Kira Lewinski, une rockstar parmi vous (ou pas...)[TERMINEE]

©harlie

NOM : Lewinski PRENOM : Kira ALIAS ET SURNOM : alias Sun, surnommée Blondie, T-Barbie (Trash Barbie), ou Miss Nothing. AGE : 19 ans DATE DE NAISSANCE : 8 février 1992 M ETIER: Chanteuse NATIONALITE : Polonaise GENRE : Féminin, célibataire, bisexuelle. CLAN : Elève X-men

Pouvoirs :

• Description :
  
  • Absorption de l’énergie:
    L’énergie est la source vitale de Kira, bien plus que la nourriture, ou le sommeil. Si elle a accès à suffisament d’énergie, elle peut survivre pendant plusieurs jours sans dormir et manger. Les soucres d’énergie de Kira sont la chaleur naturelle (comme celle du feu, ou d’une explosion), la lumière du soleil et l’éléctricité. Elle absorbe naturellement la lumière et la chaleur du soleil tous les jours, c’est ce qui lui permet d’être toujours en forme, et de maintenir une réserve constante et raisonnable d’énergie. Sa capacité d’absorbtion est, dans l’absolue, illimitée, mais il faut que ce soit un choix. Il faut que Kira décide de conserver une grande quantitée d’énergie en elle. Sinon elle garde au quotidient le même niveau d’énergie. Cette absorbtion lui permet d’être quasiment infatigable, mais elle ne substitue pas totalement aux besoins humains, même si Kira a moins besoin de manger, de boire et de dormir que les autres. Mais son énergie ne se recharge pas automatiquement en fonction de ses dépenses: si elle en libère beaucoup, son niveau ne va pas réaugmenter instentanément, même si Kira est à côté d’un feu de joie. Ce phénomène a une vitesse constante, dans la mesure ou il y a une source d’énergie, quelque soit son intensité, à proximité. Pour la recharger plus rapidement, Kira doit, ou s’ouvrir pleinement à une source d’énergie puissante, ou forcer la vitesse de recharge d’elle-même. Cette deuxième solution est un cercle vicieux, car pour accélérer sa recharge d’énergie, elle doit en épuiser, elle se recharge plus vite qu’elle ne se décharge dans ce cas là, mais si elle est vraiment à plat, sa recharge mettra plus de temps: elle sera lente au début, puis augmentera de façon exponentielle.
    Mais, si vous laissez Kira dans un pièce froide sans lumière ou juste à la lumière électrique, même avec autant de nourriture et de sommeil qu’elle le souhaite, elle n’en mourra pas. Elle se sera juste pas au sommet de sa forme. Un peu malade. Si l’énergie qu’elle capte peut substituer au sommeil, à la nourriture et à l’eau, c’est aussi valable dans le sens inverse.
    
    
  • Libération de l’énergie:
    Kira peut libérer l'énergie qu'elle absorbe soit sous forme de chaleur, soit sous forme d'énergie pure, émannant d'elle-même. Contrairement à l'absorbtion, la liberation d'énergie se fait de façon limitée. Bah oui, si Kira libère toute son énergie, elle n'en a plus, et meurt. Elle peut, dans l'absolu bien sur, modéliser l’énergie selon son souhait: boule, vague, fil, mur, disques... tout ayant elle-même comme source, bien sur. Mais elle doit pouvoir libérer son énergie de n’importe qu’elle partie de son corps au choix. Dans une bonne maîtrise, il lui sera aussi possible d'agir sur le volume et la densité de ses projections d'énergie, régulant ainsi leur puissance, et garantissant plus d'efficacité.
    L'énergie absordée par Kira est restituée sous forme d'énergie pure, quelque chose à mi-chemin entre le feu et l'électricité, d'un bleu très pâle. Mais si elle absorbe, par exemple, une explosion, elle doit pouvoir la restituer instentanément sous forme de cette même explosion.
    
  
  
  
• Niveaux de maitrise:
  Quasi nul. Bon, pas élevé on va dire. Il faut positiver. Pour l’instant, elle sait qu’elle peut libérer son énergie. Elle n’arrive qu’à faire sortir des flux plus intenses que ceux qu’elle émet d’ordinaire (sous forme de chaleur), sinon, il faut qu’elle se concentre énormément ou qu’elle s’énnerve pour produire de plus puissantes vagues d’énergie dont elle ne peut quasiment pas régler la puissance. La puissance de l’énergie qu’elle libère dépend alors du degré de sa colère. Elle arrive juste à concentrer l’énergie dans sa ou ses mains quand elle la sent arriver. Sinon elle sort de tout son corps. Elle ne sait pas qu’elle peut faire des réserve de l’énergie absorbée: si ce qu’elle absorbe en trop dans une journée n’est pas consommé par son activité, cela lui fait faire des sautes d’humeur, ou des élans d’hyperactivité, ou l’énergie se libère sous forme de chaleur, donc de fièvres, ou, si la quantité absorbée est trop imporante, sous forme d’énergie pure.
  Elle a aussi comprit qu’elle avait besoin de soleil, ou de la chaleur du bon feu pour se revitaliser. Mais elle ne sait pas encore qu’elle peut aussi absorber l’énergie électrique ainsi que celle d’une explosion. Même si elle a parfaitement comprit que pour se faire une nuit blanche, un feu de camps lui suffisait amplement.
  Elle n’a pas vraiment fait le lien entre l’absorbtion et la liberation. Elle n’a pas vraiment réfléchit au cheminement de l’énergie en elle. Pour l’instant elle essaye de gérer ses élans d’hyperactivité et se concentre sur la maîtrise de la liberation.
  
  
• Lien entre les Pouvoirs:
  L'énergie: elle l'absorbe et la restitue, comme une batterie, mais peu aussi s'en servir à son compte pour garder la forme.
  

Description Physique :

• Apparence :
  Il y a pas mal de chose qui choc quand on voit Kira. Son Maquillage, son style, la longueur de ses cheveux, et si on regarde plus attentivement, sa maigreur également.
  
  Commençons par ça, tiens! Sa maigreur. Que les choses soit claires, elle n’est pas à proprement parler anorexique. Bon après, vous pouvez la traiter comme telle, elle s’en fout pas mal, entre nous. Non, c’est juste qu’elle est assez... tête en l’air, feignasse et pas très branchée nourriture, alors en général quand elle est seule à l’heure des repas, elle ne mange pas. Elle n’est pas maigre au point d’en aire laide, mais cela ne saurait tardé si elle arrêtait ses virées semestrielles dans des fast food. Comme quoi ils n’ont pas que du mauvais. Et puis bon, Kira a conscience qu’elle n’est pas bien épaisse et essaye de ne pas aggraver la situation (même si l’idée de l’améliorer ne lui a jamais traversé l’esprit.) Cette extrème minceur lui donne l’air d’être une grande perche, mais il n’en est rien, et s’il lui arrive de dépasser la moyenne des mecs, mesurez ses semelles compensées avant de juger de sa taille. Elle fait 1m 66, ni plus ni moins. Then... il ‘y a pas grand chose d’autre à dire de son corps en général, sinon qu’elle est blanche comme ses fesses. Mais polonaise aussi. Ceci explique cela.
  
  All right. Maintenant sa bouille. Un beau visage tout fin, tout candide. Quoi vous me croyez pas? Enlevez lui son maquillage, bande de nains! J’vous jure. Ca pour sur, Kira adore, mais adore, se charbonner les yeux. Comme elle les a très clairs, gris clairs la plupart du temps, (parfois bleus clairs, gris foncés, et très rarement vert foncés) les entourés de noirs les font bien ressortir et lui donne un regard de méchante. Technique piquée à Alice Cooper, mais il ne lui en veut pas (il vaut mieux d’ailleurs). Elle amie bien aussi se rougir les lèvres. Avec du vrai rouge. Elle fait rarement les deux en même temps, ça lui donne un air de vampire albinos, mais ça lui arrive quand même. Donc oui, le maquillage de Kira choque aussi. Elle n’en reste pas moins une belle fille qui ferait bien de moins se maquiller, mais ça elle y songera quand elle aura un vrai boulot, et/ou des gosses, et/ou plus le temps de s’amuser. Quand à ses tifs, ils sont bruns à l’origine, mais elle s’est assez vite péroxydée, et se préfère largement comme ça. D’où «Blondie».
  
  Niveau vestimentaire, Kira est comme sa musique: grunge. Elle est aussi très fan des jartelles et porte jartelle. C’est un style vulgaire, je vous l’accorde, mais elle aime bien. C’est de la que vient son surnom T-Barbie. En tout cas, ça aussi elle songera à en changer plus tard. On est pas tout les jours jeunes, man.
  
  
• Signes Particuliers :
  Bizarrement, pas de tatouage. Ca fait des années qu’elle veut s’en faire un, elle sait où, mais pas quoi. Ballot, hein. Elle porte souvent des colliers, parfois assez nombreux, mais pas toujours les mêmes. Pareil pour les bracelets. Elle a les ongles de la main gauche courts: elle est guitariste. Normal. Oh, est une cicatrice de quatre centimètres à l’intérieur de son poignet gauche.
  Son seul signe particulier, c’est sa voix. Quand elle parle comme ça, on la trouve peut-être un peu grave, peu être un peu rauque, mais il faut l’entendre chanter pour de vrai, sans micro, en acoustique, pour entendre que sa voix est loin d’être commune à toutes les filles de cette fichue planète.
  Ah, et elle dit souvent «all right» aussi, depuis qu’elle a entendu un de ses idoles le dire d’une voix grave à te faire avoir un orgasme.
  

Caractère :

• Mental :
  Ah, ah... lol Ca va être drôle cette histoire.
  Kira n’est pas vraiment quelqu’un de simple. Enfin, elle est assez facile à vivre, mais alors n’allez pas fouiller dans son esprit torture et mal famé, même un télépathe ne s’en sortirait pas sans devenir fou. Oui, bon peut-être pas. N’empèche que. Kira est le chat de Cheshire incarné.
  
  D’abord, oui. C’est un chat. Elle ne fait pas grand chose de son temps, mange (ou plutôt picore) quand elle veut, et se vautre un peu n’importe où dans des positions pas possibles. Vous ne l’avez jamais retrouvée endormit dans un arbre, ou en train de regarder la télé les jambes par dessus l’appuit tête d’un fauteil la tête en bas, ou à moitié à quatre pattes les fesses en l’air sur le dossier d’un canapé? Bah ça ne saurait tardé. Elle passe le plus clair de son temps à rêvasser, ou «couchée» quelque part, ou en se promenant. Elle aime autant la solitude que la compagnie. De toute façon elle n’est jamais seule. Elle a souvent de très longues conversations avec elle-même.
  Quand elle est entourée, elle change beaucoup. Elle est assez bavarde, très joueuse et câline, et incroyablement chiante. Elle n’arrête pas de sortir des vacheries dès que l’occasion se présente. Mais ça même quand ça sonne méchant, ce n’est jaais le but. Kira n’est vache qu’avec les gens qu’elle apprécit, les autres, elle s’en fout et n’en parle même pas. Aussi, elle se plaint tout le temps, même quand elle est de bonne humeur. Bon, entre nous, c’est essentiellement pour faire chier son monde. Elle ne se plaint pas parce que que les choses lui déplaisent. Elle s’en fout. Elle se fout de tout, ou presque. La seule chose dont elle ne se fiche pas c’est la souffrance. Physique ou psychique. Elle en a une sainte horreur. Elle est en réalité terrorisée par la souffrance psyqhique. Physique moins, elle est un peu masochiste... Aussi elle n’aime pas les méchants en général. Bref.
  
  Kira passe effectivement son temps à jouer. La vie est un immense terrain de jeu pour elle. C’est pour ça qu’elle est chanteuse, gogo-danseuse à ses heures perdues, bisexuelle, grunge, masochiste et j’m’en foutiste. Comme ça elle vit pour elle, point barre. D’ailleurs oui. Ne pensez jamais qu’elle fait quelque chose pour vous. Si elle le fait ce sera pour elle-même. Pour soulager sa peine, sa pitié, sa souffrance. Pas pour vous. Vous n’êtes pas grands choses de plus que des jouets pour elle. Mais si elle ne joue jamais méchament. Au mieux, vous pouvez être ses compagnons de jeux. Comme les membres de son groupe. Non, le mieux c’est d’être un de ses «idoles». C’est le cas si vous avez quelque chose qu’elle veut avoir ou qu’elle admire. Pas un objet, plutôt un trait de caractère. Là elle vous vénère. Mais faut pas rêver. Seuls quelques très bons, et beaux bassistes, guitaristes et chanteurs ont atteint se niveaux là. Et ils se comptent sur les deux mains.
  
  En tout cas, non Kira n’est pas quelqu’un de dur à vivre. Elle n’a pas d’exigences quelconques, et trouve aussi bien sa place dans sa famille que dans un squatte. Enfin si, la seule exigence de Kira c’est: «Bon Dieu, mais retire-toi ce ballais du c*l, et vis ta vie comme tu veux!». Oui,... elle n’aime pas les coincés. Enfin, elle ne s’y interesse pas.
  Il y a deux autres catégories dans les êtres humains pour elle. Les «décors», ceux qui ne l’interessent strictement pas. Et les «méchants», qui sont, et bien... méchants. Pour ça aussi, Kira est assez pénible. Elle colle des étiquettes aux gens avec autant de vitesse et «d’analyse» qu’une caissière passe les produits un à un au «bip». Elle les ranges dans ses petits cartons «idoles», «compagnons de jeu», «jouets», «décors», et «méchants», quasiment instentanément. Mais elle n’est pas tétue et reconnait ses erreures de jugement. Ou plutôt elle s’en moque pas mal, tant mieux pour vous si vous valez plus qu’elle ne le pensait.
  
  Bon ok, non, d’accord. All right. Kira n’est pas aussi superficielle et bizarroïde. Les discussion qu’elle a avec elle-même sont loin d’être stupides, et au fond d’elle, elle est loin de penser que le monde est un terrain de jeu. Vraiment loin. C’est juste un panier de crâbe où tu te bats pour avoir une vie pas trop nulle. Sa technique à elle est c’est légèreté apparente. C’est toujours mieux que ceux qui critiques tout le monde pour se prouver que leur existence n’est finalement pas si pitoyable que ça. Ou ne l’a pas été. Kira sait où est le bien, et où est le mal. Elle sait ce qu’elle ne doit pas dépasser pour ne pas être une gârce et devenir elle-même une méchante. Elle sait aussi qui sont ses vrais amis, et que ses idoles ne sont que de pâles images qui finiront par s’affadir encore plus et disparaître totalement. Elle sait tout ça. Elle sait qu’elle ne s’en fout pas de tout, mais qu’elle hait tout, et qu’il vaut mieux être indifférent que haïr de ce cas là. Elle sait aussi qu’elle vous écrasera comme une mouche si jamais vous essayait de la faire redevenir ce qu’elle était. Une bonne fille bien gentille qui faisait toujours passer les autres avant elle, ne s’énnervait jamais parce que c’était mal, et bouillonnait de l’intérieur jusqu’à ce qu’elle fasse une tentative de suicide.
  
  Elle souffre, mais l’ignore, dit que non, considère que son malaise quasi permanent est le niveau zéro, qu’elle va bien. Elle extériorise dans ses chansons dont les paroles sont parfois horriblement... vraies, et illustrants à la perfection l’être humain et tout ses travers. Elle sait que le monde peut être effroyablement moche «Where Did Jesus Go» étant sa chanson l’illustrant le mieux. Elle écrit dans ses chansons ce qu’elle veut qu’il lui arrive, ce qu’il lui ait arrivé, et surtout ce qu’elle ne veut pas vivre, avec toutes ces histoires d’amour râtées. Oui, elle a affreusement peur de l’amour depuis qu’elle à briser le coeur d’un garçon qui la hait, et s’est fait brisé le sien par une fille qu’elle hait. Mais surtout, sa première chanson reste la plus importante pour elle, car «Miss Nothing» est la seule chanson à parler, même si c’est abstraitement, de sa tentative de suicide et de son changement.
  Kira est une fille sensible, même si la seule sensibilité que vous verrez d’elle c’est quand elle chiale à la fin d’un film. C’est aussi une fille encore un minimum idéaliste qui ne donnera sa virginité qu’à un mec qu’elle aime. Et parce qu’elle en a un peu peur aussi. En attendant, elle ne couche qu’avec des filles, et sans trucs en plastiques, merci bien. Elle est aussi terrorisée par l’idée de se mettre en colère, car les deux dernières fois qu’elle l’a fait, cela n’a franchement pas été bon ni pour elle dans le premier cas, ni pour les autres dans le deuxième.
  
  Mais maintenant elle vit comme elle l’entend tout en sachant ce qu’elle sait, tout en sachant qui elle est, parce que:
  
  «And as I watch you disappear into my head
  Well, there's a man who’s telling me I might be dead
  So I'll waste my time, and I'll burn my mind
  So I’ll waste my time, and I'll burn my mind
  On Miss Nothing, Miss Everything!»
  -The Pretty Reckless-

• Talents Particuliers :
  Mmh... talents, talents, elle sait faire pas mal de choses, mais de là à ce que se soient des talents. Elle chante. All right. Ca vaut toujours d’ailleurs quand t’es chanteuse d’un groupe de rock. Elle sait jouer de la guitare... disons qu’elle a de bonnes bases, suffisantes pour se faire des rythmiques toute seule à la folk pour chanter ou à la guitare élec’ quand il y en faut deux dans certaines chansons. Elle sait faire du skate board, aussi. Et elle se démerde très bien, que se soit pour des virées en ville ou dans un skatepark. Elle est également douée en couture. Quasiment tous ses fringues ont subit une retouche et certains ont carrément été fait par elle. Bah oué, quand t’es exigente dans ton style vestimentaire et que tu trouves pas LA jupe que tu veux, bah tu te la fais. Et à force, tu deviens douée.
  
  
• Possessions :
  Fringues, chaussures, bijoux, skate rose, maquillage, guitare folk noire, guitare électrique noire avec skull, clopes, sucettes, pots de Nut... quoi vous demandez pas l’inventaire? Ah... bah sinon elle a TOUJOURS sur elle son I-pod 32 Go (oui, elle écoute BEAUCOUP de musique). C’est tout. Elle a souvent son portable, mais pas tout le temps, elle n’aime pas l’idée d’être constament joignable.
  
  
  
• Biographie :
  La petite Kira est née à Lubliniec une sympathique ville polonaise, d’un père polonais et d’une mère américaine. On passe son passage d’enfance dans le pays du choux, de la patate et de la vodka à la cerise, qui n’a pas grand chose d’interessant, et on passe directement à ses 11 ans. En général, il n’arrive pas grand chose aux gens pendant leurs 11 premières années de vies, sinon de belles saloperies. A ses onze ans donc, enfin, quand elle avait onze ans, sa grand mère maternelle tomba malade, et comme papi ricain ne pouvait pas toujours tout assurés derrière, Monsieur et Madame Lewinski déménagèrent dans la banlieue de New York City pour s’occuper de la belle famille de monsieur, qui lui, s’il n’avait pas perdu ses parents, avait de très mauvaises relations avec eux. All right.
  
  C’est à partit de là que la vie de notre Kira internationale commence à devenir marrante. Ou pas. Enfin non, pas tout de suite. Il faut attendre ses 15 ans pour qu’elle ne brise son premier coeur. Mmh... ce fut pas mal méchant, d’ailleurs. Enfin, non! N’allez pas croire que c’était une gârce! Non, juste que le garçon en question était éperdument (y fait peur ce mot, hein) amoureux d’elle, et que elle, bah non, quoi. Et du coup, lui souffrit énormément et déversa sa haine autant qu’il le put sur Kira. Kira qui le vécut suffisament mal pour que ses parents décident de la changer d’établissement scolaire.
  A cette époque, la petite blonde, elle s’était décolorée à 13 ans, était encore bien gentille. Bien gentille, douce, et toujours à faire passer les autres avant soit, à s’effacer pour ne pas poser problème, à ne pas donner son avis et à aller dans celui de la collectivité pour, là encore ne pas embêter... et pire que tout, ne jamais s’énerver contre qui que se soit pour n’embêter personne. A force de s’effacer toujours devant les autres, Kira finit par se sentir faible, lâche, ininteressante. Elle se mise à détester tout le monde, même ses parents. Mais elle n’osait rien faire, et ne pouvait pas s’imposer à cause de sa peur d’être faible.
  
  Un jour, elle se mit en colère. Contre son père, pour une bêtise. Elle avait 17 ans. Il la gifla. Ce n’était franchement pas la première fois que ça arrivait, et de toute façon, elle n’avait rien contre cela, une bonne fessée ne faisait pas tant de mal que ça, et remettait les idées en place. Mais elle se sentit vraiment frustrée, impuissante, petite et carrément misérable d’être dans cet état à son âge, et alla s’enfermer dans sa chambre ou elle resta dans un état de semi-catatonie. Kira laissa toutes ses émotions fluctuer entre elles jusqu’à ce qu’elles entre en collision et fasse naître une vague de haine destructrice en elle dont elle. Elle fila dans la salle de bain et chopa le premier scalpel qu’elle trouva, bien décidée à aller planter son père. Mais quand elle se redit compte de son attention, elle retourna le scalpel contre elle et se trancha l’intérieur du poignet gauche. Elle resta un moment perplexe, l’aura destructrice qui l’aurait à l’instant portée jusqu’au bout du monde retomba instentanément. Mais elle ne prit pas vraiment peur. Elle observa son sang avec intérêt, puis remarqua qu’il coulait par terre. "Aïe, ça tâche le sang..." pensa-t-elle avant d’ouvrir le robinet et de faire couler l’eau sur sa plaie. Elle resta un instant là à contempler son sang se dilué dans l’eau et s’échapper dans la tuyauterie. Puis se fut le noir, et un réveil à l’hopital. Puis, Kira resta deux semaines en hopital psychiatrique, où elle fit de nombreux accès de rage les premiers jours avant de se calmer. Elle discuta avec les autres patients qui étaient là pour les mêmes raisons qu’elle. Dépressifs, sataniques, gens trompés ou récement divorcés, chômeurs,... tous avaient bien sur le point commun d’avoir râté entièrement ou en partie leur vie. C’était quelque chose d’évident, mais Kira ne l’avait jamais vraiment réalisé. Et elle ne voulait pas finir comme eux, même si elle avait déjà bien commencé. Elle écrivit «Miss Nothing» deux jours avant sa sortie, et la mise en musique avec un autre patient, Jack, qui fut son premier «compagnon de jeu», qui lui avait apprit les bases de la guitare folk. Cette chanson l’aida vraiment. Elle chantait la nouvelle «Kira», celle qu’elle allait devenir, celle qui allait vivre comme ELLE voulait, et la mort de celle qu’elle avait été.
  
  Elle rentra chez elle, ses parents lui demandèrent: «Qu’est-ce que tu veux?» inquiets, bien sur. Elle les regarda en souriant et leur répondit: «Fear of nobody, wanna be somebody» tiré d’une chanson de Marilyn Manson. C’est là que a vie de Kira commença vraiment.
  Oh! Pour sur, ses débuts dans le «monde underground» ne fut pas des plus simples. Mais, la folie enfantine apparente de Kira plaisait relativement aux gens et ils adoraient sa facilité à sortir des vacheries, et comme elle n’était jamais vraiment méchante, Kira ne se faisait pas vraiment d’ennemis. Les «gens» s’amusait aussi de la voir parfois un peu paummer dans leur univers et la baptisèrent «blondie» par référence à sa couleur de cheveux et pour souligner son côté «candide» à leur yeux.
  Ellle cessa de l’être quand elle chanta «Miss Nothing» en public, pour la première fois, dans un bar avec des «amis» (des «jouets» pour elle). Ils adorèrent, car beaucoup se retrouvèrent dans sa chanson, et surtout parce qu’ils étaient sur le c*l de voir, ou surtout d’entendre, qu’elle avait une voix pareille. Deux jours après, elle avait gagné trois «compagnons de jeux», avec qui elle forma le groupe «The Pretty Reckless». Blondie devint alors Mis Nothing, et elle obtient d’avantage encore de crédit aux yeux de la populass rock-hard-métal de NYC.
  
  A partir de là, Kira ne rentrait plus bien souvent chez elle, ne serait-ce que pour donner des nouvelles. Si ses parents s’inquietèrent au début de son radical changement de style, ils furent surtout très étonné et en même temps rassuré d’entendre son point de vu rationnel et logique du monde. Ils et elle savaient que tant qu’elle ne le perdait pas, elle ne sombrerait dans aucun excès. Ce qu’elle ne fit jamais d’ailleurs. Elle ne se droga jamais, ne fumait pas plus que ça, et buvait uniquement aux fêtes dont le but était de se coller la murge du siècle. Elle passait essentillement son temps chez ses rares "compagnons de jeu" ou dans des squatte avec un peu tout le monde. Parallèlement à sa vie sex, drugs, alcool & rock’n roll (même si les deux du milieu étaient absents ou en option) elle continuait d’aller voir les gens qu’elle avait connu à l’HP. Soit à l’hopital quand ils n’en étaient pas encore sortit, soit chez eux. Elle garda un lien très étroit avec Jack avec qui il lui arrivait encore de composer.
  
  Il y eut encore 2 événements notables dans la vie de Kira, une histoire d’amour râtée avec une fille, Audrey, qui, étrangement pour une emo gothic, ne s’assumait pas bi ou lesbienne (avec de recul Kira finit par se dire que c’était surtout une grosse greluche qui voulait voir «ce que ça faisait de sortir avec une fille» et qui s’était trouvé une bonne poire pour essayer), toujours est-il que Kira était bêtement tombée amoureuse d’elle et que cette histoire lui fit du mal; et enfin et SURTOUT, la découverte de ses pouvoirs mutants, qui ne commença qu’à ses 18 ans bien tassés.
  
  Enfin, au début, c’était encore assez vague. Pendant les vacances d’hiver, ses parents décidèrent d’aller en norvège, au-dessus du cercle polaire. D’habitude, partir en vacances était exclu pour Kira, elle préférait rester à NYUC (New-York Underground City, comme elle et ses amis appelaient affectueusement leur coin de la ville), mais là... figurez-vous que pendant 4 mois, en hiver, au-dessus de cercle polaire, il fait nuit H24. Et ça, ça faisait tripper Kira. Elle adorait cette idée, et en plus, les jeunes scandinaves étaient réputés pour aimer le bon métal de base, et ça, Kira trippait dessus aussi. Ne le dîtes à personne, mais elle fantasme sur les scandinaves. D’ailleurs elle ne fut pas déçue du voyage. Ce fut l’éclate totale pendant... 3 jours? Après, elle se sentait de plus en plus fatiguée, jusqu’à ce qu’elle soit tellement affaiblit qu’elle aterrit à l’hopital. Pas de soleil, froid, pas l’idée de mettre les doigts dans une prise électrique (normal vous allez me dire), Kira se vidait de plus en plus, et comme elle n’était pas une grosse mangeuse, elle ne compensait pas trop là-dessus. Alors elle dormait. Tout le temps. Ses parents finirent par rentrer et la faire rapatrier dans un hosto à New-York. Même s’il ne faisait pas très chaud à NYC, il y avait au moins du soleil, même en petite quantitée, filtrée par les nuages. Mais Kira sortit de l’hosto aux bout de deux jours, et comme dans la maison de ses parents, il y avait une cheminée, et bien elle se remise très vite. Personne ne comprit le pourquoi du comment.
  
  La suite fut nettement plus simple à comprendre. Ce n’est pas parce que Kira sombrait dans la décadence (ce qui n’est même pas vrai), qu’elle avait tout laissé tomber, loin de là. Elle continuait d’aller au lycée et avait de relatives bonnes notes. Pour sur, elle ne faisait pas parti des cheerleaders et ne sortait pas avec le capitaine de l’équipe de foot, ce que lui aurait peut-être bien voulut à une période, mais elle, gouark, non jamais de la vie. Mais elle avait aussi sa réputation au lycée, surtout que les jeunes ne comprennaient pas pourquoi une Trash-Barbie comme elle (ce surnom lui vient donc des lycéens) s’entendait aussi bien avec les profs. Pour la simple et bonne raison qu’elle se pose plus de question sur la condition humaine que sur quelles godasses elle va bien pouvoir mettre aujourd’hui. Brefons. Comme tous les lycéens ricains, le sien avait ses têtes de turcs. Une fois, un de ces ringarissimes et pourtant infatigables membres du club d’échec fut victime d’une persecution qui partie un peu trop en vrille, ce qui énerva Kira au possible. Le quaterback s’en prennait à sa victime, derrière le lycée, dehors, ou Kira était partie fumer clope. Même si ça ne lui arrivait pas souvent, cette fois, si. La situation l’énerva d’autant plus que là l’autre abrutit de sportif n’avait aucune raison apparente de faire ce qu’il faisait vu qu’il n’y avait pas de public. Elle ordonna au grand zabrutit d’arrêter et essaya de le choper par le bras, mais celui-ci lui répondit gentillement de la fermer et la dégagea d’un coup de poing en pleine face. Kira recula sous l’impact, regarda un moment le grand zabrutit, et sentit un pic d’drénaline lui monter le long de la colonne vertébrale et son corps chauffer brusquement et paf! Une vague bleuté approximativement de la forme de son corps se propulsa hros d’elle et alla frapper de plein fouet le quater back qui alla s’étaler trois mètres plus loin. Kira et la membre du club d’échec restèrent un instant bouche bée. Le grand zabrutit ne bougeait plus. Kira se précipita vers lui et prit son pouls. Il n’était pas mort. All Right. «T’inquiètes pas, il pensera qu’il a rêvé, et je ne dirais rien.» Kira se retourna vers l’autre qui s’était relevé et la regardait d’un air grave. «Je sais ce que c’est d’être persécuté parce que différent, alors je vais pas te faire ça. Surtout que tu viens de me sauver, non?» Il eut un petit sourire et partit. «Et surtout tu te ch** dessus à l’idée que je te fasse pareil pour me venger...» murmura-t-elle.
  
  Par la suite, Kira n’eut que quelques rares mésaventures qui, en tout cas, lui permirent de prendre une décision imporante en très peu de temps. Il lui arrivait souvent d’être malade, de mauvaise humeur, ou d’avoir des coups de speed quand elle ne faisait pas grand chose peandant plusieurs jours. Elle avait prit la résolution d’aller courrir dès qu’il ferait meilleur, mais c’était encore l’hiver, et la neige n’avait aucune pitié pour les pauvres New-Yorkais. Et du coup Kira passait son temps à côté du feu, les fenêtres fermées pour ne pas voir le soleil. A ce stade, elle n’avait comprit que pour le soleil. Mais elle restait en forme, voir trop, et un jour fit exploser la télé de sa chambre, qu’elle était en train de regarder bien tranquillement, de la même façon, qu’elle avait envoyé voler le quaterback. En moins violent peut-être. Ce phénomène se réproduisit une fois, quand Kira essayait désespérément de se dépenser dans son jardin et elle crama un buisson. Heureusement qu’à l’heure là tout le monde bossait dans son quartier. Sauf elle. Elle séchait une sortit au musée d’art moderne. Elle trouvait ça laid et sans intérêt. Elle essaya alors de recommencer. Volontairement. Elle ne reussit à rien d’autre qu’à avoir chaud, jusqu’à ce qu’elle s’énerve et ne crame une deuxième fois le buisson. Là elle l’avait achevé. Les seules personnes qui furent au courant furent Jack, et les membres de son groupe. Ca les faisaient marrer. Au début, pas tous, mais finalement... même comme ça, Kira n’était pas la plus étrange personne qu’ils fréquentaient. Ils l’aidèrent même à s’entrainner, et permirent à Kira de diriger son énergie dans ses mains. Ce qui fut déjà un gros progrès pour elle.
  
  Mais elle ne maîtrisait pas encore le tout, et il lui arrivait, par inadvertance, d’absorber d’assez imporance quantitée d’énergie, surtout quand il recommença enfin à faire beau, et qu’elle restait des heures à prendre des bains de soleil, et à s’ouvrir inconsciement, et à absorber plus d’énergie du soleil que d’habitude. Bref, le problème était loin d’être réglé, et il lui arrivait souvent de lancer des boules d’énergie dans des coins quand personne ne regardaient pour se débarasser du surplus. Et une fois, elle le fit dans une ruelle, ou elle dut au moins en balancer trois, surtout qu’elle venait de s’énerver contre les gens autour d’elle qui n’arretaient pas de las bousculer. Le mur visé était bien noir, mais ce n’était pas ça le problème. Le problème fut plutôt le guss chauve à roulette qui la regardait. Kira s’apprétait à se lancer dans un laïus sur la différence, mais le guss à roulette se présenta avant et lui proposa d’intégrer une école pour mutants où elle apprendrait à maîtriser ses pouvoirs. Kira hésita et tourna les yeux vers le mur cramé. Elle soupira et haussa les épaules. «J’pense pas avoir le choix si je veux vivre en paix avec ça, si?»
  
  Du coup, les parents de Kira furent mit au courant. Le choc. Mais elle s’en foutait un peu de ce qu’ils pensaient. De toute façon, cela faisait deux ans qu’ils n’avaient plus la moindre emprise sur elle. Jack et les Pretty Reckless furent totalement d’accord pour qu’elle se casse, ils flippaient quand même pas mal de son non-contrôle. Le groupe se mit en stand y, alors qu’ils venaient tout juste de sortir «Light Me Up» leur premier album. Sur leur blog et sites sociaux ils donnèrent: «mutation interne» comme excuse. Ambiguité qui interessa beaucoup les fans et amis du groupe. Personne ne confirma l’état de mutant de Kira, parce qu’ils savaient que c’était elle qui était partie, mais la rumeur comme quoi elle l’était se répandit comme une trainée de poudre à NYUC. Mais Kira s’en fichait. Qu’elle perde des fans ou non à cause de ça ne l’inquiétait pas plus que ça. Elle ne s’adressait pas à des abrutits peureux et/ou racistes la chanson éponyme de l’album était bien là pour le confirmer. Et si les gens étaient suffisament stupides pour la mépriser pour ça, ou au contraire devenir fan pour ça, c’était eux que ça regardait.
  
  Dans tous les cas, Kira plia bagages et fila pour l’Institut Charles Xavier.
  

Vu par Fatale