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| Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] | |
| | Auteur | Message |
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Anton Griffith Neutre Alpha
Nombre de messages : 149 Age : 29 Autre(s) identité(s) : Éole
Pouvoirs : aérokinésie
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| Sujet: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Ven 22 Oct 2010 - 18:59 | |
| Le bar, ça n’avait pas été facile de l’atteindre. Le jeune mutant avait intégré l’Institut depuis près d’une semaine. Il y avait fait la rencontre de beaucoup d’autres mutants. Pour la première fois depuis toujours, il avait été parmi ses semblables. Contrairement à ce à quoi il s’attendait, l’Institut ne proposait pas seulement un refuge pour mutants mais également une école où les jeunes mutants apprenaient à maîtriser leurs pouvoirs et entendaient à répétition que le choix primordial d’un mutant est l’usage qu’il fera de ses pouvoirs: servir un bien commun ou bien un intérêt personnel. Cette litanie l’agaçait un peu mais il préférait encore être dans un internat rempli de mutants que de passer son temps dans les rues et peut-être même finir par être enrôlé par une organisation terroriste comme la confrérie. A ses yeux, rien ne pouvait justifier leurs tueries gratuites, pas même un supériorité avérées. D’un autre côté, il devait avouer que les autres mutants le fascinaient. Il ne savait pas grand-chose sur eux avant et ignorait même jusqu’aux pouvoirs les plus fréquents. De plus, il s’était rendu compte qu’au final, la plupart des autres pensionnaires aspiraient comme lui à une vie plus ou moins paisible aux côtés d’êtres chers. Certains de ses congénères l’effrayaient par leurs pouvoirs et leur puissance et il sentait que nombre d’entre eux pourraient le réduire à néant si seulement ils le souhaitaient. D’autres lui inspirait une certaine pitié à cause des problèmes que leur mutation leurs posaient. Certains de ces mutants étaient difformes et d’autres ne pouvaient imaginer avoir une vie normale. Finalement, il avait de la chance. Il était plus puissant que la moyenne mais sa mutation ne l’empêcherait pas de mener une vie normale tant qu’il gardait le contrôle. Cependant, l’école manquait cruellement de sources d’amusement et il ressentait déjà le besoin de s’aérer. Il avait donc quitté incognito l’Institut pour le week end et d’aller se promener dans New York, sa ville natale. Jusqu’alors, il n’avait eu l’occasion que de voir les quartiers les plus minables et pauvres. Cette fois-ci, il avait l’occasion de visiter les beaux quartiers.
Samedi soir, il était donc au bar dur coin. C’était un bar plutôt chic, il faut le dire mais le barman ne lui avait pas posé de questions quand il avait demandé une bière. C’était la belle vie. La bière était bonne et fraîche et le bar était calme. Il n’y avait pas de saoulards, de dealers, de casseurs ou autres contrairement à ce qu’il avait vu à plusieurs reprises dans les bars de la banlieue d’où il venait. C’était un changement positif. Il se demandait ce qu’allait dire le professeur à son retour. Penser que ce dernier n’était pas au courrant de sa sortie était folie. S’il avait réussi à communiquer avec lui malgré plusieurs dizaines de kilomètres de distance, il devait être capable de sentir la présence de ses élèves dans l’Institut. Il savait peut-être même qu’il était à l’heure actuelle en train de siroter une bière qu’on aurait pas du lui donner. Ses pouvoirs étaient pour le moins stupéfiant. Anton n’était même pas sûr qu’ils aient une limite et pourtant cela ne faisait qu’une semaine qu’il le connaissait. S’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux, il n’aurait jamais cru que des mutants puissent être si puissants. Dire qu’il avait eu l’audace de considérer son bouclier d’air comme infaillible quand il était adolescent… Demain, il repartirait pour l’Institut, cette sortie extrascolaire avait été très agréable mais il préférait l’Institut à la solitude que lui avait offert sa ville natale. Il s’amusait à regarder les clients qui entraient et sortaient. Le jeune homme trouvait les clients de ce bar bizarrement habillés et ça le faisait rire. C’était pour la plupart des bourgeois et leurs airs étaient un peu ridicule aux yeux d’Anton. Celui qui le fit sûrement le plus rire fut un drôle de bonhomme très grand qui portait une grosse croix en or et un grand étui à guitare dans le dos et des cheveux châtains tout debout accompagnés d’une paire d’yeux bleus qui lui donnaient un air un peu fou.
Dernière édition par Anton Griffith le Ven 12 Nov 2010 - 19:02, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Ven 22 Oct 2010 - 20:39 | |
| Ma vie,s'était vraiment n'importe quoi, il s'était passé tellement de chose depuis son arrivé à New York, des gens bizarres, une organisation qui paye bien, une église qui est de plus en plus fréquenté a mon grand plaisir. Oui, chacun porte sa croix comme disait le christ. J'étais dans mon Eglise, un lieu simple pour une communication directe avec le seigneur, le tout puissant. Je racompagnais les derniers croyants jusqu'à la porte. Il n'était pas si tard que sa, pourquoi pas aller faire un tour ? Mais d'abord, c'est l'heure de la prière. je m'agenouillais près de la croix du christ. Elle surplombait la salle, comme si elle surveilait chacun de nos faits et gestes. Oui, c'était le cas j'en suis convaincu. Rien que sa présence m'écrasait, je me sentais insignifiant face à la toute puissance divine. N'y avait il rien que je puisse faire pour atteindre le niveau de Dieu ? Non, je ne dois pas y penser. Au lieu de sa, je fis mes ablutions et m'agenouilla devant l'autel du Christ. Je savais que l'Eglise était vide, et même si c'était le cas, que me dirait on ? Je dis à haute et intelligible voix
"Dieux, le Créateur, Le tout puissant, l'omniscient, le seul véritable juge. Je ne suis que la créature du créateur, donc je me dois d'être ton serviteur. Cette prière vous est dédiée car vous êtes seul maître de ma destinée, je suis votre instrument, celui qui chasse les infidéles et qui répend la bonne parole. J'accomplirais ma destinée, je ne suis que poussière, je retournerais à la poussière. Que le seigneur tourne son regard vers moi et m'accorde la paix intèrieur."
J'attrapais une dague de rituel qui était sous ma soutane et je m'entaillais volontairement la paume de la main en la désignant vers le ciel. Je continuais dans mon rituel
"Ceci est mon sang, j'en ai d'autre prenez le ! Il est votre ! Le sang que je verse est en votre nom, car il n'y a de dieu que dieu et laissez moi êtes votre prophéte !"
J'allumais un cierge et je bandais ma main, puis j'allais me changer. Maintenant, j'étais prêt à aller en ville. Je récupérais mon étui de guitare ainsi que deux petits couteaux on ne sait jamais et je décidais d'aller dans un lieu calme et aisé histore de me déconnecter un peu de la routine. Alors que je marchais, j'aperçu un bar. Pas trop mal pour oublier la routine du quotidien. J'avançais vers le bar et je commandais une biére, je regardais au alentour. Pour une fois, il n'y avait aucun ennuie en vue. Tout était si calme, c'était agréable. Pour un homme de paix, c'est le paradis. Je reconnu un petit groupe de jeune croyant que j'avais remarqué lorsde la précédente messe. J'allais les saluer et ils m'invitèrent à venir avec eux, j'acceptais avec joie. Vous voyez, une jeunesse comme sa, sa ne serait pas mieux qu'une jeunesse qui aggresse un vieux ? Ils jouaient au poker. C'était péché et je ne manquais pas de les informer, mais du moment qu'ils ne faisaient du mal à personne je le tolérais. Alors que je regardais la partie. Je vis un jeune homme entrait dans le bar. Il semblait fraichement débarqué et commandait une.... UNE BIERE ! A son age ? Il ai pas majeur ! Non mais c'est pas possible quoi c'est jeune. Ils n'ont pas la majorité et déjà ils se refugient dans l'alcool (Faith dramatise toujours). Encore une jeune brebis égaré, je vais la remettre dans le droit chemin. Sa serviette était disposé sous la biére de celui ci, il l'avait lâché. Avec ce vent sa ne risquait rien normalement mais bon autant en profité. Un coup de vent releva la serviette et j'amplifiais la puissance de cet bourrasque pour lui renversé sa bière. Bien sur il ne savait pas d'où sa venait. La bière s'était renversé sur le t-shirt du jeune homme. Je le regardais tout en prenant un air désolé.Je récupérais une serviette et j'arrivais vers lui pour épongé tout ce liquide s'écoulant du verre.
"Mon fils, dans quel état te voilà ... la bière sur les habits sa ne pardonne pas, j'espére que vous n'habitez pas loin ..."
hg: moi aussi je commence courts :S |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Dim 24 Oct 2010 - 9:50 | |
| Ce type était vraiment tordant avec sa drôle dégaine et son étui à guitare dans le dos et son énorme croix en or pendue au cou. Comme Anton, l’homme commanda une bière puis se dirigea vers un groupe de gens qui devaient avoir à peu près le même âge que le jeune mutant qui jouaient au poker. Habituellement, le jeune maître de l’air n’était pas un fouineur, mais ce drôle de type avait vraiment piqué sa curiosité et il avait envie de rire encore un peu à ses dépends tant qu’il ne l’avait pas remarqué. Il écouta donc sa conversation avec les joueurs de poker. Le calme du bar lui permit de saisir quelques bribes de conversations et particulièrement qu’ils l’appelaient tous « mon père ». Mais à quoi ça pouvait bien rimer ? Et lui, il répondait toujours par « mon fils » ou « ma fille ». Était-ce une de ces plaisanteries dont les jeunes raffolent ? Non, ça n’en avait pas l’air. Ils le traitaient avec un respect qui confinait à l’idolâtrie au regard d’Anton. Pourtant, l’homme qu’il voyait n’avait rien d’admirable à ses yeux. Pas plus que la moyenne en tout cas. Pourquoi tant d’attention pour un simple être humain alors ? Surtout venant de jeunes de son âge. Il savait que même à son âge, un adolescent ne respecte rien ni personne et ne pense qu’à sauter tout ce qui porte une jupe. Décidément, cet humain était vraiment intéressant même si ce n’était plus de la façon d’origine. Qu’est-ce qui pouvait bien pousser ces jeunes humains à respecter un autre homme à ce point ?
Puis la situation bascula brusquement. Un simple courrant d’air se prenant dans la serviette de table sur laquelle reposait sa bière se transforma subitement en une bourrasque suffisamment puissante pour renverser la bouteille. *Impossible !* Avant que l’interne de l’Institut Charles-Xavier n’ai le temps de réagir, la bouteille tomba, déversant le liquide sur son T-shirt. Avant que toute la bière ne soit perdue, il redressa la bouteille. Son T-shirt était définitivement tâché et il ne subsistait plus qu’un quart de la bière. Quel dommage. Mais qui avait bien pu faire ça ? Un simple courrant d’air ne pouvait pas renverser une bouteille en verre remplie, surtout dans une pièce plus ou moins fermée. Ses pouvoirs ne se retournaient jamais contre lui, jamais. Il y avait un autre mutant dans le bar, c’était certain. Si c’était une plaisanterie, Anton ne la goûtait pas du tout. Il n’était pas vraiment du genre à se laisser emporter surtout pour un T-shirt tâché et une bière gâchée, même une bière aussi exquise que celle que ce bar proposait, mais la personne aurait au moins pu venir devant lui et lui jeter franchement sa bière à la figure histoire de faire preuve d’un peu de courage. Quelle lâcheté !
C’est alors que ce curieux homme qu’Anton observait avant le cataclysme de la bière fondit sur lui tel le rapace qui pique sur sa proie et commencer à éponger la bière déversée à l’aide d’une serviette en affichant un air affligé. Mais pourquoi faisait-il cela ? Comment avait-il fait pour remarquer que la bouteille du jeune mutant avait basculé ? "Mon fils, dans quel état te voilà ... la bière sur les habits ça ne pardonne pas, j'espère que vous n'habitez pas loin ..."
Il l’avait appelé « mon fils ». Ce n’était donc pas une plaisanterie entre lui et les jeunes qui jouaient au poker. La croix en or attira l’attention d’Anton. Tout lui revint subitement en mémoire. Les pasteurs nomment toujours les gens « mon fils » ou « ma fille ». Il ne l’avait pas compris de suite parce qu’en fait, il n’avait jamais ne serait-ce que mis les pieds ans une église. Ses parents n’étant pas croyants, il ne l’avaient pas baptisé et ne l’avaient pas non plus éduqué sur les religions. De plus, dans les différentes écoles où il avait été, il n’avait jamais été inscrit au cours d’éducation religieuse. A quoi bon si on est même pas baptisé ? Ça expliquait le respect que ses jeunes lui avaient manifesté. Ça expliquait aussi pourquoi il venait l’aider à essuyer la bière. En revanche, il ne savait toujours pas comment il avait fait pour voir la bière tomber. Il n regardait pas dans sa direction, Anton en était sûr et certain. Maintenant qu’il était aussi proche de lui et qu’il l’entendait parler, quelque chose lui disait que cette personne qu’il prenait pour un simple être humain n’en était pas un. Mais il ne pouvait quand même pas lui demander directement. Si l’homme n’était pas un mutant, il serait certainement terrifié par les propos d’Anton t il n’avait pas particulièrement envie de terminer son séjour à New York sur une touche aussi tragique. Le jeune mutant ne voulait pas voir la terreur qu’inspirait son espèce aux humains, ces pauvres être stupides et sans défenses qui se croyaient encore rois du monde. Mais que faire alors s’il ne pouvait pas demander au pasteur s’il était bel et bien un mutant ? Laisser couler ? Oublier ? Non, il n’en était pas capable. Désormais, la curiosité le rongeait. Non il fallait qu’il tire les choses au clair. De plus, si le religieux était bel et bien un mutant, Anton pourrait lui demander de parler de sa vie de mutant en tant qu’adulte. Il avait besoin d’entendre d’autres avis que celui de Charles-Xavier ou les idéaux de Magnéto. Il ne pouvait pas laisser filer une chance pareille. Il opta donc pour une solution intermédiaire. Il répondit à la question que le pasteur n’avait pas vraiment posée: -Je suis interne à l’Institut Charles-Xavier pour enfants surdoués. Je ne sais pas si vous savez où c’est mais ça fait une trotte.
Si ce pasteur était un mutant, il comprendrait automatiquement que lui aussi en était un. En revanche, si ce n’était pas le cas, il croirait tout simplement qu’Anton faisait une prépa normale. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Lun 25 Oct 2010 - 10:40 | |
| Je suis interne à l’Institut Charles-Xavier pour enfants surdoués. Je ne sais pas si vous savez où c’est mais ça fait une trotte.
Je marquais un temps d'arrêt, les jeunes a la table voisine avec qui je discutais fire de même. Le barman quant a lui ne semblait pas avoir entendu. Les jeunes se mirent à lancer des regards noirs au jeune impertinent. En effet, cet établissement avait déjà une réputation de refuge à mutant. Moi, je savais que s'en était un grâce à une petite océanologue qui m'avait demandé de l'amener la bas. C'était quoi déjà son nom ? Jamy ? Jane ? Jenni ? Ah Jennifer ! Voilà s'était sa, Jennifer. Je sentis une légère tension qui n'en restait pas moins palpable. Les jeunes ne jouaient plus et rester fixé sur Anton. Mon dieu qu'est ce que les humains sont jaloux, dés qu'ils pensent que quelqu'un est mutant, ils le rejettent et le voit d'un mauvais oeil. Pourtant le message du Christ était clair non ? Aimez vous les uns les autres. Bon c'est vrai qu'il a pas interdit les préférences, mais quand même ! Toutes les religions s'accordent à dire qu'on est tous différents mais tous égaux. Cela m'étonne de la part des chrétiens de rejeter quelqu'un de différent de soi. Je m'avance vers eux et leur dit
"Pourquoi ces regards mes fils et mes filles ? Ce ne sont que des rumeurs sur ce bâtiment. Et puis même si c'était le cas, il en reste une créature de Dieu, une bénédiction pour la race humaine parmi tous ces frères. Une sorte de test pour savoir si l'être humain est prêt à accepter la différence... Acceptez le comme il est, nous sommes tous égaux autant sur terre qu'aux cieux. Dieu sera le seul juge de nos actes..."
Les jeunes me regardèrent durant quelques secondes, hésitants à faire quelque chose. Puis finalement ils reprirent leur partie de poker sans jeter un regard à Anton. Le pauvre, il devait se sentir mal à l'aise, et moi donc ! Je venais d'évoquer la possibilité qu'il ne soit pas un mutant alors que je savais très bien par le biais de Jennifer que l'institut Xavier était un "repaire" pour mutant. Cela m'intriguait un peu et je fini par lui murmurer à l'oreille. D'une voix calme et mes lévres ne bougeait presque pas, impossible au autre de voir quoi que ce soit
"A l'avenir mon fils, évite d'évoquer cet institut si tu tiens à conserver ton anonymat voir même ta vie suivant l'endroit où tu te trouves. Les mutants n'ont malheureusement pas bonne réputation ici."
Je lui tapotait l'épaule d'un air compatissant. Je retournais au bar, s'il s'agissait d'un mutant, et qu'il était bien dans cet institut, c'est qu'il ne devait pas être une grande menace pour moi. En effet, il n'a pas l'air majeur et généralement les jeunes qui sont à l'institut le sont dans le but d'apprendre leur pouvoir. Le seul risque que je pourrais courir, serait qu'il ne les controle plus pendant un laps de temps. Je récupérais une bière et finalement je vis les jeunes se levé. La plupart allaient en direction de la sortie mais deux d'entre eux se postérent à côté du jeune Anton avec un air patibulaire mais presque (jeu de mot pourri je sais). L'un d'eux prit la parole
"Les mutants ne sont que des déchets de notre civilisation ! Mort aux mutants ! Vous n'êtes tous que des criminels, mon frère est mort par votre faute !"
Il saisit une chaise et tenta de la brisé contre Eole
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| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Lun 25 Oct 2010 - 12:46 | |
| Anton ne s’attendait pas à provoquer une telle réaction en parlant de l’Institut. Un silence de plomb accompagné des regards noirs et dégoûtés que les humains réservent aux mutants s’était installé immédiatement. Seul le barman continuait de vaquer à ses occupations. Les jeunes le regardaient avec une animosité singulière. S’ils ne lui sautaient pas dessus, il s’en faudrait de peu. Il n’aurait jamais cru que le refuge pour jeunes mutants possédait une telle renommée. Quelle ironie. Le professeur faisait tout ce qui était en son pouvoir pour que les mutants et les humains puissent vivre en harmonie et voilà qu’il était visiblement mis dans le même sac que Magnéto et sa Confrérie. Devant les regards assassins des adolescents, il commença de se demander ce qu’il convenait de faire. Prendre la fuite et du même coup avouer sa nature de mutant, rester là à soutenir leur regard d’un air innocent et interrogateur ou tout simplement ne pas leur prêter attention. Avant qu’il n’ait eu le temps de se décider, l’homme de Dieu prit les choses en main et profita de la scène pour donner à ses paroissiens une petite leçon d’évangile. Il s’avança: "Pourquoi ces regards mes fils et mes filles ? Ce ne sont que des rumeurs sur ce bâtiment. Et puis même si c'était le cas, il en reste une créature de Dieu, une bénédiction pour la race humaine parmi tous ces frères. Une sorte de test pour savoir si l'être humain est prêt à accepter la différence... Acceptez le comme il est, nous sommes tous égaux autant sur terre qu'aux cieux. Dieu sera le seul juge de nos actes..."
Face à la conviction du chrétien, ils ne purent masquer leur hésitation quant à l’attitude à suivre. L’un d’entre eux rebattit les cartes et ils se détournèrent du jeune mutant pour reprendre leur partie de poker là où ils l’avaient laissée. Anton était soulagé. Grâce au pasteur, il n’aurait ni besoin de se sauver en courrant, ni besoin de faire appel à ses pouvoirs au beau milieu de New York pour se défendre et sûrement avoir affaire aux forces de polices par la suite. Il lui devait une fière chandelle et à présent, il était presque sûr qu’il était un mutant. Il avait réagi bien trop vite pour ne pas avoir l’habitude de ce genre de situations. Avant qu’Anton n’ai eu le temps de le remercier, son interlocuteur se pencha sur mon oreille et murmura à voix très basse ce conseil: "A l'avenir mon fils, évite d'évoquer cet institut si tu tiens à conserver ton anonymat voir même ta vie suivant l'endroit où tu te trouves. Les mutants n'ont malheureusement pas bonne réputation ici."
C’était on ne peu plus clair. Désormais, le jeune maître du vent était sûr et certain qu’il était un mutant. Il se rendait compte maintenant de la chance qu’il avait eu. Si l’homme n’avait pas été un mutant, la bande de jeunes s’en serait certainement prise à lui. Le mutant qui lui faisait face n’en aurait sûrement pas fait autant étant un homme de Dieu jusqu’au bout des doigts mais il n’aurait pas empêché les adolescents de l’attaquer. Quelle chance ! Le pasteur avait raison, il avait tout intérêt à faire un peu plus attention à ses propos à l’avenir. Ici, les mutants n’étaient pas craints comme ils l’étaient dans les banlieues, bien au contraire. Ils étaient simplement haïs. Dans les banlieues, si un mutant était découvert, il était si craint que plus personne n’osait rester sur son chemin et il était immédiatement isolé du reste de la communauté. Parfois, des loubards bien armés s’en prenaient au mutant et l’issu de l’affrontement dépendait de ses pouvoirs ou alors des règlements de compte survenaient entres mutants. Mais jamais une bande de jeunes du même genre que celle à laquelle Anton avait affaire n’oserait s’en prendre à lui. Signe qu’il avait compris ce que son aîné lui avait dit, Anton hocha subrepticement la tête. Le message était passé cinq sur cinq, c’était le moins que l’on puisse dire. Le religieux tapota l’épaule d’Anton et s’en fut vers le bar et commanda une bière. C’est alors que les adolescents se levèrent, sortant tous à l’exception de deux qui se postèrent devant Éole avec un air mauvais. L’un des deux cracha d’un air hargneux avec toute la haine du monde: "Les mutants ne sont que des déchets de notre civilisation ! Mort aux mutants ! Vous n'êtes tous que des criminels, mon frère est mort par votre faute !"
Puis il se saisit d’une chaise et amorça un geste pour la fracasser sur le visage d’Anton. Mais Anton qui s’était préparé à une action de ce genre par simple précaution, fut bien trop rapide pour lui. Il bloqua d’une main la chaise avant qu’elle ne soit lancée assez fort pour qu’il soit contraint d’utiliser ses pouvoirs puis se positionna épaule contre épaule avec son adversaire tenant toujours fermement la chaise, plaça son autre main sur la chaise et d’un geste circulaire partant du côté de l’être humain à son propre côté et pivota d’un quart de tour sur lui-même. Se faisant, le pauvre gars fut projeté à plat ventre et tomba lourdement sur le sol, deux mètres plus loin. Son acolyte qui n’avait pas compris ce qui s’était passé pris un violent coup de coude dans le plexus solaire et s’écroula par terre, plié en deux par la douleur. Le premier, qui se reprenait déjà ses esprits se fit relever brutalement par Anton qui lui dit, furieux: -Je ne suis pas un mutant. Je ne sais pas si nous parlons de la même école mais je peux te garantir que je n’y ai jamais vu le moindre mutant alors laisse-moi tranquille.
Puis il le relâcha et sortit du bar d’un pas décidé non sans un regard à l’adresse du pasteur. Le barman effaré, cherchait à tâtons le téléphone de service. Les humains n’étaient pas blessés, c’était sûrement la police qu’il avait l’intention d’appeler. Anton attendit néanmoins le religieux à côté. Il avait confiance dans les capacités de médiation de ce dernier et était toujours fermement décidé à parler de la vie de mutant de l’homme. Peut-être que s’il réussissait à convaincre le barman de ne pas appeler la police et de l’absence de dangerosité du jeune maître des vents, ils pourraient y discuter. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Lun 25 Oct 2010 - 13:22 | |
| -Je ne suis pas un mutant. Je ne sais pas si nous parlons de la même école mais je peux te garantir que je n’y ai jamais vu le moindre mutant alors laisse-moi tranquille.
Quel habilité, il savait ce défendre sans ses pouvoirs, c'était une bonne chose. Je lachais donc ma serviette. En cas de pépin je l'aurai fait atterir sur le visage de l'un d'eux et j'aurai calmé l'autre le temps que son acolyte se débatte de la serviette "collante". Cependant ce petit était plein de ressource, il n'a pas montré son pouvoir s'était déjà sa de gagner. Je m'approchais de celui qui avait donné le coup de chaise et je soupirais. Il était vraiment haineux jusqu'a la moelle. Inutile de dire que dans une situation pareil je ne pouvais m'empécher de les sermoner. Leur disant bien sur que c'était mal ceux qu'ils ont fait, leur faisant la morale. Bon ils entendaient qu'a moitié à cause de la douleur mais bon, c'était déjà mieux que de laisser couler. Je vis le barman tatonait pour trouver le téléphone. Je m'approchais doucement et lui retira le téléphone des mains. Un simple regard lui fit reculer la main. Il était très croyant et sa je dois avouer que c'était plutot en la faveur de ce jeune mutant. Il m'écoutera et cela lui évitera d'être poursuivit par les flics, surtout qu'il semble nouveau.
"Laisse moi faire, il est en légitime défense de toute façon. Mon fils, laisse moi m'occupé de ce jeune..."
Il me regarda sceptique avant d'acquiescer et de raccrocher. Il avait l'air choqué un peu et je laissais 20 $ pour les dommages plus 10$ en pourboire. Finalement cette soirée la n'allait pas être si monotone ! Oh oui, je sens même qu'elle ne fait que commencer. Voyons voir si ce jeune là est assez farouche pour porter son fardeau. Oui chaque mutant posséde un droit plus important que les autres sur la vie des autres, un simple mutant peut en tuer plusieurs. J'avais rencontré deux personnes, un dénommé Vortex et Caitlyn. Ils ne possédaient pas de pouvoir très puissant, mais leur utilisation était redoutable. Comme quoi, c'est pas le pouvoir qui compte mais plutôt comment on s'en sert. En sortant du bar, je le vis, comme s'il m'attendait. Je portais toujours mon étui à guitare sur le dos et je m'approchais doucement de lui. Sans un mot, je le fis venir avec moi dans une ruelle non loin de là, moins fréquenté et plus sur pour discuté calmement sans être interrompu. Après avoir vérifié que personne ne nous avait suivit, je regardais le jeune mutant
"Mon fils, prouve moi que tu es bien un des élus de Dieu, montre moi ton pouvoir ... je veux être sur que je m'adresse à la bonne personne ..."
Certes il avait dit qu'il venait de l'institut Xavier mais c'était peut être un espion. Oui je suis très paranoiaque mais c'est grâce à sa que je suis encore en vie. Je ne le dois qu'a ma prudence, ma foi et aussi à mon sang froid. Je ne suis pas tomber de la dernière pluie non plus. Je ne montre mon pouvoir que lorsque je suis sur que l'autre est dans le même camp que moi. Je ne tiens pas à être fiché par le gouvernement. J'ai déjà horreur de voir une photo de moi placardé dans mon salon alors dans la rue vous imaginez bien le résultat ... |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Mar 26 Oct 2010 - 13:48 | |
| Visiblement, j’avais eu raison de faire confiance à mon camarade d’infortune. En effet, il ne tarda pas à ressortir du bar et se diriger vers lui le visage emprunt d’une douceur surprenante. Cet homme était d’une bonté extraordinaire, Anton en était persuadé, mais on n’en attends pas moins d’un homme de religion. De part sa position dans le monde, il ne pouvait qu’être très influent. En le voyant marcher paisiblement vers lui, le jeune mutant perdit toute la fureur qui quelques minutes plus tôt l’avait submergé et poussé à frapper ses pauvres humains quand il aurait pu simplement esquiver leurs coups jusqu’à ce que le patron appelle la police pour arrêter la bagarre et cette fois, ça n’aurait pas été lui le poursuivi. Quoi qu’il aurait sûrement suffi aux jeunes hommes de dire à la police qu’il était un mutant pour qu’ils l’embarquent même sans certitude de ses pouvoirs. Non, finalement, il n’avait peut-être pas si mal agi. Enfin, pourquoi perdre son temps en imaginant inutilement ce qui aurait pu se passer si on avait fait différemment les choses quand on sait qu’un battement d’aile de travers de papillon en Afrique peut provoquer des ouragans en Indonésie ? Il entraîna Anton dans de petites rues adjacentes et bien moins utilisées et bien famées que celle où se trouvait le bar. Il vérifia minutieusement que personne ne les avait suivis. Il était très prudent, c’était le moins que l’on puisse dire. A présent, il regardait le jeune mutant ou plutôt le scrutait d’un regard perçant et attentif. Puis, il reprit la parole et ordonna d’un ton un peu pressant: "Mon fils, prouve moi que tu es bien un des élus de Dieu, montre moi ton pouvoir ... je veux être sur que je m'adresse à la bonne personne ..."
Pourquoi voulait-il des preuves ? Et s’il n’avait pas été un mutant et ne pouvait lui montrer son pouvoir, que ferait-il ? Sa vertu aurait-t-elle été suffisamment grande pour qu’il le laisse partir ou bien le réduirait-il au silence sans pitié. Et s’il n’était pas un mutant mais au contraire un espion qui n’attendant qu’une démonstration de ses pouvoirs pour essayer de le tuer ou le déclarer ensuite au gouvernement ou à une organisation anti-mutante. Que faire ? Prendre ce risque ou déguerpir immédiatement ? Il n’était pas certain de vouloir faire confiance à l’homme finalement. Quoi que si c’était bel et bien un être humain, en dernier recourt, il pourrait toujours le supprimer. L’idée ne lui plaisait pas spécialement mais après tout, un acteur du conflit humain/mutant en moins ne ferait pas de mal à l’humanité. Il y aurait juste des gros titres sur la trouvaille du cadavre d’un homme sauvagement assassiné et les hypothèses habituelles sur l’origine raciale du meurtrier. Cependant, s’il s’agissait d’un mutant « renégat » , un de ceux qui travaillaient comme espions pour le compte du gouvernement, là Anton serait dans de beaux draps avec sa maîtrise de ses pouvoirs laissant encore à désirer Il se pouvait également que c’était bien un mutant, mais un mutant précautionneux qui avait les même peurs que lui. Il fit donc le choix de prendre le risque de prouver à son interlocuteur qu’il était bien un mutant. Enfin, au moins de quoi lui prouver qu’il était bien un « élu de Dieu ». S’il s’agissait d’un mutant qui n’attendait qu’une démonstration pour le ficher ou essayer de le tuer, il valait mieux jouer la carte de la prudence et se faire passer pour un mutant de puissance moindre. Il fit souffler un vent très puissant dans la petite ruelle, faisant voltiger divers ordures abandonnées là à leur sort. Considérant la démonstration suffisante, il tourna un regard plutôt froid sur l’autre. Ce dernier ne semblait pas plus impressionné que ça, juste satisfait. Anton interrogea: -Et vous, quel est votre pouvoir ?
Puis, vint la question qui lui tenait le plus à cœur, ce pourquoi il avait attendu l’autre. Le but qu’il s’était fixé dès que l’hypothèse que le religieux soit un mutant. La question cruciale pour un mutant. -Quelle est votre idéologie par rapport aux humains ? | |
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Mar 26 Oct 2010 - 14:46 | |
| Je vis quelques boites de conserve voltiger. Ce n'était pas grand chose, et s'il s'agissait d'un mutant qui sait controlé son pouvoir, il peut faire mieux que sa. Mais bon s'il veut jouer à ce jeu, je ne lui ferais pas de cadeau. Inutile de dire que de le voir bouger des choses via le vent, cela me faisait bien marré. Le vent est une puissance, et moi je dévie cette puissance grâce à mon pouvoir. Je n'avais en somme rien à craindre de ce jeune homme. Mais bon s'il dissimulait ces pouvoirs, peut être en possédait il un autre ? Je restait sur mes gardes mais j'étais tout de même un peu plus rassuré qu'au début de la conversation. Ce n'était pas un de ces enfoirés du gouvernement qui ne voyait dans les mutants qu'une simple menace, une espèce qui peut nuire à l'humanité. Au contraire, nos pouvoirs c'est pour justement faire une justice. Ce don de dieu, cet preuve de l'existence de Dieu est irréfutable. Dieu est le premier à m'avoir accepter tel que j'étais, il est le seul pour qui je dévouerais ma vie entière. Bien que certain déforme sa parole, je suis sur à 100 % que le vrai message de la bible et mon interprétation ne font qu'un. Il est de mon devoir de guider les fidèles de Dieu vers le salut commun. Il n'y a qu'un seul sauveur suprême, le Dieu ! La trinité ! Le pére, le fils et le saint esprit ! Bon je m'égare encore une fois. Surtout que le jeunot commence un interrogatoire.
-Et vous, quel est votre pouvoir ?
Il était bien curieux, il avait bien comprit que je n'étais pas un prêtre comme les autres. Je regardais une boite de conserve ayant roulé à cause du vent et je la fis s'élevé, toujours en mouvement et je la fis tourner autour de la tête du jeune homme. Je ne montrerais que ce pouvoir là, il était inutile de montrer le deuxiéme, et puis sa me donnera un avantage si cette discussion tombe mal et qu'il faille en venir au poingt. Enfin au poingt est un bien grand mot. Je pense que sa se réglera a coup de parpaing qui volent et tout ce qui va avec. Comme quoi, nos deux pouvoirs sont complémentaire. Le vent met l'objet en mouvement, et moi j'en fais ce que je veux. Finalement c'était peut être une bonne chose qu'on se soit rencontré, peut être une intervention divine ? Ô Dieu, tu m'envoies un agneau égaré, je m'en vais le guider vers la céleste lumière. Oh euh oui, il faut d'abord que je vérifie qu'il ne soit pas un menteur. Je m'éclaircit la voix avant d'ajouté
"Je t'ai montré mon pouvoir, toi tu t'es retenu mon fils, jusqu'à quel niveau tu peux aller ?"
Question cruciale en effet, suivant sa puissance, je ne le considérerais pas de la même manière. Pour le moment je n'ai pas eu la chance de croisé quelqu'un possédant des pouvoirs vraiment terrifiant mais il est vrai que certain sont puissant. Faisait il parti de ce groupe de mutant qui est ce qu'on peut appeler la team bisounours. Je ne les aimait pas particulièrement, déjà qu'il parle d'égalité entre homme et mutant sa m'énerve ! Il est pas foutu de comprendre qu'on est supérieur ? Oh le jeunot veut reparler ?
-Quelle est votre idéologie par rapport aux humains ?
Hmm cette question là, je sens qu'il y a un piége dedans. Il veut savoir si je suis plus de l'avis d'un mec à fauteuil roulant ou alors d'un vieux terroriste casqué. La réponse est pourtant simple: ni l'un ni l'autre. Mais cette réponse ne lui suffira pas donc je vais un peu plus argumenté ma théorie
"Ah cette question on me la pose que trop souvent. Je ne suis pas de l'avis du Professeur Xavier car je ne pense pas qu'on soit égaux, c'est pour cela que l'on a nos pouvoirs. Mais d'un autre côté, je ne pense pas que éradiquer la race humaine soit une bonne idée, les humains tout comme nous sont des créatures de Dieu. Après il est vrai que nous avons un devoir sur la race humaine, nous devons les mener vers la lumiére, vers le paradis. Nous devons punir les infidèles tel est notre devoir. Je sais que sa peut sembler un peu extréme comme solution, surtout pour un jeune adulte mais tu as toi même vu ,mon fils, ce qui s'est passé lorsque tu as avoué d'où tu venais. Les humains ne doivent pas nous reconnaitre, on doit oeuvrer dans l'ombre. L'être humain n'est pas encore prêt pour subir une illumination. Nous sommes les représentants de Dieux sur terre. Des milliers de Messi ! Une horde de Missionaire. Seulement certain ne pense pas comme nous. Et toi Mon fils , Quel est ton avis sur les humains ? et s'il te plait, cesse de me vouvoyez. Tu ne vouvoierais pas ton frère ou tes parents non ?"
Je souriais de ma petite anecdote de fin. J'avais dit tout cela avec une neutralité impeccable. L'homme et les mutants c'est pas tout à fait une histoire d'amour... Je m'adossais à un mur pour écouter ces réponses. |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Mar 26 Oct 2010 - 19:51 | |
| Le pasteur n’avait pas été dupe, ça se voyait. Son expression que j’avais prise pour de la satisfaction tenait en fait plus de celle du rire goguenard que de la satisfaction. Anton avait été idiot de se croire capable de tromper un adulte. Ces êtres étranges et trop sérieux ne font pas que brasser de l’air et se croire supérieurs aux enfants finalement… Le mutant fit néanmoins une démonstration de son pouvoir malgré la tromperie de son jeune interlocuteur. Il fit s’élever dans les airs une boîte de conserve que les vents d’Anton avaient soulevée et la fit tourner autour de la tête de ce dernier. Intéressant, très intéressant même. Ce devait être un télépathe, comme Jean Grey ou il avait un pouvoir approchant. Ce pouvoir devait être vraiment très pratique. En tout cas, il ne souffrait aucune limite si son pouvoir était bel et bien similaire à celui du professeur Grey. Ça devait être cool de posséder un tel pouvoir. Anton l’enviait presque. Le prêtre s’éclaircit la voix, comme pour capter de nouveau son attention et dit, sans se départir de son calme: "Je t'ai montré mon pouvoir, toi tu t'es retenu mon fils, jusqu'à quel niveau tu peux aller ?"
En plus d’avoir découvert la supercherie il n’était pas satisfait ? Comme si lui n’avait pas caché des trucs. Pis à la limite, Anton lui avait apporté la preuve qu’il était un mutant, c’était ce qu’il lui avait demandé. * Il ne m’a pas dit : « Vas-y Anton, déchaîne tout tes pouvoirs ! » C’est carrément de la triche là! Il ne va pas quand même pas dire que malgré mon jeune âge, il me considère encore comme un danger potentiel ?! Ah les vieux j’vous jure par moment ils abusent trop! S’il voulait un compte rendu de mes pouvoirs, il aurait du me le dire plus tôt! Quoi que nan, s’il l’avait fait je me serais sauvé en courrant.* En désespoir de cause, ne pouvant pas le lui montrer avec l’espace restreint qu’offrait la ruelle et les habitants qui seraient alertés à coup sûr par le bruit qu’il ferait, Anton décida d’expliquer avec un luxe de détails qu’il n’aurait certainement pas donné quelques instants plus tôt l’étendue de ses pouvoirs. Il dit donc de mauvaise grâce -Pour faire simple, je peux manipuler l’air autour de nous. Je peux générer du vent, comme je viens de le montrer mais je vous rassure ce n’est pas la moitié de la puissance que je peux donner. Je suis capable de contrôler la pression de l’air, ce qui veut dire que je peux créer le vide dans un espace ouvert ou augmenter la pression au point de me fabriquer un bouclier capable de repousser la plupart des attaques bénignes. Je peux aussi projeter des masses d’air ainsi compressé afin de donner de violents coups. Et enfin, je peux créer des lames d’air capables de trancher le bois au maximum. Mais je ne contrôle pas bien cet aspect de ma mutation. Et puis y a aussi quelques autres possibilités que mon pouvoir m’offre mais qui n’ont pas d’utilités donc je ne les citerai pas. *Jouons aux faux culs ça peut-être utile* Excusez-moi, j’aurais du être plus franc avec vous et tout vous dire. Vous comprendrez cependant que je ne montre pas ce dont je viens de vous parler. Ça ferait beaucoup trop de bruit…
Le jeune maître de l’air questionna ensuite le curé sur son idéologie par rapport aux humains. Visiblement, il accueillit la question avec une certaine méfiance. Pourtant, il n’y avait pas de piège dans cette question… Y a pas photos, les adultes sont les choses le plus bizarres et insensées au monde ! Pourquoi fallait-il qu’un jour, l’expérience de la vie amène le jeune porteur du gène X à un tel état de désagrégement psychologique ? La vie est vraiment trop injuste. En fait, la sénilité commençait sûrement après la vingtaine ou la trentaine pour les cas les plus chanceux et se terminait par une dépendance totale des adultes (comme les enfants) et l’idiotie des adultes. Quelle tristesse… L’homme de Dieu répondit malgré sa sénilité approchante: "Ah, cette question on me la pose que trop souvent. Je ne suis pas de l'avis du Professeur Xavier car je ne pense pas qu'on soit égaux, c'est pour cela que l'on a nos pouvoirs. Mais d'un autre côté, je ne pense pas que éradiquer la race humaine soit une bonne idée, les humains tout comme nous sont des créatures de Dieu. Après il est vrai que nous avons un devoir sur la race humaine, nous devons les mener vers la lumière, vers le paradis. Nous devons punir les infidèles tel est notre devoir. Je sais que sa peut sembler un peu extrême comme solution, surtout pour un jeune adulte mais tu as toi même vu ,mon fils, ce qui s'est passé lorsque tu as avoué d'où tu venais. Les humains ne doivent pas nous reconnaître, on doit oeuvrer dans l'ombre. L'être humain n'est pas encore prêt pour subir une illumination. Nous sommes les représentants de Dieux sur terre. Des milliers de Messi ! Une horde de Missionnaire. Seulement certain ne pense pas comme nous. Et toi Mon fils , Quel est ton avis sur les humains ? et s'il te plait, cesse de me vouvoyez. Tu ne vouvoierais pas ton frère ou tes parents non ?"
Il avait répondu très convenablement, pour quelqu’un qui sera sénile d’ici très peu de temps. Peut-être que les mutants échappent à ce funeste destin qui sait ? Anton avait entendu dire que souvent, les mutants vieillissent plus lentement que les êtres humains, ainsi Magnéto aurait quatre-vingt dix ans mais n’en ferait que cinquante d’après certains dires et le professeur Xavier quant à lui ne serait guère plus jeune mais ne faisait vraiment pas très vieux lui non plus. Peut-être que l’esprit suivait le même parcours que le corps, en tout cas, le professeur n’avait pas l’air d’un vieux fou de grabataire comme on en voit souvent à la tête du gouvernement. Quoi qu’il en était, Anton trouvait l’idée que le prêtre se faisait du monde particulièrement intéressante. Elle était plus proche de sa propre idée que l’était celle du professeur en tout cas et l’idée que les mutants soient des sortes de guides pour l’humanité lui plaisait bien qu’il vit des lacunes dans cette idéologie. A la demande du prêtre, il prit la parole: - Je pense un peu comme toi. Je crois vraiment que nous sommes supérieurs aux humains mais de là à vouloir éradiquer cette espèce… Par contre, étant athée et ayant un esprit très rationnel, je ne pense que cette supériorité soit de nature divine. Non, je pense juste que nous sommes la nouvelle étape de l’évolution. Le chemin de fer qui mènera à de nouvelles espèces. Les humains sont pour nous ce que les chimpanzés sont pour eux. Nous leur sommes supérieurs d’un point de vue évolutif. Mais d’un autre côté, nous avons conservé les défauts de leur esprit même si nous présentons de très grandes améliorations physiques sur eux. Après, peut-être qu’un jour, je découvrirais que je me suis trompé et que Dieu existe bel et bien, auquel cas je me convertirai et vous suivrai certainement dans vos idées et t’aiderai de mon mieux ou peut-être même apprendrai-je qu’en fait, nous ne sommes qu’une déviation de l’évolution qui mènera à une impasse faite pour permettre aux humains d’avancer pleinement dans leur évolution, en contrepartie du fait que les hommes de Neandertal, après s’être reproduits avec les Homo Sapiens les ont tirés vers le fond de l’évolution en provoquant des anomalies génétiques et la base de maladies psychiques telles que la schizophrénie. Mais pour l’heure, je considère que notre supériorité ne nous donne aucun droit sur cette espèce en perdition qu’est la race humaine. Le seul choix auquel nous devons faire face actuellement, à mon avis, est utilisé nos pouvoirs pour faire bouger les choses -du côté de Magnéto ou de celui du professeur Xavier- ou bien laisser vivre en paix cette race qui finira sous-développée en comparaison de nous. Excuse-moi pour le vouvoiement, je suis tellement habitué à dire « vous » aux adultes que c’est devenu un automatisme. | |
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Mar 26 Oct 2010 - 22:09 | |
| -Pour faire simple, je peux manipuler l’air autour de nous. Je peux générer du vent, comme je viens de le montrer mais je vous rassure ce n’est pas la moitié de la puissance que je peux donner. Je suis capable de contrôler la pression de l’air, ce qui veut dire que je peux créer le vide dans un espace ouvert ou augmenter la pression au point de me fabriquer un bouclier capable de repousser la plupart des attaques bénignes. Je peux aussi projeter des masses d’air ainsi compressé afin de donner de violents coups. Et enfin, je peux créer des lames d’air capables de trancher le bois au maximum. Mais je ne contrôle pas bien cet aspect de ma mutation. Et puis y a aussi quelques autres possibilités que mon pouvoir m’offre mais qui n’ont pas d’utilités donc je ne les citerai pas. Excusez-moi, j’aurais du être plus franc avec vous et tout vous dire. Vous comprendrez cependant que je ne montre pas ce dont je viens de vous parler. Ça ferait beaucoup trop de bruit…
- Je pense un peu comme toi. Je crois vraiment que nous sommes supérieurs aux humains mais de là à vouloir éradiquer cette espèce… Par contre, étant athée et ayant un esprit très rationnel, je ne pense que cette supériorité soit de nature divine. Non, je pense juste que nous sommes la nouvelle étape de l’évolution. Le chemin de fer qui mènera à de nouvelles espèces. Les humains sont pour nous ce que les chimpanzés sont pour eux. Nous leur sommes supérieurs d’un point de vue évolutif. Mais d’un autre côté, nous avons conservé les défauts de leur esprit même si nous présentons de très grandes améliorations physiques sur eux. Après, peut-être qu’un jour, je découvrirais que je me suis trompé et que Dieu existe bel et bien, auquel cas je me convertirai et vous suivrai certainement dans vos idées et t’aiderai de mon mieux ou peut-être même apprendrai-je qu’en fait, nous ne sommes qu’une déviation de l’évolution qui mènera à une impasse faite pour permettre aux humains d’avancer pleinement dans leur évolution, en contrepartie du fait que les hommes de Neandertal, après s’être reproduits avec les Homo Sapiens les ont tirés vers le fond de l’évolution en provoquant des anomalies génétiques et la base de maladies psychiques telles que la schizophrénie. Mais pour l’heure, je considère que notre supériorité ne nous donne aucun droit sur cette espèce en perdition qu’est la race humaine. Le seul choix auquel nous devons faire face actuellement, à mon avis, est utilisé nos pouvoirs pour faire bouger les choses -du côté de Magnéto ou de celui du professeur Xavier- ou bien laisser vivre en paix cette race qui finira sous-développée en comparaison de nous. Excuse-moi pour le vouvoiement, je suis tellement habitué à dire « vous » aux adultes que c’est devenu un automatisme.Il était très bavard ce pèquenaud et tant mieux, il parle plus que tout à l'heure, j'ai même l'impression qu'il n'y a pas de point dans son discours. Il doit être en confiance, sa vision du monde est particulièrement intelligente mais n'ai strictement que scientifique et n'a aucune vocation divine. C'est déplorable, il veut en plus une preuve de Dieu ? Non mais il est malade ce pec, comme s'il croyait qu'un Dieu allait venir en personne pour un simple humain. La seule chose de divine qu'il pourra voir durant son agonie sera l'ange Gabriel qui de ses ailes viendra le recouvrir avant de transporter son âme jusqu'au purgatoire où il sera jugé pour ses fautes. Il semble avoir comprit ce qu'est la vie c'est déjà sa... cependant, de par ma vocation religieuse je ne peux adhéré au méandre de sa pensée qui est pour le moins scientifique. Je ne pense pas qu'il soit une menace maintenant que je le connais mieux. Je relâchais donc ma vigilance avant de dire "Ne t'en fais pas sa va venir, dit toi au pire qu'on a que quelques années de différences mon fils. Peut être est ce cette appellation qui te perturbe ?"Je lui souris amicalement avant d'entendre quelqu'un derrière moi. Un homme assez grand, de peau mat, tatoué d'un peu partout et avec un visage très sombre (dans le sens méchant pas de jeu de mot avec sa couleur de peau). Il a le portrait type du taulard, un mec a qui on a pas envie de demandé quoi que ce soit. Il regardait en direction d'Anton en le pointant du doigt, un grand sourire sur son visage. Mais ce n'était pas un sourire amicale ou quoi que ce soit, c'était le plus effrayant des sourires. Un sourire qui faisait peur, non pas par l'allure mais plutot à cause de ces chicos qui partait en couille. - Spoiler:
"Enfoiré, c'est toi qui a tabassé mon frère ? Je vais te faire payer ! Je vais te montrer qu'on s'en prend pas à mon hermano comme sa !"Deux mecs de plus arrivèrent, muni tout deux d'un flingue et d'un silencieux pour pas attiré l'attention. Les deux mecs me mirent en joue et me sommèrent de ne pas bouger sinon j'allais me prendre une bastos entre les deux yeux. Le grand black arrivait vers Anton, celui la serait plus dur à battre au corps à corps que les deux petits du bar. Bon moi, je n'aimait pas trop qu'on me pointe d'un flingue. Je bougeais pour me mettre face à eux et je dis tout simplement d'un ton neutre. Ma voix pouvait sembler nonchalante. Je disais sa d'assez vive voix, pour que Dieu soit témoin du meurtre que je fais en son nom "Je ne peux pas vous laisser vivre, vous n'êtes que l'héritage de Caïn, jamais je ne laisserais des démons comme vous détruire mes projets pour créer un monde parfait en harmonie. Vous n'en semblez pas capable..."L'un d'eux assez croyant hésita mais en croisant le regard de l'autre, il se ragaillardit. Ils tirèrent tout deux, je dévia la trajectoire pour que la balle de l'un tue son ami. Au moins comme sa, on pourrait croire à un règlement de compte qui a mal tourné. Je regardais maintenant le combat. Le black était trop captivé par le combat pour jetait un œil à ses collègues. Je m'assis sur une benne à ordure et regardait le jeunot se demerdait avec son fardeau. |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Dim 31 Oct 2010 - 21:21 | |
| Loin de sembler impressionné par les idéaux du jeune mutant, il avait plutôt l’air déçu, presque méprisant. Il ne devait pas apprécier les gens qui ne croyaient pas en Dieu, ce devait être ça. Le pauvre, il n’était pas au bout de ses peines avec le nombre croissant e non-croyants. Un jour viendra où les ordinateurs remplaceront Dieu dans les cœurs des Hommes. Ce pauvre homme était un peu comme ceux qui se vêtissent d’habits démodés depuis quinze ans. Il n’était plus au goût du jour, dépassé par les événements. Bref, quoi qu’il en soit, il n’avait pas vraiment l’air content des idées de son jeune interlocuteur. Il avait également l’air d’avoir relâché une certaine tension. Commençait-il à se sentir en sécurité auprès du jeune mutant ou bien commençait-il à penser que son pouvoir était supérieur au sien et qu’il ne représentait aucun danger ? Il dit, parlant sans doute du vouvoiement avec une amabilité si hypocrite qu’Anton la flaira dès qu’il ouvrit la bouche: "Ne t'en fais pas sa va venir, dit toi au pire qu'on a que quelques années de différences mon fils. Peut être est ce cette appellation qui te perturbe ?"
Si tout les autres mutants possédaient une langue de serpent aussi bien pendue que cet homme, alors il préférait mieux aller vivre chez les humains. Mais Anton n’eut pas vraiment le loisir de réfléchir à cette possibilité car un type d’une laideur si atroce que dès qu’il le vit, Anton crut qu’il allait vomir. Non mais, avoir une tête pareille, ça devait être puni par la loi. En plus, il y avait deux autres pas beaux juste derrières qui arboraient avec un air rogue un revolver. Le premier des grands moches pointait son gros doigt noir et sale vers le jeune homme avec un sourire cruel et un regard de taré. En plus, il louchait et il lui manquait la moitié de ses dents, et puis le blanc de ses yeux était jaunâtre, et il puait, il était horriblement sale. L’horrible bonhomme s’exclama d’un ton rustre: "Enfoiré, c'est toi qui a tabassé mon frère ? Je vais te faire payer ! Je vais te montrer qu'on s'en prend pas à mon hermano comme sa !"
Anton frissonna, non pas de peur mais plutôt de dégoût. Comment cet espèce de gorille crasseux pouvait-il envisager de poser les pattes sur lui ? C’était ignoble. Alors que le cradopoulos s’avançait à grands pas vers le jeune porteur du gène X, les deux autres prévenaient le curé que s’il remuait ne serait-ce que le petit doigt, ils lui trouaient la peau. Ce dernier, ne semblant pas voir tout cela du même œil, se tourna vers eux et s’exclama d’un ton négligeant et pompeux: "Je ne peux pas vous laisser vivre, vous n'êtes que l'héritage de Caïn, jamais je ne laisserais des démons comme vous détruire mes projets pour créer un monde parfait en harmonie. Vous n'en semblez pas capable..."
Puis ils tirèrent mais la trajectoire des deux balles se modifia si bien qu’elles touchèrent chacune le compère du tireur. Finalement, ce mutant ne possédait pas des pouvoirs si négligeables que ça… Anton devrait se montrer moins présomptueux envers ses aînés à l’avenir et il en retenait la leçon.
Mais, Anton, lui, avait toujours son adversaire et le religieux assassin ne semblait pas décidé le moins du monde à venir en aide au pauvre jeune mutant que son pourri avait aculé contre un mur. Jamais le jeune garçon n’avait vu une haleine aussi exécrable, même dans la banlieue d’où il venait où il y avait pourtant de vraies débris d’épaves. Retenant sa respiration, il se faufila dans le dos de son adversaire avant qu’il n’ai le temps de lui écraser le crâne de son poing -et de l’asphyxier avec son odeur. Se doutant que discuter ne servirait à rien, il décida de faire usage de ses pouvoirs et de l’assommer ou le mettre hors d’état de nuire d’une manière ou d’une autre. Il n’envisagea cependant pas une seule seconde l’option qui constituait à la tuerie. S’il pouvait l’éviter, autant ne pas avoir sur la conscience la mort d’un babouin pareil. Il ne méritait pas de rester sur la conscience d’un être comme Anton… Il se constitua donc rapidement une barrière d’air puis projeta de toutes ses forces de l’air qu’il avait compressé en visant le haut du dos et le bas de la nuque. Cet humain -oui sous les couches de crasse, il devait quand même s’agir d’un humain- était très résistant. Bien que le choc émis un craquement pour le moins sinistre, il parvint à se relever et fou de rage, il tituba dans sa direction et tenta de lui donner un violent coup du jambon qui lui servait de poing. Le bouclier étant toujours présent, il se fit plus mal au poing qu’autre chose. En guise de réponse, Anton renvoya de l’air compressé en plein dans le menton cette fois et en montant à la verticale. Son coup du être bien plus puissant qu’il ne l’avait escompté car il renvoya le crâne de son adversaire si violemment que la nuque du se briser et la mâchoire était en morceau. Le pouilleux sembla mettre une éternité à s’écrouler à terre. En voyant sa figure ensanglantée, son regard hagard et l’angle étrange que formait son cou, il comprit qu’il l’avait tué. Merde ! Lui qui s’était promis de ne faire que le mettre hors d’état de nuire… Et puis, quand les gens découvriraient le cadavre, il comprendraient immédiatement qu’il s’agissait de l’œuvre d’un mutant. Qui donc pouvait fracasser une mâchoire de la sorte tout en brisant la nuque à part un mutant. A moins d’utiliser une masse ou de posséder une force extraordinaire, aucun être humain ne serait capable d‘infliger de tels dégâts... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Lun 1 Nov 2010 - 12:50 | |
| Et ben, ce gosse ne semblait pas être si faiblard que sa il faut croire. Il avait même beaucoup de potentiel ! Par contre au niveau de la retenue c'était pas tout à fait sa, il avait tué le mec. A sa mine terrorisé, on n'aurait deviné qu'il l'avait pas fait exprès. Uhuhuhuh, rien qu'a voir sa tête cela me faisait plaisir. Il avait la tête d'un mec à qui on avait promis la peine de mort. Ne savait il pas qu'il avait fait le bon choix ? Non parce que utilisait des pouvoirs pour vaincre une immondité pareille je vois pas où est le problème. De plus, s'il ne l'avait pas achevé, c'est moi qui l'aurait fait. Je ne peux pas me permettre d'être fiché comme mutant. Surtout pas à cause d'une erreur pareille, tant de sotise dans un seul corps. Il ne se sentait mal et je décidais donc qu'il était temps pour moi d'intervenir. On était tous les deux dans la même galère maintenant. Je décidais de laisser les deux macaques, qui m'avaient tiré dessus, sur place. La balistique démontrerais qu'ils se sont entretué certainement. Ensuite, que faire ? Bon déjà fallait enterré le corps, voir mieux ! Comme quoi, être prêtre offre quelques avantages. Je tirais de la poubelle des sac poubelle que je vidais de leur contenu pour pouvoir entouré le corps. Je regardais le petit et finalement lui fis un sourire sympathique "T'inquiéte pas, tu as bien fait, si ce n'avait pas été toi qui l'aurai tué cela aurait était moi. Il ne méritait pas de vivre. Tiens donnes moi un coup de main, on va planquer le corps dans le coffre de ma voiture. Après j'irai le jetter dans un incinérateur, les cendres ne pourront pas dire s'il est mort de la main d'un mutant ou d'une mort naturelle. Tu es plus intéraissant que tu ne le laisses paraitre !"Je lui faisait un sourire rassurant avant de le prendre par dessous pour le trainer, aider par le jeune Anton (si tu veux pas m'aidé, poste après j'éditerais). Je portais cela comme si c'était naturelle. C'était pas le premier que j'aidais, après tout il y a une forme de générosité dans l'Eglise . J'ouvrais le coffre et de là, je voyais un agent de police arrivait. Il me souriait un peu géné en me saluant briévement. "Bonjour mon père, que faites vous là ?"
"Je me débarasse d'un vieil arbre que je vais renouvellé dans l'Eglise, ces racines ont considérablement affaibli la structure de l'Eglise et sa serait désastreux si la voute de l'Eglise venait à s'effondré durant la messe. Cet enfant de choeur s'est proposé pour m'aidé à amené cet arbre à la déchetterie !"
"Il semble bizarre votre arbre, vous êtes sur qu'il s'agit d'un arbre ?"
"Vous mettez en doute ma parole ? La parole d'un homme d'Eglise ? Un homme qui a juré de toujours dire la vérité et de défendre ses paroissiens ?"
"Euh non... bonne fin de journée mon père"Je le remerciait d'un signe de tête et avec l'aide d'Anton je le mettais dans le coffre. Il n'y avait pas de quoi faire un drame à cela. Je refermais le coffre et regardait Anton, le pauvre, cet histoire allait certainement le hanté toute sa vie. Oui, sa fait toujours quelque chose la première fois que l'on tue quelqu'un. Autant de sang froid que par légitime défense. |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Sam 6 Nov 2010 - 16:26 | |
| Anton regardait le cadavre avec horreur. Ce n’était pas la première fois qu’il utilisait ses pouvoirs pour se défendre, mais là, il n’avait pas su doser sa puissance et avait carrément tué son assaillant. Il n’y avait pas d’acte plus abject que tuer à part violer à ses yeux. Ce type était une ordure de la pire espèce, c’est vrai, mais en quoi avait-il le droit de vie ou de mort sur les humains ? Les humains n’étaient pas du bétail duquel on pouvait disposer à notre guise. Il avait tué ce salopard comme les humains saignaient un porc. Le jeune mutant avait commis un acte infâme, et même si l’être qu’il avait détruit était lui aussi infâme, son acte. Il n’avait pas à quitter des yeux ce corps tordu, d’où s’écoulait doucement du sang par cette bouche plus répugnante encore que de son vivant. Et puis ces yeux qui donnaient l’impression qu’ils allaient sortir de leur orbite et étaient devenus en grande partie rouges à cause des vaisseaux sanguins qui avaient explosés à cause de la douleur juste avant sa mort.
Ce fut l’autre assassin, qui fit revenir le premier à la réalité en arrivant avec des lambeaux de sacs poubelle en lui souriant sincèrement pour la première fois depuis le début de la conversation et dit sur un ton que le jeune meurtrier jugea bien désinvolte: "T'inquiète pas, tu as bien fait, si ce n'avait pas été toi qui l'aurai tué cela aurait était moi. Il ne méritait pas de vivre. Tiens donnes moi un coup de main, on va planquer le corps dans le coffre de ma voiture. Après j'irai le jeter dans un incinérateur, les cendres ne pourront pas dire s'il est mort de la main d'un mutant ou d'une mort naturelle. Tu es plus intéressant que tu ne le laisses paraître !"
La tête vide, sans réfléchir, se contentant d’obéir à l’ordre qu’on venait de lui donner, il aida le mutant à transporter le corps emmailloté dans les sacs poubelles jusqu’à sa voiture et alors qu’il venait d’ouvrir le coffre, un flic arriva et demanda ce qu’ils faisaient. Le père répondit calmement, comme si de rien n’était qu’il s’agissait d’un vieil arbre qui avait affaibli les fondations de son église et qu’il avait donc arraché, accompagné d’un enfant de cœur -Anton- qui s’était proposé pour l’aider. Le fonctionnaire répondit à cela que l’arbre était un peu bizarre et le pasteur s’indigna en parlant d’une certaine parole d’honneur ou d’une autre chose dans le même type. Anton n’écoutait que d’une oreille distraite. Il ne voulait pas parler de peur de passer pour quelqu’un qui avait des choses à se reprocher et de faire croître les soupçons du type en bleu qui semblait un peu honteux et s’en allait d’ailleurs en souhaitant une bonne journée à l’homme de Dieu.
Après cette rapide discussion, ils achevèrent de mettre le cadavre dans le coffre que le curé referma. Anton ne bougeait plus, sentant le regard de son compère dans son dos. Il commençait un peu à avoir la nausée. Puis il déclara d’une voix changée, plus grave, plus mûre: -C’est aux humains de faire leur chemin et ils avancent de plus en plus vers le bien et l’égalité. Certes, il y aura toujours des fous chez eux pour tuer les autres et engendrer de nouvelles haines et de nouveaux conflits. Mais ce n’est pas à nous, mutants, de leur en indiquer le chemin. Tuer leurs tueurs ne sert pas à grand-chose puisqu’ils seront remplacés par des êtres qui les aimaient à cause de ce sentiment qui est propre à l’humain et que l’on nomme rancune. De plus, ils n’ont jamais étés aussi unis que depuis qu’ils haïssent les mutants. Avant, ils nous acceptaient parce que nos capacités prodigieuses leur étaient très utiles dans les guerres et parce que beaucoup d’entre nous se faisaient passer pour des apôtres ou des prophètes en utilisant leurs pouvoirs pour faire des prodiges. Peut-être même qu’il y en a qui se sont fais passer pour des Dieux, ça expliquerait le nombre incalculable de dieux que les égyptiens et les grecs avaient. Ou alors, ce sont eux qui nous ont pris pour des Dieux. Bref, nous ne sommes pas des leurs, et ils ne nous accepteront jamais, en tout cas je n’y crois pas trop, à quoi bon essayer de leur apprendre la vertu quand ils cultivent l’inimitié et l’intolérance. Un jour ou l’autre, une vraie guerre se déclenchera et cette fois-ci, humains et mutants ne seront pas dans le même camp. Il n’y a plus que le professeur pour croire que cette guerre est inévitable. Les humains sont rusés, ils finiront par profiter des conflits entre mutants par rapport à ce que nous devrons faire pour trouver un moyen de nous exterminer efficacement. Nous avons déjà perdu cette guerre. | |
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Dim 7 Nov 2010 - 15:54 | |
| -C’est aux humains de faire leur chemin et ils avancent de plus en plus vers le bien et l’égalité. Certes, il y aura toujours des fous chez eux pour tuer les autres et engendrer de nouvelles haines et de nouveaux conflits. Mais ce n’est pas à nous, mutants, de leur en indiquer le chemin. Tuer leurs tueurs ne sert pas à grand-chose puisqu’ils seront remplacés par des êtres qui les aimaient à cause de ce sentiment qui est propre à l’humain et que l’on nomme rancune. De plus, ils n’ont jamais étés aussi unis que depuis qu’ils haïssent les mutants. Avant, ils nous acceptaient parce que nos capacités prodigieuses leur étaient très utiles dans les guerres et parce que beaucoup d’entre nous se faisaient passer pour des apôtres ou des prophètes en utilisant leurs pouvoirs pour faire des prodiges. Peut-être même qu’il y en a qui se sont fais passer pour des Dieux, ça expliquerait le nombre incalculable de dieux que les égyptiens et les grecs avaient. Ou alors, ce sont eux qui nous ont pris pour des Dieux. Bref, nous ne sommes pas des leurs, et ils ne nous accepteront jamais, en tout cas je n’y crois pas trop, à quoi bon essayer de leur apprendre la vertu quand ils cultivent l’inimitié et l’intolérance. Un jour ou l’autre, une vraie guerre se déclenchera et cette fois-ci, humains et mutants ne seront pas dans le même camp. Il n’y a plus que le professeur pour croire que cette guerre est inévitable. Les humains sont rusés, ils finiront par profiter des conflits entre mutants par rapport à ce que nous devrons faire pour trouver un moyen de nous exterminer efficacement. Nous avons déjà perdu cette guerre.
Alors là il pousssait le bouchon un peu loin. Il était temps pour moi de lui apprendre les bonnes manières à ce jeunot qui n'était qu'un confrériste refoulé. Il ne voulait pas tuer, il ne voulait que défendre le monde juste. Quel naiveté, il n'y a de dieu que Dieu et Jésus christ est son messi. Je ne dois en aucun cas laisser cet impetinent ruiné mes rêves, évangélisé toute ces brebis égarées. Malheureusement avec des mecs comme sa, c'est pas trop possible. Je lui fis signe de m'accompagné pour retourné dans la ruelle avec les deux mecs encore mort. Je fis mine de récupéré une arme pour effacé les empreintes puis lui tire une balle dans la jambe (bien entendu guidé par mon pouvoir) . Il le regardait et finalement décida de tout lui expliqué. C'était simple à comprendre même pour un jeunot
"Tu oses blasphémé le tout puissant, tu n'es qu'un ingrat ! Dieu t'offre la vie et toi tu lui craches à la gueule, tu crois que c'est comme sa que tu auras ton salut ? Je vais t'expédié en enfer sale infidéles ! Je vais t'apprendre que Dieu est le seul juge et que toi tu es déclaré coupable d'office ! Tu va connaitre le chatiment divin, peut être sera t'il plus indulgent grace au meurtre que tu as commis ! Tu peux attendre une pitié de la part du tout puissant mais n'en attend pas de ma part !"
A vrai dire je ne comptais pas vraiment le tuer, j'espérais juste le traumatisé, lui donner une raison de tuer. Le rendre plus fort en s'entrainant par haine envers moi. C'est triste mais on apprend plus facilement à se battre quand on est motivé, et la seule motivation à tout épreuve c'est la vengeance. Et je pense que celui là semble un adepte de la haine, vu son discours de confrériste. Comme dirait la bible, il est l'héritier de Cain. Caïn, le mec qui a tué son frère Abel par jalousie qui s'est traduit par une haine envers lui. Quand l'ange Gabriel lui a demandé "pourquoi as tu fait sa ?". Cain le plus naturellement possible lui dit "Suis je le gardien de mon frère ?". Cet remarque est resté gravé dans les anales, je crois même qu'un rappeur français en a fait une reprise .... Bref encore une fois je m'égare. Il fallait resté concentré. Je le pointais avec le canon du revolver.
"Une dernière prière ? Une chose à rajouté ?"
HG:très court je sais mais pas très inspi |
| | | Anton Griffith Neutre Alpha
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| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Lun 8 Nov 2010 - 20:28 | |
| Le pasteur n’était pas très content du discours d’Anton, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Il fit signe au jeune mutant de le suivre dans la petite ruelle où ils avaient été attaqués par les gredins. Anton le suivit par curiosité. Il se doutait bien qu’il n’allait pas chercher les autres puisqu’ils étaient tombés par chance de manière à ce que l’on puisse croire à un règlement de compte et c’était très crédible. Alors pourquoi voulait-il retourner là-bas ? Si le jeune maître de l’air n’avait pas été aussi secoué par le meurtre qu’il venait de commettre, il se serait peut-être méfié, peut-être aurait-il été sur le qui-vive et n’aurait peut-être pas suivi le curé assassin juste en curieux. Lorsqu’il arriva devant les cadavres, Anton à sa suite, le fanatique -car le jeune meurtrier trouvait de plus en plus que ce type était un malade complètement fana de son « Dieu »- se pencha sur l’un des corps pour récupérer un flingue, faisant mine d’effacer les empruntes. Dès cet instant, le cerveau d’Anton se remit en marche et il comprit que quelque chose clochait. Le pasteur n’avait pas touché aux armes, il n’avait pas besoin d’effacer des empruntes digitales puisque les siennes n’y étaient pas. Malheureusement, malgré cette brusque et très rapide activité de son cerveau, il n’eut pas le temps de bondir sur le côté pour gagner du temps car son nouvel adversaire lui avait déjà tiré dans la cuisse. Avec un grognement de douleur, ses genoux heurtèrent le sol, la balle ayant transpercé le quadriceps alors qu’il était tendu à son maximum. Le jeune mutant n’avait jamais connu de douleur pareille. Le blanc de ses yeux se troublait peu à peu de rouge au fur à mesure que la douleur montait et sa jambe était parcourue de tremblements incontrôlables. Le salopard regardait Anton d’un air méprisant et fanatique. C’était le même regard qu’il avait adressé aux ordures qui gisaient juste à côté. Allait-il le tuer pour autant ? Sûrement, oui. Même si Éole n’était pas du genre à abandonner aussi facilement, il ne pouvait pas dire qu’il était en très bonne posture. Cependant, il était certain d’une chose, avant de mourir, il allait tout faire pour massacrer son psychopathe d’adversaire ou au moins le blesser au point de le rendre définitivement handicapé. Peut-être que s’il y mettait toute sa puissance et la haine dévorante qu’il sentait monter en lui à l’égard de l’horrible personnage, il réussirait à arracher ou broyer au moins un de ces membres voir peut-être même tout un côté de son corps. Son pouvoir trouvait son essence dans ses émotions, son état mental et plus ses émotions étaient fortes et plus il était puissant, de ce fait, malgré sa jambe, il se sentait plus puissant que jamais. Il avait l’impression qu’il serait capable de dévaster toute la zone dans un périmètre de dix ou quinze mètres d’un simple clin d’œil. Il se concentrait au maximum pour réagir dans la fraction de seconde où le fou allait lever le bras et appuyer sur le détonateur pour achever le loup qu’il avait d’abord pris pour une brebis. Mais il ne semblait pas décidé à tirer, au contraire, il se mit à parler de choses ridicules qui n’avaient aucun sens aux yeux d’Anton: "Tu oses blasphémer le tout puissant, tu n'es qu'un ingrat ! Dieu t'offre la vie et toi tu lui craches à la gueule, tu crois que c'est comme sa que tu auras ton salut ? Je vais t'expédier en enfer sale infidèle ! Je vais t'apprendre que Dieu est le seul juge et que toi tu es déclaré coupable d'office ! Tu va connaître le châtiment divin, peut être sera t'il plus indulgent grâce au meurtre que tu as commis ! Tu peux attendre une pitié de la part du tout puissant mais n'en attend pas de ma part !"
Quel idiot ce chrétien… S’il adorait tant que ça son Dieu, pourquoi se croyait-il le droit de juger alors qu’il disait lui-même que son hypothétique « Dieu » était le seul juge ? Pensait-il qu’il avait le droit d’envoyer au « tribunal » auquel il croyait simplement parce qu’il l’avait décidé et sur un coup de tête de surcroît ? Souvent les ados font une de ces plaisanteries débiles que tout le monde connaît et dont-ils ont le secret. Anton se souvenait que l’une de ces plaisanteries consistait à faire semblant de fourcher et dire « chrétin » au lieu de « chrétien », considérant ce genre d’agissements idiots et puérile, il n’y avait jamais adhéré plus que ça. Mais aujourd’hui, il avait envie de la faire cette plaisanterie, juste pour le plaisir de pousser à bout le malade qui lui faisait face et le voir débiter encore un peu plus de ces idioties sur ce « Dieu » en lequel ils avaient si confiance. Il rouvrit la bouche et dit cette fois-ci quelque chose d’un peu plus censé: "Une dernière prière ? Une chose à rajouter ?"
Durant tout le temps où le psychopathe avait parlé, Anton n’avait cessé de mettre ce temps à profit pour accroître sa haine et se amasser de l’énergie pour le coup qu’il préparait. Il n’aurait pu espérer mieux comme occasion de gagner encore un peu de temps. Maintenant, il savait quel côté du corps de son malade mental d’adversaire il allait viser. Ce serait le droit, celui qu’il gardait en retrait, bien à l’abri derrière le revolver. Ainsi, si jamais il parvenait à voir le coup venir, sa première idée serait de se servir de ce côté et de cette jambe d’appui qu’il offrait pour s’écarter, seulement, il n’en aurait pas le temps. Personne n’a de réflexes aussi aiguisés. Les yeux flamboyants d’une haine telle qu’il n’en avait jamais connue, d’une haine ardente, d’une haine à l’aulne de la souffrance qu’il éprouvait dans sa jambe, il cracha d’un ton plus hargneux qu’il ne s’en serait jamais cru capable: -Oui, mon père, je vous garanti que si je survis à cette entrevue, je m’entraînerai jusqu’à devenir l’un de mutants les plus puissants de ma génération et ensuite, je me spécialiserais dans l’assassinat. Je les tuerai tous. Humains, mutants, assassins, innocents, terroristes, civiles, politiques, combattants, faiblards, militaires toutes autres catégories auxquelles je n’ai pas pensé. En plus d’être un mutant extraordinairement puissant, je deviendrai aussi un meurtrier invétéré, un mutants particulièrement dangereux. Enfin, je viendrai vous chercher, et je vous tuerai en prenant le temps, autant que possible. J’appréhenderai des facettes de ma mutation que je n’ai encore jamais ne serait-ce qu’imaginées et je vous ferai mourir lentement, très lentement.
A peine avait-il fini de parler qu’il envoyait aussi vite qu’il le pouvait une masse d’air compactée avec toute la violence donc il était capable sur le flanc gauche du Pasteur Psychopathe. [HJ] Je te laisse le choix de la manière de l’éviter ou tout simplement de ne l’éviter que partiellement. Tu n’en ressortiras que sérieusement amoché genre quelques fractures multiples et des muscles abîmés mais c’est tout.[HJ] | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Euh... Bonjour Mr. le Pasteur... [Faith] [TERMINE] Mar 9 Nov 2010 - 16:50 | |
| -Oui, mon père, je vous garanti que si je survis à cette entrevue, je m’entraînerai jusqu’à devenir l’un de mutants les plus puissants de ma génération et ensuite, je me spécialiserais dans l’assassinat. Je les tuerai tous. Humains, mutants, assassins, innocents, terroristes, civiles, politiques, combattants, faiblards, militaires toutes autres catégories auxquelles je n’ai pas pensé. En plus d’être un mutant extraordinairement puissant, je deviendrai aussi un meurtrier invétéré, un mutants particulièrement dangereux. Enfin, je viendrai vous chercher, et je vous tuerai en prenant le temps, autant que possible. J’appréhenderai des facettes de ma mutation que je n’ai encore jamais ne serait-ce qu’imaginées et je vous ferai mourir lentement, très lentement.
Oh il commençait à comprendre un peu. Il était perspicace le petit. Bon il était temps pour moi d'en finir. Mais non, il préparait quelque chose. Je me souvint alors de son pouvoir. Allait il tentait de me battre avec son attaque venteuse ? Il croyait peut être qu'il faisait le poids ? J'allais lui tiré une balle quand je le vis lancé son attaque. Enfin voir est un grand mots, je vis juste des morceaux de poussiéres se diriger vers moi et faire voler pas mal d'objet autour de moi. Je vis un couvercle de poubelle foncé vers moi à cause de l'attaque qui l'avait soulever. Je l'attrapais et me callé derriére tout en tenant le couvercle version capitaine américa. Ouais, même à ce moment précis j'ai encore la tête ailleur. Mais le retour à la réalité fut violent. En effet je m'étais protégeais la tête et une partie d'épaule mais ma jambe gauche fut littéralement fauché et le vent me rentrais dans le bas du ventre avec une force inouie. Je reculais de 3 bon mètres avant de réatterir sur les fesses. Ce petit était plein de ressource, il ferait un adversaire de taille une fois plus grand. J'en étais convaincu. Je tentais de me relever mais ma jambe gauche était tétanisé et était encore endoloris. Quant aux côtes, la douleur faisais un mal de chien mais c'était encore supportable. Cet enfoiré avait bien préparait son coup. J'ouvris ma housse de guitare pour laisser apparaitre mon arc. Je récupérais rapidement trois flèches et les mirent tous contre la corde de l'arc. Je ne prenais même pas la peine de visé mais je tirais bien la corde. Au passage j'améliorais les trois flèches pour les rendre plus puissantes.
"Oh nom du père du fils et du saint Esprit ... AMEN !"
Au moment où je prononçais ces mots, les trois flèches partirent rapidement sur Anton. Une se planta dans la main droite, l'autre dans la main gauche. La troisième empala la cheville droite et rejoint la cheville gauche grâce à la puissance de la flèche. Les flèches des mains se plantèrent contre le mur. Dans cette position, on aurait dit Jesus sur un crucifix. Quel spectacle grandiose ! Je m'approchais de lui et je lui murmurais doucement à l'oreille. Je murmurais d'une voix calme et posée, sans aucune haine apparente
"Hais moi, hais moi de toute ton âme, deviens plus fort et un jour tu prendras ta revanche. Pour le moment tu es jeune, je mets sa sur le compte de l'innocence, mais si nos chemins se recroisent je n'aurai plus aucune pitié..."
Je passais mon mouchoir autour des flèches pour retiré les empreintes dessus et je lui asséna un coup de crosse du revolver destiné à l'assommer. Une fois ceci fait, je me dirigeais vers une cabine téléphonique et j'appellais le 16. Un homme répondit je dit à haute et intelligible voix
"Un homme est crucifié mais encore vivant dans une ruelle prés du 223 Elm Street."
"Ok, nous envoyons une ambulance, qui est à l'appareil ?"
Je raccrochais et repartais à ma voiture pour retourner chez moi. J'avais fait mon boulot, maintenant il ne manquait plus qu'a récolter ce que j'ai semé. Il est plein de ressource, je sais qu'un jour il me dépassera. Et au final, j'aurai fais mon devoir de Prêtre. J'ai guidé cet agneau égaré pour qu'il suive de lui même la bonne voie. Au final ce jeune homme ne pouvait rien dire sur lui. Il savait que j'étais prêtre c'est tout, et sa m'étonnerais qu'un paroissien balance son prêtre. Il n'y avait aucun témoin et juste un témoignage d'un jeune mutant. De plus, je savais parfaitement quoi dire si la police arrivait. Je n'aurai qu'a dire que j'ai essayé de le raisonné et qu'il a pas voulu m'entendre et qu'il m'a hait. Après je n'aurai qu'a dire que je suis parti. C'est sa l'avantage d'être prêtre, on peut dire qu'on était à l'église en excuse valable.
HG: Vala tu peux cloturé par un post si tu veux, sinon envoye moi un MP je mettrais que c'est fini |
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