[le cube] Gloire ou Dépoire il faut choissir (Pv Ampère)

La tueuse attendait patiemment que son équipe se manifeste. Elle était toujours planquée derrière un arbre. De cette position à couvert elle pouvait facilement faire le guet. Elle disparut à la vision de tous en se rendant invisible. Ce qui lui donnait un avantage considérable. Elle pouvait ainsi garder les yeux sur son portail, un pistolet à plasma à la main près à faire feu si un ennemi osait passer par le portail de téléportation qu'elle avait laissé pour le repli de ses hommes. L'ennemi qui oserait le prendre trouverait une mort certaine au bout du passage. Être à l'affut lui demander de faire preuve d'une grande patience. Certes elle avait des nerfs d'acier, mais cette attente lui parut interminable, les secondes lui paraissant des heures. Elle avait ordonné que l'on quitte la prison, mais elle ne voyait le bout du nez de ses congénères. Elle avait dominé la situation avec une main ferme et avait supervisé les opérations avec tout le charisme qu'elle possédait. Cependant elle sentait que le contrôle lui échappait totalement, elle n'avait plus une vue d'ensemble sur ce qui se déroulait et pire encore il lui était impossible d'évaluer la situation. Elle restait impassible, tel un tigre guettant sa proie. Elle devait se rendre à l'évidence, il ne lui servait à rien de tergiverser pendant cent sept ans. Il était préférable qu'elle retourne à la base. Après tout ce n'était pas des enfants de cœur. Elle savait que la plupart de ses hommes seraient se débrouiller. Les pertes collatérales étaient de toute façon inévitable, certains ne reviendrait pas c'était inévitable pour ce genre d'opération. Il y avait toujours des pertes acceptables.
Elle envisageait de se téléporter bien sagement au sein de la base en attendant que ses valeureux compagnons d'arme reviennent. Il serait toujours temps de faire le bilan des pertes une fois que tous auraient rejoint le bercail. Il ne lui servait à rien de se faire du mourront, elle avait donné ses dernières ordres, sa mission pour aujourd'hui était accompli. Sa présence n'était plus nécessaire surtout qu'aucun confrériste ne s'était manifesté pour réclamer son aide. Le temps impartit qu'elle avait laissé au repli touchait à sa fin. Il n'était plus nécessaire de maintenir la porte dimensionnelle ouverte. D'un geste de la main elle referma le portail, laissant donc ses compagnons à leur triste sort comme elle leur avait précisé.

Elle s'apprêtait à s'évaporer quand soudain son regard jaune fut attiré par un phénomène étrange. Elle vit se matérialiser non loin d'elle un corps, sur l'instant la tueuse resta perplexe et sur la défensive. Elle était prête à tirer ne laissant aucune chance à sa pauvre victime qui à n'en pas douter se trouverait déstabiliser par un tel changement d'état. Fatale avait la gâchette facile, mais elle voulait s'assurer que ce ne soit pas un de ses coéquipiers. Sa surprise en fut plus grande quand elle reconnut la personne qui venait d'être transférait.
C'était sa jeune protégée Ampère qui visiblement n'avait pas supporté le voyage et qui était inanimée au sol. Ce n'était pas sans lui rappelait une certaine expérience ou la tueuse avait connu un peu le même genre de difficulté, c'est ainsi qu'elle avait fait la connaissance de l'électrique confrériste. Tout en gardant sa forme invisible par pure précaution, elle s'approcha du corps qui était étendu au sol.
Fatale se pencha sur le corps inanimé. Elle tapota les joues d'Ampère pour essayer de réanimer la jeune fille.

« Allez, c'est pas l'heure de jouer les belles au bois dormant ! »

Pendant se temps elle entendit non loin d'elle une branche se casser. Par réflexe Fatale s'immobilisa, cherchant du regard ce qui avait pu causer ce bruit. Visiblement elles n'étaient pas seules dans ses bois.

Sous l’impulsion de sa supérieure, Louise reprenait doucement ses esprits et sortait du noir dans lequel elle venait de sombrer. Encore à moitié dans les vapes, elle sentait le toucher de la main de la tueuse sur sa joue et l’espace d’une demi seconde, elle eut un mouvement de panique…Jusqu’à ce qu’elle reconnaisse la voix de sa supérieure. Doucement, elle se réincorpora et porta la main à sa poitrine. Elle ne se sentait pas très bien, la téléportation en lui avait fait aucun bien –mis à part l’éloigner du danger- et surtout elle ne savait pas très bien où elle se trouvait. Mais elle n’eut pas le temps de demander quoi que ce soit ni de poser la moindre question. Fatale s’était déjà retournée. Rapidement, Louise jeta un coup d’œil autour elle. Elle était assise par terre, en plein milieu de la forêt…Et elle n’était plus dans le cube. Elle se souvenait à présent, les dernières images qu’elle avait étaient celles du Fléau aux prises avec le X-men de rubis et la déesse de la météo…Elle avait voulu courir vers elle pour l’attaquer mais elle avait été stoppée en pleine course. La suite, elle ne s’en souvenait pas. Le fait est qu’elle avait atterri à l’extérieur avec un malaise

Elle aurait bien voulu poser des questions mais apparemment, ce n’était pas le meilleur moment. Fatale restait aux aguets et le bruit qu’elle avait repéré s’accentuait...Ampère l’entendait maintenant. Rapidement, et du mieux qu’elle pouvait, elle se releva. Une poignée de secondes les jambes encore flageolantes et elle retrouva son équilibre. S’avançant, elle rejoignit sa supérieure, ignorant la nausée et les mains déjà prêtes à faire jaillir ses fouets. La zone était loin d’être sûre et si intrus il y avait, il y avait peu de chances qu’il soit ami.

L'instant d'après, un homme sortait d'entre les buissons. Grand et imposant, une imposante tignasse blanche au dessus de sa tête...Le plus bizarre restait cependant ses yeux qui en soient n'avaient rien de spécial mais le rouge peint autour d'eux lui donnait un air farouche et peu amical.

"Alors les belles, on se promène au clair de lune?"

Ampère resta interdite, elle n'avait jamais vu ce type. Encore sonnée, elle n'osait rien dire et attendait que Fatale fasse le premier pas. Après tout, allez savoir, c'était peut-être un allié...

Fatale vit de bon augure qu'Ampère sorte de son état comatique. Visiblement la jeune fille avait du mal à se remettre de son transfert. Pour Fatale c'était déjà bon signe qu'elle reprenne connaissance, au moins elle ramènerait quelqu'un plus ou moins saine et sauve de cette mission.

Malgré la présence de l'un de ses congénères la tueuse ne pouvait s'empêcher d'être sur la défensive. Elle avait un mauvais pré-sentiment, les bruits qu'elle entendait ne lui disait rien de bon. Elle avait cette étrange sensation d'être espionné. Ce qui ne lui disait rien qui vaille. Rapidement son impression fut révélée. Un parfait inconnu sortit de sa cachette. Ce dernier avait l'air sur de lui et parfaitement décontracté malgré la situation. Fatale l'observa un moment sans rien dire. Elle ne le connaissait pas. Elle voulait se faire une idée rapidement. Il ne portait pas l'uniforme d'un gardien de la prison, ni même celui de la clic de Xavier. Non à première vu il portait la tenue des prisonniers. Sa trombine n'avait rien de rassurant. Fatale doutait qu'il soit venu les remercier. Pourtant s'il avait réussi à s'évader c'était grâce à l'intervention de la confrérie. Ami ou ennemi, elle allait le savoir sans nul doute très rapidement. Elles avaient au moins l'avantage du nombre, elles étaient deux contrairement à lui pour l'instant était seul. Fatale par instant se redressa, elle était sur la défensive, mais elle ne voulait pas mettre le feu au poudre sans nécessité. Elle voulait surtout quitter les lieux le plus rapidement avant que les forces de l'ordre débarque.

"Et oui, tout comme vous, on profite de l'air L I B R E."

Elle insta bien sûr son dernier mot comme pour lui faire passer un message. L'homme resta de marbre, il s'immobilisa à une distance que Fatale jugea raisonnable. Elle avait encore dans sa main son arme en cas de problème elle n'hésiterait pas à l'utiliser contre lui.

"ça tu peux dire ma mignonne, cela fait du bien. Quoi que ta copine, elle a l'air bien pâlichonne? Vous savez s'est pas une heure de se promener pour des donzelles comme vous, vous pourriez rencontrer le loup."

Un petit rictus malsain vient orner son visage, ses yeux passant de l'une à l'autre des confréristes.
Fatale n'aimait pas du tout son regard, il avait tout l'air d'un vrai psychopathe sortit tout droit de l'asile. N'est-ce pas une prison de haute sécurité qu'elle venait de mettre à sac?

La voix froide de l'homme fut comme un véritable coup de fouet pour la jeune confrériste, qui retrouva immédiatement tous ses sens. L'adrénaline coulait dans son corps, attisée par le sens du danger et de la précaution, ses sens exacerbés au plus au point. Evidemment, la présence de sa supérieure à ses côtés la rassurait. Louise avait confiance en Fatale et elle connaissait son expérience...Sans aucun doute, le maillon faible de la chaine, à ce moment précis, c'était elle.

Elle ne se découragea pas pour autant et releva la tête d'un air de défi quand elle entendit les attaques de leur adversaire, réaction puérile de sa part qui arracha un nouveau sourire à l'homme. Il n'avait pas l'air précisément amical, ou alors il l'était mais son humour avait de quoi faire lever les yeux au ciel. Visiblement, il sortait tout juste de la prison, comme elles, sauf que lui n'y était pas rentré quelques minutes plus tôt...On ne l'avait pas signalé sur la liste des collègues à libérer, il faisait sans doute partie du pack qui restait: mutant criminel hautement dangereux et enfermé sous bonne garde. Mince.

"Le loup pourrait avoir une sacrée surprise..."

Ou pas. Les mots d'Ampère moururent dans sa gorge au même moment où l'homme disparut soudain dans un petit rire. Ampère écarquilla les yeux...là où l'homme se trouvait quelques instants plus tôt, il n'y avait plus rien, seulement le vide. S'était-il téléporté ou rendu invisible, Louise n'aurait su dire mais elle ne perdit pas de temps à se poser ce genre de questions. Déconcertée, elle jeta des coups d'œil à droite à gauche dans l'espoir d'apercevoir le porté disparu...En vain, bien entendu.

"Ah ouais d'accord..."

La partie ne s'annonçait peut-être pas si facile et le loup semblait avoir quelques tours dans son sac. Les fouets prêts à jaillir de leurs étuis, la jeune femme tenta de déceler le moindre bruit qui pouvait l'avertir de la présence du type.

Ce fut lui qui la trouva. Ou plutôt son poing. Surgi d'on ne sait où, l'homme lui porta un rude coup au visage, coup qui lui fit perdre l'équilibre et l'envoya valser quelques mètres plus loin. Dans sa chute, elle parvint à capter l'électricité de ses armes et en balança une brève décharge à l'endroit même d'où était sorti le poing invisible, avec l'espoir, sans doute un peu vain, de déstabiliser l'homme et l'obliger à se montrer. Et si elle réussissait, Fatale aurait sûrement toutes les cartes en main pour l'achever...

Fatale était clairement sur la défensive, ce genre de type ne lui disait rien de bon. Elle sentait le coup fourré arrivé à grand pas. Il était trop sur de lui. Ce dernier n'avait clairement pas de bonne intention, elle avait essayé d'être un peu diplomate s'il voulait en découdre avec elle, il aurait la leçon qu'il mériterait. Elle ne se laissait pas spécialement impressionné. Elle en avait vu d'autre et puis elle venait de mener à bien une opération d'envergure ce n'était pas pour ce faire tuer bêtement par un psychopathe de passage. Fatale n'eut pas le temps répondre, puisqu'il disparut comme par magie.

Fatale esquissa un petit sourire, car il n'était pas le seul à pouvoir réaliser ce genre de tour de passe passe. La tueuse n'allait pas lui laisser l'avantage du terrain. Du coup elle réfracta aussitôt la lumière qui se trouvait autour d'elle et elle devient à son tour invisible. Elle s'éloigna légèrement de sa place, pour qu'il ne puisse pas savoir précisément où elle était. Elle n'était donc plus une proie facile, c'était le jeu du chat et de la souris. Le premier des deux qui trouveraient l'autre gagnerait sans nul doute la partie.
Elle savait cependant qu'elle laissait Ampère comme appât. La jeune confrériste étant la seule visible. Fatale pensait que l'apprentie n'était pas sans ressource, elle était sûr qu'elle serait capable de se débrouiller seul en cas de problème. La tueuse resta donc immobile guettant le moindre signe de vie. Ses sens étaient aux aguets, essayant de percevoir la moindre trace de mouvement. Elle n'eut pas trop à attendre, puisqu'il s'en prit rapidement à Ampère. Ampère réussit une attaque électrique qui eut pour conséquence de le faire apparaitre quelques secondes, dans le même instant , Fatale prit une de ses dagues et la lança dans sa direction. L'arme l'effleura et alla se planter dans un arbre plus loin. LA tueuse eut un moue dubitative d'avoir raté sa cible qui était devenue hors de vue. L'acolyte actionna la commande pour refaire revenir son arme. Elle n'avait pas eu sa cible, du moins c'est ce qu'elle pensait car, quand elle examina de plus près la lame de son arme elle constata que cette dernière était imprégnée de sang. Elle avait réussi à le blesser. Elle rangea aussitôt son arme pour ne pas trahir sa position et décida de bouger lentement en s'approchant discrètement d'Ampère. Dans un murmure, elle indiqua un élément de taille à sa partenaire.

"Il saigne."

Elle cherchait maintenant les traces de sang que ce dernier avait pu laisser derrière lui.

Comme prévu, Fatale avait été redoutablement efficace. La tueuse n'avait pas eu la chance de le tuer mais elle leur avait laissé un réel avantage en blessant leur adversaire, et à présent c'était au tour de la jeune mutante de porter le coup de grâce. Pendant que le combat entre les deux puissants mutants, rivaux au niveau des pouvoirs et de la force, se déroulait, Ampère en avait profité pour se remettre d'aplomb. Entre la téléportation douloureuse et maintenant le violent coup de poing, rien ne lui avait été épargné dans cette mission...Sauf peut-être la mort, ce qui n'était sans doute pas négligeable. Néanmoins, l'amertume était forte, son orgueil durement touché en même temps que son propre être...Ampère payait encore son manque d'expérience et de puissance. Serrant les dents, elle s'était pourtant relevée tant bien que mal, partagée entre la douleur, les larmes qui menaçaient d'inonder ses yeux et la colère qui déformait son visage. Puisant au fond d'elle-même dans un dernier effort, elle parvint à trouver un nouveau regain d'énergie et une pointe de cynisme.

"Demain, je sens que ça va être dur..."

Ce n'était que la stricte vérité. Tous les muscles de son corps lui faisaient mal et chaque mouvement devenait pénible à supporter mais l'adrénaline et la vengeance agissaient comme de puissants sédatifs dans son corps. La voix de la tueuse dans son dos, les deux mots qui cachaient un ordre sans appel, exempt d'une quelconque fioriture, lui firent l'effet d'un coup de fouet. Sans rien dire, sans même un hochement de tête, Ampère laissa ses yeux vaquer sur le sol. Il ne lui fallut pas longtemps pour repérer les traces de sang sur le sol.

"Tu es à moi..."

Des mots murmurés avec toute la hargne du monde. Ce type, qui qu'il soit et quelle que soit sa force, allait lui payer cet affront. Sans attendre et obéissant aveuglement à l'ordre muet de Fatale, la mutante se mit à suivre la piste de la trainée de sang entre les arbres et les fourrés...

*****

L'homme s'était éloigné pour évaluer ses blessures mais il n'avait pas non plus jeté l'éponge. Son bras était touché, une lame lancée à pleine puissance lui avait frôlé le bras, entaillant profondément sa peau. Rien de bien dangereux ni de mortel mais de quoi lui donner un sacré désavantage dans un face à face. Ces mutantes allaient le lui payer, et cher...Il n'eut pas longtemps à attendre. Des rapides retentirent soudain, lui faisant brusquement lever la tête...L'instant d'après, Ampère apparaissait dans son champ de vision. Rapidement, il se volatilisa de nouveau, disparaissant aux yeux du monde et bien décidé à éliminer la confrériste. Il ne portait pas d'armes mais il n'en avait pas besoin et ce n'était pas le simple revolver qu'elle portait à la ceinture qui allait lui causer un souci quelconque. Il n'avait qu'à se rapprocher d'elle, la prendre par surprise et lui tordre le cou...

Mais c'était sans compter sur les talents cachés de la demoiselle. Ampère n'était plus la jeune confrériste sans expérience qu'elleé tait à son arrivée à New York. Un an et demi d'entrainements et de missions, sous la tutelle de femmes telles que Fatale, avait fait d'elle un bonne combattante. Pas encore la meilleure, mais elle savait se débrouiller...Sans crier gare, et surtout sans attendre de se faire surprendre, elle lança son attaque. Cette fois-ci, elle n'allait pas attendre de se faire surprendre. Ses deux fouets, lancés à pleine puissance, fendirent l'air en direction de leur cible invisible. Un cri s'éleva dans l'air lorsqu'ils rencontrèrent la délicate chair humaine...et l'homme réapparut soudain, tombé à genoux, la main crispée sur son épaule ensanglantée. Les terribles armes avaient entaillé profondément la peau, déchiré les tissus, presque jusqu'à l'os, le sang s'échappait déjà à flots de la plaie.

Ebahi, l'homme la fixa quelques secondes, les yeux exorbités, surpris par cette réplique qu'il n'attendait visiblement pas. Puis son expression de stupeur disparut pour laisser place à une grimace de douleur. Ses traits se tordirent dans l'incarnation même de la souffrance tandis que son opposante restait de marbre. Face à lui, Ampère se tenait droite comme un I, les trais impénétrables, révélant enfin son nouveau visage, cette nature de femme mûre, dure et intraitable. Elle n'était plus une débutante mais elle était bel et bien devenue une confrériste pure et dure. Dangereuse.

Blessé et touché durement, l'homme recula. Le combat devenait inégal malgré sa puissance. Il lança une dernière injure, l'expression mauvaise et disparut en courant. Ampère ne releva pas les mots désagréables et simplement se retourna après s'être assurée qu'il était bien parti. Elle aurait pu lui courir après pour l'achever mais il était temps de rentrer, Fatale l'attendait...Lentement, elle se mit en marche pour rejoindre sa supérieure.

Quelques minutes plus tard, elles montaient toutes deux à bord du camion qui les avait amenées, Ampère au volant, Fatale à ses côtés. Le temps de ramener tout le monde à bord, ceux qui ne s'étaient pas fait capturés par les autorités et ils décollaient tous de là, direction la Confrérie...

L'attaque du Cube venait de s'achever.

~ T.H.E. E.N.D. ~

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