Welcome (Mylie + Libre)

Repassant la scène dans son esprit, Mylie retint un fou rire quand elle vit son jeune ami perdre le contrôle de soi, et la crainte de l'avoir vexé. elle voulait presque continuer à le taquiner ainsi mais ça serait de la torture. Elle préféra juste ne pas intervenir dans ses excuses le laissant un peu mariné, mais comme cela fut dure de ne pas se retenir de rire. Parfois elle pouvait être méchante, enfin dans le bon sens, c'était juste dans l'humour de la situation. Mais quand il s’étouffa avec le Bacon et vit son teint changé aussi subitement de différentes couleur, l'inquiétude laissa place à un fou rire général plus violent que les autres, les larmes même lui venaient aux yeux à sa plus grande surprise. Elle avait du mal à s'arrêtait. Elle se doutait que son comportement pouvait mal être interprété mais s'était plus fort qu'elle. elle réussit toutefois entre chaque rire à articuler une phrase:

-Non, non rassure toi .. ton.... ton ... Bacon ... est très.... Bon ....!!

Sa vison se troublait à travers les yeux, mais elle aperçut la gêne occasionnée chez son interlocuteur. elle se força à se calmer, puis s'approchant de lui, elle posa sa main sur la sienne, de manière à le détendre avec un sourire éclatant et rassurant. Sa voix cristalline retentit alors, bien mieux contrôlé:

-Détend toi, je plaisantais et tu es tombé dans le panneau. Tu es bien naïf mon cher. mais tu es amusant, tu me plais bien!

Dans son esprit ses paroles n'avaient rien d’ambigu , elle appréciait le personnage qu'était Smelther et peut être pourrait il devenir de grand ami dans ce vaste Manoir, pas très hospitalier à prime abord

Au moment ou Smelther avait décidé de partir et de laisser sa compagne d'inscription tranqueille, celle-ci fut pris d'un fou rire, apparemment provoqué par la crise d'angoisse et de gêne de celui-ci. Par la même occasion elle lui dit, entre des spasmes de diaphragme, que son bacon était bon. A ce moment son cerveau tournais au ralentis, les jeux de mots habituellement nombreux a pulluler dans cet esprit mesquin, se faisait une espèce rare, voire inexistante. Il ne pensait qu'a se racheter de ''sa faute, et ne fit pas de lien avec le fait qu'elle venait de lui dire que son bacon était bon. Tout ceci ne lui apporta que de la gêne et un teint rougeâtre de pomme bien mûre.

Elle mis sa main sur la sienne, puis articula d'une voix sincère et sérieuse, mais en rien moqueuse ou réprimande, qu'elle avait voulu jouer dans son jeu et lui était tombé dans le panneau. Un malentendu avais entraîné une dégringolade d’événements dans la tête de Smelther, amplifiant le malaise et faisant de lui une victime de sa naïveté.

Le fait de se faire ramener a la réalité aussi brusquement eut autant d'effet sur lui qu'un coup de marteau; il en resta bouche-bée pendant quelque secondes, ayant l'air d'un poisson a travers un aquarium, oubliant même jusqu'à respirer. Puis le ''hamster'' dans sa tête commença a tourner dans sa roue, actionnant le mécanisme de raisonnement habituel de Smelther. Il assimila les données, puis poussa un soupir de soulagement, qui actionna par la même occasion sa respiration normale.

Il regarda enfin sa voisine de table dans les yeux, lui fit un sourire gêné et réalisa enfin l’ampleur de la situation. Il mit sa main gauche devant son visage, son diaphragme eut des convulsions lentes puis de plus en plus rapides, des larmes coulèrent de ses yeux sous la puissance de l'émotion. Puis s'appuyant de ses deux main sur la table, rejetant la tête en arrière, il poussa un rire assez puissant pour faire sursauter un élève qui aurais été a côté de lui, mais pas assez pour que toute la cafétéria l'entende. Ce spasme bruyant ne fut pas moqueur, il fut sincère, mais quasi incontrôlable.

Une fois cette ''crise'' passée, il reprit une position normale, puis il se créa un mouchoir invisible s'essuyant les yeux, il dut se calmer un peu avant d'articuler sa phrase;

Je n'arrive pas a y croire, je me suis fait prendre a mon propre jeu!

Il se calma un peu, puis remarquant que sa phrase précédente avait été plutôt rauque, il but un peu de son café glacé avant de poursuivre;

En effet je suis naïf... des fois, et moi aussi je t'aime bien!

Il se souvint alors qu'il avait faim. Tout en regardant mademoiselle dans les yeux, il alla chercher ''subtilement'' son assiette, puis lui fit un sourire amusé tout en enfournant doucement la nourriture dans la bouche, puis mâcha lentement. Lorsqu'il eut fini sa bouchée, il lui dit;

Si tu veux, après ceci, nous pourrions tenter a nouveau d'aller nous inscrire? Question de digèrer notre repas, quand nous allons avoir fini celui-ci bien sûr.

Il prit son verre, puis le tin devant lui prêt a le cogner doucement avec celui de la dame.

Je propose alors un toast a ma naiveté ainsi qu'a notre amitié!

Elle avait du mal à contrôler ses crises de fou rire devant l'incompréhension et le visage de Smelther, plusieurs phrase lui venait en tête comme "Respire un bon coup" ou encore "Attention tu risque de trop chauffer ton cerveau", mais elle se retint même si ces phrases pouvaient se lire sur le visage de la jeune fille. Le seul moment ou elle fut quelque peu calmer voir doucher, c'est quand elle vit des larmes couler sur son visage, en un instant, elle culpabilisa pensant l'avoir offenser. Après tout certaines personnes étaient très émotives et pleurer facilement. Ce genre de situation la mettait mal à l'aise et elle faisait tout pour changer ceci. Par le passé la gente masculine ayant compris ceci pour les plus observateur avait tenté cette méthode avec elle. Parfois avec succès jusqu'à ce que Mylie comprenne leur petit manège et la il le regrettait amèrement. Mais quand elle comprit que ces larmes étaient de rire, elle se détendu et rit de bon cœur avec lui. Pour un spectateur extérieur les deux compères devaient être fou, même si la scène devait leur tirer un sourire, inconsciemment. Deux personnes qui rayonnaient dans la cantine et mettaient du baume au cœur au probable adulte.

Elle le regarda avec provocation et jeu, comme elle savait si bien le faire quand elle le souhaitait vraiment et ajouta à ses commentaires:

-Tel est prit qui croyait prendre, mon cher. A présent tu as quelqu'un à faire face au petit jeu, je ne te ferais pas de quartiers.

Elle lui sourit gentiment, en passant au sourire d'une prédatrice, pour finir sur un rire sincère. Décidément elle n'avait plu ri ainsi depuis.... Elle ne s'en souvenait même plus. Elle fut surpris de le voir venir tintait son verre contre le sien , mais l’accueilli rapidement dans un sourire entendu, avant de faire trinquer son verre contre le sien:

-A cette journée, cette rencontre et à notre nouveau futur!!

Elle finie rapidement son assiette en compagnie de ce compagnon pour le moins sympathique, avant de lui proposer de repartir pour de nouvelles aventures ou simplement la recherche des bureaux des inscriptions. Décidément personne ne savait leur indiquer l'endroit...

-Tel est prit qui croyait prendre, mon cher. A présent tu as quelqu'un à faire face au petit jeu, je ne te ferais pas de quartiers.

En effet, Smelther savait qu'il n'avais pas besoin de se préoccuper de son humour de qualité douteuse, la dame en face de lui pourrais probablement lui sortir une réplique mordante le coupant dans son élan dans chacune de ses tentatives de faire le malin. Il aimait de plus en plus cette personne, du fait qu'elle soit du sexe opposé, et qu'il ne la fasse pas fuir pas ses propos stupides, voire presque déplacés. En plus elle venait de l'agacer en lui faisant un sourire lui indiquant sa victoire totale sur sa personne, ainsi que sur son sens de l'humour... douteux, puis elle lui fit un sourire, qui paraissait (en apparences) sincères. Était-ce une ruse pour l'attirer dans son piège, ou une façon de simplement de calmer l'atmosphère, temporairement, puis de passer a autre chose? Il n'en savait rien, mais il devrait s'en contenter, si il ne voulait pas briser son estime de soi encore plus loin, en décidant de la questionner sur le sujet.

Après avoir trinquer leurs verres, il but longuement pour apaiser son estomac, et les monstres hurleurs des sucs gastriques qui le torturaient tant qu'il ne continuait pas a se nourrir. Il regarda sa compagne droit dans les yeux, puis attendis qu'elle dise quelque chose, une simple phrase qu'elle pourrais dire pour prouver que ses intentions n'étaient pas maléfiques et qu'elle de se moquait pas de lui, au moins, pas complètement. La réponse ne se fut pas attendre très longtemps, elle trinqua avec lui, puis dit;

-A cette journée, cette rencontre et à notre nouveau futur!!

Cette réponse la satisfit, elle ne se moquait pas de lui finalement, elle voulait simplement passer un bon moment, trouver l'inscription, et s'inscrire. Cela l'apaisa in peu, même si cela ne devait probablement pas dans son visage, n'ayant pas le besoin de laisser un soupir de soulagement, ce n'était qu'un petit souci temporaire qui venait d'être réglé par une simple phrase. Rien de traumatisant ou de très sérieux. Il oublia alors ce dilemme, qui étant réglé, fut classé parmi les ''cas résolus'' dans sa tête et n'ayant plus aucune importance.

Il eut de cette situation un regain d'énergie, il dévora lentement son repas, tout en ayant l'air pressé d'en finir, comme si s'était son dernier, mais qu'il voulait en finir pour passer a la suite, mais ne voulait pas risquer de s'étouffer a nouveau avec quelque aliment que se soit. Après cette ingurgitation, il finit son café, puis alla porter la vaisselle, ayant vu que sa comparse elle-même avait fini. Quant il revint, il arborait un sourire de quelqu'un qui avait tout réussi dans la vie, un drapeau au milieu du visage affichant sa bonne humeur et sa joie de vivre. Ses doutes et hésitation face a sa nouvelle amie venaient d'être expiés, ce qui l'emplissait d'un sentiment de bonheur. On aurait presque cru qu'il allait se mettre a chanter et a danser dans la cafétéria, et commencer une comédie musicale a lui tout seul. Il n'en fut rien, il regarda son amie avec des yeux pétillants de joie, malgré que pour un fin observateur, on aurai pu y déceler un brin de mesquinerie, comme si sa bonne humeur était trop grande, et que cela lui donnait envie de faire des mauvais coups, ou de se dépenser physiquement. Comme un chat qui regarde son maître avec des gros yeux, les muscles crispés, ne sachant pas trop si il a envie de simplement ronronner, ou de s'enfuir le plus loin possible pour dépenser son énergie dès qu'il bougerait ne serait-ce un peu.

Décidément, utiliser ses pouvoirs ne lui feraient que le plus grand bien, baisserais peut-être un peu son niveau d'énergie, le calmerais un peu et il pourrais s'amuser un peu par la même occasion. Il lui proposa alors un compromis, même si il était trop enthousiasme pour ne serait-ce refuser une réponse négative de sa part.

Alors, comme tu peux le voir je suis ragaillardi par ce repas que nous venons de partager, et je me sent un peu lourd pour marcher trop longtemps. Alors si tu veux, je sais que tu as refusé cette option plus tôt, mais je me suis dit que tu pourrais peut-être repenser a ta décision sur le ''transport'' que je t'ai parlé qand nous étions dans les couloirs. J'aimerais te montrer cela, nous pourrions discuter en chemin et... et... je te laisserait conduire...

Emporté par son enthousiasme, il commença tout de suite a faire les préparations. Il sorti ses deux moteurs électriques, y mit des batteries a l'intérieur, puis commença a s'affairer a sa construction. Il fabriquerais un car de golf avec une propulsion basique, comme un vélo, avec des chaînes et des engrenages. Les freins comme une bicyclette, avec des cordes, ces deux fonctionnement actionnés par des pédales, et le volant, plutôt basique. Ainsi que des bancs moelleux, sans être mous. Il créerais ce véhicule en ''une seule pièce'' comme cela il pourrais discuter avec elle sans utiliser d'illusion ou risquer qu'une des parties torde sous le son de sa voix. Il commença a le fabriquer, se préparant a arrêter si elle lui donnait son refus.

Alors qu'il venait de finir de manger, son nouvel ami affiché un visage rayonnant, bien plus qu'à la normal, cela faisait rire la jeune fille, mais en même temps elle ne pu s'empêcher de se demander ce qui le rendait aussi joyeux, finalement. Mais peu importe elle était elle même contente pour lui ce qui était le principal. Elle voyait en lui un tout jeune enfant à ce moment,un jeune enfant monter sur piles à pleine puissance, ses yeux même exprimés une certaines mesquinerie, non méchante, mais elle préféra mettre ça sur le compte de son imagination.

Tout ce qui semblait savoir, s'était de bouger d'ici, Smelther était tout excité, ce qui faisait rire Mylie comme une mère attendrit par son enfant. Elle le suivit donc pour chercher la salle des inscription. Il semblait si bout en train, qu'elle n'arrivait même pas à s'inquiéter de sa pensée. Il reprit finalement la parole réitérant sa proposition d'avant, et poussé par cet enthousiasme dévorant, il n'attendit même pas la réponse de la jeune fille et s'attela à son travail devant une Mylie totalement incrédule. Voilà qu'il lui demandait une chose et n'attendait pas sa réponse. elle le regarda faire, mais fut surprise de voir avec quel joie il le faisait ce qu'il attendrit un peu plus. Mais allait avoir sa petite vengeance pour son manque de courtoisie se promit-elle, tirant la langue dans son esprit. Son enthousiasme contaminé tout de même la jeune fille, et quand elle eut presque fini, elle s'approcha de lui, prenant une mine sérieuse et froide, ce qui était difficile alors qu'elle avait envie de rire.

Puis elle lui balança sa main derrière la tête dans une petite tape:

-Tu attends même pas ma réponse goujat, tu vas voir de quel bois je me chauffe!

Elle prenait une voix méchante mais trahit par des gloussement de rire. Elle se voulait de ne pas réussir à tenir son sérieux dans sa voix, heureusement elle se rattrapait avec les rictus de son visage. Puis, elle s'installa sur le siège côté conducteur et le regarda un temps froidement, devant son visage probablement incrédule. Puis explosa de rire à nouveau:

- Il est si simple de t'avoir, allez dépêche de finir!


Elle attendait patiemment après cette petite vengeance personnelle...

Mylie se leva lorsqu'il était en train de terminer son œuvre, puis lui donna une petite tape derrière la tête. Lui étant occupé ne s'en préoccupas pas, en plus dans la voix de la jeune femme, il pu percevoir ce qu'on pourrais décrire des spasmes de son diaphragme, dans une tentative d'être sérieuse et ''méchante'' envers lui. Vu qu'elle voulait lui en faire baver pour avoir été impoli, il baissa la tête, comme pour signifier qu'il avait compris sa ''bêtise'' et qu'il en avait honte, mais il se ''vengerais'' peut-être un jour.

Il regarda son invention une dernière fois avant de la matérialiser; les deux moteurs, un pour marche avant, une pour marche arrière, le bras de vitesse branché aux deux par des poulies et des ''fils de fer'' lorsqu'il était actionné vers avant, les fils se tendraient pour pouvoir faire que la pédale d'accélération puisse actionner le moteur, alors que les fils vers l'autre étaient trop lousses pour pouvoir le faire fonctionner. Une fois toutes les parties revues, il le matérialisa, c'est a ce moment ou Mylie sauta sur le siège du conducteur, chose qui étonna énormément Smelther, vu que celui-ci était invisible. Il la regarda avec un air ahuri, puis oublia presque de ne pas arrêter de toucher son œuvre. Il se ressaisit alors, puis se concentra sur le bolide trente secondes, puis s'apprêta a embarquer

- Il est si simple de t'avoir, allez dépêche de finir!

Yes Me Lady!

Puis il se rappela alors qu'il avait oublié quelque chose d’essentiel, les engrenages, les poulies, tout le châssis était aussi solide que du bois, qui risquerais fort de casser si ils décidaient d'avancer, ou s'il embarquait. Il savait très bien qu'il ne fallait pas faire attendre la demoiselle, mais l'autre solution allait l'épuiser un peu. Il ferma les yeux, avec un air résigné, sérieux et sévère. Si son interlocutrice avait vu ses yeux en ce moment elle se serait probablement demandé si il allait bien, car il n'aimait pas vraiment utiliser autant d'énergie d'un coup, il se sentait un peu vidé, de manière étrange, quand il faisait cela. Pas physiquement, ni mentalement, juste de terme de puissance, cela n'était pas nécessairement agréable de se sentir vidé, alors qu'il ne l'était pas vraiment. Il fit un soupir résigné et mit la moitié de son énergie dedans, puis rouvrit les yeux et afficha un sourire soulagé sur sa figure et embarqua sur le bolide.

Il décida qu'il était plus prudent pour eux deux de lui expliquer le fonctionnement du ''cart de golf'', pour être sur qu'elle ne se trompe pas de pédale ou qu'elle pense qu'il y avait plus qu'une vitesse, même aussi solide que de l'acier, les pièces n'étaient pas immunisés a un changement de direction aussi brusque.

A gauche c'est les freins, a droite c'est l'accélérateur. Pointant le manche de vitesse, et en l’actionnant pour lui montrer lequel était avant et arrière; il y a deux vitesses, avant et arrière, tu peux aller au maximum 40 km/h avec les moteurs, et j'aimerais que tu mette ta ceinture, si cela ne te dérange pas.

Il la regarda alors avec un air mesquin, comme si il l'a mettais au défi de le surprendre, pendant qu'il mettait sa ceinture, et qu'il lui faisait un clin d’œil.

Il avait créé une clé invisible plus tôt et il la plaça dans le contact, tournant celle-ci pour allumer les deux moteur. Il mis ensuite ses deux mains derrière sa tête pour lui signifier qu'il attendait qu'elle fasse quelque chose.

(HRP) désolé pour le retard (HRP)

L'attente dura encore quelques minutes durant laquelle, la jeune fille s'imaginait tous les rouages se matérialisant dans cette appareil. Il lui semblait aussi si étrange d'être sur un siège invisible, elle semblait penaud devant cette affaire, dont elle n'arrivait pas encore à s'habituer. Mais l'ayant observé longuement, elle se douta plus ou moins de l'emplacement du siège conducteur et tenta sa chance. Soit s'était la plus grande honte de sa vie, soit elle en mettrait plein la vue à ce jeune garçon. Elle souri même au terme qu'elle lui avait dédié. Bref, Mylie savait être patiente quand il le fallait mais l'excitation de rencontrer le professeur se faisait de plus en plus forte. Elle écouta d'une oreille distraite les paroles de son ami, et répondit de façon absente, tel un automatisme pour le taquiner.

-Ne m'appelle plus mi-lady.... Je pourrais y prendre goût. Et je deviendrais ton cauchemar, mon cher!

Alors qu'elle répondait ces quelques mots, elle prit possession du véhicules pour en prendre l'habitude, elle palpait les éléments solides. S'imaginant le véhicules dans son ensemble. Dans son examen, elle ne remarqua qu'à peine l'arrivé de son ami dans "l’habitacle". Elle faisait de rapides signes aux explication de Smelther, peut être étai-elle agaçante avec un tel comportement, mais elle préférait se mettre en harmonie avec le véhicule. Elle touchait du bout des pieds les pédales et la boite de vitesse, et une fois son examen fin prêt, elle boucla sa ceinture. Regarda Smelther de façon neutre et sans émotion ce qui était rare chez la jeune fille. Mais petit à petit, un sourire mesquin et joueur se dessina sur les lèvres. Que pouvait bien manigançait la jeune fille? Cela le jeune homme le découvrirait plutôt qu'il ne le pensait et sous ses faux airs de tranquillité, il reviendrait vite à la réalité, et ne ferait pas autant son nonchalant.

C'est alors qu'après ce mystérieux sourire, elle regarda droit devant elle, d'abord calme et posé. Puis en un instant, la jeune fille appuya sur les pédales, les yeux pétillants. Peut être n'allait elle pas vite, mais dans un couloir et par rapport aux personnes à pieds... Cela en surprendrait plus d'un et l'effet de vitesse serait tout autre. Dans un démarrage en puissance, elle voulait faire partir d'un coup sec son ami en arrière. Elle en riait de plaisir les cheveux au vent. Après tout, son père l'avait habitué petite au golfe, de bonne famille, ses parents l'avaient éduqué à tout sport et leur coutume, dés son plus jeune âge et son adolescence elle avait appris à conduire ses petits engins lors des parties de golfe de son père.

Ironiquement et sans comprendre pourquoi, elle prit une direction poussée par une force, qui la persuadée qu'elle empruntait le bon chemin...

Répondant a la seule phrase que le jeune homme avait dit depuis la complétion du véhiule, elle le menaça de devenir son cauchemar si il répétais ces simples mots. Puis écoutant les instructions de son comparse, elle avait l'air de simplement répondre gestuellement a ces mots, comme si ils n'avaient pas de signification, ou si elle l'écoutait a moitié, et qu'elle n'en faisait que'a sa tête, essayant de capter seulement les grandes lignes pour se familiariser avec la mécanique rapidement, pour partir le plus tôt possible.

Puis elle parti en trombe, après avoir eu un visage impassible quelque secondes, chose que Smelther trouvait étrange. Pendant presque tout le teps de leur rencontre elle avait affiché un sourire radieux. Puis elle explosa d'un rire joyeux, roulant a... 40 km/h, la vitesse maximum permise par les moteurs électriques.

Regardant sa comparse, il afficha un sourire radieux, heureux de la voir si joyeuse. Il mit ses mains derrière sa tête et se détendit. Tournant un coin a pleine vitesse, ils débouchèrent sur une longue allée qu'il ne pensait pas avoir vu. Il redescendi ses bras, puis se créa des jumelles, lui, voyant ses objets comme si ils étaient du verre, pouvait facilement faire cela. Malgré que pour des lunetes, cela serait boucoup plus compliqué, et l'imagination ayant des limites, il ne pourrais se créer des verres pour la vue. Utilisant son gadget pour regarder les portes au loin, il remarqua une de celles-ci avec un X dessus. Cela pouvait bien être le bureau du professeur Xavier, presonne qu'ils cherchaient depuis leur arrivée.

Il fit alors disparaitre son objet, il regarda Mylie, les cheveux dans le vent, de la bonne humeur plein l'esprit. Il hésita un instant a lui parler de sa découverte, non pas qu'il ne voulait pas trouver cette personne, mais la perspective que cette aventure arrive a sa fin, alors que l'huheur était si joviale lui serra le coeur. Il aurais voulu que ce moment dure éternellement. Hélas rien ne dure pour toujours, el il fallait y mettre fin. Avec un soupir de résignation, et en pointant une porte au loin, il lui dit;

Regarde, il y a un X sur cette porte, c'est peut-être le bureau de celui que nous cherchons!

a ces mots il pensa a une flèche en néon, puis en matérialisa une de 1m de haut par 2m de long en illusion devant cette porte, se concentrant pendant 3 secondes, le temps qu'elle la voit, puis la fit disparaitre.

Les couloirs défilaient à une allure folle... enfin à 40km/h plus exactement, mais dans l'euphorie la jeune fille se voyait au volant d'un bolide, traversant les couloirs à vive l'allure. Une bonne douche de sensation qui purifièrent la jeune fille de toutes ces années de solitude. Mais alors qu'elle continuait ainsi, elle reprit quelque peu son sérieux en voyant l'étrange changement chez son coéquipier, alors qu'il regardait dans quelques choses. Quelle invention avait il encore crée? Mais Finalement, elle n'eut pas le temps de tergiverser plus sur la question, car voilà que son ami, lui indiquer une porte par des "signaux bien voyant". Elle qui n'aimait pas attirer l'attention , elle était servit surtout aussi proche du bureau du professeur, lui de passage de bon nombre des étudiants. Mylie décida de ralentir se tassant dans son fauteuil, essayant de se faire aussi petite que se soit, le rouge lui montant aux oreilles. Puis finalement, elle s'arrêta au millimètre près de la porte, montrant ainsi sa maîtrise du véhicule. Alors elle descendit rapidement, cachant son visage du mieux qu'elle pu aux autres. Et elle fit enfin face à cette porte tant attendue.

Mais c'est à cet instant tant attendu, qu'elle réalisa le ton triste et lointain que Smelther avait employé en déclarant sa trouvaille. Quelle était bête et manquant cruellement de respect. Elle n'y avait pas pensé plutôt, et s'en voulait de ne pas l'avoir réaliser. Mais en effet avec cette porte, la fin de cette histoire s'annonçait. Et voilà que par l'excitation, et la timidité face aux autres, elle s'était pressée devant la porte. Elle fit face alors à son nouvel ami, tout sourire. La jeune fille reprenait son sérieux, un comportement maternel, ou on peut le dire d'amie fit surface. Elle qui n'avait aucune expérience dans ce domaine.

-Sache, que nous sommes peut être arrivé à notre destination et que nous ne nous connaissons depuis peu. Mais sache que je me souviendrais encore longtemps de cette rencontre. Et je vais peut être te faire peur, mais je t'assure que cette nouvelle amitié ne s'arrêtera pas là. Car oui je te considère comme dés à présent, une personne que j’apprécie, soit un ami,il me semble.

A la fin de cette phrase, elle lui fit un magnifique sourire pour confirmer ses propos. Ce simple comportement était comme la promesse tenue à Smelther. Puis elle bifurqua sur la porte, la tension et le traque s'emparant d'elle. Elle souffla un bon coup, n'osant pas pousser cette porte.

Après avoir arrêté devant la porte indiquée, Smelther regarda Mylie d'un air curieux. Il est vrai qu'il n'aurais peut-être pas dû faire cette flèche, il avait détourné l'attention sur les deux comparses a un niveau qui devait être plutôt inconfortable, vu de la réaction de la jeune femme. Se cachant le mieux possible des regards alentours, elle se planta devant la porte. Puis elle réalisa surement la nature de ma détresse, le regardant dans les yeux, lui faisant un sourire sincère, avec un ton sérieux;

-Sache, que nous sommes peut être arrivé à notre destination et que nous ne nous connaissons depuis peu. Mais sache que je me souviendrais encore longtemps de cette rencontre. Et je vais peut être te faire peur, mais je t'assure que cette nouvelle amitié ne s'arrêtera pas là. Car oui je te considère comme dés à présent, une personne que j’apprécie, soit un ami,il me semble.

A ces mots Smelther rougit un peu, débarqua du bolide, le fit disparaitre et rangea les moteurs dans sa valise, puis regarda Mylie dans les yeux. Lui montrant un sourire aussi sincère et radieux que celui de sa comparse il lui dit;

Il est vrai que je t'apprécie fort, et que je te considère comme une amie. Nous sommes arrivés a notre destination, mais une fin cache toujours derrière elle un nouveau départ. Je suis sur que nous nous reverrons bientôt après notre inscription. Et tu va avoir plein d'occasion de me prendre a mon propre jeu.

Il mis sa main de trois doigts sur la poignée, plus lui fit un clin d'œil, lui présentant un sourire mesquin. La regardant directement dans les yeux, il regretta déjà un peu les paroles qu'il prononça, se rappelant la menace antérieure de Mylie.

Alors si tu le veux bien Me Lady, allons vers un nouveau départ, une nouvelle aventure!

Pendant qu'il la regardait, il attendis qu'elle pose sa main sur la poignée et qu'ils poussent ensemble, sachant que cet évenement était extrêmement cliché, mais quand même agréable.




ce RP est fini, pour aller au prochain, voici l'adresse;

Ma vie pour une pause café!