Besoin de se changer les idées (Kuragi)

J'étais toujours penché sur lui à le regarder et à replacer quelques mèches de cheveux tout en le regardant dans les yeux. Je me sentais tellement bien là. Je l'avais embrasser mais à cause des enfants j'avais dit qu'on ne devraient pas faire ça ce qui me faisais rire.Mais il m'embrassa une nouvelle fois et sa phrase me fis sourire.

-Oui tu as raison ils finiront pas comprendre.

Et hop je repartais l'embrasser tendrement. Puis je réfléchissais à ce qu'il me disais, le bois ou la ville, je ne sais pas du tout là.En attendant je restais dans ces bras tellement je m'y sentais bien.

-On va en ville si tu veux, une petite balade en amoureux je veux bien.

Je déposais un baiser sur le bout de son nez et son front en lui faisant de nombreux sourire.Cela me faisais tellement plaisir de l'entendre me dire que j'étais un ange.

-Oui un ange qui veillera toujours sur toi. Je ne laisserais personne faire du mal à mon magnifique loup.

Je me releva lentement en soulevant Aloyssa, elle était si légère entre mes bras. Légère comme une plume entre mes pattes, comme l'air, comme un ange. Je frotta mon crâne contre celui de celle qui m'avait volé et soigné mon coeur. Je rigola doucement.

-Tu est bien légère petit ange.

Je la remis doucement sur ses jambes puis posa doucement mes lèvres sur les siennes. Je ne pourrais jamais me passé de cette sensation unique. Elle m'électrisais tout comme elle me faisait rêvé. Je la regarda dans les yeux.

-Décidément, vous avez vraiment volé mon coeur. comment puis-je le récupérer ? Peut être en goûtant vos lèvres ? Mais dans ce cas, le temps pour le récupérer devrait s'arrêter non ?

Je lui déposa un baiser sur le front. Rien ne pourrais me séparé de mon ange blond aux yeux de glace.

Je ne savais pas du tout où est ce qu'on allaient allé pour passé le reste de notre journée.En tout cas je me retrouvais bien vite dans ces bras, je me laissais porter par lui, je me sentais tellement bien et en sécurité.

-Oh merci beaucoup, et toi tu es fort pour me porter comme ça dans tes bras.

Une fois remise sur mes jambes je restais près de lui dans ces bras , j'étais en sécurité avec lui, je me sentais bien là.Quand il m'embrassa , je laissais ma main passé sur sa joue pendant son baiser.En l'entendant je fis un grand sourire et je le faisais reculer pour me retrouver derrière un arbre, là où les enfants ne pouvaient nous voir et je me collais à lui en l'embrassant avant de lui dire.

-Votre coeur m'appartiens maintenant et vous, vous avez le miens. Ne vous en faites pas, je vais prendre soin de votre coeur et je vous le prouverais en vous embrassant tout le temps.

Puis je me collais à lui en l'embrassant un peu plus langoureusement.

Appuyé contre l'arbre, je regardais Aloyssa avec un doux sourire, je posa ma main sur son cou délicat. Une douce brise souleva doucement sa chevelure blonde.

-Dans ce cas, je peut être sur que mon coeur est en sécurité, tout comme le vôtre est en sécurité. Mais mon esprit pourras résisté à l'idée de te perdre ? J'en doute car si vous avez volé mon coeur, vous avez aussi volé mon esprit. Me détournais de votre regard serais pour un croyant ce détourné de la lumière. Mais si je me retrouve perdu dans l'abysse le plus sombre, je sais que votre lumière me guidera. Vous qui avez volé mon esprit, je serais bon à lier si on m'arrachais de vos bras.

Je l'embrassa tendrement, faisant durait cet instant doux et unique. Mon coeur battait la chamade dans ma cage thoracique, j'avais l'esprit occupé par la lumière que m'apportais cette ange qui répondait au nom d'Aloyssa.

-il y a plus de péril pour moi dans votre regard que dans vingt de leurs épées: que votre oeil me sois doux, et je suis à l'épreuve de leur inimitié. Si l'amour devait porter un nom, il porterait le nom de l'ange qui me fixe en me volant mon coeur. Je pense que vous savez de qui je veut parler, Lady Aloyssa ?

Je restais conte Kura, je me sentais bien là je laissais mes mains se poser sur ces hanches en faisant abstraction de tout ce qui se passait autour de nous.J'écoutais tous se qui me disais, je ne quittais pas son regard et je lui faisais un grand sourire. J'étais vraiment touché par ce qu'il était en train de me dire, personne ne m'avais parlé comme ça depuis longtemps.

-Cela me touche tellement ce que tu me dis. Ton coeur est en sécurité et ton esprit aussi et jamais tu ne me perdras tu m'entends jamais, je ne me suis jamais aussi bien sentis avec toi.

Je répondais à son baiser avec autant de douceur. C'est vrai que je me sentais bien et en sa présence je ressentais des piquottements dans le ventre ce qui montrait qu'il me faisais de l'effet et surtout que j'étais heureuse.En tout cas si il continuait comme ça il allait me faire pleurer tellement que j'étais surprise.

-Arrête tu vas me faire pleurer et j'ai l'impression que c'est moi qui suis dans un rêve.

Jamais personnes ne m'avais dit autant de chose en si peu de temps et pour moi j'étais dans un rêve. Je ne pouvais pas y croire.

-On va en ville ou tu veux faire autre chose?

-Je ne m'inquiète pas, je resterai avec toi ad vitam eternam.

Elle m'encercla les hanches de ses bras fins, je lui sourit doucement et lui déposa un baiser dans le cou. Son rire cristallin me parvint comme une mélodie à mes oreilles canines. Je passa mes bras autour de sa taille.

-Si tu pleure, je veux bien goûter le goût de tes larmes pour savoir si elles sont aussi douces que celle de tes lèvres.

Je lui sourit doucement, j'avais l'impression que mon coeur allait sortir de ma cage thoracique tellement il battait fort, elle me faisait de l'effet, c'est indéniable. Je vivais dans un rêve si pur qu'aucune ombre ne pouvait le détruire.

-Allons en ville, une balade en amoureux est une chose que je n'est jamais fais.

Je lui déposa un baiser papillon sur les lèvres et lui sourit doucement.

-Tu as l'obligation d'être avec moi même si tu vas devoir me supporter encore longtemps désolé.

Bien sur qu'il allait devoir me supporter mais que ça n'allait pas être un calvaire et encore moins pour moi, cela se voyait bien en plus, je l'enlaçais de mes petits bras. Je ne voulais pas du tout quitter ces bras.

-Tu es vraiment un grand romantique toi et j'aime ça. Mais je vais éviter de pleurer quand même, se serait dommage, même si mes larmes serais des larmes de bonheur, un bonheur dut à toi bien sur.

Je répondais à ces baisers toujours aussi tendrement, il était adorable un vrai amour.

-Oui allons en ville mon beau loup je te suis et je suis toute à toi.

Je prenais sa main dans la mienne en entrelaçant nos doigts.