Un chambre ? C'est quoi ? [Libre]

Kurkaru avait suivit Jean dans un dédale de couloir... Il serait bien incapable de retrouver son chemin sans au minimun un guide michelin et une carte IGN... Heureusement il avait son guide personnel ^^. Kurkaur n'avait pas été particulièrement discret durant le trajet de l'entrée a la chambre : il avait chanté d'une voie totalement discordante :

"Tiens v'là, la pluie
Ah ! quel sal' temps
Où est-il l'été ? l'été où est-il ?
Oh ! là mais que vois-je apparaitre
En regardant à ma fenêtre
La cette dame qui vole en voiles de nylon
Et qui tient un bâton tout plein rempli d'étoiles
Si cette dame est flic, l'est au moins générale Non
mon enfant je suis la fée
Ah bonjour, Madame la Fée Mon dieu qu'il est
bien élevé cet enfant
Je veux le récompenser
Que voudrais-tu, formule un souhait
J'ai le pouvoir de l'exaucer
Vrai !
Vrai ? Du bon temps ?
Bon j'voudrais qu'on se paie du bon temps
Qu'entends-tu par là mon enfant ?
Du bon temps !
Ben ben ben..."

En n'oubliant pas de rire à la fin de chaque rime... Puis ne se rappelant plus de la suite des paroles il décida de continuer la conversation qu'ils avaient commencé dans le hall.

"Pourquoi les pouvoirs ils fatigue les gens ? Il font beaucoup de bêtises ? Ou alors faut les surveiller tout les temps ?"

Puis voyant une enfilade de porte il posa une autre question :
"C'est ou alors ?"

Il attendit que son guide lui dise par où aller.

Karkaru et Jean marchait vers les dortoirs au rythme de l'élégante chanson de Karkaru. Il était loin d'avoir une voix de chanteur d'opéra et Jean était bien tentée par l'idée de se boucher les oreilles mais ne le fit pas par respect pour le nouvel élève. Il hurlait une chanson enfantine et sa voix n'était pas des plus agréables...mais alors loin de là! Il riait à chaque rime mais pour une fois ça ne faisait pas rire Jean, elle avait mal à la tête à force de l'entendre...Puis enfin il s'arrêta pour lui poser de nouvelle question, Jean préférait ça même si elle devait se creuser la cervelle et réfléchir, elle préférait ça à la voix discordante de Karkaru!

"En fait, quelqu'un peut mal contrôler son pouvoirs, et ça se passe surtout quand le mutant est fatigué. Sinon oui, les pouvoirs peuvent fatiguer les mutants s'ils sont utilisé avec trop de puissance..."

Lorsqu'il demanda où est-ce que c'était, Jean regarda en direction des portes jusqu'à voir écrit le nom de Karkaru inscrit à côté d'autres noms, elle lui indiqua d'un geste du menton:

"C'est là tu vois, il y a ton nom sur cette porte, tu vas être avec d'autres types"

Jean attendit de savoir ce qu'il allait lui dire avant de faire quoi que ce soit, peut-être voualit-il qu'elle parte pour parler avec ses nouveaux camarades ou au contraire qu'elle reste un peu pour qu'il s'habitue...Elle ne savait pas bie nalors elle décida d'attendre.

Kurkaru soupira. Décidément les pouvoirs c'était d'avantage une source de problème que qu'autre chose. Lorsqu'on les utilisaient avec trop de puissance il pouvait fatiguer les gens... Mais fut que Kurkaru n'avait pas de pouvoir ça ne le dérangeait pas...

" Ba il n'y a cas pas forcer" dit-il comme ci c'était la chose la plus évidente du monde.

Kurkaru regarda la porte qu'avait désignée Jean.. alors comme ca c'était la qu'il allait dormir ? Ça avait l'air bien. Il se demanda a qyuoi pouvait bien ressembler les gens qui vivaient dans cette pièce. Il poussa la porte

"Pourquoi es ce qu'ils mettent les poignée aussi hautes ?..."

Puis Kurkaru entra et inspecta la chambre et appela aussitôt Jean :
"c'est quoi ces trucs la ? Ça sert a quoi ?" dit-il en désignant les lits.

Kurkaru était perplexe devant le spectacle de la chambre.

Comme si c'était quelque chose d'évident, Karkaru fit remarquer qu'il n'y avait qu'à pas forcer...Evidemment vu comme ça...Le soucis c'est qu'on avait pas toujours le choix, il y a toujours des moments où il le faut! Par exemple quelqu'un qui va pour risquer sa vie va devoir forcer pour être sur de s'en sortir indemne, ou alors quelqu'un qui comme Jean ne se contrôle pas risque aussi de forcer sans même le faire exprès:

"En fait on a pas toujours le choix...Si ça en va de ta survie tu forceras peut-être sans même t'en rendre compte..."

Elle n'avait pas était des plus claire mais ele ne savait pas trop quoi dire d'autre...Ce n'était pas simple de dire autre chose, elle n'avait pas l'habitude qu'on lui fasse ce genre de réflexions. Pourtant c'était vrai, si c'était en fonçant qu'onse fatiguait il ne fallait pas forcer! Mais ce n'était pas aussi simple malheureusement...Il poussa la porte de la chambre et entra dans la pièce...Elle l'écouta ensuite faire une remarque au sujet de la hauteur des poignées de portes qui la fit sourire. Pourtant elles n'étaient pas si hautes que ça mais pour Karkaru beaucoup de choses devaient être trop hautes...Mais elles ne sut que répondre:

"Et bien...euh...elles ne sont pas si hautes mais peut-être un epu...enfin je sais pas, j'ai jamais fait attention pour te dire la vérité"

Elle espérait qu'il ne se véxerait pas, elle ne pensait pas qu'il le ferait, voilà un moment qu'elle lui parlait et il ne lui semblait pas qu'il était comme ça, pourtant on ne peut jurer de rien. Elle n'avait vraiment pas su que dire! Il observa la pièce puis appella Jean pour lui demander ce qu'étaient les lits. Elle lui répondit:

"Ce sont des lits, c'est là-dedans que tu vas dormir, tu verras ses très confortable" Elle marqua une pause "Tu n'en avait pas avant?"



Hj: Désolée, je ne suis pas sure de ce que j'ai mis: je me suis rendue compte que ce qui était en bleu était peut-être des pensées mais comme j'étais pas sure et que j'avais pas le temps de changer parce que je dois aller manger du gateau fais par ma mère je ne peux pas changer. Si jamais c'étaient vraiment tes pensées je le change ne revenant!

C'était possible ca ? Décidément plus il passait de temps ici plus il apprenait de chose... Mais la c'était étrange : il aurait juré que pour forcé il fallait le faire exprès... Bof de toute façon ça n'était qu'un détails vu qu'il n'avait pas de pouvoir.

"... de survie ? C'est quoi ça ? C'est quand tu es en danger non ? Ca arrive souvent ?"

Kurkaru était un peu paniquer : il n'était vraiment pas fait pour les affrontements quelque soient leurs natures... De toute façon il ne voyait pas de raison qui aurait pus le pousser a se battre. La phrase sur la hauteur des poignée ne dérangea absolumant pas Kurkaru.

"Bah... c'est pas grave : j'ai l'habitude de pas être très grand... C'est juste que des fois je me dit que les gens ne pensent jamais aux petits..."

.Quand Jean expliqua ce qu'était des lits Kurkaru se rappela de son enfance et du fait qu'il dormait ans des trucs quelque peut semblable .

" A si maintenant que tu le dit... Quand j'étais à l'orphelinat il y avait des trucs comme ça. Mais il n'avait pas l'air aussi confortable."

Kurkaru regarda un peu partout dans la chambre (même sous les lits) puis dit :

" Il sont où les autres ? Y a personne ?"

Il s'attendait a rencontere au moi un autre mutant.

Karkaru lui demanda ce qu'était la survie, si c'était quand on était en danger et si ça arrivait souvent. Jean ne sut que répondre, déjà parce qu'elle ne savait pas bien dans quelle situation étaient les X Men...Et puis aussi parce que ça dépendait des moments:

"Et bien pour tout te dire ça dépend. Parfois on va être en danger à cause de telle ou telle chose et le lendemain peut-être que tout ira bien..."

Elle espérait avoir été assez claire! Karkaru semblait un peu inquiet, se dire que l'on peut être en danger à tout moment ne devait pas être simple...Jean comprenait tout à fait et tenta de rassurer Karkaru:

"Mais ne t'inquiètes pas, ce n'est quand même pas tous les jours que tu risques ta peau et quand bien même ca le serait il y a aurait des gens pour t'aider. Ici tu ne seras jamais seul..."

C'était la vérité: les X Men étaient très solidaires entre eux et en laissaient tombé personne...Puis Karkaru lui dit qu'il avait l'habitude de ne pas être grand, ce ne devait pas être facile tout les jours. En fait Jean ne savait pas bie nce que ça faisait d'être petite, elle avait toujours était grande alors...

"Non, c'est vrai que les gens petits ne sont pas toujours prit spécialement pris en considération quand on fait les portes. Mais c'est pareil avec les gens trop grand: quelqu'un de deux ^ètres peut avoir du mal à passer sous une porte si elle est trop petite...En fait il faut être dans la moyenne, c'est comme les mutants, ils sont différents des humeins et donc moins pris en considération...C'est la nature humaine qui n'aime pas le différent."

Conclua-t-elle, consciente que ce qu'elle disait était peut-être un peu dur et que pas tout le monde n'était comme ça. Pourtant elle était persuadée que c'était ainsi que fonctionnait l'Homme . Il a peur du différent alors il ne le prend pas en considération ou est méchant avec...Karkaru lui dit que lorsqu'il était à l'orphelinatil avait en effet des lits mais qui semblaient moins confortables Jean sourit:

"Oui, c'est vrai que ceux de l'Institut sont confortables...Je peux t'assurer qu depuis mon arrivée c'est aussi bien!"

Mine de rien elle avait appris que Karkaru avait vécu dans un orphelinat, dans ses manières d'agir quelque chose lui disait que Karkaru n'avait pas eu une ve rose et le fait qu'il ne se souvienne pas de ce qu'était un lit alors qu'il avait au maximum 20 ans la laissait penser qu'elle avai traison, cela la fit tiquezr et elle demanda:

"Karkaru, tu as vécu es resté combien de temps à l'orphelinat?"

Il regarda partout, dans tout les recoins de la chambres pour demander un peu déçu peut-être où était les autres garçons de la chambre. Jean lui sourit puis dit:

"Je ne sais pas ils sont peut-être sortit ou allés manger, tu les verras tout à l'heure..."

Un froid mordant entourai le parc du château, un froid d'hiver...

Qu'importe, Hans ne le sentai pas, juste une petite indication parmis tant d'autre sur ses lentilles: 5 °C.

Hans s'aprochais d'un pas lourd, ses botte férées s'enfoncais légèrement dans la terre humide du parc, les feuille morte crissait sous ses pas.

Il continua son chemin dans l'allée de gravier et s'approcha de la porte. C'était un bel ouvrage d'architecture que ce chateau. Fin 18ème tout au plus. La porte était une imposante pièce de bois, des moulure discrète lui donnait une impression de puissance.

Ses lentilles passèrent dans le violet, un petit rire le pris: il était arrivé au but.

Il poussa les porte qui s'ouvrir en grand. Un souffle d'air les referma juste après.

*Le vent est fort de ce pays, ca me plait...*

Il regarda la lettre qu'ils avait reçu, deuxième étage, chambre 5. Il allait pouvoir se reposer. Venir d'Allemange discrétement n'était pas chose facile et il avait dûs marcher la plupart du temps.

Dans le Hall, un brise imperceptible charriait divers élément, principalement de l'oxygène et du dioxyde de carbone. Un peu de souffre aussi.

*Du souffre ? Aurait-il un laboratoire ? Il faudra que je me renseigne...*

Un panneau lui indiqua le deuxième étage. Il monta les escalier d'un pas lourd. Il ne croisa personne.

*Etrange, j'immaginait le chateau plus peuplé que çà...*

Il regarda son horloge interne et la régla sur l'heure de New-York: 12h30.

*Tous en train de manger je suppose...*

Arrivé au dieuxième étage, il répéra un panneau indiquant que les dortoir de garçons était à droite.

*Bien, bien...*

Il arriva rapidement devant la porte avecun numéro 4. Devant la porte suivante discutai deux personnes. Une, trop petite et une jeune fille de taille moyenne avec de long cheveux rouges.

Il s'avança vers eux et arrivé à leur niveau releva son capuchon qu'il avait gardé depuis son arrivé.

"Bonjour, je me nomme Hans. Une certaine Tornado m'as indiqué que mon dortoir était ici."

Jean entendit des bruits de pas venant du couloir, mais pas des bruits de pas communs. Ils avaient comme un arrière son de fer. Elle se tourna vers l'endroit d'où ils provenaient pour se trouver nez à nez avec un homme très grand encapuchonné, qui enleva sa capuche. Au lieu de voir comme elle s'y attendait un visage humain, elle vit un masque à gaz duquel se voyait bien, des yeux rouges. Elle lui sourit pourtant, sans faire attentoin à son étrange physique. Il lui dit s'appeller Hans et qu'une certaine Tornado lui avait dit de venir ici. Jean sourit de plus belle et se présenta à son tour:

"Bonjour Hans, je m'appelle Jean Grey." Elle marqua une pause puis dit:"Je suis infirmière ici, et je pense que c'est pûtôt Tornade qui t'a dit de venir ici non?"

Elle avait un grand sourire, un sourire honnête et accuiellant qui était quasi-constant sur son visage. Elle lui sourit de nouveau, attendant une réponse, se disant queKarkaru voudrait peut-être se présenter lui-même au nouvel arrivant qui sera peut-être son compagnon de chambre...[b]

Hans réfléchissait à ce qu'il venait d'entendre. Ses lentilles passèrent dans le vert.

Il jeta un coup d'oeil à la porte et nota que la chambre portais bien le numéro 5.

*Parfait, parfait...*

La jeune femme avait parut un peu surprise mais s'était vite repris, normal des gens comme Hans il n'y avait pas des masses.

*Je me demande quel est son pouvoir...*

Ses lentilles repassèrent dans le rouge puis il s'adressa à la jeune femme:

"Enchanté Jean, puisque tu travaille ici tu vas peut-être pouvoir m'expliquer le mode de vie de cet endroit."

Au passage il entreprit de la détailler. Elle était jeune et très jolie. Le modifications que l'on lui avait fait subir lui interdisait tout sentiment amoureux et pourtant, pourtant...

Un visage remontait des bribes d'une mémoire effacé. Un visage flou puis deveant de plus en plus net. Ce visage n'évoquait rien dans sa mémoire mais il su qu'il l'avait aimé...

*Je serais capable de la reconnaitre mais elle, en serait-elle capable ? Quel age doit-elle avoir maintenant ? Et moi qui suis-je réellement ?*

Avec un signe de tristesse il saisi la plaque qu'il portait au coup et en effleura les inscriptions. Il ignorait qui était ce Hans. Peut-être lui ou peut être pas ?

En pensant à ce que certaines personnes allaient subir, intérieurement il sourit et ses lentilles passèrent dans le violet.

Il regarda la créature à coté de la demoiselle. Il était petit et vert. Très singulier.

*Il n'est pas humain, moi non plus à vrai dire...*

Il inspira à fond et ragarda la jeune femme d'un regard pénétrant...

hj: désolée du retard alors que je t'avais dit que je répondais de suite mais ma mère m'a appellée!

Les yeux de Hans devinrent verts, sans que Jean ne comprennent pourquoi. Il regarda la porte du dortoir sans rien dire ce qui intrigua Jean, pourtant il ne dit rien. Mais Jean ne fit rien, elle ne voulait pas lire es pensées même si le nouvel arrivant l'intriguait. Mais elle ne résister longtemps à la tentation et concentra son pouvoir pour entendre:

Citation :

*Je me demande quel est son pouvoir...*

Elle ne répondit pas de suite: avant qu'elle ne le puisse les yeux de Hans redevinrent rouges et il lui demanda de lui expliquer un peu le mode de vie de l'Institut.

"Et bien, ici tu es à peu près libre de faire ce que tu veux, tu peux sortir même s'il y a un couvre feu si tu n'as pas un certain âge...Et puis tu dois aller en cours, pour apprendre à contrôler tes pouvoirs ou apprendre des méthodes de combats. Tu verras ici tu pourras te faire des amis et tout et tout...Si tu as des questions tu peux les poser à moi ou même unéléves: tu verras tout le monde est très gentil ici!"

Elle avait l'impression de faire de la pub pour l'Institut mais que dire d'autre, elle décida de répondre à la question qu'elle avait entendu en lisant ses pensées:

"Sinon je suis télépathe, c'est comme ça que je sais que tu te posais la questionsur mes pouvoirs et je suis aussi télékinésique. Et toi?"

Elle avait demandé cela et vit Hans effleurer du doigt la plaque, peut-être militaire qu'il avait autour du cou. Ca lui fit penser à celle de Wolverine, enfin Logan...

"Tu as fait l'armée?"

Les yeux de Hans changèrent à nouveau de couleur pour devenir violets et il regarda Kurkaru. Il inspira profondément, et ce fut comme un bourdonnement. Il fixa ensuite Jean qui ne baissa pas le regard. Elle ne lui dit pas qu'elle avait lu ses pensées au sujet d'une femme apparament. C'était triste, trop triste et elle ne voulait pas lui affliger ça. Elle lui en parlerait peut-être à l'occasion, lorsque l'un comme l'autre aurait un peu plus parlé et se connaitraient mieux. Elle ne voulait pas lui faire de mal en lui parlant de ça...

[HJ: Pas grave, j'aime prendre mon temps pour répondre]

Hans avait sentit quelque chose d'étrange. Une présence à peine perceptible, comme si quelque chose le regardais mais de l'intérieur. Quelques choses effleura ses pensées mais n'y prêta plus d'attention.

Jean lui expliqua la vie à l'institut et il se mit à rire doucement quand il l'entendis prononcer l'histoire du couvre feu et de l'age.

*Je sens que je vais me plaire ici...*

Quand Jean lui expliqua ses pouvoirs, Hans fut légèrement surpris.

"Mon pouvoir ? Hum... et bien je peut faire ceci:"

D'un geste il ferma la porte N°5 avec un courant d'air.

"Certe ce n'est guère impressionnant mais je peut créer tout type de gaz dont je connai la composition chimique ou alors lancer des souffle d'air suffisament puissant pour t'envoyer voler sur plusieurs mètres."

D'un petit geste il forma une bulle d'air autours de lui qu'il solidifia.

"Vas-y essaye de me toucher tu n'y arrivera pas."

Jean fut intrigé quand Hans toucha sa plaque.

"Hum... Oui en un sens. Je suppose que cette plaque m'apartient puisque je l'ai trouvé avec moi quand je me suis réveillé dans un batiment désert mais je n'en ai aucune certitude. Je ne connais même pas mon age."

"Au fait en arrivant ici j'ai détecté de légères traces de souffre dans l'air. Vous avez un laboratoire ?"

Jean se demanda pourquoi Hans riait, peut-être avait-elle dit quelque chose de mal? Mais en lisant ses pensées, elle remarqua juste qu'il pensait être heureux ici:

"Oh oui, tu le seras...C'est vraiment un endroit génial."
Puis il lui parla de son pouvoir, ou plutôt commenca par lui faire une démonstration en fermant la porte du dortoir 5 grâce à un courant d'air. Jean sourit, dans le fond leurs pouvoirs étaient semblables sauf qu'elle elle n'utilisait pas son pouvoir avec de l'air mais seulement avec sa télékinésie. Puis il lui donna un argument montrant qu'elle se trompait: en fait il pouvait créer de l'air à partir du moment où il connaissait sa composition chimique. Puis il lui fit une seconde démonstration en lui demandant de le toucher. Ce qu'elle ne parvint pas à faire malgré ses nombreux essais. Elle comprit alors qu'il contrôlait l'air:

"Pas impressionnat, tu plaisantes?"

Une question lui vint soudain:

"Mais si tu ne connais pas la composition d'un produit, t udois l'apprendre avec les formules et tout, ou tu peux l'apprendre rien qu'en sentant le gaz?"

Au sujet de sa plaque il déclara qu'il pensait qu'elle lui appartenait puisqu'il s'était réveillé avec dans un batîment désert. Il ajouta qu'il n'avait aucune certitude et qu'il ne connaissait même pas son âge. Cette histoire lui fit penser à Logan, et le fait qu'elle ait lu dans ses pensées pour connaitre son passé:

"Si tu veux je pourrais lire ton passé grâce à ma télépathie. Je l'ai fait pour un ami à moi qui était dans la même situation. Et puis tu verras, il est à l'Institut tu pourras lui parler si tu veux..."

Puis il lui parla d'une odeur de souffre, elle sourit puis dit:

"Oui, nous avons effectivement un laboratoire, tu voudras que je te le montre un jour?"

Le laboratoire, elle adorait cet endroit où elle pouvait faire tout un tas de recherches qu'elle aimait tant. Tiens d'ailleurs il faudra qu'elle y aille un jour ou l'autre pour faire des recherches sur la pattes, de Vein selon elle, qui avait agressé Kate.

[Hj] : c'est sympa de m'avoir attendu... Eu hans... Je crois qu'il va falloir que ton perso ne s'approche pas trop du miens : je supprime la technologie dans un rayon d'un peu moins de 3 mètres ... Ce qui risque de poser un certain nombre de problèmes...

Kurkaru était complètement largué... Il c'était tout d'abord caché dans la chambre quand il avait vu arrivé la grande silhouette noire... Puis il avait été tellement impressionné qu'il en avait perdu sa langue pourtant bien pendue d'habitude. Lorsque Jean et le monstre noir avait discuté Kurkaru avait compris qu'il n'étaient pas méchant mais simplement un peu étrange... tout comme lui dans le fond. En tout cas ses pouvoirs étaient assez impressionnant Kurkaru aurait bien aimé avoir les mêmes. Lui il ne faisait rien du tout... Mais même la surprise ne pouvait pas venir a bout de la curiosité de Kurkaru bien longtemps :

" Pourquoi t'es comme ça ? C'est uin peu effrayant ? Tu reviens d'un bal masqué?"

Puis Kurkaru se rappella que d'habitude les gens devaient se présenter et que lui il ne l'avait pas fait, contrairement a son interlocuteur.

" Je m'appel Kurkaru ! Et il parait que je vais vivre dans cette chambre... Toi aussi ? Ça va être drôlement bien ! Sauf si tu passe en coup de vent ..."

Et Kurkaru repartit de sont rire caractéristique.

" Toi aussi tu te rappel plus trop bien de 2/3 trucs ? Moi je trouve pas ça trop dérangeant... Il parait que c'est gênant de ne pas connaitre son age mais je ne vois pas pourquoi..."

Il fut assez interloqué quand Jean se mit a parler de la composition de l'air...


"Il existe plusieurs composition de l'air ? Et ça fait quoi quand il n'est pas pareil ? C'est de l'air mutant ?"

[HJ: Mon ARI est un filtre et non un système électronique, histoire que je ne meure pas après une grenade EMP, en tout cas j'adore ton perso, très stylé l'apparence.]

Hans discutait avec Jean, quand la petite créature ouvrit la porte. Elle s'approcha de lui et soudain son casque s'éteignit !

*Que !?*

"Tu pourrai reculer un petit peu s'il te plait ? Merci !"

Son casque se ralluma d'un coup. Ses systèmes internes firent une courte vérification, tout allais bien.

La petite créature lui demanda pourquoi il était habillé ainsi.

"Mon habit est tout simplement celui que j'ai le plus l'habitude de porter. Tu vois regarde."

Hans enleva son gant de gauche, revelant une main humaine un peu pâle mais avec une bonne partie en rouge. Il remit son gant et continua.

"En revanche ma main droite et la plaque que j'ai sur le thorax, cela je ne peut les enlever. Par contre mon casque je peut."

Quand la petite créature se présentat il n'était guère surpris.

*En même temps avec une apparence aussi singulière, un prenom se doit d'être singulier. Kurkaru, j'aime bien.*

La fin de la phrase déclancha un fou rire chez le gnome.

*Et en plus il a de l'humour ! Je sens que l'on va bien s'entendre.*

La gnome parut interloqué quand Jean énonçat la composition de l'air.

Sa question était sans équivoque.

"Hum... En fait l'air est un mélange de divers élément chimique. La pression atmosphérique de notre planète fait qu'ils évoluent librement dans l'atmosphère. Et quand ces élément chimique se mélange, l'air obtient divers propriétés. Par exemple une odeur est un mélange de divers éléments."

Aussitôt une odeur de tarte à la fraise envahit le couloir.

Jean reprit la conversation.

"Mon pouvoir n'est très impressionnant dans le sens où je vais éviter de casser trop de choses."

La jeune femme aborda la composition chimique. Et lui posa la question à propos de ces faculté de création.

"Oui et non. Apprendre les formules ne me suffiront pas. Il faut que je puise l'analyse grâce à mon masque. C'est un peu compliqué mais je ne maîtrise pas encore totalement cette partit de mon pouvoir."

Quand la jeune femme lui parla de lire le passé, Hans devint indécis et ses lentilles passèrent dans le vert.

"Non en fait je ne préfère pas ou tout du moins pas tout de suite. Je... je cherche à le connaître moi même. En tout cas ta proposition est très sympathique."

Les lentilles d'Hans passèrent dans le violet quand il entendit confirmation pour le laboratoire.

"Parfait, je pourrai donc mener des petites expériences."

"Dis-moi, j'ai un peu faim où se..."

La vision de Hans devient brouillé tout d'un coup. La créature n'avais pas bougé pourtant...

*Que... que m'arrive t-il ?*

Il commençà à vaciller, puis son casque s'éteignit et tout devient noir. Il se sentit tomber et heurter le sol sur le dos avant de sombrer dans l'inconscience...

Lorsque Kurkaru sortit de la chambre et s’approcha de Hans, les yeux de celui-ci s’éteignirent, ce qui surpris Jean. Pourtant, en lisant les pensées du géant, Jean put voir qu’il était tout aussi surpris. Puis il demanda à Kurkaru de se pousser et ce faisant, ses yeux s’éclairèrent de nouveau. Ce manège surpris d’autant plus Jean qui se posait des questions : dans sa tête deux faits concordaient, l’interrogeant. D’abord le premier, où elle a été incapable d’utiliser sa télépathie face à Kurkaru et le second selon lequel les yeux de Hans s’éteignent. Il ne faisait aucun doute pour elle que c’était dû à Kurkaru ou quelque chose qui émanait de lui…Mais tant qu’elle n’en saurait pas plus et qu’elle ne pouvait en être certaine elle ne dirait rien. Elle se jura tout de même d’y réfléchir dans les prochains jours. Lorsque Kurkaru demanda pourquoi est-ce qu’il était habillé comme ça, Jean sourit, décidément ce petit bonhomme la ferait toujours rire ! Hans expliqua que c’étaient les vêtements qu’il avait l’habitude de porter. Il montra ensuite sa main, blanche et rouge :

« Pourquoi tes mains sont-elles un peu rouges ? »

Demanda Jean en fronçant les sourcils, elle se demandait si c’était un problème de santé, de circulation sanguine à cause des gants ou une allergie…Ce n’était pas sa faute, c’était simplement son côté médecin qui se réveillait à chaque fois qu’il y avait des blessures dans l’air…Et à l’Institut Xavier elle avait l’occasion de voir ce côté là se réveiller à sa guise ! Jean avait toujours était curieuse : sur les gens comme sur des faits scientifiques, et qu’elle ne comprenait pas…Mais Hans ajouta qu’en contre-partie il ne pouvait pas enlever sa main droite et la plaque sur son thorax :

« Comment ça se fait ? »

A moins d’une modification en laboratoire de son apparence ou d’une grave blessure, Jean ne voyait rien d’autre…Kurkaru se présenta alors, en disant que ca allait être drôlement bien…Mais elle se demanda pourquoi est-ce qu’il parlait de passer en coup de vent…Puis Kurkaru éclata de rire en demandant si lui aussi ne se rappelait pas bien de quelques trucs. Cela fit un peu sourire Jean, c’était un peu triste mais les deux camarades de chambre était liés par ça…D’ailleurs à ce propos elle se tourna vers Kurkaru :

« Au fait, désolée de ne pas avoir pu utiliser mon pouvoir…Si ça peut te rassurer je me demande si ce n’est pas ton pouvoir, il faudra peut-être que tu voies avec tes professeurs ou ts camarades pour voir si leur pouvoirs fonctionnent à tes côtés : je n’en suis pas certaine »

Elle avait peut-être un peu oublié ce qu’elle s’était dit quelques minutes auparavant mais bon, si Kukaru n’avait aucun moyen de vérifier si oui ou non c’était son pouvoir il ne le saurait jamais…Kurkaru fit de nouveau preuve de curiosité, la curiosité qu’elle aimait tant chez lui parce qu’elle montrait qu’il était intelligent…à sa manière. Pourtant il ne faisait aucun doute qu’avec son envie de comprendre et sa philosophie de vie, Kurkaru ferait un excellent élève…Mais Hans répondit à sa place tandis qu’une odeur de tarte à la fraise se propageait dans le couloir…Jean se demanda un instant si c’était lui qui l’avait crée… Puis il répondit à sa question à elle au sujet de ses pouvoirs,

« Ne t’inquiète pas, ici tu contrôleras totalement ton pouvoir ! »

En tous cas il déclina sa proposition de lire dans ses pensées pour connaître son passé, Jean ne fut pas vexée, loin de là, elle aussi l’aurait sans doute décliné. Pas parce qu’elle n’aurait pas voulu connaître son passé, mais surtout parce qu’elle ne voulait pas que quelqu’un le connaisse…Elle était trop timide et secrète pour ça…En entendant qu’il y avait un labo, les yeux de Hans devinrent verts ce qui ne surpris pas la jeune femme qui commençait à être habituée…Elle se tourna vers Kurkaru

« Si j’amène Hans au labo un jour tu voudras venir ? Comme ça je te montrerai des trucs… »

Elle était persuadée qu’un laboratoire intéresserait Kurkaru de par toutes les choses qu’il y a à découvrir dedans… Hans leur dit avoir un peu faim, mais ne put finir sa phrase qu’il tomba à terre, les yeux éteints ! Jean s’avança vers lui avec précipitation, elle n'osait pas enlever son casque...Peut-être lui en voudrait-il même si c'était un cas d'extrême urgence! Elle tenta surtout de voir s'il était éveillé...ou même tenter de le tenir éveillé...

« Hans ? Hans ? »

Elle n’était pas habituée à ce genre de cas ! Elle se tourna vers Kurkaru pour voir ce qu’il ferait…Avec de la chance c’était le pouvoir de Hans qui avait déclenché ça et Kurkaru pouvait le résoudre, si tel était son pouvoir ! Un bon moyen pour lui de le savoir…

[HJ: Mes pensée te sont toutes accessible pendant la partie raconté en orange mais sache qu'elle t'agresserons autant qu'elle m'agresse.]

L'esprit d'Hans flottait dans les limbes de sa mémoire. Un flash lui fit cligner des yeux, il était dans un jardin ! Une légère odeur de cerise flottait dans l'air. Mais il ne pouvait pas bouger. Une voix feminine retentit:

"Hans mon cheri, viens voir maman on vas faire une photo."

De là où il était un petit garçon surgit de derrière lui puis s'arrêtat et le dévisagea, comme si... comme si il pouvait le voir.

Ses yeux bleus, des yeux d'un bleus acier. C'était les siens !

"Allez viens chéri !"

Le petit garçon détourna le regard et couru vers une jeune femme aux coté d'un jeune homme, la trentaines pas plus.

Le fantôme de Hans tendit le bras:

"Papa... Maman..."

Une bouffée de tristesse l'envahit et ses yeux se brouillèrent de larmes.

Le petit garçon tira la manche de sa mère et pointat le doigt où Hans était tombé à genoux.

"Maman, c'est qui le grand homme là-bas ?"

La vision se brouillat et une intense douleur lui parcourus le corps. Il voyait une boule de feu lui foncer dessus. Puis tout disparut dans l'obscurité.

Il lui semblait qu'il tombais dans le vide et au-dessus deux yeux rouge le fixais. Un rire diabolique retentit et il émmergea.

Son casque se ralluma et il vit Jean pencher au-dessus de lui, l'air inquiète. Hans tenta de se relever mais il ne put le faire.

"Je... J'ai besoin de m'allonger..."

Il réussit néanmoins à s'adosser contre le mur pour reprendre son souffle. Il avait chaud et suais à l'intérieur de son armure. Mais pour une fois, il allait faire ce qu'il n'avait jamais fait.

Il tendis les mains sur les coté de son casque et dévérouillas les protections pneumatiques. Un chuintement aigu se fit entendre et un petit jet de vapeur s'échappa des cotés de son casque. Lentement, il le retira dévoilant pour la première fois son visage à quelqu'un...

Sa peau était légèrement pâle à cause du manque de soleil. Toute la partie gauche de son visage était rouge vif et flétrie comme les cicatrices d'une peau brulé aux 3ème degré.

En revanche son visage n'était pas désagréable. D'un blond très vif au regard d'un bleu acier. Il souriait presque.

"On as fait plus agréable à regarder, non ?"

Jean paressait boulverser et Kakaru le regardais avec curiosité.

Hans désigna la plaque sur son torse et sa main droite:

"Ceci est mon ARI. Un filtre qui me permet de respirer sans quoi je mourrai. Et ma main, je suppose que l'on me l'as gréffée car j'ai dus perdre l'ancienne."

D'un coup de pouce il désignat son casque posé par terre. Les inscriptions aux verso était clairement visible.

"Elle signifies:

Complexe scientique X16
Project Gamma
Protocole 51.

Depuis que j'ai lus çà j'ai de bonne raison de croire que je suis un projet d'arme millitaire. "

Il souffla un peu et regarda Jean dans les yeux...

Kurkaru se demandait de quoi il retournait... Entre les explication compliqué sur l'air et l'agitation qui régnait dans la salle. Kurkaru étrait lui aussi intéressés par la couleur des mains du grand monsieur. En tout cas Kurkaru ne compris pas pourquoi il lui demanda de reculer...

"Pourquoi tu veux que je recule ?"

Demanda Kurkaru tout en s'effectuant. Puis lorsque Jean supposa que le pouvoir de Kurkaru pouvait être de bloquer celui des autres il trouva cella très amusant comme idée. Mais la chute de Hans intérompit ses réflexions.

" Eh pour quoi t'es par terre ? C'est pas l'heure de la sieste...Allez debout."

Puis il vit l'expression de Jean indiquant que ça ne devait pas être normal : il s'approcha de Hans et le secoua comme un prunier... Et celui ci sortit de son état en moins de quelques instants. Comme il désirait s'allonger Kurkaru lui offrit son aide ( toute symbolique qu'elle soit)Puis il regarda avec le plus grand intérêt l'homme qui autait son premier visage pour laisser voir un second visage... C'était assez drôle comme principe. Ce qui il avait en dessous était assez impressionnant... Kurkaru avait l'impression de voir son visage dans un miroir déformant... Mais lorsqu'il leur expliqua qu'il pensait être un projet militaire Kurkaru ne compris pas tout...

" Euh les militaires... C'est pas les gens qui veulent travailler moins ? Pourquoi il modifierait les gens... Et ça un rapport avec les millibar?..."

Puis osant une petite plaisanterie sur la machinerie qui ravivait l'air ( du moins a ce que Kurkaru avait compris...)
: "On t'a tuyauté pour l'institut...?"

Et ne pouvant se retenir il se remit à rire...

Jean fit un pâle sourire un peu inquiet lorsque Kurkaru demanda à Hans pourquoi il était par terre,lui disant que c'était pas l'heure de la sieste, ce n'était peut-être pas le moment de rire mais cette petite phrase, peut-être pas partie pour être drôle la détendait un peu...Voyant que ce n'était pas une situation normale, Kurkaru "aida" Hans à se relever tandis que Jean était affligée de pensées: Une odeur de cerise, un petit garçon qu'elle ne connaissait aps mais qui la troublait, elle se sentit dans le corps de Hans, dans son esprit. Elle vit une main, comme si ele était sa main tandis que la voix de Hans appellait son père et sa mère. Même sans connaître la famille de Hans, Jean savait que c'était son père et sa mère. Une émotion terrible l'étreignait, elle était triste, se sentait pleurer tandis qu'elle souffrait. Päs physiquement mais sentimentalement, moralement...Elle se sentit tomber à genoux, le petit garçon la montrer du doigt, parce qu'elle avait vraiment l'impression d'y être, de le vivre. Elle pleurait, elle le sentait. Puis une boule de feu jaillit, l'obscurité, un rire...Puis elle rouvrit les yeux, face à elle, Hans qui demandait à s'allonger et Kurkaru à côté qui le regardait fixement après l'avoir aidé...Elle effaça discrètement une larme qu'elle sentait couler . Hans demanda à s'llonger, il s'était appuyé contre un mur mais Jean usa de son pouvoir télékinésique pour le transporter sur un lit. Avec son pouvoir, l'homme ne pesait rien alors pourquoi ne pas l'aider? Puis regarda Hans ota son casque, dégageant du gaz...Elle sourit un peu lorsqu'il fit remarquer qu'il y avait plus agréable à regarder...

"Mais non...Ne t'inquiètes pas"

Elle ne se sentait pas en mesure de dire autre chose, le petit aperçut de la vie de Hans l'avait bouleversé...Elle sourit légérement tandis qu'il lui expliquait que sans son ARI il ne pouvait pas respirer et que sa main devait être fausse. Elle fronça les sourcils, qu'avait-il bien put lui arriver? Bien sur elle avait vu la boule de feu mais elle n'était pas des plus certaine que ce soit la cause de tout ça...Elle savait pourtant qu'il n'en savait pas plus qu'elle compte tenu du vocabulaire et des temps employés [NON! Je deviens comme ma prof de français!] Il leur dit ensuite qu'il pensait être le projet d'une arme militaire...Encore un point qui le rapprochait de Wolverine. Sentant qu'elle allait de mieux en mieux, Jean dit:

"Tu serais comme l'ami dont je t'ai parlé...Tu penses que tu as été une arme menée à terme ou pas?"

Elle ne voulait pas en dire plus à propos de Logan, connaissant son côté secret ...En tous cas pour sa question elle voulait savoir s'il avait déjà combattu, s'il se connaissait une mission ou s'il n'était qu'un essai qui n'avait été terminé ce qui expliquerait peut-être sa conscience...Puis Kurkaru indiqua qu'il ne comprenait pas ce qu'était un militaire:

"Un militaire c'est un soldat, il a pour but de défendre la nation et la population. Pour cela il est doté d'armes qui lui permettent de se défendre. Tu veux que je t'explique mieux?"

Elle n'entra pas dans les détails des militaires pensant défendre les humains en attaquant les mutants, et tout ça. Ni des militaires qui tuaient des vies. Bien sur certaines de ces tueries étaient justifiées par l'Etat, et la guerre mais Jean ne comprenait pas pourquoi les civil se retrouvaient mélés à tout ça et se retrouvaient victimes...Puis elle sourit en entendant la blague de Kurkaru et son rire...