Dorian Anderson ! Bavez mesdames

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NOM : Anderson PRENOM : Dorian ALIAS ET SURNOM : Caracole, ou la fauche. AGE : 25 DATE DE NAISSANCE : 27 novembre 1985 M ETIER: Chômeur, SDF, délinquant un peu minable. NATIONALITE : Américain GENRE : Mâle, avec un grand M CLAN : Neutre

Pouvoirs :

• Description : Dorian à un talent un peu particulier. Pour dire vrai, il n'est pas même au courant de sa nature mutante. En effet, son pouvoir consiste à copier celui des autres, mais d'une manière une peu particulière. Pour cela, il faut tout d'abord que son sang , soit une plaie, entre en contact direct avec l'ADN d'un mutant, que ce soit du sang, de la salive, de la transpiration, ou même de la peau. Il obtient alors les même capacités que le mutant en question, mais ne les contrôle qu'à peine. Pour cela il faut que l'ADN copié provienne directement du corps du copié, ainsi, dans le cas d'un échantillon prélevé spécialement pour l'occasion, la copie ne marcherait pas. Lorsque ce genre de contact survient avec un humain normal il ne se passe absolument rien. La copie des pouvoirs n'est que temporaire, durant une heure généralement. Si le contact venait à se prolonger, cette durée resterait constante, à compter de la fin du contact.
  Pourtant, si il venait à y avoir une transfusion de sang, les choses seraient bien différentes. Tout d'abord son sang, à l'instar de son corps et son gène x, prend aussi les caractéristiques du donneur, ce qui fait de lui un receveur universel, potentiellement, mais également, avec un peu d'astuce, un donneur universel. Si le donneur est humain, alors Dorian obtiendrait le savoir et les capacité particulières de cette personne, tout en se limitant bien sûr, aux possibilités de son corps. Prenons pour exemple le cas où il recevrait le sang d'un médecin, il se réveillerait alors avec tout le savoir du docteur, sans restriction et de façon permanente. Mais si le donneur était un haltérophilie, il saurait alors comment transférer le poids des altères sur son corps pour soulever le plus de poids possible, mais en aucun cas ne pourrais soulever autant que l'athlète surentrainé. Les connaissances acquises ainsi ne sont pas gravées en lui, et si il ne les entretient pas il les perd peu à peu. En revanche, si il y fait appel régulièrement, les développe un peu, le savoir acquis devient sien pour de bon. Par contre, si le donneur était un mutant, le jeune homme acquerrait alors non seulement les pouvoirs du mutant de manière définitive, mais également son niveau de maîtrise, puisque tout son savoir.
  Il est important de noter, également, que Dorian ne peut pas emmagasiner une infinité de pouvoirs. Tout au contraire, il ne pourra jamais posséder, de manière permanente, qu'un pouvoir à la fois. Mais même en possession de ce pouvoir, il pourra encore copier un autre pouvoir de manière temporaire. Mais quand bien même aurait-il un jour, le temps d'une heure, deux dons, il ne pourrait alors n'utiliser que le plus récent, le temporaire. Ainsi, si il venait à être transfuser deux fois avec le sang d'un mutant, il n'aurait que le pouvoir apporté par la plus récente.
  Lorsqu'il copie un pourvoir Dorian en obtient le plein potentiel, mais son absence de contrôle sur ces fameux pouvoirs fait qu'il n'est pas vraiment capable d'en faire usage à pleine puissance, ou alors de manière totalement incontrôlée, et donc dangereuse autant pour lui que pour les autres. Dans le cas d'une copie de pouvoir très puissant cependant, il peut y avoir un contre-coup. En effet, l'espace d'une heure, son corps se retrouverait alors plein d'une énergie nouvelle, et en la perdant il ne pourrait pas faire grand chose pour empêcher l'immense fatigue qui en suivrait. Dans le même registre, une mutation impliquant des changements physiques modifierait son corps d'une manière rapide et certainement choquante pour l'organisme. En reprenant son apparence normale, car il copie la mutation, il ne serait guère en meilleur état qui si il s'était fait passer à tabac. Son corps aurait alors de deux à trois jours pour qu'il ne ressente plus aucunes douleurs, musculaires la plupart du temps.
  
  
• Niveaux de maitrise: Le mutant n'a aucune idée de l'existence d'un tel pouvoir, et quand bien même en aurait-il conscience, la chose étant totalement passive, il ne le maitriserait absolument pas. Quand bien même voudrait-il ne pas copier un pouvoir, une fois le contact fait plus rien ne peut stopper le processus, pas même si il essayait d'apprendre à se contrôler.
  
  
• Lien entre les Pouvoirs: Un seul pouvoir.
  
  

Description Physique :

• Apparence : Dorian est un homme plutôt grand, 1m90, pour 87 bons kilos. Plutôt bel homme il est pourtant un peu négligé, ne se rasant que lorsqu'il le peut vraiment, et n'entretenant que trop peu ses cheveux, blonds, à la limite du châtain clair. C'est bien plus en raison des aléas de sa vie que par l'exercice, bien qu'il entretienne son corps, qu'il a acquit une musculature sèche et fortement dessinée. Son visage fut marqué par bien des combats, l'alcool et la drogue. Pourtant, lorsqu'on le regarde, on ne voit souvent que ses yeux d'un vert clair, qui pétillent de vie et de passion, et son sourire, aussi souvent charmeur qu'espiègle. Souvent on le voit en jeans, avec un manteau de cuir entre le marron et le rouge. Il porte également, la majorité du temps, des chemises raillées, aux couleurs pâles, et usées, ouvertes sur des débardeur blancs ou gris. Et rarement son galure favoris ne quitte sa tête.
  
  
• Signes Particuliers : Dorian à le corps recouvert de tatouages de toutes sortes, dont les derniers sont l'œuvre d'une certaine Ashe Lovelace (vous connaissez ?). L'un d'eux passe sur une cicatrice, sous le pectoral gauche, causée par une blessure par balle. Cicatrice dont la sœur se trouve à peu de chose près à la même position mais dans son dos.
  
  

Caractère :

• Mental : La vie n'a pas toujours été facile pour ce garçon. Violente, pleine de misère. Ça a forgé un esprit libre, mais pas angélique. Il n'a ni dieu ni maitre. Il triche, ment, vole, et tue même parfois. Les scrupules ? Il a pas appris à en avoir. Ce qu'il sait c'est qu'il aime la vie, il veut la mordre à pleine dent et la faire durer autant que possible. Alors il fait tout pour ça même si ce n'est pas toujours facile, ce qu'il aime étant se battre, l'adrénaline, l'alcool et les femmes. Mais n'allez pas croire qu'il n'a de respect pour rien ni personne. Il a beau être solitaire, un fauve hors de sa cage, il n'en a pas moins le sens de l'amitié, et même, dans une certaine mesure, de l'honneur. Si il vous considère comme un ami, alors il vous sera loyal, toujours à vous soutenir en cas de besoin, hormis si une femme est en jeu. Car c'est un coureur, ou du moins ça marche bien pour lui. Les mutants, Magneto, l'institut, tout ces trucs là, il s'en fout. Qu'ils se fassent la guerre si ils veulent, mais qu'il ne vienne pas lui chercher des noises. Si il doit mourir, qui que soit la personne qui le tuera, il ne partira pas sans lutter soyez en sûr. Il a vaguement entendu parler de la création d'une police spécialisée pour les crimes mutants, mais à vrai dire, ne se sachant pas concerné, il a tendance à s'en moquer royalement.
  

Histoire :

• Talents Particuliers : Pickpocket hors paire. C'est également un excellent combattant au corps à corps, plus particulièrement à la boxe à mains nues. Agile et très bon cogneur, il pourrait certainement s'en sortir sans problème face à six ou sept combattants inexpérimentés. En un contre un, il a la vivacité et la puissance nécessaire pour amocher sévèrement, non sans difficulté, quelques maîtres en arts martiaux, mais pas les meilleurs, a qui, avec un peu de chance, il pourrait donner un peu de mal. Il est également très agile, étant été amené à pratiquer l'art du déplacement (yamakasi) pour échapper à la police et aux gangs rivaux. Il est également russophone, de par la force des choses plus que par choix. Il sait également tirer au revolver. Ce n'est pas le roi de la gachette mais il se débrouille assez pour toucher quelqu'un, sans vraiment contrôler où, à une trentaine de mètres. Dernier talent, mais non le moindre, une véritable compétence valorisante, la connaissance des quartiers louches de New-York, ayant été voleur, braqueur, trafiquant de drogue et d'armes, puis voleur sans domicile fixe, il a obtenu un magnifique 9/10 au test.
  
  
• Possessions : Son chapeau, un revolver (desert eagle 50), quelques vêtements fourrés dans un sac de voyage style militaire, et ses tatouages. Une petite fortune l'attend quelque part, mais il ne sait rien d'elle, héritage de sa mère qui l'a abandonné mais qui, n'ayant jamais eut d'autre enfant, l'a tout de même désigné comme héritier. Faut-il que le notaire le retrouve un jour.
  
  
  
• Biographie : Marie-Louise Anderson était une femme d'affaire avisée, à la tête du laboratoire pharmaceutique Anderole, fondé par son père avant la seconde guerre mondiale. C'était aussi une grande collectionneuse d'art, mais aussi d'homme. Jamais mariée, tenant trop à sa liberté pour ça, elle tomba pourtant enceinte, suite à la défectuosité d'un préservatif. Elle ne sut jamais vraiment ce qui la poussa à ne pas avorter, peut-être un reste du peu de morale judéo-chrétienne qui lui restait. Mais elle n'hésita pas, en revanche, à l'abandonnant dès sa naissance, le confiant à un orphelinat. Ce n'était pas tant qu'elle n'aimait pas l'enfant, qu'elle avait nommé Dorian, en référence à son personnage préféré de littérature, mais plutôt qu'à choisir entre cet enfant et sa carrière, elle avait choisit la carrière, c'est peut-être par remord qu'elle a toujours gardé un œil sur lui, bien qu'a distance. Le jeune garçon à donc grandit à l'orphelinat, depuis sa naissance. Il n'était pas plus laid qu'un autre bébé, il n'a juste pas eu de chance, et n'a jamais été adopté. Quelque fois pourtant, en grandissant, des familles d'accueil l'avaient recueillit, mais il était, déjà petit, difficile à vivre. Alors il retournait toujours à l'institution. C'était un enfant solitaire, agité, souvent bagarreur. Rien de bien surprenant. Il n'était tout simplement pas heureux, comment aurait-il put l'être.
  
  C'est à l'âge de huit ans qu'il essaya pour la première fois de s'échapper. Bien sûr, à cet âge, comment aurait-il put y arriver. Il fut vite rattrapé, puis punit. Trois semaine privé de récréations. Mais ça ne l'avait pas découragé, bien au contraire. Pas vraiment un génie, Dorian n'en était pas moins un garçon futé, qui apprenait vite, et surtout très déterminé. à neuf ans, il retenta l'expérience, mais cette fois-ci il put atteindre le mur d'enceinte, mais il n'était pas assez grand, ni assez habile pour arriver à l'escalader. Ce fut un nouvel échec. Il ne cessa d'essayer, apprenant chaque fois de ses erreurs, se faisant chaque fois punir plus sévèrement pour ses échecs. Ce fut à 13 ans qu'il réussit. Il n'était pas bien grand pourtant, mais il avait passé tant de temps à grimper aux arbres et à tenter de descendre par la fenêtre de sa chambre, qu'il était devenu un véritable petit signe. Il était libre, enfin, et déjà si jeune il aima tant ça qu'il sut qu'il voudrais l'être à jamais.
  
  Il était donc dehors, mais sans toit sur la tête, sans famille ni amis. Mais comme ça l'a déjà été dit, il était futé, et apprenait vite. Alors il bougea, s'éloignant de cet orphelinat, dont il ne comprit que plus tard qu'il se situait dans le Queens, trop jeune à l'époque, et surtout nul en géographie. Toujours est-il qu'au cours de ses errances, il finit par atterrir à Brooklin, plus précisément dans le quartier de Little Odessa. Pour survivre il fauchait, jouant autant au voleur à la tire qu'au pickpoket. Il n'eut pourtant pas le temps de devenir bon à ce petit jeu. Un jour, alors qu'il bousculait un homme pour lui faire les poches, celui-ci s'en rendit compte. C'était un homme grand, impressionnant. Il l'attrapa, et lui parla en russe, sur un ton des plus hostiles, tout en l'entrainant avec lui, dans l'indifférence totale de la foule. L'enfant avait peur, et ne comprenant pas le russe, il ne pouvait que s'attendre au pire.
  
  Il n'y eut pourtant ni tabassage en règle, ni police. L'homme s'appelait Boris, Boris le hachoir de son petit surnom, un mafieux notoire. Bien évidemment, il ne fit pas rentrer le petit dans la mafia, après tout ce n'était encore qu'un enfant. Mais il le confia à une bande à laquelle il faisait parfois appel, pour commettre certains crimes dans lesquels il ne fallait surtout pas qu'il soit impliqué, plus par crainte des autres malfrats que de la police, à l'époque encore très corrompue. La spécialité de ce petit groupe ? La cambriole. Leur chef, Nikolaï, les faisaient s'entrainer sans relâche à ce qu'on appelle le runing, l'art du déplacement. Ce fut, au début, plus par contrainte que par choix qu'ils acceptèrent de prendre Dorian sous leur aile. Il était bien trop jeune, et surtout il n'était pas russe. Pourtant, alors qu'il s'entrainait aussi dur que les autres, il développa aussi, dans la rue, ses talents pour la fauche. Il se fit donc rapidement une place dans le groupe, devint le petit protégé de Nikolaï, qui refusa longtemps de l'envoyer sur le terrain. Au fil des ans, il apprit à parler le russe, même mieux qu'il ne parlait l'anglais, ayant arrêté l'école en même temps qu'il fuyait l'orphelinat.
  
  Il n'avait que 15 ans la première fois qu'il parvint à convaincre Nikolaï, qu'il considérait comme un grand frère, de partir sur un cambriolage. Mais au bout de moins d'un an d'entraînement, il restait un point mort pour ces gens qui avaient pratiqué durant des années l'art du déplacement. Alors quand l'alarme silencieuse de la bijouterie s'était déclenchée, et que les flics étaient arrivés, il eut beau courir, sauter, grimper. Il ne fut pas assez rapide. Piégé, laissé en arrière, les policier le tenaient. Mais il n'y eut pas de menottes, juste cette arme pointée sur lui. et cette phrase. "De la part du hachoir." La bijouterie appartenait à l'homme qui lui avait sauvé la vie, en le confiant à ceux-là même qui le volait aujourd'hui. Vint le coup de feu, puis le silence. Ça ne faisait pas mal, ça piquait un peu, mais ça ne faisait pas vraiment mal. Il y avait juste ce silence, et cette envie de s'endormir. Il fallait lutter, s'accrocher, ne pas abandonner. Mais cette envie de fermer les yeux, de se laisser aller, de dormir.
  
  Il se réveilla dans une chambre d'hôpital, seul, une menotte le maintenant attaché au lit. Il tenta de se redresser, mais immédiatement la douleur le colla au lit, arrachant de ses lèvres un grognements bruyant. Écartant les draps de sa main libre, il put constater qu'il avait un pansement imposant, en haut de l'abdomen, un peu à gauche. Il ne le savait pas, mais il avait, dans un reflex salvateur, bondit en arrière. La balle manquant son cœur, traversant la chaire pour ressortir. Les secours, avertis par des passants qui avaient entendu le coup de feu, étaient arrivé tout juste à tant. Il avait perdu énormément de sang, et avait dût être transfusé. C'était à deux jours de son réveil, déjà. Il se pensait foutu, mais pour retarder l'échéance, feint le sommeil. Il se donnait ainsi au maximum un jour de répit avant de devoir subir le courroux de la justice, c'était toujours ça. Mais il aurait dut savoir qu'on ne l'abandonnerait pas. Nikolaï traitait les gens de son petit gang comme une famille. Alors la nuit, quand il entendit le bruit sourd d'une vitre scotchée que l'on brise, il fut surpris d'être surpris. Comme il était bon d'avoir des amis capables d'escalader une façade en quelques minutes. La sortie par contre fut bien plus compliquée. Blessé, il ne pouvait pas vraiment descendre la façade sans risquer de chuter. Ses camarades durent se cacher, et le fait d'avoir simulé le sommeil lui était plus utile qu'il ne l'aurait imaginé. Il appela à l'aide, hurlant à mort. Après tout il n'avait que 15 ans, il pouvait bien avoir peur en se réveillant avec un blessure par balle dans le ventre. Les deux policiers en faction devant sa porte entrèrent, ce fut la leur seule erreur de la journée, la dernière aussi. Car à peine entrez, ils gisaient déjà tout deux inconscients sur le sol. Dorian s'habilla rapidement, essayant de ne pas penser à cette tache de sang énorme sur son t-shirt. Puis, sans qu'il ne comprenne vraiment comment, ils réussirent à sortir de l'hôpital. Il lui fallut près de trois moi avant de pouvoir recouvrer toutes ses facultés physiques et reprendre vraiment l'entraînement à fond.
  
  Il avait 17 ans quand sa vie pris un nouveau tournant, bien que léger. Depuis son séjour à l'hôpital, Nikolaï se montrait encore plus protecteur avec lui, mais le forçait aussi à s'entrainer deux fois plus dur, pour que la mésaventure ne se répète jamais. Dorian avait bien grandit, il était maintenant un jeune homme plein de charmes, et avait le corps d'un véritable athlète. Son visage, loin d'être vilain à regarder, l'aidait tout autant à attirer les faveurs des filles de son âge, mais aussi des jeune femmes un peu plus âgées. C'est à cause de ce succès qu'un jour, surpris entrain de batifoler avec la sœur d'un de ses camarades, il dut se battre avec son "frère". Il agissait d'instinct, esquivant et parant les coups en essayant de raisoner son ami. Il ne s'était que très peu battu jusque là, évitant au possible les conflits. Il se découvrait un talent qu'il pensait inné, et lorsqu'il fut acculé, incapable de repousser plus longtemps le combat, il frappa. Le coup fut sec, violent, précis. Son poing s'écrasa sur la tempe du frère en colère. Il s'effondra. Nikolaï, témoin de la scène, loin de lui crier dessus, sembla enthousiaste, presque heureux de ce nouveau talent que l'adolescent leur révélait. Bien sûr, comment savoir qu'il s'agissait d'une manifestation du pouvoir de Dorian. Que le sang qui avait servit à le maintenir venait d'un boxeur professionnel, qui avait faillit être champion du monde mi-lourd à deux reprises. Il n'y avait donc que des raisons de se réjouir, car le chef de bande, qui ne crachait jamais sur un bon pari, avait certains contact dans le milieu de la boxe clandestine. Une activité qui attirait les parieurs et qui pouvait rendre boxeur comme manager, les gens très riches. Et ainsi Dorian, devint Caracole. Ce surnom lui venait de sa façon de bouger sur le ring, se déplaçant sans cesse avec la fluidité du vent, et frappant avec la violence d'un ouragan. L'absence de gants dans ce genre de combats étaient à son avantage, car il savait esquiver et parer, au moins autant que sa frappe était sèche et précise. Caracole devint rapidement une valeur sûre pour les parieurs. La petite bande devenait de plus en plus riche, et bientôt une idée germa dans les esprits de Nikolaï et Dorian.
  
  La petite entreprise russe avait maintenant deux activités, les cambriolages pour le compte de la mafia, et la boxe. Mais étrangement, c'étaient les combats qui rapportaient le plus d'argent. Nikolaï et ses hommes n'hésitant pas à parier sur leur poulain. Mais avec l'argent vint la folie des grandeurs pour certains. On voyait désormais, dans leur repère, drogue et prostitués, mais aussi des armes, chose qui n'était encore jamais arrivé, hormis quelques pistolets factices pour leurs larcins. Mai cette fois, ils avaient un autre objectif. Dorian n'avait jamais oublié la phrase qu'on lui avait dit avant de lui tirer dessus. Il n'avait jamais oublié Boris. Il fallut des mois de préparation, car tuer un mafieux n'était pas chose que l'on faisait en toute impunité. Il fallait se procurer des armes, certes, mais aussi le nécessaire pour faire retomber la faute sur d'autres. Ce n'était pas bien compliqué, le type qui leur avait fait casser la fameuse bijouterie était la tête de turc parfaite. Alors ils se procurèrent la même voiture que la sienne, les mêmes fringues que ses hommes les plus fidèles. Puis il suivirent leur cible. Jour après jour, apprenant ses habitudes, ses lieux favoris, ses femmes préférées. Et enfin vint le jour J. Comment l'oublier, c'était le dix-neuvième anniversaire de Dorian. Il était 22 heures, le Hachoir sortait du restaurant avec ses deux catins préférées. La voiture passé devant lui, il y eut 19 coups de feux, 19 bougies. Le jeune homme avait vu une de ses balles, il l'espérait, toucher la cible en pleine tête, il ne quitta plus jamais ce revolver, un desert eagle 50, l'arme favorite de Boris. Little Odessa fut envahit par la violence. C'était règlement de comptes sur règlements de comptes. Leur plan avait marché. Avec la mort de Boris, c'était même le circuit des combats clandestins qui s'était purifié, ma mafia étant responsable de bien des match truqués.
  
  Caracole avait 22 ans désormais. Il était le bras droit, le petit bijoux, de Nikolaï. C'en était finit de la cambriole, place au trafique d'armes et de drogues. Le jeune mutant, qui s'ignorait encore et toujours, ne continuait les combats que par plaisir, par soif de violence et d'adrénaline. Le jeune homme était désormais un grand consommateur d'alcool, mais toujours de manière festive, ainsi que de drogues en tout genre, hormis certaines comme l'héroïne et le crack, dont il voulait rester éloigner autant que possible. Il continuait, parfois, à parcourir Brooklin par les toits plutôt que les trottoirs, simplement pour le plaisir. Il était heureux, du moins autant qu'on pouvait l'être en pareil environnement. Mais un jour, entra dans sa vie une femme. Natasha. C'était Nikolaï qui la lui avait présentée. C'était sa fiancée après tout. Dorian et la jeune femme ne purent résister bien longtemps à l'attraction qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. Et de nouveau il dut se battre avec un de ses frères, avec le plus important de tous, pour la bande comme pour lui. Il n'avait que deux solutions, s'enfuir ou se battre. Il partit, incapable de supporter l'idée de devoir affronter l'homme qui avait été le plus porche d'un parent pour lui.
  
  Trois ans déjà que Caracole a quitté son foyer, sa famille, il survit plus qu'il ne vit, commettant de petits larcins pour subsister, que ce soit voler des sacs dans la rue, faire du vol à l'étalage ou de nouveau détrousser les poches des passants. Pour dormir il vagabonde, tantôt sous les ponts, tantôt dans des squats. Il n'est, maintenant, plus qu'appeler Caracole, car il lui arrive encore de combattre, chaque fois qu'il le peut. Mais chaque fois il dépense tout dans les tatouages, qui recouvrent désormais une grande partie de son corps, ou en alcool et en herbe. Rarement, il vole le journal pour y lire les nouvelles, à la recherche de nouvelles de son petit gang dont il a perdu tout contact. Ce matin il est trouve enfin. Il survole les articles, et non loin de celui annonçant la mort d'une femme d'affaire, qui portait le même nom de famille que lui, sans qu'il n'y prête attention, il lit enfin. Une fusillade, un règlement de compte comme on en a pas vu depuis des années à Little Odessa. Un groupe de trafiquant d'armes a été entièrement décimé, leur chef s'appelait Nikolaï Alinovitch, retrouvé mort dans son lit, avec sa femme Natacha, et leur fille de 18 mois, morte elle aussi. Il lâche le journal, ferme les yeux. Une larme coule, la première dont il puisse se souvenir, mais elle est solitaire. Déjà il sert les poings, il faut qu'il cogne.
  

Avatar : Brad Pitt (pourquoi se priver après tout)
Personnage Marvel ? : Oui [] Non [X]
Double/Triple Compte? : Oui [X] Non []
Si oui, Qui ? : El Diablo et Dieu le père. Aussi connus sous les noms de Kurt Wagner et James Braddock
Pseudo : Caracole, encore et toujours.
Votre Age : 25 ans, ça ne change décidément toujours pas.
Comment avez vous connu le Forum ? : Lisez plus haut, je suis Dieu le père, je sais TOUT

Il semblerait, mais je ne suis pas bien sûr qu'il faille marquer [Vu par Kurkaru] quelque part.

PS : la référence à Ashe à été acceptée par la joueuse.

PPS : Merci à ma Cricri adorée pour les avatars.

Bienvenue! (Kal arrêtes de baver =p)

Comment va le Nautilus, Cap'tain?

Edit: pfff, mon message n'a plus aucun sens, Mr Gray, pourquoi avoir choisi de dissimuler ce portrait?

Liam je t'en supplie, plus de vannes foireuses sur ce prénom Des gens en souffrent...

Mais Némo (waouh, c'est la première fois que je dis ça)

Bienvenue

Caracole... Mmmh, caracoler...

"B - Emploi trans., au figuré, familier [En parlant de l'homme] : Accomplir l'acte sexuel."

Petit malin, va.
Re-bienvenue (était-il vraiment nécessaire que je te la souhaite ?) !

Merci tout le monde ^^

Bon pour le prénom, désolé Kaleb, mais j'ai changé en cours de route lol

Alors alors c'est moi qui vais m'occuper de ça. Accroche toi a ton slip mon grand.

RHAAA !!!! Tu m'énerves, je te hais. J'ai rien a dire ta fiche est bonne dés le départ, je peux pas être méchant. Pour la peine tu vas me faire le plaisir de lécher kurk.

Bon ben c'est bon pour moi, espèce de malandrin.

Je pense pouvoir dire avec certitude que cette première modération fait très plaisir au joueur, surtout venant de toi Scott, et qu'il est prêt pour le second round.

Alors, alors... Tu n'as jamais eu l'extrême plaisir d'être modéré par moi... On va rattraper ça ^^


Description :
Copie par contact ADN : Es ce que son pouvoir fonctionne dans le cas de pouvoir d'entité ? Il a besoin de quel quantité d'ADN (un fragment daté d'il y a plusieurs années ça suffit, ou il a besoin de plusieurs cellules récentes ? ) La durée du temps durant laquelle il est exposé a l'ADN influent sur la durée ou il acquière les pouvoirs ? L'utilisation qu'il fait des pouvoirs acquis influe sur la durée ? Le potentiel du mutant dont il réalise la copie influent il sur sa propre puissance ?
Copie par transmission sanguine : Dans le cas ou il reçoit plusieurs transmissions sanguines, il ne conserve pas les pouvoirs, ok, mais qu'en est il des connaissances ? Comment ça se passe dans le cas ou il reçoit des transfusions sanguines de personnes ayant un groupe sanguin différent au sien (a moins qu'il ne soit receveur universel, ce veinard ^^") ? Dans le cas d'un pouvoir apportant des changements physiques, ça se passe comment ?

Niveaux de maitrise: Ca marche.

Mental : Il pense quoi de la politique récente du gouvernement envers les mutants (en considérant qu'il ignore en être un lui même, bien sur).

Talents Particuliers : Il s'en sors dans un combat contre un type de quel niveau, à peut prêt ? Contre combien de personne non entrainées ?

Histoire : le fait de parler russe va dans les talents.
Une question, juste par curiosité : sa connaissance des lieux louches de la ville, sur une échelle de 1 à 10, tu la place comment ?

Corrige ça et ce sera ok pour moi, très bonne fiche ^^

Alors j'ai édité. Voilà ce que j'ai ajouté :

Description :

Pour cela il faut que l'ADN copié provienne directement du corps du copié, ainsi, dans le cas d'un échantillon prélevé spécialement pour l'occasion, la copie ne marcherait pas.

Si le contact venait à se prolonger, cette durée resterait constante, à compter de la fin du contact.

Tout d'abord son sang, à l'instar de son corps et son gène x, prend aussi les caractéristiques du donneur, ce qui fait de lui un receveur universel, potentiellement, mais également, avec un peu d'astuce, un donneur universel.

Les connaissances acquises ainsi ne sont pas gravées en lui, et si il ne les entretient pas il les perd peu à peu. En revanche, si il y fait appel régulièrement, les développe un peu, le savoir acquis devient sien pour de bon.

Lorsqu'il copie un pourvoir Dorian en obtient le plein potentiel, mais son absence de contrôle sur ces fameux pouvoirs fait qu'il n'est pas vraiment capable d'en faire usage à pleine puissance, ou alors de manière totalement incontrôlée, et donc dangereuse autant pour lui que pour les autres. Dans le cas d'une copie de pouvoir très puissant cependant, il peut y avoir un contre-coup. En effet, l'espace d'une heure, son corps se retrouverait alors plein d'une énergie nouvelle, et en la perdant il ne pourrait pas faire grand chose pour empêcher l'immense fatigue qui en suivrait. Dans le même registre, une mutation impliquant des changements physiques modifierait son corps d'une manière rapide et certainement choquante pour l'organisme. En reprenant son apparence normale, car il copie la mutation, il ne serait guère en meilleur état qui si il s'était fait passer à tabac. Son corps aurait alors de deux à trois jours pour qu'il ne ressente plus aucunes douleurs, musculaires la plupart du temps.

Mental :

Il a vaguement entendu parler de la création d'une police spécialisée pour les crimes mutants, mais à vrai dire, ne se sachant pas concerné, il a tendance à s'en moquer royalement.

Talents :

Agile et très bon cogneur, il pourrait certainement s'en sortir sans problème face à six ou sept combattants inexpérimentés. En un contre un, il a la vivacité et la puissance nécessaire pour amocher sévèrement, non sans difficulté, quelques maîtres en arts martiaux, mais pas les meilleurs, a qui, avec un peu de chance, il pourrait donner un peu de mal.

Il est également russophone, de par la force des choses plus que par choix. Il sait également tirer au revolver. Ce n'est pas le roi de la gâchette mais il se débrouille assez pour toucher quelqu'un, sans vraiment contrôler où, à une trentaine de mètres. Dernier talent, mais non le moindre, une véritable compétence valorisante, la connaissance des quartiers louches de New-York, ayant été voleur, braqueur, trafiquant de drogue et d'armes, puis voleur sans domicile fixe, il a obtenu un magnifique 9/10 au test.

Une dernière question, qui va me permettre de faciliter mon choix pour le potentiel : il peut choisir de ne pas acquérir les pouvoirs lorsqu'il entre en contact avec l'ADN ou pas ?

PS : si tu pouvais retirer le lol du titre du sujet ^^"

J'ai donc retiré le lol et apporté la précision demandée dans la partie maitrise.