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| Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) | |
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Invité Invité
| Sujet: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Dim 13 Fév 2011 - 23:48 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
À l'institut, Samuelle Taylor avait beaucoup d'avantage. Elle cotoyait des gens merveilleux, s'entendait à merveille avec ses camarades de classe. Son frère et elle semblait s'épanouir dans cette école, ou les mutants étaient traités avec soins, au cas par cas, et menaient une vie paisible, à l'abrit des fauteurs de troubles, mutants ou humains. Le seul soucis pour Samuelle Taylor, était d'avoir son frère vingt quatre heures sur vingt quatre sur le dos. Pas facile, quand on essaye de flirter ou bien encore plus grave, de renouer avec le passé. C'est, lors de cette journée, que Sammy avait prit la decision de conctacter le père qui les avaient abandonné quelques années plus tôt, alors qu'ils étaient âgés de treize ans. Sam se doutait bien - et c'était comphréensible - que Nathan, son jumeau, ne risquait pas d'apprécier son geste, qui n'était pas très saint d'esprit il faut l'admettre. Mais Samuelle avait besoin d'essayer, juste pour avoir la conscience tranquille. Ses derniers temps, sont pouvoirs étaient en amélioration niveau contrôle et elle travaillait d'arrache pied pour mêler évolution de ses capacités de mutants, vie d'étudiante et un semblant de vie sociale dans le tas. Le week end s'annonçait agréable aux yeux de tous. Certains avaient quittés l'institut - du moins, ceux qui avaient encore une famille - d'autres se prélassaient dans le parc, les salles de conforts et autres lieux de sociabilisation. Nathan allait justement frapper à la porte de la chambre personnelle de sa soeur pour s'apercevoir que cette dernière était vide. Pas de Sam dans l'institut, nulle part.
En faites, la jeune femme s'était levée tôt, à neuf heure et demie, avait enfilé un jean assez anarchique, déchiré de toute part, un débardeur noir prêt du corps, s'était coiffé les cheveux en bataille en s'ébrouant comme un animal sauvage, s'était passée du khôl sur le contour de ses yeux cernés de rouge feu et avait prit dans sa besace en cuir un peu d'argent, et un petit déjeuné rapide. Elle était sortie de l'institut après autorisation de Tornade et s'était rendue à New York. Elle avait enfilée des lunettes de soleil toute ronde, un peu comme les lunettes de John Lennon. Dans le bus qui l'emmennait jusqu'à Central Park, elle observait les gens. Certains était facilement reconnaissable. Des mutants, des humains, beaucoup se cotoyaient sans savoir qui est qui, si un tel ou un tel est dangereux ou non. Le Braiser escquissa un sourire avant de descendre à l'arrêt et de pénétrer dans la cabine téléphonique en face du parc connu de New York. Elle mit quelques piécettes à l'intérieur de la machine et composa la numérotation étrangère. Direction l'Angleterre. Quelques touches à entrer, taper diez, taper deux, pour le Royaume Uni, taper 3. ... On entendit quelques "biiip biiip", puis une boîte vocale se mit en marche.
"Bonjour, ici Phil Taylor, je suis désolé je ne suis pas disponible pour le moment. Veuillez laisser un message après le signal sonore, je serais ravis de vous rappeller dans les plus bref délais."
Un silence, puis vint un "biiiiiiiiip" qui sonnait comme un objet tombant sur le sol en un son lourd et pesant.
"Je... Bonjour... Enfin bonsoir... Peu importe. Je... Je suis ta fille, Sam. Je... Voulais savoir si tout allait bien pour toi. Si tu te portais bien. Je... Je n'aurais pas du appeller, je suis désolée."
Elle raccrocha brutalement et s'aperçut qu'elle avait fait fondre le plastique du combiné, à cause de sa colère. Elle soupira et ressortit de la cabine en la refermant brusquement. Elle se demandait pourquoi elle avait appellée, pourquoi elle avait composée se fichut numéro. Sammy pénétrat dans le parc et une fois de plus, observa la foule pour penser à autre chose. Dans un coin reclu du parc, ou il n'y avait pratiquement personne, Samuelle se posa sur un banc et retira ses lunettes de soleil pour se masser l'arrête du nez. Elle n'était pas vraiment responsable de ce qui était arrivé à sa mère. Elle ne l'avait pas fait exprès. Pourquoi les avoir abandonné? Avait-il peur de ses propres enfants, comme s'il s'attendait à ce qu'il soit le "prochain sur la liste"? Tout ça était idiot. Nathan avait raison pensait Sam, si il avait eu la moindre lueur de bon sens, il ne les auraient pas laissé. Il les auraient soutenus. La mutation n'est pas une maladie. C'est un don qu'il faut simplement savoir maîtriser, pour s'en servir à bon essient. À un moment donné, Sam sentie qu'on l'obervait. Il est vrai qu'une émotion forte comme celle-ci lui provoquait une erruption de chaleur qui changeait d'avantage la couleur de ses yeux déjà rouge orangés. Elle remit subitement ses lunettes en place et regarda l'individu qui s'approcha d'elle d'un pas hésitant. |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 11:04 | |
| Ce matin je m'étais levé de bon pieds, j'étais enfin en weekend, la formation que je suivait était épuisante. Être formé dans la maintenance des infrastructures ferroviaires... non mais quel idée m'étais passé par la tête quand même ! On apprenait tout ce qui était de l'ordre de la protection des personnes lors d'une maintenance, ce qu'il fallait faire ou ne pas faire... etc... enfin quand même, faut être débile pour voir que s'il y a une maintenance sur un caténaire fallait s'éloigner sous risque d'être réduit en un tas de cendre...
Je regardait l'heure après avoir grogner dans mes pensées, 10h24 ! Mais c'est pas vrai... le samedi c'est là où j'ai le plus de choses à faire sans compter que je vais devoir amener la voiture au garagiste pour une révision... et le rendez-vous étais à 13h... tant pis, je ferrais les courses plus tard... je me leva du lit puis j'allais ouvrir la fenêtre, j'étais situé au 3éme étage du bâtiment, j'étais logé dans un appartement que mes parents ont gentillement décidé de m'aider à payer le loyer, c'était l'endroit le plus proche, et le plus « paisible », qu'il y avait dans les environs, paisible est un bien grand mot... dans New-York ? Un coin paisible ?? Autant trouver une perle rare ca ira plus vite... il y aurait toujours du bruit à un moment ou à un autre... mais je n'allais pas m'en plaindre pour autant... enfin presque. Je me dirigea vers la salle de bain, et presque comme tout les matins, je me regardais dans la glace... toujours à me poser les même questions...
Après avoir fait ma toilette, m'être mis un sous pull noir et un t-shirt blanc par dessus, un jean classique... après avoir mangé je m'empressa d'enfiler mes basket blanche et rouge... j'étais enfin passé chez le garagiste, je ne m'arrêterais pas sur le détail que j'ai dû attendre deux bonne heures ! Pour me dire qu'ils allaient garder la voiture jusqu'à ce soir ! Bon... je vois que le reste de ma journée allait se faire à pied, et en plus je vais avoir mes courses à porter... tant pis, je n'achèterais que le strict nécessaire pour trois, voir 4 jours, puis j'irais de nouveau faire les courses un soir après le boulot... pour gagner du temps j'étais partit faire mes courses directement, j'étais passé par central parc pour faire en sorte que le chemin soit plus court.
Au retour, je décida d'allé téléphoner au garagiste pour savoir si je pouvais venir récupérer ma voiture maintenant. J'insérais ma carte qui me servait à téléphoner à partir de cabine.
« Allô oui bonjours, c'est M.Ahiko Kevyn, je vous appelle pour savoir si les réparations de ma voiture étaient finis ? ….. Oui... oui... d'accords Merci beaucoup, au revoir. »
Je raccrocha le téléphone et en ressortit ma carte. La garagiste m'avait annoncé que la voiture serait prête dans deux heurs apparemment... tant pis, au pire j'attendrais... je traversa le parc une nouvelle fois, je regardais les personnes qui étaient autours... qui étaient-elles ? Mutantes ? Humaines ? Aucune idée... je voulais me reposer un peu et m'assoir sur un banc, il y en avait tellement, mais fallait que j'ai cette pensée au moment où je voyait une jeune fille qui se massait la tête apparemment... j'hésitais à y aller... mais pourquoi ? Elle se retourna soudainement en ayant remis ses lunettes... elle me fixa... je devais continuer ou faire marche arrière ? Arrivais à deux mètres je décida finalement de me retourner et continuer mon chemin, j'étais toujours stressé sur le fait que je puisse me transformer comme ca sans que je puisse contrôler mes émotions... évidement en me retournant j'avais pas vu qu'il y avait une motte de terre et du coup je tomba sur le côté... un chute bien honteuse et en plus mes courses étaient par terre... décidément aujourd'hui j'avais la poisse... Je ne voulais même pas imaginer ce que cette fille pensait de moi après ca... |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 12:07 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Sam l'observait alors à travers ses lunettes rondes. Un visage plutôt agréable, un style à croquer. Elle s'accordait un sourire à elle même avant de se lever brusquement. Cet idiot s'était retourné vers elle et avait buté contre un amas de terre. C'est marrant, mais la maladresse était quelque chose que Sam avait en elle, mais qu'elle se contentait de cacher. Nombreux sont les bleus aux genoux, les poignées de porte dans la pliure du bras ou les bosses sur la tête. Y paraît qu'on appelle ça "Le syndrôme de l'enfant maladroit". Elle avait beau être agile en combat, s'entraîner tout les jours et compagnie, la maladresse faisait partie apparemment de son tempérament, de sa personnalité. Elle retira ses lunettes, les mis sur son débardeur, tenant par une branche sur le décoletée et se baissa pour voir si le camarade de maladresse se portait bien. Ils se regardèrent pendant quelques secondes. Ormis les tâches de sable sur son visage, Samuelle confirmait qu'il avait un physique plutôt avantageux.
"Mais... Mais..."
En effet, on pouvait balbutier tant qu'on voulait, Samuelle fut joliement surprise de se retrouver nez à nez avec un mutant. Ses cheveux n'étaient plus d'un noir de jais mais plutôt d'un rouge soutenu, qui allait à merveille avec ses chaussures soit-dit-en-passant. Sam l'aida à ce relever et se retrouva en face de lui. Il devait faire une tête de plus que lui et avait une carrure plutôt agréable. Ni mince ni gros, ni musclé ni chétif. Un visage agréable et une machoîre joliement dessinée. Elle se rendit compte que ses yeux étaient alors bien voyant, à vingt ou trente centimètres de lui. Démasquée Taylor!
"Euh... Tes cheveux ont besoins d'un petit changement de couleur je pense."
Un métamorphe peut être? Métamorphomage et compagnie, ça risquait d'être plutôt cool (merci J.K Rowling). Elle eu un sourire qui se voulait étrangement sociable, qui ne lui était pas si familier que ça. Ses dents blanches et ses canines joliement taillées donnaient un bon contraste avec sa peau style "blanche neige" ses cheveux en fusion et ses yeux rouge "lave". Elle lui tendit la main. Par simple soutient entre mutant peut être? Elle ne savait pas pourquoi, mais Sam ressentait un enthousiasme étrange, à mémoire d'homme, c'était l'une des premières fois qu'elle rencontrait un mutant, en dehors de l'institut. Elle adorait l'institut, aidait avec plaisir les nouveaux qui lui demandaient de l'aide, les accompagnaient dans leur intégration s'ils en ressentaient le besoin. Mais le soucis, c'est que ce besoin d'inconnu commençait à lui manquait. Sammy détourna du regard et regarda autour d'elle. Il n'y avait personne encore.
"Tu devrais... Changer ça. Au cas où, sait-on jamais."
Elle lui sourit assez timidement puis détourna le regard. Elle ne savait pas vraiment s'il était très doué, question manipulation de pouvoirs, et avoir une personne qui vous fixe, ce n'est jamais très agréable. Quoi que, Sam pouvait deviner qu'il devait avoir du mal, étant donné qu'il n'avait apparemment pas fait exprès de changer de teinte. Samuelle attendit puis lui sortit mine de rien, en lui tendant une main chaude mais douce (petit avantage de son pouvoir "chaleurreux").
"Sam Taylor."
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 14:18 | |
| Je sentais qu'il y avais du sable sur moi, super... pour me rendre encore plus ridicule il me fallait quoi ?! Quand je ré-ouvris les yeux, la jeune femme étais juste à mes côté, là je ne sais pas trop ce qui c'était passé, est-ce que le temps s'était arrêté lui-même pour qu'elle ne s'aperçoive pas que je la fixait de long en large en travers et j'en passe ? Je pus m'empêcher de penser qu'elle avait un visage superbe... elle avait des cheveux superbe, qui s'arrêtait un peu plus loin qu'aux épaules, sans compter leur couleur... Puis d'un coup elle se mit à balbutier pour je ne sais quelle raison... et seconde couche de regard ! Cette fois-ci je regardais comment elle était habillée... je ne m'arrêterais pas sur les détails, mais ca lui allait super bien... par je ne sais quel miracle, elle m'aida à me relever... enfin une personne qui ne se moque pas de vous quand vous tomber maladroitement, même si ca peut paraître drôle, enfin... ca dépends pour qui...
Une fois debout, je remarqua qu'elle était plus petite que moi, et pas qu'un peu... disons... que je faisais peut-être une vingtaine de centimètre de plus qu'elle peut-être... enfin c'est ce que je pensais... résumons... elle était mince, petite, des cheveux parfait, et... des yeux orangeâtres ?? Je n'eus même pas le temps de penser à quoique ce soit qu'elle me fit remarquer que mes cheveux avait besoin d'un changement couleur... étant donné que mes cheveux était assez long pour que je puisse les voir, je lâcha un cris très léger qui ressemblait plus à une petite exclamation de ma part... du genre un « ah ! ».
Je regarda autour de moi... personne... j'ai trouvais cette scène assez comique car la jeune femme fit pareil que moi au même moment, puis elle me dis d'arranger ca... la seul chose que je ressentais n'étais autre que l'étonnement... n'était-elle pas plus effrayée que ca, ou même... surprise ? Sérieusement si j'étais un humain et que je voyais un mec changeais de couleur de cheveux sans raison apparente je commencerais à flipper quand même ! En y repensant... ses yeux était orengeâtre, je fut surpris... mais est-ce que ce serait tout aussi surprenant si c'était une mutante ? Ça ne m'étonnerait pas sur le coup vu qu'elle avait à peine réagis lorsque ma coiffure avait changée de couleur...
Je me concentra pour ne pas me métamorphoser, ne me demandez surtout pas pourquoi mes cheveux était de cette couleur lorsque j'allais me métamorphoser... mais en tout cas je réussis de justesse à ne pas me métamorphoser... faut dire que... avoir des yeux comme ca qui vous fixe, en plus de sa un visage si radieux et joli à voir qui vous souris en plus de ca, il y avait plus de quoi rougir qu'autre chose. Après quelques instants... ou plutôt une dizaine de secondes, qui pourrait bien être les plus longue de ma vie... elle me tendit la main, en disant tout simplement « Sam Taylor », je mis 3 à 5 bonne secondes avant de réagir et de comprendre qu'il s'agissait de son identité...
Je m'empressa de faire de même, et au moment ou je toucha sa main... qui était douce et chaude... je ressentis un sentiment bizarre, sa main était l'équivalent d'un vent chaud qui vous caressait la peau lorsqu'il soufflait... je répondit finalement en balbutiant un peu...
« Ke... Kevyn Ahiko ! Je... euh... Enchanté de faire ta connaissance.. et... merci de m'avoir aidé... à me relever. »
« Mince mes courses ! » Manque de pot, j'avais pensé tout haut... J'étais tellement gêné que j'en avait oublié mes courses et que je ne savais même plus ce que je faisais... J'avais complètement oubliais le fait que tout était tombé par terre. Raison de plus d'avoir l'air encore plus idiot et bête... je crois que je n'avais jamais rencontré une fille aussi lamentablement que ca... |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 15:29 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Samuelle sourit de nouveau. Pas de surprise, mais par rapport au regard du jeune homme. Il fixait les pupilles orangées de Samuelle comme si il s'apprêtait à se noyer dans la couleur. Ahiko... Sympa comme nom. Le Kevyn sonnait trop... "pas asiatique". Il changea alors la couleur des cheveux. C'est bien ce que pensait la jeune femme. Un métamorphe. Un pouvoir intéressant mais difficile à contrôler. Sam s'inclina légèrement, signe distinctif de ses origines anglaises, la politesse est une vertue blablabla. Enfin bref. Il parla de courses. Non, ce gars là ne pouvait pas vivre comme un simple être humain?! Sam ne pouvait pas le laisser partir comme ça! Le professeur s'était toujours battu pour que les mutants un peu paumé ou autres, trouve l'Institut, pour pouvoir apprivoiser leur pouvoir et s'intégrer dans la société. Samuelle fut quelque peu déstabilisée par le regard boisé du dénommé Kevyn et entra dans le vif du sujet.
"Attend! C'est la première fois que je rencontre un mutant qui ne vient pas de l'école. Je..."
En faites, elle s'aperçue soudain de l'idiotie de la situation. Samuelle était la parfaite petite mutante de l'insititut. Bon le soucis, c'est qu'elle ne pouvait se permettre de trop connaître d'autres gens de l'extérieur de trop près. Ses amis proches avaient été un peu choqué quand elle leur avait raconté son passé, ce qu'il s'était passé chez elle il y a de ça quelques années. Ormis ce petit détail, effectivement, elle était la parfaite mutante "de Xavier". Bien entretenue à l'Institut, elle avait encore un proche parent, des amis, elle suivait des cours, elle s'améliorait de semaine en semaine. Ce gars là, elle ne le connaissait pas. Elle était aveuglée par la nouveauté, et un physique avantageux. Elle soupira, remit ses lunettes et lui tourna le dos avant de commencer à repartir. À chacun de ses pas, de la fumée s'en dégageait, comme si un restant de flamme s'éparpillait à sa trace. Sammy jurait intérieurement d'avoir agit bêtement. Mais il l'a rattrapa. Elle leva ses lunettes noires et les placaient en serre-tête sur le sommet de son crâne. Un léger souffle de vent caressait ses cheveux qui voletaient légèrement. Sam le regarda longuement et déballa le tout, à prendre ou à laisser, le jeune homme était de cette façon fixé sur la personne:
"Je suis une mutante et je vis à l'Institut Xavier. Une école pour les gens comme nous, qui aide à contrôler ses pouvoirs. Elle enseigne mais héberge également ceux qui en ont besoins."
Voilà, ça s'était dit. Elle observa la main droite du jeune homme qui commençait à devenir écailleuse. Sam arqua un sourcil et lui montra d'un geste du regard. En même temps, quand le destin nous fait rencontrer des personnes comme ça, on ne pouvait lutter. Blake aurait très bien pu passer son coup de fil foireux, rester un instant à regarder les gens dans le parc de la ville, puis rentrer à l'école comme si de rien n'était, se chamailler avec son frère et aller s'entraîner au gymnase avant de passer une soirée avec ses amis. Mais non. Au leiu de ça, elle était tombée sur un gars comme lui, un mutant. Sammy ne pouvait pas laisser sa curiositée de côté, et passer son chemin. Pourquoi? Aucun idée. En tout cas, pour lui prouver ce qu'elle était, elle ouvrit sa main dans laquelle flottait une petite flamme, qui semblait innofensive. Si quelqu'un les voyaient, ils étaient bon pour une amande ou je-ne-sais-quoi. Sam leva les yeux et fixa le regard corbeau du bel asiatique et eu un sourire, bouche cellée, avant de refermer sa main, comme si de rien n'était. Elle avait envie de lui en montrer un peu plus, comme pour le convaincre de venir parmis eux, mais il était encore un peu tôt pour ça.
"As-tu déjà entendu parler de l'Institut? D'après ce que je vois, tu as des pouvoirs... Difficiles à manier." |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 17:46 | |
| Après avoir enfin ramassé la totalité de mes courses... je me redressa et regarda de nouveau la jeune fille, c'est là qu'elle se mit à parler comme si c'était vitale, que quelqu'un était en danger... ca me faisais bizarre d'un côté... elle me dit que c'était la première fois qu'elle voyait un mutant en dehors de l'école... mais quelle école ?? Celle qui était faite pour mutant ? Venait-elle de cette école là ? Elle soupira puis dans la seconde elle partit... pour moi aussi c'était la première fois que je rencontrais un mutant, ou du moins c'était la première que j'en rencontrais un en vrai. Je décida de la rattraper, je lui pris le bras pour l'empêcher d'aller plus loin, je ne pouvais pas la laisser partir comme ca...
Elle me dit par la suite qu'elle faisait partis de l'institut Xavier, c'est donc bien celui dont je pensais... Elle m'expliqua très brièvement ce qu'étais l'institut... mais personnellement, ca ne me tentais pas plus que ca... Elle me fit un signe du regard vers mon bras, je n'avais pas fais gaffe mais il était devenu écailleux... je fit mon possible pour empêcher la transformation... pas ici, non, pas maintenant. Si je me transformais maintenant je serais contraint de me cacher pour éviter les regards des passants.
De son autre main elle en ouvrit sa paume, une flamme en jaillit, bien que petite, elle me prouvais qui elle était... je remonta mon regard jusqu'à elle qui avait le sourire... et un regard qui pourrait réchauffer le cœur le plus triste qui soit... elle referma sa main par la suite... me faisant redescendre sur terre, je lâcha son bras... puis elle me demanda si j'avais déjà entendu parler de l'institut...
« Oui j'en ai déjà entendu parlé, mais rien de plus que des ragots ou alors de ce que disent les médias... jamais rien de concret... »
Je tourna la tête... ce n'était pas facile pour moi de parler à quelqu'un, moi qui me forçait à rester à l'écart au maximum de toutes personnes...
« Et c'est justement pour cette raison que je n'y suis jamais allé... et je ne pense pas changer d'avis maintenant. »
Allé dans cet institut signifierais voir beaucoup de personnes, trop même à mon goût, et je ne suis pas prêt à voir autant de personnes, surtout mutantes dans un seul et même endroit... et puis je ne pourrais pas y entrer comme ca, et qu'est-ce qu'il adviendra de ma formation ? Et mes parents ? Ils ne sont pas au courant, je ne leur ai jamais dit... quel serait leur réaction face à ca ? Non, je ne pouvais pas y aller, ca m'était impossible pour le moment. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 20:45 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Sammy eu un sourire. Un lézard? Sympa comme métamorphose. Elle pouvait imaginer la vie du jeune homme. Le même âge que Sam, avec ses deux parents, dans un petit appartement ou une maison bien comme il faut, une vie plus que normal. Encore une fois, le Brasier se sentait étrangement idiote. Apparemment, il y avait des mutants qui vivaient très bien leur particularité. La jeune femme aux yeux de braise baissa le nez vers ses Rangers et se mordit la lèvre inférieur. Bien sûr, son travail n'était pas de recruter du mutant dans tout New York m'enfin bon. Elle releva la tête vers lui et le regardai dans les yeux. Quelque chose qui était une habitude chez Samuelle, de regarder ses interlocuteurs en face. De la confiance en elle sans doute. D'autant plus qu'un regard comme celui d'Ahiko.
"Tu n'avais jamais rencontré d'autres mutants?"
Comme ça, il ne semblait ne pas vouloir entendre parler de l'école des mutants. Pourtant, il avait tort. L'Institut avait vraiment aidé les jumeaux Taylor. Si Phil les avaient abandonnés sans les mettre à l'abrit, où est-ce qu'ils auraient pu aller? Nul par, ils n'avaient plus personne. La mère de Samuelle n'en voudrait pas à sa fille, ce n'était pas de sa faute. Elle aimait ses enfants. Nathan et Samuelle avait réussit à s'épanouir et à oublier le passé. Sam s'asseilla sur le banc qu'elle venait de quitter quelques minutes plus tôt et croisa les jambes. En même temps, rien ne l'empêchait de discuter un peu. Juste à cet instant, le téléphone portable de la belle sonna.
"Excuse moi."
Sammy sortit son téléphone. Elle vu son interlocuteur en grand sur l'écran du téléphone portable. Elle leva les yeux au ciel et décrocha: - Appel de Nathan:
"Allô?" "SAMUELLE MIRANDA TAYLOR!" "Nathan, tu me perces le tympan là." "J'en ai rien à foutre! T'es où?!" "Central Park." "Toute seule?" "Non."
Sammy lança un regard d'excuse à Kevyn et changea d'oreille, l'autre étant momentanément indisponible.
"Bref, qu'est c'que tu veux?" "Sam, tu veux pas rentrer à l'Institut?" "Pourquoi faire?" "Bah on devait tous s'entraîner ensemble." "... D'accord j'arrive."
Sam raccrocha son frère et se tourna vers Kevyn.
"Dis Ahiko, j'aimerais discuter d'avantage, mais je dois y aller. Mon frère. On pourrait continuer cette discution devant l'arrêt de bus?"
Blake lui sourit et se levai, en espérant qu'il l'accompagne. Ils marchèrent le long des allées de Central Park. Ils croisaient alors de nombreux humains, mais aussi des mutants, qui se mêlaient parfaitement à la foule. Au détour d'une allée, on pouvait voir une jeune fille à l'allure parfaitement normale, tourner les pages d'un livre à l'aide d'une queue de démon, ou des enfants congeler à la main un esquimau qui commençait à fondre. Tout cela n'était pas tout à fait visible, si on ne faisait pas vraiment attention. Mais Sammy était une observatrice. Elle faisait attention à ce qui l'entourait. D'ailleurs, elle pouvait remarquer le regard également attentif de Kevyn. Samuelle, un peu gênée du silence momentanée, ouvrit le dialogue une fois de plus.
"Dis moi, tu as des origines de quel pays? Ca pourrait être une bonne base pour un surnom! Non parce que généralement, les ... "gens comme nous" ont des surnoms. Enfin chez nous à l'institut ça fonctionne comme ça. Ca peut apporter une touche d'humour à ceux qui en ont peur, ou donner de l'importance aux Xmen."
Bizarrement, la discrétion de Kevyn mettait à l'aise la jeune femme aux yeux de feux. Sa langue sembler ce dénouer. Elle rougit quelques peut en remarquant qu'elle parlait beaucoup et s'excusa en inclinant la tête. Ils arrivaient devant l'entrée de Central Park, près de l'arrêt de bus. Sammy consultat son téléphone portable. Le prochain bus était dans une petite heure, à cause de l'heure creuse et de la pause déjeunée des bons conducteurs américains, prêts à s'empiffrer de pignon de poulets chez Clucky Bell. Sam soupira et s'assit sur le banc, à l'entrée du parc. On voyait déhambuler les enfants d'une dizaine d'années, un ballon à la main en riant à gorge déployer, des familles prêtes à pique niquer et autres. |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 21:35 | |
| Je ne savais pas pourquoi... mais le sourire de cette fille, Sam, me faisait du bien, chaud au cœur, pour quelles raisons ? Allez donc savoir pourquoi... je ne savais même pas moi même... elle me demanda, après s'être rassis sur le banc, si j'avais déjà rencontré d'autre mutant auparavant... je lui répondit simplement.
« Non... c'est bien la première fois... enfin que je rencontre un mutant en vrai... » en détournant le regard encore une fois, car je n'arrivais pas à fixer une quelconque personne... ou du moins, dans certaines circonstance... autant j'arrivais à pouvoir regarder quelqu'un longtemps dans les yeux, autant j'en était incapable des fois...
C'est toujours un choque de faire la connaissance de quelqu'un qui est comme vous, chaque que vous passez devant quelqu'un on ne peut cesser de se dire « Je suis différent de lui... et de lui aussi... », etc... etc... une phrase qui revient sans cesse vous tourmenter la tête. La j'avais en face de moi une personne qui, enfin, était semblable à moi... à quelque chose près...
J'entendis un téléphone sonner, je me demanda si c'était moi, mais en fait non, c'est Sam, elle s'excusa et décrocha le téléphone. Pendant ca conversation, je la regardais quand elle ne faisait pas attention à mon regard, ou sinon, je regardais mon propre portable, en y repensant, fallait que j'aille chercher ma voiture dans un peu plus d'une heure et demi moi... Après quoi, elle me demanda si ca ne me dérangeais pas de l'accompagner à l'arrêt de bus pour continuer à parler, je fis un signe de tête comme quoi ca ne me dérangeais pas.
On traversa donc central parc, chemin que j'ai fait à l'allé... et... je ne sais pas si c'était moi qui devenais fou ou paranoïaque, mais je voyais des mutants ! Jusqu'à là rencontre de cette fille, jolie... hum... j'en voyais pas un seul, et là ! J'en vois comme si c'était courant, et ca n'avais l'air de choquer personne... en même temps... je ne crois pas que les humains normaux faisaient attention... au contraire... je crois même qu'il ne voyait rien carrément. Pour quelles raisons ? Aucune idée, comme d'habitude.
Arrivé à l'arrêt, elle me demanda de quelle origine j'étais, elle m'expliqua ensuite que ca pourrait servir de base comme pour surnom... apparemment c'était pour tout les « X-men » qu'on attribué un surnom, ou du moins... les mutants. Je mis un temps de répondre... et c'est peut-être pour ca quel fit un signe de la tête pour s'excuser pour je ne sais quelle raisons d'ailleurs, encore une fois... mais ca me fit sourire, ca faisait longtemps qu'une personne ne m'avait pas sourire...
« Même si je n'ai une envie d'avoir un surnom car je ne suis pas un X-men, je vais quand même te dire d'où je tiens mes origines, enfin... t'as du remarqué que j'étais asiatique, mais plus précisément d'origine japonaise, mais je suis né au States. » Lui répondis-je d'un air chaleureux et avec le sourir comme jamais je n'avais encore parlé depuis des années maintenant ! C'était un exploit pour moi de dire ca comme ca !
Bon... fallait bien que j'ouvre la conversation au moins une fois... enfin... du moins que je relance, au minimum... je me décida et pris un air gêné tout d'un coup...
« Et toi ? Tu as des origines... héhé... » J'avais mis le bras derrière la tête et j'avais les yeux presque fermé et un large sourire pour évité d'exprimer ma gêne... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Lun 14 Fév 2011 - 23:45 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Samuelle eu un rire en remarquant le petit air gêné de Kevyn. Elle lui adressa un signe en "V" des doigts et sourit avant de ce mettre à l'aise sur le banc, en rejetant quelques mèches folles en arrière:
"Je suis née à Birmingham, au centre ouest de l'Angleterre. J'ai emménagée quand j'étais gosse aux Etats Unis, puis après un petit... Accident à la maison, j'ai emmenagé il y a six ans à l'Institut, avec mon frère jumeau. C'est pas plus mal, on a pas à ce plaindre. On y a apprit à maîtriser nos pouvoirs et à les améliorer."
Sammy ouvrit la paume de sa main. Une petite flammèche parcourait alors le bras de la jeune femme, pouvait se balader un peu partout, sans rien brûler. Puis elle disparut, comme ingérée par la peau de Sammy. Elle eu un sourire presque affectueux et regardait au loins. Les voitures, la circulation en général. Tous ces êtres vivants ressemblaient à des fourmis dans leur fourmilière. Ca grouillait, ça se bousculait, ça gigotait dans tout les sens. Avant d'emménager à l'Institut, Samuelle était une petite fille simple qui vivait dans une famille normale. Trop normale même.
"Mon frère lui, est géokinésiste. Tu devrais voir ce qu'il fait, c'est impressionnant. Mais bon il a trop confiance en lui tu vois genre... Courreur de jupons, en plus d'être une tête brûlée! Pire que moi!"
Sam riat avant de regarder son portable. Un message: "RAMÈNES TES FESSES FISSA BLAKE! Ton frère qui t'aimes bien quand même." Sam leva les yeux au ciel et lança un regard à Kevyn. En le regardant, on pouvait deviner un jeune homme qui n'avait pas parlé à quelqu'un depuis longtemps. Un peu comme le Brasier en un sens. Seulement, ce jeune homme semblait plus timide, réservé, introvertie enfin bref, tout ce que Sammy n'était pas. C'est vrai qu'elle était du genre curieuse, à vouloir connaître les secrets des gens par simple satisfaction de la vérité. Elle aime rétablir la vérité, mettre les choses au claire pour éviter les quiproquos et écouter les gens. Enfin non... Sam n'aime pas écouter les gens. Disons simplement que son charisme naturelle et sa personnalité donne envie aux gens de se confier à elle. Elle n'aime pas spécialement ça, ça lui est plutôt égal en réalité. Mais bizarrement, rencontrer une personne nouvelle, en dehors de l'Institut, semblait changer Sam. Cela lui était agréable.
"À l'Institut on m'apelle Blake ou le Brasier tout dépend. Dis moi, comment tu fais pour.. Vivre "normalement" si tu as des difficultés à maîtriser tes pouvoirs?"
En effet, la capacité à maîtriser pleinement un pouvoir est une science, une matière difficile et sinieuse. Les premières fois, Sam avait faillit mettre le feu au parc de l'école. Sans le faire exprès bien sûr, elle avait envoyer une étincelle sur l'herbe. L'effet boule de neige: L'étincelle qui enflamme le brin d'herbe, qui lui-même enflamme le restant de la vertude. Un bon morceau du parc avait senti l'herbe brûlée pendant une semaine. Par la suite, elle avait brûlée à la main le professeur Xavier qui l'avait examiné à l'infirmerie pour vérifier que sa "maladie" était comme endormie dans son esprit. Elle avait mit moins de temps que son frère à s'attacher au personnel de l'école. Le professeur, les autres enseignants et membres des Xmen. Nathan lui était plus méfiant. Il avait essayé de défier leur autorité plus d'une fois, mais avait perdu à chaques tentatives. Si l'un d'entre eux se m'était à accorder sa confiance aux membres du personnels de l'Institut Charles Xavier, l'autre réflechissait et donnait raison à son jumeau. C'était une sorte de principe qui ne pouvait être remit en cause.
- Hors Sujet:
Nul nul nul nul désolé.
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Mar 15 Fév 2011 - 20:08 | |
| A la suite de ma question, Sam eu un léger rire, en même temps... il n'y avait qu'à voir ma tête ainsi qu'à entendre le son de ma voix, et vous aviez tout les éléments réunis pour faire rire quelqu'un... elle remit ses cheveux en place puis répondit, elle était en Angleterre, puis elle déménagea ici, au États-Unis, après je n'avais aucune envie de savoir sa vie personnelle... c'est pas que ca ne m'intéressait pas, c'est juste que ca ne se faisait pas et que c'était impoli, j'aurais bien voulu en savoir plus, mais non... et puis elle ne devait pas me connaître assez pour pouvoir me faire autant confiance. Elle était à l'institut Xavier depuis six ans apparemment. Pendant son explication, où elle me dit qu'ils apprenaient à mieux maitriser leur pouvoir, elle ouvrit la paume de sa main pour faire apparaître une petite flamme, qui parcourait son bras de long en large... on aurait pu écouter de la musique à côté pour faire croire que la flamme pouvait danser...
Elle me parla de son frère, légèrement, mais assez pour comprendre qu'il était l'inverse de moi... et pourtant c'était un mutant. J'avais l'impression même d'être différent au sein des mutants... même si ce n'étais que des mots, je me sentais encore plus différent...
Elle me regarda après avoir reçu un message, apparemment c'était encore son frère vu comment elle avait levé les yeux au ciel. Son regard était plein de vie, elle, ca ne la dérangeait pas plus que ca de parler à inconnu, et encore moins à un mutant, quand à moi... c'était tout l'inverse, ca me stressé, enfin... j'étais plutôt mal à l'aise on va dire. Le fait qu'elle puisse me parler sans presque aucune gêne, alors que moi... je peinais à dire ne serais-ce qu'une phrase... elle me posa ensuite une question que je trouvais... assez délicate à répondre. Je réfléchis un instant pour savoir quoi répondre, je regarda mes pieds, les personnes qui étaient tout autour de nous, traversant la route, attendant je ne sais quoi... je me décida enfin à répondre...
« Hé bah... comment je fais pour vivre cette vie normalement... enfin... si on peut appeler ca une vie. Je ne sors que si c'est nécessaire, si je veux prendre l'air je sortirais la nuit, jamais le jour. Là j'ai été obligé d'allé faire mes courses à pieds car ma voiture est au garage... et je dois allé la récupérer dans... » Je regarda l'heure sur mon portable, j'avais encore le temps, il me restait 30 minutes environs, et c'était à même pas 5 minutes de marche... je continua donc ma phrase après avoir rangé le portable dans ma poche : « Dans environ une demi-heure. Saleté de voiture... »
Je regarda ma main qui étais très légèrement écailleuse et je pensais à ce pouvoir, je parlais avec une certaine frustration...
« Pour moi... ce pouvoir n'est rien d'autre qu'une chose qui divise encore plus l'humanité... comme si on en avait déjà pas assez avec les problèmes de couleurs... fallait y rajouter une deuxième espèce humaine... tsss... » Je referma mon poing comme si je voulais écraser quelque chose, écraser cette bêtise qui n'est autre que la peur, le rejet d'autrui, ca m'énervais... pourquoi rejeter ceux qui sont dans le besoin ? Même si je ne croyais pas du tout en dieu, pour moi ce pouvoir était une malédiction qui entraînerait la perte de beaucoup de personne... elle n'est que l'avertissement d'une guerre. Une de plus, il y a déjà eu des guerres par le passé, et juste pour des problèmes de couleur, alors imaginez pour un problème de race ? En tout cas c'est ce que je pensais, de toute façon, on serait capable de faire la guerre pour le vol d'un billet de 1 dollar... - HRP:
Désolé j'ai pas trouvé mieux, et aussi pour le temps d'attente, mais je t'en ai expliqué les raisons ^^
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Mar 15 Fév 2011 - 22:26 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Samuelle écoutat son interlocuteur avec un intérêt tout particulier. Ses paroles étaient affreuses. Il semblait complètement introvertie, coincé dans son corps. Son pouvoir semblait l'empêcher de pouvoir mener une vie heureuse. Sam lui, en un geste pas du tout timide, saisit sa main écailleuse. Elle plongea son regard ardant dans ses yeux couleur ténèbre et chauffa quelque peu la paume de sa main. Une mince brûlure, à peine plus douloureuse qu'un pincement de peau. En un instant, la main du jeune homme redevint humaine, douche et de taille conventionnelle. Sammy eu un sourire avant de lui lâcher la main.
"Tu ne comprends pas Ahiko... Il suffit juste d'apprendre à maîtriser le don que le ciel nous a donné pour pouvoir, au moins, vivre une vie normal. Certains à l'Institut ne se servent jamais de leurs pouvoirs. Ils ont simplement apprit à les maîtriser. Être un mutant ne veut pas dire être obliger de sauver le monde."
Les paroles de Blake étaient pleines de bon sens et se voulaient amicales, rassurantes. Mais en un sens, elle le comprenait. Après tout, la mutation avait enclenchée sur la Terre entière une déferlente de problème. L'histoire de la statue de la liberté, Magnéto le terroriste, les gangs anti-mutants, qui les passent à tabac. Ils étaient la "nouvelle cible à la mode" et c'est ce qui était malheureux. De plus, l'expérience personnelle de Sammy ne pouvait que confirmer la thèse de Kevyn. Lorsqu'elle avait treize ans, c'est elle, qui avait tué sa mère. Si Sam aurait été humaine, elle n'aurait jamais vécu ce drame. Son père ne les auraient pas abandonnés. C'est elle qui avait fait explosé la chambre parentale. Pas Pierre, Paul ou Jacques, non, c'était bien Samuelle Taylor qui avait tué sa propre mère. C'était une vérité affreuse et effrayante. Mais elle n'y pouvait rien. C'était bien arrivé. Sam secoua la tête et ferma alors les yeux, comme si elle était sujet à un mal de crâne soudain. Elle se massa entre les yeux et remit ses lunettes noires. On pouvait voir ses yeux briller à travers le verre opaque. La couleur de ses pupilles s'était intensifiée à cause de ce souvenir qui lui était revenu en tête. Sam soupira et détourna le regard de Kevyn, et dit en prenant un air détaché:
"Encore un petit aléa, comme quoi j'ai encore des progrès à faire."
Elle lâcha un rire pas très convainquant et regarda au loins. Non, ce n'était pas une histoire de progrès, mais de maladie. Si les souvenirs redevenaient trop brusque, si le passé ressurgissait ou qu'une émotion trop intense, comme un traumatisme émotionnelle lui parvenait, Sam exploserait de nouveau, comme le jour ou elle tua sa mère. Son corps se recouvrirait de flamme sans possibilité de contrôle. Elle brûlerait tout sur un périmètre d'on ne sait combien de mètre. Un risque donc permanent. Samuelle devait faire attention à tout. C'est également pour ça que son frère prennait soin d'elle. Entendons nous bien, les jumeaux Taylor étaient si proche, que Nathan oubliait sa carapace de "pauvre type tête brûlée" auprès de Sam et devenait un frère protecteur et attentionné. Il n'en voulait aucunement à sa jumelle d'avoir tué leur mère. Il en voulait au hasard de lui avoir compliqué les choses avec ses pouvoirs. En avoir était déjà assez difficile comme ça. Blake jeta un coup d'oeil à son téléphone. En effet, le bus ne devrait pas tarder à arriver, dans une petite demie heure. Les verres de ses lunettes avaient chauffés, mais elle restait stoïque, histoire de ne pas montrer à son camarade mutant qu'elle était trop instable pour ne pas faire fondre les verres de ses lunettes. Rien n'était perceptible de l'extérieur. Son mal être, son inquiétude face à des pouvoirs trop fort pour elle. Du moins, si les gens ne lui prêtait pas attention. Dans le cas contraire, on pouvait facilement s'attacher d'avantage à Sam, ou à être effrayé pour elle ou simplement pour son propre grade. C'était comme un être qui habitait en vous et qui voulait vous déloger, vous faire du mal. Pourtant, le feu, ce pouvoir intense, faisait partie d'elle. Elle aimait son pouvoir, ce don qui était venue de je-ne-sais-ou.
"Sache qu'il n'y a qu'un mutant tel que moi pour comprendre la frustration de la situation. Souvent la mutation nous dépasse, on en est presque épuisé. Mais la mutation n'est pas une tare... Enfin..." Sam eu quand même un rire, étant donné la situation. "... Ca dépend des fois mais il faut être conscient de la particularité que l'on possède. Cependant tu as raison, c'est un sujet de débat, mais les politiques n'ont pas encore comprient qu'ils ne pourront rien changer à la mutation. C'est comme vouloir refaire le monde." |
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Mer 16 Fév 2011 - 14:19 | |
| Je sentais bien que mes paroles étaient dur avec le monde, mais je préférais ne pas me voiler la face... je ne savais même où je me positionnais. Quelle idéologie était meilleur que l'autre entre Charle Xavier et Magnéto... je n'avais aucune idée... et tandis que mon bras devenait de plus en plus écailleux, Sam mis sa main sur la mienne... sa main était chaude... à ce moment là j'oubliais tout, je ne pensais plus qu'à sa main. C'était un sentiment bizarre que je ressentais à ce moment...
La colère qui était en moi disparu.. pas d'un coup comme par magie, non, elle s'était transformée en un sentiment apaisant, il ne fallut que quelques secondes pour que ma main revienne à la normale... je l'écouta attentivement ensuite... avait-elle tord ou non ? Selon les points de vue de certaines personnes ca aurait divergé... en tout cas, de mon point de vue, elle n'avait pas tord, sauf en un point, ce dont ne venait pas du ciel, non, ca je refusais de le croire. Je ne savais pas d'où sa venait, mais en tout cas, ca pouvait pas tomber comme ca par malchance ou chance, chacun a sa manière de voir ca...
Elle était silencieuse après ca, on aurait même dit pensante... mais à quoi ? Ou à qui ? En tout cas, peu de temps après ses yeux était devenus presque lumineux, même les lunettes ne pouvaient empêcher de voir ses yeux... elle détourna le regard puis dit qu'elle avait des progrès à faire, en même temps, on ne pouvait que progresser... elle eût un petit rire... mais n'importe qui aurait remarqué que ce rire était forcé. Elle regarda dans une direction aléatoire, le regard presque dans le vide on aurait pu dire... du moins, c'est ce que je pensais...
Puis elle me dit que la mutation n'étais pas une déformation génétique... j'aurais pas dit ca comme ca, mais pas loin quand même. La mutation n'était pas un cadeau non plus... Puis un point sur lequel je pouvais la rejoindre, c'est que la politique en fait un débat comme jamais il n'y en a eu jusqu'à maintenant... enfin... à ma connaissance... Cependant... la politique ne pouvait rien changer à cela, et c'était vrai. Et s'il ne comprenait ca tout de suite, ca pouvait terminer à la catastrophe... renier tout un peuple à part pourrait amener à de grave conséquence...
« J'aimerais savoir... en qui crois-tu le plus ? Si j'ai bien suivi... l'idéologie de Charle Xavier et de se battre pour les humains et leur faire voir que les mutants ne sont pas tous ce qu'ils sont... mais est-ce que ca en vaut vraiment la peine franchement... je dis pas qu'il fait pas essayer, mais pour moi ca sert à rien de résonner quelqu'un, c'est comme tu le dis... re-faire le monde... »
Ce n'est pas que je voulais me battre au côté un partis ou d'un autre, mais à quoi ca servait de se battre ? Autant bien diplomatiquement que physiquement, sérieusement... si personnes n'est capable d'accepter un mutant, je vois pas pourquoi ils changeraient d'avis après tel ou tel action ou parole. - HRP:
J'ai pas trouvé mieux =/, gomenasai
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| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Mer 16 Fév 2011 - 17:25 | |
| CENTRAL PARK Kai Hen & le Brasier
Samuelle arqua un sourcil avant de hausser les épaules. Elle avait énormément de respect pour le professeur Xavier. C'est pourquoi elle se devait de lui rester fidel. Il était comme un sauveur. Il avait littéralement changé la vie des jumeaux Taylor en leur apprennant à maîtriser leur pouvoir. En faisant comprendre à Sam qu'elle n'y était pour rien dans la mort de sa mère, il lui avait redonné confiance en elle. Il appaîsait son esprit et lui expliquait ce qu'il adviendrait de sa capacité de mutant.
"Le professeur Xavier essaye. En aucun cas il ne désire changer le monde. Il veut simplement que le monde ne soit pas "perturbé" plus qu'il ne l'ai déjà à cause des mutants. Il a aidé beaucoup d'entre nous. Sans l'école et le professeur, de nombreux mutants auraient fini dans des quartiers sombres ou auraient causés des dégâts autour d'eux. Le professeur à sauvé beaucoup de vie mine de rien. Notamment la nôtre..."
Sam ne pouvait qu'appuyer ses arguments que sur sa propre expérience. Elle ne pouvait juger ou connaître le passé de tout les autres mutants de l'institut, mais ceux qu'elle connaissait semblaient dans la même galère. Un passé difficile, dû à la mutation ou non, et un sauvetage, un "retour à la réalité" grâce à cette école. Elle représentait beaucoup aux yeux de tous. Dans cette école, vous n'étiez pas seul. Si une jeune fille pleure la nuit, parce qu'elle à fait quelque chose de mal, ou qu'un souvenir douloureux lui reviens en tête, un autre mutant viendra la réconforter, lui changer les idées. C'était comme ça à l'Institut. Ils se serraient les coudes. Autrement, ce n'était qu'une école comme une autre. Retenu pour les turbulants, des cours pas forcément très intéressant, des heures de trou dans la journée ou chacun pouvait s'occuper à sa guise. Samuelle soupira en regardant le bus venir au loins. Il était en avance. Elle devrait rentrer à la maison. Elle enleva ses lunettes, la couleur de ses yeux s'étant calmé quelque peu, les essuya avec un mouchoir de son sac, puis les garda à la main un moment. Elle sortit ensuite un bout de papier d'un carnet qui se trouvait également dans son sac, et un crayon de papier. Elle y griffona quelques chiffres "994-042-2345", puis elle déposa le morceau de carnet dans le creux de la main de Kevyn. Le bus s'arrêtat, les portes s'ouvraient. Blake remit ses lunettes rondes sur le nez et avait presque oublié que sa main se trouvait encore dans cette du jeune asiatique.
"J'aimerais beaucoup rediscuter avec toi. Si tu n'y vois pas d'inconvéniant. Appels-moi à l'occasion. Je suis libre ce soir."
Elle escquissa presque un sourire avant de se lever et de marcher parmis la foule de passager à l'intérieur du bus. De la vitre elle l'aperçut encore. Elle baissa ses lunettes vers le bout de son nez pour le regarder puis lui sourit, avant que le bus ne parte en direction de chez elle. Elle espérait pouvoir ressortir ce soir.
Sammy rentra donc à l'institut dans l'après midi, et alla comme convenu à la scéance d'entraînement avec son frère. Ils passèrent des heures à s'entraîner, à lutter ensemble. Coincé dans une fissure provoquée par Nathan, Sam rendit les armes. Son jumeau s'approcha d'elle en souriant, la narguant presque, puis lui tendit une main pour l'aider à ce relever.
"Oh faites soeurette, tu ne m'as pas dit avec quel BEL ÂTRE tu étais ce matin!" "Ca ne te regarde pas Nathan." Elle sortit du trou et finit dans les bras de son frère, avant de relâcher leur étreinte. "Et pourquoi pas? Je suis ton frère! C'est un humain? Un mutant? ... Il est mignon?" "C'est un hamster qui s'apelle Jean-Charles. Non sérieusement qu'est c'que ça peut te faire?" "Je m'assure que ma soeur est de bonne fréquentation." Répliqua Nathan en souriant, le regard espiègle. "Dis plutôt que tu veux avoir bonne conscience?" "Aussi! Alors?" "C'est un garçon très gentil qui s'apelle Kevyn. Et oui, c'est un mutant. D'autres questions?" "Il est mignon?"
Sam attrapa sa serviette et lui donna un coup avec, histoire de ne pas à avoir à répondre à cette question indiscrète. Après quoi, la belle passa à la douche. Les mirroirs se teintèrent de buée en un éclair, dû à la chaleur douce de son corps nu sous l'eau. Elle ressortit rapidement puis s'habilla avec ses affaires de rechange. Un jean très serrer, ses rangers et un corset noir à bretelles. Elle essuya d'un revers de main la buée sur une des glaces et s'inspecta. Ses cheveux séchaient plus vite que l'éclair et ses yeux semblaient baigner dans de la lave en fusion. Elle se repassa un coup de khôl avant de recevoir un texto. Rendez vous à Central Park. Elle se rendit à l'avance sur les lieux. La nuit étant fraiche, elle s'était vêtue en plus de son long manteau de cuir. À ne pas croiser dans une ruelle en pleine nuit! Elle vit arriver quelqu'un eu un sourire intérieur, contente de retrouver cet inconnu qu'elle aimerait découvrir, la curiosité de l'étrangé étant trop forte.
Dernière édition par Samuelle Taylor le Jeu 17 Fév 2011 - 15:02, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Une épaule sur laquelle s'appuyer (FE : Kevyn) Mer 16 Fév 2011 - 20:56 | |
| Je sentais que Sam était frustrée par ce que j'avais dit, enfin... moi c'est ce que je pensais, et je ne pouvais que continuer à le penser après ce qu'elle avait dit... après tout, moi je me fondais que sur des rumeurs, ou encore ce que disait les médias chaque jours... Enfin bref... Le bus arriva, Sam fouilla dans son sac pour prendre un bout de papier qu'elle me donna qui s'avérait être son numéro de téléphone, je la regarda dans les yeux après qu'elle est enlevé ses lunettes... Le bus était arrivé à notre hauteur, même si on avait vu le bus arriver, j'avais l'impression que ce temps était terriblement long... Sam avait encore sa main sur la mienne, je ne savais pas si elle l'avait remarquée ou pas, en tout cas moi, je me sentais super gêné... une fois les portes du bus ouvertes, elle entra et me dit juste avant que les portes ne se ferment qu'elle aimerait qu'on se revoit, et que ce soir elle était libre... je la regarda par le fenêtre, je pouvais voir son regard, puis juste avant que le bus ne s'en aille, elle me souris...
* Elle est mignonne en y repensant... non mais à quoi je pense là ??? ressaisis-toi mon pauvre vieux... elle est trop bien pour toi. *
Je regardait ensuite le bout de papier pour enregistrer le numéro de téléphone... 994-042-2345, en voyant l'heure sur le téléphone après avoir enregistré le numéro, je n'ai pu m'empêcher de penser tout haut...
« Aaah ! Ma voiture ! »
En effet je devais allé chercher ma voiture au plus vite, en plus c'était pressant là... bon tant pis, j'enverrais un message à Sam plus tard...
[…]
Après avoir couru pendant le kilomètre à faire jusqu'à l'endroit où était entreposée ma voiture, c'est à dire, chez le garagiste... je ne passerais pas en détail le fait que j'ai faillit avoir une crise cardiaque en voyant la facture des réparations... c'était presque la moitié de mon salaire ! Y avait interêt que ca tienne pour ce prix là...
Je pris donc ma voiture et couru jusqu'à mon domicile qui était au 4éme étage, comme si je n'avais pas assez couru d'ailleurs... Arrivé, je pris le temps d'envoyer un message.
« Rendez-vous ce soir à l'endroit où je suis tombé si tu veux, vers 21h – 21h30, Kevyn » Le numéro de téléphone devrait afficher 165-094-1991
En fait... en écrivant ce message, je m'étais rendu compte à quel point j'avais envie de la connaître, ca ne m'étais pas arrivez depuis 6 ans presque. C'était un personne avec qui je pouvais parler sans qu'elle n'ait peur de mon pouvoir... je repensais à ses paroles... malgré ca, je ne changeais pas d'avis concernant mon avenir, j'avais lui trouver de la sympathie, ca ne changeait en rien dans le fait que j'aille à l'institut ou dans un quelconque autre groupe...
je regardais l'heure... 20h15 ?? C'était une blague ? Je pris juste le temps de prendre une douche et de m'habiller autrement, enfin autrement... c'était beaucoup dire ! J'avais juste changé la couleur de mes vêtement, un jean... bleu foncé... un sous pull blanc et un t-shirt noir avec mes basket blanche et rouge... ca changeait pas trop en fait...
Je pris la voiture, sans prendre le temps de manger... j'espérais qu'elle aurait à faim, ca me donnerais une excuse pour manger. Je me dépêcha de descendre et d'allé me garer au parking le plus proche de Central Park... après quelque temps, il était 21h24, j'étais enfin au point de rendez-vous, elle était déjà là, assise sur le banc. J'aurais bien voulus décrire la manière dont elle s'était habillée... mais non, je... hum... je n'osais même pas penser comment elle était... enfin bref... elle avait avec elle deux bouteille de bières. Je voulais dire quelque chose... mais je ne savais pas quoi dire... elle me souris, puis je décida de parler enfin...
« J'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre... j'ai pas vraiment vu l'heure donc... » C'est là que mon ventre se mit à gargouiller... je regarda mon ventre, j'étais gêné là... très gêné... « Désolé... j'ai pas eu le temps de manger ce soir... on va manger si ca te dérange pas? »
On marcha jusqu'à une autre sortie nous menant dans une rue de New-York qui était très éclairée, en même temps... quelle rue ne l'étais pas ? J'avais l'impression que le soir était encore plus vivant qu'en plein jour, les panneaux de pub, les grands immeubles qui étaient beaucoup plus impressionnant, et aussi beaucoup plus beau au vue de leur éclairage jaunâtre, ou encore bleu... il y avait plusieurs variétés de couleurs pour les pubs, c'était à la fois impressionnant et beau, mais juste pour les couleur... les publicités en elle même n'avaient rien d'intéressant. Je me tourna vers Sam qui avait toujours le sourire, et un regard superbe... Je finis par lui demander
« Bon... tu veux manger quoi et où ? » Et pour la première fois depuis longtemps, j'avais parlé sans gêne et avec un sourir qui était venu naturellement... je m'étonna moi même que quand je m'en rendis compte je m'étais senti gêné à nouveau... on aurait pu voir que je rougissais... |
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