banc, c'était la fin de la petite balade.

[hrp désolée mais la j'ai une perte d'idée, je ne sais plus trop quoi faire dans ce Rp]

[hj : c'est pas grave ça arrive. Je débute dans ce monde, donc j'essaie d'imaginer des situations...c'est difficile mais j'ai testé un truc. Peut être que ça te plaira, bonne lecture]

" Excusez moi, je n'ai pas écouté ce que vous disiez Alessandra. J'étais dans ma bulle coupé du monde et je ne vous ai ni écoutez, ni regardez cela est impoli alors je tiens à m'en excuser sincèrement."

Alessandra fut sauvée durant un bref instant, car le jeune homme n’avait pas vu qu’elle avait utilisé son pouvoir. Peut être serait-il finalement judicieux de lui montrer, après tout, elle ne risquait pas vraiment d’être en infériorité. Mise à part, peut être, s’il est capable d’être vraiment très rapide. Son instinct lui disait *fais lui confiance*, sa conscience quand à elle lui disait *attention*. Mais Alessandra avait passé l’âge à attendre le feu faire, il était temps pour elle de prendre des initiatives voire des risques. Et puis, si les humains la voyaient ? Comment réagiraient-ils ? Y aurait-il écho dans son école ? C’était un risque à prendre, elle attendrait le bon moment avant de lui faire une petite démonstration. Pas besoin de spectateurs, ou alors les minimiser.

En guise de réponse, elle lui sourit et l’observa rendre le ballon au petit garçon. Elle ne tiqua pas longtemps sur ce léger contre temps et écouta ce qui suivit.

"Vous voulez une glace? C'est bon les glaces, c'est frais et sucré ! En plus la glace sa redonne le moral, sa vend du sourire et même que le marchand de glaces c'est le monsieur le plus gentil du monde, il est même devant le Père Noël car le marchand de glaces il est là tout les jours."

L’enseignante fut surprise de le voir sautiller comme un enfant pour arriver vers le camion de glace. Elle ne put s’empêcher de secouer la tête. Mais où va le monde, pensa-t-elle. Lorsque toutefois, elle le vit déçu, revenir à un banc elle pensa alors que c’était le bon moment. Elle alla donc près de John.

-Retour à l’enfance ? C’est curieux de voir qu’un jeune homme tenir des propos philosophiques pendant un moment et finir en enfantillage. Ma foi, ça doit être un des risques de la jeunesse ! Je pense trouver une occupation en attendant que l’attroupement d’enfants devant le camion de glaces, se dissipe.

Les deux mutants étaient quand même en retrait par rapport aux enfants. Alessandra regarda autour d’elle et trouva finalement quelque chose qui contenait du plastique. Un ballon de volley ainsi qu’un cerceau firent l’affaire. Avec un peu de concentration et d’habileté, Alessandra manipula les deux objets pour un créer un troisième et ainsi dévoilant son pouvoir au jeune homme.

-Mes improvisations ne ressemblent jamais à quelque chose, mais avec un peu de temps, elles prennent formes. Je dirais que ça ressemble…hum…un cygne ou peut être une oie. Et vous, quand pensez-vous John ?