Garth Algar et la shewing, de la laissive!

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Garth avait 24 ans, pas de travail, une émission de télévision avec son meilleur pote Wayne, non rémunéré, pas d'argent, un lieu où vivre, c'est-à-dire le sous sol de ses parents et pas de machine à laver. Pour règler ce problème de machine à laver, il allait au centre commercial, dans un magazin dédier à laver du linge, une buandrie. Il y avait des tonnes de machines à laver, des vertes avocas, des brunes, des blances, des grandes, des petites, de troutes sortes, mais celle que Garth avait choisit c'était celle où on voyait le linge tourner à l'intérieure! Puisque voire le savon s'attaquer au linge et faire disparaître toutes trace de saleté était totalement une des choses les plus hallucinante au monde. Bref, on se croyait dans un de ces films de Stars Wars où Luke, réussit à détruire l'étoile noire alors qu'il n'a presque qu'aucune chance. D'un côté plus stratégique, la buandrie était placée dans le centre commercial pour laisser la chance aux clients, de partir et continuer leurs courses dans le centre, mais notre ami n'avait pas compris ce consept. Donc, le sable ambulant, regardait la laissive faire la guerre à son linge tout en faisant des mouvements circulaires comme ceux de la machine, ses mices lèvre, son regard vide derrière ses lunettes, son expression faciale était comparable à l'admiration d'un fan fini d'une discipline lors d'une final mondiale, se demandant qui allait gagner la battaille? La saleté ou le propre!... Pour interpréter ses rôles il y avait son odeur corporelle de mâle alfa ou plutôt de petite écolière et le détergent bleu à prix réduit?

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J’ai passé une horrible nuit, et c'est peu dire... j’ai eut beau me retourner sans cesse pour essayer de trouver la bonne position, pas moyen. Pourquoi faut-il toujours qu’on ait envie de pisser à chaque fois qu’on trouve la bonne position pour dormir. Non, c’est vrai, au final je n’ai su dormir que cinq heures et c’est vraiment peu. Je me suis donc écroulée sur le sol après avoir tenté de me rattraper à ma couverture mais celle-ci ne tenant à rien m’a abandonnée et m’a laissé m’aplatir sur le sol. Bref, je suis allée prendre une douche sans faire de bruit afin de ne pas réveiller les autres et j’ai enfilé des vêtements assez discrets pour aller faire un tour. Oui, exactement, faire un tour au centre commercial comme une véritable fille, pour changer des autres fois ou je reste cloitrée dans cette chambre horrible.

Je déteste tous ces gens, toutes ces familles réunies qui font les boutiques. Je déteste que les gens me frôlent au passage alors qu’ils ont deux mètres pour passer à croire que Mc Donald a rendu obèse tous ces américains! Je passe devant les boutiques et je bave sur deux trois vestes qui sont vraiment pas mal mais je n’ai pas vraiment l’’argent pour me permettre de m’acheter ces vestes là tout de suite. Je passe mon chemin et me retrouve devant un lavoir automatique ou j’aperçois un drôle de gars qui semble envoûté par la machine qu’il a mit en route. Je rentre et m’installe à coté de lui sans qu’il s’en aperçoive et approche ma bouche de son oreille droite pour lui dire avec un grand sourire:

- « Tu t’amuses? Tu sais tu as le temps, tu peux aller faire un tour… Dans une heure ta machine sera terminée… »

Je regarde alors vers la machine et ni voit rien d’extraordinaire mis à part les vêtements qui sont retournés dans tous les sens, encore et encore, pas vraiment le genre de spectacle qui me fait de l’effet. Un gars regarde vers nous et se met à rire bêtement, je me retourne et lui crie dessus;

- « Si tu veux éviter que je te mette dans la machine dégage! »

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Garth continuait le regard débordant de bonheur, vers cette fameuse machine à laver jusqu’au moment où on lui souffla un murmure à l’oreille. Mais qui osait parler à Garth, bon les filles qui le reconnaissait de l’émission Wayne World, mais mis-à -part cela, elles ne faisaient que «Hey c’est Garth! Méga tuf Garth!» ou quelque chose du genre et lui, il se gonflait le ventre de fierté avec un sourire gêné. Il détourna le regard et vit le visage d’une Shwing de femme. Shwing est un mot inventer par lui et Wayne, son meilleur ami, pour d’écrire une fille supra méga sexy et l’effet qui arrivait physiologiquement à l’homme qui...

Bref, il fit le saut, en voyant le visage de la jeune femme d’aussi près. Il replaça ses grosses lunettes et fit un petit sourire avant d’arrêter soudainement. Il venait de comprendre ce qu’elle voulait. La gonzesse avait presque réussit son petit jeu. Elle voulait lui voler son linge pour qu’il se promène nue lorsqu’il n’aurait plus de linge propre! Ou encore, elle voulait lui mettre du poil à gratter dans ses shorts pour qui se gratte et ait l’air d’un con à la télévision! Mais ça alors, il avait passé près de se faire prendre! Cependant il était trop malin pour cette femme machiavélique. Il allait lui dire! Par contre, au moment où sa bouche était ouverte, où un son allait en sortir, il se fit couper la parole par cette même gonzesse qui menaçait un passant qui regardait les regardait simplement. Ce n’était pas une simple menace, elle voulait le mettre dans la machine à laver. Ainsi, il pouvait imaginer la suite, l’homme allait rétrécir au lavage! Puis avec le comportement violent de la femme, elle allait piétiner ou le manger. Ainsi il referma la bouche.

*aparté*

Mais qui est cette gonzesse qui se ramène à la buanderie, qui me demande, si je m’amuse, d’aller faire un tour, laisser ma lessive sans surveillance le temps qu’elle soit prête et qui insulte les passants! Elle n’a rien à me dire! Ce n’était pas elle qui dominait! Je vais lui dire ce que je pense! C’est moi G..Gha… Garth Algar!

Cependant, ce qui sortit était d’une voix plutôt faible, mais très audible avec un teint de naïveté…

«Je crois qu’il ne fait que passer»

Garth regarda l’homme qui si l’incompréhension avait une forme, bien son visage l’imitait à la perfection. De plus, cet homme avait peut-être une vie, il avait peut-être une femme et des enfants, des premiers de classes même, un chien qui s’appelle Kiwi qui lui apporte ses pantoufles en forme d’ours pleines de baves, un réfrigérateur plasma et une imprimante couleur qui ne lui servira plus s’il ne fait pas plus de 10 centimètres de haut… Garth ne pouvait pas s’imaginer à quel point la vie pouvait être cruelle! Qui allait s’occuper de KIWI!!!!!

Garth replaça ses lunettes, en faisant un petit sourire gêner à la méchante « rétricisseuse ». Malgré que ses lèvres tremblaient, un sourire des plaus laids qui soit!

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Il faut quelques minutes tout au plus à ce gars pour me répondre. J’entends quelque chose du genre « il ne fait que passer ». De quoi se mêle-t-il. En plus, il a l’air effrayé quand il me dit ça. Je regarde le blondinet, et contrariée, je jette un œil vers l’homme que je viens d’agresser qui décide de passer son chemin ne comprenant pas pourquoi je venais de lui crier dessus. Imbéciles, je l’ai vu rire, qu’on ne me dise pas le contraire, je l’ai vu de mes propres yeux. Je ne suis quand même pas folle, je déteste les gens… Surtout les hommes, en plus de ça ils ont souvent un égo surdimensionné ou veulent toujours avoir raison. Bref, l’étrange petit homme à coté de moi me regarde en replaçant ses lunettes correctement sur son nez et esquisse un sourire gêné dans ma direction. Il est vraiment étrange ce petit gars, si je pouvais aller fouiller dans sa tête ça peut être amusant, ou peut être pas… J’approche ma main gantée de son visage et lui gratte le menton en souriant:

- « Quel est ton nom? Et c’est quoi cette manie de rester scotché devant ton linge? Il ne va pas s’envoler. »

Je frotte mes mains, regarde le linge qui tourne assez rapidement dans la machine, me lève et vais poser mes fesses sur celle-ci. Je suppose que c’est son linge qui tourne à l’intérieur vu qu’il avait l’air complètement illuminé lorsqu’il s’assurait du bon fonctionnement de la machine tout à l’heure. Mes pieds ne touchent pas le sol, je croise les jambes et appuie mes mains sur la machine. Je suis vêtue d’une jupe en cuir, de bas en dentelle, d’un bustier et de bottes. Oui, pour moi ca parait être une tenue passe partout. Le petit gars lui, semble tout droit sorti d’un film du genre « ghostbuster » ou quelque chose comme ça. Non, réellement, c’est très amusant savez-vous, de plus, il n’a pas l’air très alaise avec moi pourtant, j’essaie toujours de mettre les gens alaise… J’ai même l’impression que dés que le cycle de sa machine sera terminé, qu’il prendra ses vêtements et disparaîtra en me laissant là mais ça ne se passera pas comme ça, non, non et non! Je ne vais pas laisser fuir ma seule distraction de la journée. S’il s’enfuit, je lui fracasse le crâne ou peut être pas jusque là mais je l’empêcherai de partir.

Je suis assise là, à regarder ce gars assez étrange qui me paraît venir d’ailleurs, quand je dis ailleurs c’est d’une autre planète et encore. Je regarde autour de nous et il n’y a que lui et moi et toutes ces machines à laver. J’espère qu’il ne va pas partir maintenant. Les gens ne veulent jamais discuter avec moi et je ne sais pas pourquoi. Soit je tombe sur des crétins qui me collent la main aux fesses ou alors ils ont peur et partent en courant après quelques minutes. Il faut dire aussi que je ne supporte pas grand monde aussi.. Mais ce gars là, j’ai envie de savoir, il m’a l’air assez intéressant et assez distrayant.

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Choses à noter l'homme qui venait de partir, avait réellement un chien du nom de Kiwi, une femme et deux enfants, mais pas des premiers de classes... notre ami avait simplement visé juste en se décrivant l'homme...

D'autre part, Garth était habillé de jeans troués, de ses belles grosses lunettes noires, d’une paire de caleçons blancs, de souliers usés, d’un chandail d’Aerosmith qu’il avait eu lors d’un de leurs shows où il avait eu une passe pour les back stages. En fait, avec tout ce linge et ses cheveux longs, il représentait bien le stéréotype de l’adepte du rock américain. En y réfléchissant, ce qu’il avait dit avait peut-être un peu contrarié cette jeune femme, mais à sa grande surprise, elle lui gratta le menton, la peau de Garth devait être la plus sec que cette femme ait jamais touché de sa vie, puisqu’elle avait une texture comparable à celle du sable voir même à celle du papier sablé, cependant, le gant devait avoir inhibé toute la sensation de la peau. Enfin, la tête de Garth bougeait dans les mêmes sens que la main de la gonzesse allait, puis il affichant toujours son demis sourire timide et gêner qui reflétait son manque de mot à la situation. Ensuite, il regarda dans la direction antérieure de l’homme, il était parti. La gonzesse demanda subséquemment à Garth qu’elle était son nom et pourquoi il avait toujours une manie d’observer son linge dans la machine. Sans même attendre une réponse, elle se frotta les mains, ce qui voulait peut-être dire que les gants n’avait pas totalement inhibé la sensation de la peau de Garth et elle alla s’assoir d’une façon agréablement sexy sur la machine à laver, ses jambes croisées avec une jupe de cuir avec le bas en dentelle. De plus la machine était à un niveau plus élevé que les bancs où Garth était assis, ce qui produisait l’effet qu’il avait la tête à la même hauteur que les cuisses de la femme. Ainsi, il était encore plus gêner et ne voulant pas passer pour un pervers, il regardait à gauche et à droite. En conséquence, il lui répondit sans trop la regarder :

« Ouais.. heuu, mon nom c’est, c’est Garth! Pi je veux pas que personne ne vole mon linge, c’est déjà arriver à d’autre! Puis mon linge a du vécus, puis je dois déjà assez souvent en acheter parce…»

Il arrêta de parler puisque son problème de corps mutant sableux avec le linge 100% coton qui ne suivait pas ses transformations «sablinoïdes» ne la regardait pas trop et il ne voulait pas attirer l’attention non plus. Si on découvrait officiellement qu’il était un mutant, il pouvait dire adieux à son émission de télé. En fait non, puisque c’était une émission de télévision locale, mais quand même! Il ne donnerait plus la super image de du rocker et le monde auraient peur de lui! Ce ne serait plus aussi méga tuf excellent!

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Le blondinet évite de croiser mon regard lorsqu’il répond à mes questions, ou plutôt évite de regarder mes jambes, je ne vais pas lui en vouloir. Il me dit s’appeler Garth, quel drôle de prénom, de plus il dit craindre qu’on lui vole son linge, quelle drôle d’idée, qui pourrait lui voler son linge. J’ai déjà rencontré des gars bizarres mais lui, c’est une perle rare. Il doit souvent se racheter du linge parce que… il n’achève pas sa phrase et je déteste lorsqu’on achève pas une phrase, encore une fois il arrive à me contrarier ça fait beaucoup en si peu de temps. J’ai envie de m’amuser un peu et d’ennuyer ce petit gars qui j’espère ne s’enfuira pas. Je regarde à gauche, à droite, toujours personne dans cette sorte de buanderie. Les gens viennent rarement ici, de nos jours tout le monde à une machine à laver… Enfin, pratiquement tout le monde. Je regarde vers la sortie, et aperçois les gens qui font les boutiques passer avec des tonnes de sacs sous les bras… Je saute de la machine et tape dans mes mains. Comme j’ai mes gants, rien ne se passe mis à part le claquement que produit celles-ci. Je m’avance vers la porte mais finit par me retourner. Je me retourne vers lui:

- « Bon… »

Je m’approche encore une fois du petit gars en ayant l’air innocente. Je lui prend furtivement ses lunettes dont il a la manie de rajuster sur le bout de son nez toutes les dix minutes, pour les passer sur mon nez et reculer d’un bon mètre. Je me retourne vers la machine à laver ou tourne son linge et me regarde dans le hublot de celle-ci en faisant une affreuse grimace. Les lunettes ne me vont pas du tout mais j’ai une tête assez drôle avec. Je me retourne vers Garth et le regarde avec des grands yeux et un grand sourire, amusée comme une enfant. Je prend mes cheveux et les tiens comme si je les avais attachés.

- « Sois franc, donne moi ton avis. »

J’espère qu’il voit encore sans ses lunettes sans quoi j’aurais l’air ridicule bien que je pense déjà l’être en ayant enfilé ses lunettes. Je ne compte pas lui rendre ses lunettes, j’ai envie de faire courir ce gars. Il n’a pas l’air de bouger des masses de ses journées s’il est autant fasciné par d’aussi simple chose qu’une machine à laver, ça doit pas être gai tous les jours. Je me recule encore un peu en espérant qu’il se lève et qu’il tente de récupérer ses lunettes.

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La gonzesse sembla donner une expiration, regarda dans la direction de la sortie, elle sauta de la machine, frappa dans ses mains et s’approcha de Garth. Elle avait une idée, Garth le savait, il ne voyait par contre pas ce qui allait arriver. D’autant plus qu’il ne lui faisait pas confiance. Alors fit un mouvement de recul où elle s’approchait, mais il ne put rien faire contre la furtivité du vol de ses lunettes. Garth eu le reflex d’aller chercher ses lunettes, mais en vain. Il se leva et dit à la silhouette floue :

«AIIIE! LÂCHE ÇA! C’EST À MOI!»

Mais elle avait déjà fait un bon arrière tel une tigresse. Garth ne put distinguer véritablement ce qu’elle faisait avec ses lunettes, mais elle lui demanda son avis sur comment les lunettes lui faisait. Garth n’en prit pas vraiment compte, il essayait de récupérer ses lunettes, il en avait de besoin! C’était sa vue, ce qu’il portait depuis plus de 10 ans et son identité! C’était déjà beaucoup. Ainsi pour mieux voir la silhouette, il plissa les yeux, ce qui lui donna l’impression de mieux la voire et il tenta comme un aveugle des manœuvres males adroites pour les récupérer. Il avançait comme un zombie, les deux bras vers l’avant avec les jambes instable vers la fille en disant:

«RENDS MOI ÇA! C'EST À MOI! C'EST PAS DRÔLE!»

Il enjamba ainsi le premier pas, un premier pas de la gauche, il n’aimait vraiment pas l’allure des choses! Il aurait dû insister à Wayne de venir avec lui faire son lavage, mais il avait préféré rester avec Kassandra, sa gonzesse. Si Wayne était là, il aurait récupéré ses lunettes sans risquer de tomber et d’exploser comme un château de sable… Puis, le deuxième pas, celui-ci de la droite, il se disait que s’il n’avait pas besoin de porter de lunettes, il ne serait pas dans cette situation embarrassante comme chaque fois qu’elles tombent au sol ou qu’il fait un mouvement trop brusque. Ainsi, il enchaîna des pas lents, maladroit vers la silhouette flous, les deux bras vers l’avant.

Spoiler:

Spoiler:

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En fin de compte, je pense qu’il n’y voit clairement rien sans lunettes. Le pauvre, mais j’aime le faire courir, je vais attendre quelques minutes et continuer. Il s’avance vers moi comme un aveugle cherchant après quelque chose qu’il a perdu… Je reste figée, je n’ai qu’à faire des petits pas a droite ou à gauche pour l’éviter. Vais-je lui rendre ses lunettes ou vais-je continuer à faire ma vilaine et le laisser me courir après? Myope comme une taupe, il ne pourra jamais me rattraper et puis c’est trop mignon la façon qu’il a d’agiter les bras pour les récupérer. Je les enlève de mon nez et les lui tend. Puis les reprend et les cache derrière mon dos dans ma main droite.

- « Je ne vais pas te les voler… l‘idée est tentante mais que veux tu que j‘en fasse, je vois très bien sans et elles ne me vont pas du tout. »

Non, je ne comptais pas vraiment lui rendre, du moins pas tout de suite, mais comme il n’y voit clairement rien le petit jeu n’est plus si amusant. Je lui tend les lunettes une seconde fois mais les reprend et lui prend le bras pour l’entrainer en dehors de cette buanderie. Au moment ou je le touche, son bras me paraît étrange au touché, j’enlève donc ma main immédiatement malgré que je porte mes gants il y a quelques chose d’étrange chez ce gars. Je ne vais pas lui rendre ses lunettes tout de suite sans ça il ne peut pas m’esquiver et je suis curieuse.

Je m’apprête à enlever un de mes gants pour toucher une seconde fois la peau du blondinet mais cette fois sans protection car je sais ce que j'ai senti, je ne suis pas folle. J’enlève mon gant gauche et le tien dans l’autre main. J’approche ma main vers le visage du gars. Les lunettes toujours dans l’autre main avec mon gant. J’hésite, ça me paraît anormal encore une fois..

- « Je te rend tes lunettes si tu me dis quel est ton secret »

Je pousse le gars qui ne me vois toujours pas très bien sans ses lunettes et le repousse afin qu’il tombe assis sur une chaise. Là, je m’approche et lui dépose ses lunettes sur le bout de son nez. J’ai toujours ma main découverte et j’hésite à retoucher son bras, il va peut être me prendre pour une cinglée mais je sais qu’il y a quelque chose de bizarre. Finalement, non, je me retiens et je fais un pas en arrière. je tourne les talons et sors d'ici. Ce gars est étrange mais j'en ai assez fait.

» Garth Algar!