X-men, le jeu de Rôle
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 Matthew Coffin.

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4 participants
AuteurMessage
Matthew Coffin
Humain
Matthew Coffin


Nombre de messages : 72
Age : 50
Autre(s) identité(s) : Le froid.

Pouvoirs : Aucun.

Age du perso : 38 ans.
Date d'inscription : 08/05/2011

Matthew Coffin. Empty
MessageSujet: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 11:19

CARTE
D'IDENTITE



Matthew Coffin. Avataroi
© avatar


    NOM : Coffin

    PRENOM : Matthew

    ALIAS ET SURNOM : Le froid. Un sobriquet donné par rapport à mon manque de chaleur humaine.

    AGE : 37 ans.

    DATE DE NAISSANCE : 19 juin 1973

    M ETIER: Homme d'affaires.

    NATIONALITE : Italienne.

    GENRE : Masculin.

    CLAN : Humain.




Pouvoirs :


  • Description :

  • Niveaux de maitrise:

  • Lien entre les Pouvoirs:



Description Physique :


  • Apparence :

    Ce que l'on peut dire du premier coup d'œil c'est que je suis typé. 1 mètre 83 pour 78 kilos, les cheveux bruns, la peau matte, je suis un italien du sud cela ne fait aucun doute. Mais dans un pays où 70% de la population tient des immigrants d'Ellis Island je ne me fais pas trop de soucis concernant la remise en doute de mes faux papiers par les autorités, je les paient déjà assez cher... J'ai les yeux marrons surmontés de deux traits bruns me faisant office de sourcils. Mon nez est bien proportionné, pointu sans pour autant partir en trompette, et imposant sans néanmoins m'écraser le visage. Ma bouche aux lèvres fines ne s'animent que pour parler, non pour sourire ou crier. Je ne porte pas la barbe, mes joues sont rasées de près. Quant à mes cheveux ils sont implacablement coiffés en arrière.

    D'une taille relativement moyenne, plutôt athlétique, je ne cultive pas mon corps mais la passion de la banalité. L'art de s'effacer dans le décors, d'être un visage parmi tant d'autres dans les rues de New York.

    Ce qui signifie que contrairement aux gangsterillons de gouttière je ne me pavane pas en manteau de fourrure en plein mois d'aout, les mains couvertes de bagues, des ray ban vissées sur les nez et dégainant à tout va un sourire en or massif. J'aime profiter de mon argent c'est vrai, mais de façon réfléchie. La plupart du temps je porte un costume deux pièces, très simple, souvent blanc et noir mais provenant toujours des grandes griffes de la haute couture. Les boutons de manchettes sont les seuls bijoux je m'autorise.

    Pas de chevalière, ni de gourmette et encore moins de collier fait à partir d'une chaîne de vélo plaquée or. Je suis sobre dans ma manière de m'habiller comme dans la manière de choisir mon restaurant, mes vins ou mon hôtel.

  • Signes Particuliers :

    Représentatif de ce qui fait à la fois mon travail et mon esprit, on peut trouver sous mes vêtements un tatouage, un irezumi pour être exact. Ce genre de tatouage typiquement japonnais s'applique sur de grandes parties du corps, parfois sur sa totalité. Pour ma part le mien comprend mon dos, mon torse et mes épaules.

    Sur mon torse se trouve un Qilin, l'équivalent d'une licorne à tête de dragon, animal céleste et éminemment pacifique. Il est représenté sur un gigantesque lotus en guise de toile de fond. Chacune de mes épaules est décorée d'une carpe koï, l'une remontant la rivière, l'autre la descendant. Enfin dans mon dos à été tatoué le dragon Yamata No Orochi serpentant dans un champ de chrysanthèmes.

    Un tatouage assez conséquent il est vrai, mais que personne n'est sensé voir, du moins personne que je n'aurai autorisé. Il a été fait durant mon passage au Japon selon la méthode hanebori. C'est à travers cette œuvre que je me suis reconstruit.



Caractère :

  • Mental :

    Je peux dire sans me tromper être d'un calme olympien. Je considère la colère comme une mauvaise conseillère qui altère le jugement. Pour beaucoup j'apparais comme un homme flottant au dessus de ses problèmes, imperturbable dans son cheminement, ne se laissant jamais distraire de son objectif principal. Je passe également pour quelqu'un apprenant de ses erreurs, car apprendre est chez moi une seconde nature depuis que je suis enfant. A l'inverse de ceux qui m'entoure dans mon domaine d'activité nulle étroitesse d'esprit mais bien une ouverture.

    Cela se vérifie évidement par ma compréhension du phénomène mutant, difficile, impossible même, de ne pas avoir un avis tranché sur cette question. Darwiniste convaincu dans la gestion de mes affaires, je reconnais à l'espèce nouvelle -supérieure à mes yeux- sa place sur cette terre. Je ne juge personne sur sa religion, sa sexualité ou sa couleur de peau, alors pourquoi juger quelqu'un sur une différence génétique ? Je préfère juger sur les qualités d'un individu et ce qu'elles peuvent m'apporter. Homme avisé du monde qui l'entoure j'ai fait la différence entre ceux qui prône la suprématie de leur race et les autres, qui ne souhaite que la coexistence. J'avoue avoir une préférence pour la seconde catégorie, défendue par les x-men, beaucoup plus libérale à mes yeux que la Confrérie. Celle-ci, trop absolue, est nuisible pour la société, dans un premier temps, et pour l'économie dans un second temps. C'est notamment à cause de groupes comme la Confrérie que des organisme comme le BAM voient le jour. Pour des chefs d'entreprises dans mon domaine d'activité, qui ont des mutants à leur service, ont est très vite mis dans le même panier. Après, tout est négociable...

    Darwiniste convaincu je suis également unilatéraliste, prenant uniquement des décisions en fonction de la seule personne qui compte à mes yeux : moi.

    Un certain nombre de personnes ont crues deviner que sous mon apparente solennité, cette façade imperturbable, se trouvait en réalité un vide immense, un être incapable de la moindre pitié humaine cultivant le profit. Le fait que je sois calme ne veut pas dire que je suis homme à tendre l'autre joue, je préfère réfléchir et répondre à mon adversaire au moment opportun, où il s'y attend le moins. Le prendre au piège à l'instant où il est le plus vulnérable et isolée. Cette capacité à ne pas sourciller au moment de verser le sang -un trait exagéré- m'a fournis un plaisant surnom : le froid.

    Je n'ai pas contacté mes parents depuis 1994, on peut voire là deux choses : un individu qui considère les êtres humains comme des produits jetables ; ou un homme qui accorde une haute valeur au sacrifice.


Histoire :

  • Talents Particuliers :

    Je parle l'italien, ma langue natale, mais également l'anglais et le japonnais.

    Les années passées au Japon en tant que tueur m'ont permis de perfectionner mon maniement des armes (dans leur ensemble). Durant cette période j'ai appris des choses qui m'ont été utiles lorsque j'ai monté mon business aux Etats Unis. Les égouts de New York n'ont que peux de secrets pour moi.

  • Possessions :

    Je vis actuellement dans une suite au Waldorf-Astoria. Pour me déplacer j'utilise habituellement ma limousine (une lincoln blanche), pour les balades réclamant un peu plus de discrétion je préfère la panamera.

    Je suis Président Directeur Général d'une petite entreprise de courtage : Pierce & Carlson, ainsi que le propriétaire d'une agence immobilière (Taxon), je possède également quelques parts dans une entreprise d'import export où je ne suis qu'actionnaire (Express Investment). Là s'arrête l'homme d'affaire que je suis et débute le criminel.

    Le Groupe.

    Matthew Coffin
    Je suis le patron. Je suis dur, sévère et sans merci. J'ai construit ce business de mes mains et je le défends avec hargne. Pour ce faire je me suis entouré d'hommes que j'ai choisi selon leurs compétences.

    Samuel Goodman et Norman Dershowitz. Le premier est pénaliste tandis que le second est spécialisé en Droit fiscal, les deux n'ont qu'une fonction : éviter que je me fasse arrêter. J'apprécie leurs conseils très souvent avisés.

    Yamamoto Isoroku, 30 ans, mon bras droit. J'ai fait la connaissance de ce japonnais taciturne à Tokyo, il ma suivi aux États Unis. Plus loyal qu'un fils et plus fidèle qu'un chien, la réussite de mon entreprise n'aurait pu se faire sans lui. Il parle peu, mais frappe fort. Constituant le meilleur des gardes du corps, il m'évite de porter une arme mais aussi de me salir : il est le lien entre le monde du crime et moi. Mes ordres passent par ses oreilles et ressortent par sa bouche.

    ***

    Vladimir Barzov est le premier de mes lieutenants. Cet immigré russe de 45 ans est le gérant de mes trois affaires, il est responsable du blanchiment d'argent. Ce lessiveur s'occupe parallèlement de mon compte en banque officiel aux États Unis et celui, bien plus officieux, basé en Biélorussie.

    Pour sa part Gilberto Garcia, 43 ans, est responsable du trafic de stupéfiants, à lui revient d'écouler mon produit : cocaïne et crack, en majorité. Des drogues classiques donc. Homme d'expérience dans le domaine, il a vécu assez longtemps dans les rues pour connaître les coups les plus tordus.

    Curtis Winfield, sauvage et brutal, ce titan afro américain de 33 ans tout droit sorti des bas fonds du Queens à en charge la prostitution. Non seulement il s'occupe de mes revenus sur les trottoirs, mais il doit également faire tourner mes trois boites de nuits.

    Qui veut la paix prépare la guerre, c'est pour cela que j'ai fait engagé Antony Brogan. Ce gamin de 24 ans au sang trop irlandais pour être intégré par la mafia a trouvé sa place à mes côtés. En tant que responsable du racket et de l'extorsion, il a en charge les porte flingues (une trentaine d'individus mutants et humains confondu). Il veille à ce que l'argent qu'on me doit soit remboursé, avec les intérêts, enfin il « s'occupe » d'un syndicat de bagagistes à l'aéroport de La Guardia.

    ***


    Pour finir, le Commissaire Montgomery constitue ma protection policière, après l'avoir placé à son poste et couvert ce dernier de dollars c'est le moins qu'il pouvait faire.

  • Biographie :

    Refaire sa vie. Combien de personnes ont cette chance ? Combien de personnes peuvent se permettre de quitter leur foyer, leur pays, pour tout recommencer ailleurs ? Combien d'hommes et de femmes y arrivent ?

    Deux fois. C'est le nombre d'occasion que j'ai eu.

    Je suis né Matteo Bara le 19 juin 1973 à Torre Santa Susanna. Bara, un nom qui n'a jamais porté chance aux hommes de la famille, un grand père pendu par Mussolini, des oncles décimés par les vendettas, un frère mort né. A ma naissance le caveau familial était déjà bien rempli.

    Le sort funeste qui planait sur nos têtes poussa mon père à voir en moi un héritier, et non un fils. Travaillant lui même pour la Sacra Corona Unita, l'organisation mafieuse locale, c'est naturellement qu'il me voyait m'engager dans la voix qui avait été la sienne. Mon père était sévère, mais juste. Derrière son regard courroucé et ses tapes sèches se trouvait la fierté paternelle et un amour incommensurable. J'étais tout ce qu'il avait, tout ce qu'il restait de sa lignée. Pour me protéger il aurait donné sa vie. Il se fit précepteur, m'enseignant tout ce qu'il tenait de son propre père. Nombreuses avaient été les heures passées dans un terrain vague ou au milieu d'une décharge abandonnée à vider des chargeurs sur des boites de conserve. Avec lui j'appris toute les subtilités d'un regard, d'un mouvement de l'index, le sens caché d'un mot. Curieux de nature, j'absorbais comme une éponge ce qu'il me disait, me faisait minuscule lorsqu'il recevait un de ses hommes à la maison afin de pouvoir en apprendre toujours plus. Je préférais ces séances d'apprentissage à toutes les balades entre amis, à vrai dire je ne connaissais guerre d'autres enfants que ceux des "collègues" de mon père. Lors des grandes réunions qu'ils organisaient nous nous retrouvions sous les tables ou dans les champs d'oliviers à organiser des parties de cache-cache...

    Mais curieux de nature, en grandissant je pris un certain goût pour l'étude. Fils unique, indépendant, j'avais toujours fais mes choix avec le consentement de mes parents, mais seul.

    A dix huit ans, la plupart des jeunes hommes étaient déjà rentrés dans l'organisation, pour ma part je m'étais inscrit en Droit à l'Université de Bologne. Mon père était à la fois fier et résigné. Pourtant dans mon cœur je n'avais cessé de lui rester fidèle, et quoi que je devienne grâce à mes études j'entendais bien le mettre au service de SCU.

    En 1994 j'ai obtenu ma licence, avec mention. Je m'étais dirigé vers une maîtrise en Droit public, de quoi m'ouvrir les portes de quelques instituts d'étude politique. Je pensais mal. Ces dernières années la situation s'était dégradée pour la Sacra Corona Unita, absorbé par mes études je n'étais que très peu revenu chez mes parents et mon père avait tenu à garder le secret sur les difficultés qu'il traversait. Cet été là j'étais revenu pour partir.

    Les quatre grands clans de SCU s'étaient fait mettre en pièce, d'abord à cause de leurs luttes intestines et ensuite à cause des pressions exercés par la Camorra d'une part et Cosa Nostra d'autre part. Ce n'était qu'une question de temps avant que l'Etat n'envoie les carabiniers remettre de l'ordre dans les Pouilles. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'un escadron n'arrive devant notre maison et nous canarde. Mon père m'a alors ordonné de fuir, de fuir très loin. Je ne l'avais jamais vu pleurer auparavant.

    Des scénarios comme celui là, lui et moi les avions envisagés sans jamais y croire, planifiant pourtant rigoureusement chaque étape de ce qui ferait ma survie. Partir sur Rome sans me retourner, prendre le premier avion quittant le pays, refaire ma vie, ne jamais téléphoner, n'envoyer aucune carte postale. Oublier Torre Santa, la maison, le soleil, eux. Même si je ne l'avais jamais montré j'aimais tout de cette vie, de la chaleur du soleil mariée à l'odeur du romarin jusqu'aux douces soirées d'été, où l'asti spumente venait relever la saveur des antipasti. Ce tableau je l'avais longtemps cru immuable, éternel, j'avais même pensé venir m'installer non loin lorsque mes études seraient terminées, peut-être à Brindisi. J'ai attrapé les clés de voiture que me tendait mon père et je suis sorti, sans dire un mot.

    Une partie de moi-même s'est déchirée ce jour là, celle qui voulait rester en Italie au milieu des oliviers.

    Soixante douze heures plus tard j'atterrissais à Tokyo, 1300 dollars en poche les restes de la fortune familiale. En voyant la foule avancer sur moi à Haneda je me suis arrêté, au milieu des cris japonnais je percevais également de l'anglais, quelques discrètes touches d'allemand et parfois du chinois. J'avais littéralement l'occasion de renaître, de choisir qui je voulais être, modifier ce qui faisait de moi Matteo Bara. Mais Matteo Bara n'était déjà plus là, il ne restait qu'une page blanche où tout restait à écrire.

    J'ai donné trente dollars à un taxi pour qu'il m'emmène dans un hôtel discret. J'ai débarqué à deux heures du matin dans un motel minable à deux pas du Kabukichô, les murs étaient épais comme du papier à cigarette, il manquait plusieurs lattes à mon lit et le gérant se servait de son établissement pour permettre à un proxénète local de faire son business. Je me suis affalé sur le lit et j'ai dormi deux journées d'affilées, comme un bébé.

    A mon réveil, faire le point s'imposa. Le Japon allait-il être une simple étape dans ma cavale, où déciderais-je de m'y installer ? Fuir ailleurs ne serait d'aucune utilité si mes poches étaient toujours trouées. Il me fallait de l'argent et un moyen de me protéger.

    La solution arriva trois jours plus tard. Alors que je regagnais mon hôtel miteux par des rues détournées, des bruits de pas derrière moi attirèrent mon attention. Je n'eus pas le temps de me retourner qu'un homme me bouscula, si violemment que j'atterris par terre entre des sacs poubelles. Le responsable de ma chute était tombé lui aussi, c'était un homme d'une cinquantaine d'années, torse nu. A la vue des nombreuses plaies qui recouvraient son corps et tuméfiaient son visage il semblait avoir été molesté. J'avais eu du mal à le voir à cause du sang et de la pénombre de la ruelle, mais d'importantes parties de son corps étaient recouvertes par des tatouages. Soudain les phares d'une voiture se mirent à éclairer la totalité de la ruelle, trois portières claquèrent. Si je pouvais entendre l'approche des derniers arrivants la benne à ordure qui me dissimulait m'empêchait également de voir leur visage, je dus attendre quelques secondes encore avant de les identifier. Ils étaient quatre, tous asiatiques et Habillés avec classe. Ils ne m'avaient pas vu, n'ayant d'yeux que pour l'homme qui m'avait fait tomber. Celui-ci se mit à genou implorant quelque chose dans sa langue, de leur côté les trois individus se murmurèrent quelque chose, également en japonnais, et sortirent des pistolets de leur veste. C'est alors que mon regard tomba sur une autre arme que personne ne portait mais qui était à mes pieds, le fuyard devait l'avoir fait tomber quand il m'avait bousculé. Ce dernier, voyant sa dernière chance de survie s'envoler à la vue de ces trois hommes braquant leurs flingues sur lui me jeta un ultime regard, rempli d'espoir. Le gangster le plus proche de moi le releva et jeta un bref coup d'œil sur son côté gauche.

    C'était trop tard, j'avais refermé mes doigts sur la crosse rugueuse du pistolet, et lorsqu'il commença à pivoter j'avais déjà tiré. Ma balle se ficha en pleine fausse nasale, suivis par deux autres destinées à ses compagnons. Me relevant d'un seul coup, je n'ai pas laissé au chauffeur le soin de comprendre cet improbable retournement de situation, comme le prouva son pare brise constellé de quatre trous au dessus du volant. Six secondes, quatre morts. Je ne connaissais pas ces hommes, je ne les avais jamais rencontrés de ma vie. Peut-être avaient-ils des femmes, des enfants, peut-être pas... Ils étaient là, étendus sous mes yeux à se vider de leur sang. Etonnement, la première chose qui m'est venu à l'esprit c'est la "chanson dans le sang" de Prévert : "dans la rue passe un vivant avec tout son sang dedans, soudain le voilà mort et tout son sang est dehors." Pourtant pas de haut le cœur, seulement l'adrénaline qui noyait mes émotions, j'avais eu un très bon précepteur en ce domaine. Qui plus est l'imprévisibilité de l'acte contrebalançait tout sentiment de culpabilité. J'ai jeté l'arme dans une poubelle au hasard avant d'aider l'homme aux tatouages à se relever. Dans cette affaire je n'étais pas naïf, loin de là. Comme n'importe qui d'un peu informé je savais qui étaient les yakuzas et leurs importance au sein de la société japonaise. Je comptais d'ailleurs dessus.

    L'inconnu me remercia, les deux mains jointes en signe de prière. J'étais certain que son prochain petit déjeuné aurait meilleur goût que tout ce qu'il aurait pu manger auparavant.

    Je l'ai ramené discrètement à mon hôtel où il put nettoyer ses plaies et passer un coup de téléphone. En anglais il me promit de ne pas oublier mon geste. Une berline noire s'arrêta sous ma fenêtre quelques minutes plus tard, les yakuzas qui en descendirent s'inclinèrent bien bas face à l'homme auquel j'avais sauvé la vie. Ce dernier leur distribua une tape sèche sur la tête, après quoi il monta dans le véhicule qui redémarra immédiatement.

    La même berline revint à mon hôtel le lendemain matin, je reconnu son conducteur comme étant l'un des yakuzas de la vieille, à la différence qu'il arborait un épais bandage sur l'une de ses mains. Il avait un sac avec lui, il le jeta sur mon lit et disparu. A l'intérieur cinq mille dollars, un révolver et la photo d'un japonais avec au dos du cliché, quelques indications en anglais sur un restaurant. Peu importe la langue, ce que l'on me proposait de faire était clair.

    L'homme à qui j'avais sauvé la vie se nommait Satoru Junichi, c'était un shateigashira, le second lieutenant d'un clan faisant partie du Tao Yuai Jigyo Kummiai, une des quatre principales familles yakuzas. Contrairement aux mafias italiennes, les yakuzas privilégient le mérite avant le sang. Seules les qualités d'une personne peuvent prouver son utilité au clan, peut importe son origine, le fait que le Tao Yuai était majoritairement composé de coréens et non de japonnais en était la preuve. Bien qu'européen, j'avais donc ma chance.

    Satoru voulait que je descende Kato Terajima son oyabun, son patron. Ce dernier l'avait vendu à un clan adverse pour éviter une guerre. J'ai rempli ce contrat, mon premier.

    Jamais auparavant mon sang froid ne fut mis à si rude épreuve, préméditer le meurtre d'un homme m'était, en pratique, complétement inconnu. L'enseignement de mon père allait me servir.

    Kato passait sa vie entre trois points géographiques principaux : sa maison, un night club qui servait de quartier général, et un appartement qu'occupait sa maîtresse. Suite à mes différents repérages effectué j'ai déduis que ce dernier lieu était le plus propice à une exécution. J'avais tout passé en revenu, de l'arme utilisée jusqu'aux différents moyens de quitter l'immeuble et le quartier en passant par les vêtements que j'allais porter. Le soir de l'assassinat l'immeuble n'avait plus de secrets pour moi. Je suis arrivé à 23h00, en avance sur Kato de quarante minutes. Je savais où fixer mon regard et quand baisser les yeux en fonction de l'emplacement des caméras, j'ai composé le code de la porte d'entrée du bâtiment (je l'avais dérobé à un habitant quelques jours plus tôt). Mon costume de blanchisseur et le ballot de linge que je trimballais contribuèrent à me faire passer inaperçu à l’accueil. J'ai opté pour les escaliers plutôt que l'ascenseur, glissant mon ballot de linge dans un débarras que j'avais repéré. Arrivé au vingt troisième étage j'ai attendu que le minuteur de la lumière s'éteigne pour me glisser dans le placard à balais qui allait me servir de cache. Tapis dans l'ombre, j'ai sortis le révolver, j'avais limé le numéro de série, quant à mes gants ils m'éviteraient de laisser des empreintes.

    Il me restait une demi heure d'attente devant moi, j'avais préféré voir large en cas d'imprévu. C'est donc dans la pénombre, l'odeur de la poudre et du métal titillant mes narines, que j'ai rongé mon frein, me morfondant au fond du placard. Je n'avais jamais connu un tel bouillonnement d'émotions... Allais-je être à la hauteur ? Me ferais-je arrêter ? Me ferais-je tuer ? J'en avais presque les mains qui tremblaient, mais ce magma d'angoisses a disparu au moment où la lumière s'est rallumer dans le couloir, et que les portes de l'ascenseur s'ouvrirent sur Kato. L'incertitude venait de faire place à une résolution implacable : éliminer cet homme.

    Comme d'habitude Kato Terajima était accompagné d'un garde du corps, j'ai attendu qu'ils passent tous les deux devant ma cachette avant d'en sortir comme un beau diable. Il y eut un tressaillement de la part du garde du corps, mais j'avais déjà relevé mon bras, la balle que je lui ai carré expulsa de son œil la moitié de sa cervelle. La seconde atteignit Kato à la nuque. Ce dernier s'effondra comme une masse par dessus le cadavre de son garde. Afin de réussir mon coup deux autre balles furent fichées dans le crâne de Kato, après quoi j'ai laissé tomber mon arme et me suis enfui avant que la première porte du couloir ne s'ouvre sur un curieux.

    Regardant ma montre j'ai estimé le temps qu'il restait à la ligne B du métro avant d'arriver, j'étais dans les temps. Descendant les escaliers rapidement mais sans précipitation je me suis arrêté au débarras, sortant de mon ballot de linge une casquette d'agent de sécurité, sous le costume de blanchisseur se trouvait en effet ma seconde couverture. A l’accueil personne ne me remarqua mon existence au milieu des copropriétaires réveillés par mes coups de feus, j'ai passé la porte sans problème. A minuit, alors que les premières voitures de police arrivaient enfin, je m'asseyais dans le métro.

    En m'allongeant dans mon lit ce soir là, j'ai dormis comme un loir.


    Satoru est devenu oyabun. Par la suite j'ai remplis d'autres contrats, et Satoru est resté oyabun. Durant près de treize ans j'ai joué de la gâchette pour son compte, j'étais son tueur personnel. D'abord kumi in, c'est à dire l'équivalent d'un simple affranchis, je suis devenu successivement un shatei (petit frère) puis un kyodai (grand frère) sous mes ordres se trouvaient plusieurs tueurs professionnels, des hommes rencontrés au fils de mes missions ayant acceptés de me rejoindre et de constituer la force de frappe du clan Junichi. Plus le temps passait, plus mon corps se couvrait de tatouages, et plus j'abandonnais l'anglais pour ne parler que le japonnais. La page blanche se remplissait.

    Mais s'il y a bien une chose que j'ai appris en me plongeant dans la culture japonaise c'est que la vie est une bougie dans le vent. Et celui-ci change souvent de sens.

    Satoru Junichi s'est peu à peu enfermé dans une tour d'ivoire, se croyant invincible et marchant sans vergogne sur les plates bandes des autres clans. Je n'avais jamais eu autant de contrats. La paranoïa le poussait à faire des choix déraisonnable, comme m'ordonner de descendre des hommes de notre propre clan. Le jour où il viendrait à se méfier de moi ne tarderait pas à arriver.

    Le moment venu j'étais prêt, je savais qu'il avait choisis Yamamoto. Ce dernier était mon bras droit depuis que j'étais entré à son service. Avec Yamamoto j'étais moins sur mes gardes, en ce qui ressemblait le plus à de la confiance, on pouvait m'atteindre facilement grâce à lui. C'est pour cela que j'avais devancé Junichi. Je n'avais pas attendu qu'il ordonne à Yamamoto de m'éliminer pour proposer de se rallier entièrement à moi. Yamamoto n'était pas idiot, moi mort la garde du clan se relâcherait, un clan déjà fragilisé par les trop nombreuses purges ordonnées par Satoru, un clan qui se ferait décimer en quelques semaines par les autres familles rivales.

    Yamamoto m'a averti dès qu'il reçu l'ordre de ma mise à mort. Le soir même nous pénétrions chez Satoru pour l'éliminer d'une balle en pleine tête et partir avec 200 000 dollars tiré de son coffre. Dans l'heure qui suivie j'étais chez mon « blanchisseur », un homme honnête et surtout indépendant qui m'avait fournis mes faux papiers japonnais et américains. Celui-ci fit transférer l'argent ainsi que mes économies personnelles dans un compte ouvert aux Etats Unis. Yamamoto et moi avons pris le premier avion pour New York, de là tout serait plus facile.

    La première chose que je fis en arrivant fut de récupérer les fonds que j'avais fait déménager de Tokyo, j'avais là de quoi bâtir des bases solides pour ma future organisation.

    Oui, mon organisation. Ça avait été mon but, mon obsession même, dès mon arrivée à Tokyo. J'avais essayé de fuir le crime, d'abord intellectuellement en poursuivant mes études, ensuite physiquement, en échappant à la ruine qui menaçait mon père. Mais renier sa vraie nature c'est se renier soi-même, je m'étais leurré en Italie et, paradoxalement, c'est en travestissant mon identité au Japon que j'avais retrouvé mes origines, ma voie.

    Le Japon avait été pour moi la mise en pratique d'un apprentissage, une source d'expériences dont j'avais tiré des leçons. New York serait la fin de la servitude qui m'avait liée à un employeur. Je refusais d'intégrer encore un clan yakuza, encore moins une famille italienne et je ne voulais surtout pas ressembler à l'un de ces gangs du New Jersey, un glock dépassant de la ceinture et le baggy descendu sur les chevilles. Certes, il était impossible de révolutionner le crime organisé, d'ailleurs la plupart des systèmes déjà existants quelle que soit leur origine avaient un fonctionnement très semblable, mais en combinant mes différents savoir j'avais la capacité de les dépasser, de les améliorer. En un mot : de faire évoluer le crime. Un autre genre de mutation.

    J'ai pris une suite à l'Astoria en laissant cent dollars au portier. Grâce à un personnel extrêmement prévenant j'ai pu faire parvenir à Yamamoto, qui attendait le plus souvent à la réception de l'hôtel, un certain nombre de messages. N'ayant encore aucune protection judiciaire ni aucun flic véreux dans ma poche je souhaitais éviter de paraître avec celui qui arpentait les rues pour mon compte. Cette époque fut périlleuse et incertaine. Je m'en remettais totalement à Yamamoto, si sa loyauté n'était pas à remettre en cause il était à cette époque le seul pion à ma disposition, un pion de qualité. Le perdre à cet instant m'aurait sans doute été fatal.

    Pour moi il a arpenté les rues, s'informant, distribuant des billets, achetant et revendant quelques broutilles. Tout cela dans le seul but d'établir une carte des forces en présence. Sans surprise les italiens se montrèrent être les rois de New York, suivis par quelques bandes de chicanos plus ou moins bien organisés, enfin en dernière place arrivait la multitude de gangs afro-américain du Bronx et du Queens. Parallèlement à ces trois composantes du crime organisé naviguaient des freelance parmi lesquels on pouvait tout trouver, quelques asiatiques trempés dans le jeux ou encore un groupe de serbes spécialisés dans le braquage de fourgons.

    Ce petit monde se faisait de l'argent sur ce tout ce qui était rentable. Les siciliens était les mieux placés : usure, racket, prostitution, escroquerie, trafic de drogue, ils touchaient même à la pornographie. En vérité, sous cette organisation très hiérarchisée commençait la jungle. Les latinos et les afro-américains se disputaient les restes d'un trafic de stupéfiant minable et des prostituées de seconde main, ils perdaient leur temps en vengeances stériles qui avaient pour résultat de les priver d'un leader stable.

    C'est sur cette constante animosité que j'ai joué. Payer un afro-américain pour faire descendre un chicanos ; payer un chicanos pour faire descendre un afro-américain... Ça n'a pas tardé à mettre le feu aux poudres, et lorsque la poussière est retombée j'ai envoyé Yamamoto trancher les dernières têtes, les survivants n'eurent d'autre choix que de se ranger derrière le vainqueur. J'avais donc à ma disposition une rentrée d'argent et une force de frappe.

    J'ai commencé avec une cinquantaine de dealers et une vingtaine de strip-teaseuses hors d'age. Il me manquait un moyen de blanchir mes gains ainsi qu'une protection judiciaire. Pour ces deux besoins je n'ai eu qu'à piocher dans mon carnet d'adresse, plus d'une décennie dans les rues de Tokyo m'avait permis de nouer des liens. J'ai recontacté un pénaliste du nom de Samuel Goodman, un yuppie aussi cynique que les caricatures des séries télévisées. Heureux de me revoir il m'a conseillé à son cousin, lui aussi avocat mais dans le domaine de la finance : Isaac Dershowitz. Un juriste rusé comme un renard s'occupant de diverses caisses noires pour ses amis PDG depuis un splendide bureau du Chrysler Building. Sur ses conseils j'ai acheté une façade, en l'occurrence une agence immobilière sur la paille. La gestion en a été confiée à Vladimir Barzov, un russe qui s'occupait de transférer mes sommes sur un compte anonyme en Biélorussie.

    Les bases de mon entreprise étaient enfin posées, avec une hiérarchie établie. Je commençais à faire parler de moi comme le petit nouveau, les italiens ainsi que la police avaient compris que derrière la reprise en main du Bronx se cachait un marionnettiste. Mais je ne restais qu'un simple amateur, un chef d'entreprise minable refourguant de la marchandise au rabais. Il me fallait me démarquer de cette image, me différencier d'eux.

    Si je ne me suis pas fait dévorer par ces chacals, c'est tout simplement parce que je bénéficiais d'une protection. L'Olympe, dans son dessein mégalomaniaque, avait reconnu en moi l'un des plus gros rats des égouts de cette ville. Je savais qui faisait quoi et pour qui, quand il sont venu me voir je n'ai eu d'autre choix que d’accepter de marcher avec eux. L'indépendance a un prix, on me demandait une avance. Mais, plus tard, Olympe saurait me récompenser...

    Ce qu'il y a de bien avec une ethnie exclue de la société, c'est sa capacité à survivre par tous les moyens : on ne freine pas l'évolution. J'ai donc commencé à m'en servir, à recruter du côté de Mutant Town. C'est l'Olympe qui m'avait donné cette idée, puisqu'elle-même travaillait avec des mutants. Le phénomène mutant avait été découvert vers les années 60, depuis il avait fait coulé beaucoup d'encre et ses partisans, qu'ils soient dans le monde de la légalité ou de l'illégalité, s'étaient clairement démarqués. J'avais toujours relevée cette tendance protectionniste présente au sein des divers organismes du crime organisé. Ça avait été la raison d'être des premiers yakuzas, quand à la mafia italienne, elle faisait continuellement preuve d'un racisme primaire et d'une homophobie latente. Encore aujourd'hui, peu nombreux étaient les organisations criminelles créées par des humains accueillants des mutants, tout cela au nom de la peur. Ces gangsters que l'on dépeignaient si rusés, si intelligent, si doués en affaire, refusaient le plus souvent de traiter avec des mutants que ce soit pour des raisons religieuses ou idéologiques. L'intérêt d'avoir à ses côté un homme capable de geler l'air dans les poumons d'un concurrent apparaissait pourtant clair.

    Il existait déjà quelques bandes de mutants qui dévalisaient les magasins d'électronique passé minuit, mais de là à parler de groupes organisés... En rallier quelques un fut aussi simple qu'avec des humains ordinaires. La discrimination ne limite pas à une espèce.

    Grâce à eux j'ai pu faire renter dans le rang les plus récalcitrant du Bronx et du Queens, mon crack était désormais le premier dans ces quartiers. Pour les gros bonnets italiens je suis apparu comme une menace, un loup aux dents longues. Leur première réaction fut de me couper les vivres, car si je pouvais vendre du crack c'était uniquement grâce à leur produit dérivé : la cocaïne. Ils se sont donc mis à vendre ma ressource à quelqu'un d'autre. Répondre par la violence à ces messieurs m'aurait discrédité. La solution que j'ai choisis fut de les court-circuiter. Vladimir m'a mis en relation avec les russes de Brighton Beach qui eux, contactèrent pour moi des fournisseurs européens. Parallèlement j'ai acheté quelques parts dans une compagnie de transport aérien low cost, puis j'ai fait pression sur un syndicat de bagagiste afin qu'il m'emboite le pas. Le mois suivant un avion en partance de Prague atterrissait en sol américain, à son bord de la cocaïne et du crack. Là encore, L'Olympe, via Hadès, était intervenue en ma faveur, m'aidant avec mes contacts et m'offrant les moyens d’acheter ma marchandise. Les italiens avaient pensés me mettre dans le trou en me privant de leur came, ils pensaient que j'allais foncer tête baissée et les attaquer leur offrant ainsi le prétexte qu'ils attendaient pour répliquer. Que nenni, sans toucher au marché colombien qui était le leur, je passais par la République Tchèque où la législation concernant la cocaïne était beaucoup moins stricte qu'ailleurs. Résultat, j'ai acquis deux produits pour le prix d'un, fournissant une came de qualité, pour moins cher que mes concurrents. Mon chiffre d'affaire s'est envolé. Je savais que bientôt, j'allais avoir assez de forces en réserve pour me servir directement à la source, comme le faisait les gros bonnets.

    Sachant pertinemment que les italiens n'en resteraient pas là, j'ai poursuit ma politique d'ouverture à Mutant Town. C'est ainsi que j'ai fait la connaissance d'une camée à l'héroïne capable d'envisager l'avenir des personnes qu'elle côtoyait, un avenir toujours relatif et sujet aux changements des protagonistes qu'il visait. C'est tout de même grâce à ce petit bout de femme que j'ai appris qu'un policier du très zélé NYPD allait m'abattre « par mégarde » lors d'une de mes promenades dans Central Park.

    Là encore je me suis démarqué de mes concurrents par le traitement de cette affaire. Abattre un policier est une chose éminemment stupide dans mon domaine d'activité, la veuve et l'orphelin apparaissent à la télévision, un adjoint du maire fait une déclaration publique et on a toutes les chances du monde de finir en cellule pour les trois décennies à venir. Par contre, filmer un policier en train d'abattre froidement de trois balles dans le dos un passant, ça délie également pas mal de langues. Quant à moi, je n'eus pas à me mettre en danger, Mutant Town m'ayant fournis un maître de l'illusion, lui faire passer un gilet par balle ne fut pas plus compliqué que de lui payer sa dose...

    C'est donc la conscience tranquille que j'ai pu faire envoyer aux italiens la tête de mon assassin dans un sac plastique et la cassette à la presse. Pour le coup c'est moi qui suit passé à la télé gémissant au fond de mon lit d'hôpital. Les bandages étaient grotesques, l'hémoglobine moins crédibles que dans un nanard de série Z, mais ça a eut le mérite de faire pleurer dans les chaumières et surtout de faire sauter le commissaire de la quinzième circonscription. L'occasion que j'attendais pour y placer un homme à moi. En prenant la place de son prédécesseur le commissaire Hank Montgomery s'est plié à mes exigences : marcher avec moi, pas avec les italiens.

    Et les italiens n'allaient pas tarder à avoir ma réponse. Sur la fin de ce qui lui servait de vie, le flic pourris m'avait donné d'utiles informations, notamment le nom de son commanditaire. Un parrain miteux de la famille Colombo, un bouc émissaire de toute évidence, l'ordre venait de plus haut et le bougre avait été l'arme utilisée, facilement jetable en cas de retournement : ce qui allait être le cas. La police découvrit son corps à la décharge de Fresh Kills, les cadavres de ses deux lieutenants quant à eux furent repêchés dans l'East River, dans un second temps quatre laveries et trois pizzerias qui servaient au raffinement de l'argent sale des Colombo prirent soudainement feu. Ils avaient voulu m'empêcher de faire commerce, puis de m'éliminer, c'est au centuple que je rendis les coups.

    C'est alors que le PDG d'Olympe fut assassiné. Divisés, ses lieutenants se jetèrent comme des hyènes sur son héritage, le morcelant en quelques coups de dents. Cela me privait certes d'une protection, mais cela m'offrait également l'indépendance.

    Néanmoins, j'étais exposé à la vengeance des italiens. Ça aurait pu aller beaucoup plus loin si Montgomery n'avait pas organisé de rencontre.

    Il n'y avait que moi et les Colombo, Montgomery voulait la paix ou il serait forcé de sortir les menottes. C'était grossier, à travers Montgomery je forçais la main aux Colombo pour que ces derniers me reconnaissent, ce qu'ils firent à contre-cœur. La compétition enfin terminée, j'ai pu réinvestir mes nouvelles rentrées d'argent, mon nombre de revendeurs à explosé, j'ai fait l'acquisition de plusieurs boites de nuit. Pour blanchir le tout, à l'agence immobilière s'est ajouté l'entreprise de courtage. Le grossier pot de vin à la police s'est transformé en bienveillante donation de 200 000 dollars au NYPD sous les clichés des photographes.

    J'étais officiellement devenu la nouvelle étoile montante du crime organisé à New York.


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Dernière édition par Matthew Coffin le Dim 15 Mai 2011 - 10:14, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 11:37

Bienvenue à toi, jeune humain.

Bonne chance pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 13:11

Chalut al chapon ! Moi c'est Kurk Harue Oo. Si, c'est de l'humour, promis OO

Bon, passons à la modération.

Edit :Merci de mettre ton vava à la bonne taille, s'il te plait (200*320 ou 200*400). Si tu as des problèmes, signale le moi.

Code couleur :
Vert : ça marche, simple remarque.
Orange : Remarque d'importance moyenne, explication en rapport au background, précisions pour tes futurs rps.
Rouge : Problèmes dans ce qui a été mentionné, manque certains points

ALIAS ET SURNOM : le Froid ?

DATE DE NAISSANCE : léger problème de concordance date/age


Pouvoirs :

Nul à refaire OO
Je dec ><

Apparence : Tu pourrais nous décrire un peu plus son visage, s'il te plait ?

Signes Particuliers : ok

Mental : Qu'es ce qu'il pense des mutants ? Es ce qu'il est capable de faire la différence entre la confrérie, les x men ? Si oui, quel est son avis sur chaque ? Qu'es ce qu'il pense de la création du BAM (vu que ça touche pas mal son buiness) ? Il n'est pas jaloux de ne pas être mutant ? Es ce qu'il a connaissance de groupes comme les maraudeurs ou les damnés ?

Talents Particuliers : Aucun talent pour la manipulation d'arme, pour les activités criminelles en tout genre ? ^^"

Possessions : Etant donné les activités de ton personnage, je ne suis pas sur que la protection d'un commissaire soit suffisante, mais bon ^^'
J'apprécierais une petite liste des domaines dans lequel il est plongé pour le crime.
Es ce qu'il dispose de Marteau, ou seulement de drogues classiques ?
J'aimerais aussi savoir combien de pnj mutant il a sous ses ordres. Parce que c'est quand même un gros avantage ^^


Biographie : Le phénomène mutant existe depuis l'aube de l'humanité est devenu connu du grand publique dans les années 60 avant de connaitre un vrai essor dans les années 80.


Voila, pas grand chose à dire. Corrige ça et ce sera ok pour moi. Très bonne fiche.Signale nous quand tu auras édité.

Bon courage.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 14:47

Jean> Merci !

Kurkaru>

ALIAS ET SURNOM : Expliqué.

DATE DE NAISSANCE : Léger problème de concordance, volontaire, dû aux successifs changements d'identités. Je viens de les harmoniser.

Apparence : Effectué.

Mental : Expliqué.

Talents Particuliers : Effectué.

Possessions : Un commissaire ce n'est pas rien non plus, surtout à New York. Mais je préférais aussi commencer "petit" et privilégier une expansion en rp avec d'autres membres (plus légitime à mes yeux) plutôt que de tout avoir dès la fiche de bio.

Concernant mon business je l'ai organisé et clairement défini ses domaines d'activités..

Biographie : Corrigé.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 15:09

Bienvenue ici ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 15:56

Merci, Vance.

Kurkaru, c'est fait.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 17:06

Bienvenu ! Ma parole on a THE business man là... Cool
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 17:12

Tout est négociable.^^
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 20:09

Juste quelques questions, plus en rapport avec le BG :
-A quel niveau de technologie à t'il accès ? Sachant que l'olympe corporation avait un certain niveau de technologie et qu'il a coloboré..
-Dispose t'il de Marteau ?
-Est il connu du BAM ? D'une instance policière des USA ? D'un autre pays ?
-Même question, mais pour ses acolytes ?

Voila, après c'est ok pour moi ^^"
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeLun 9 Mai 2011 - 19:24

-Le niveau technologique dont dispose Matthew est le même que celui d'autres organisations criminelles de ce type : tout à fait normal. Il a été un informateur parmi tant d'autres d'Olympe, mais pas un collaborateur assez important pour acquérir de la haute technologie.

-Matthew ne dispose pas du Marteau. Pour l'instant il trempe dans les drogues "classiques".

-Matthew est un caïd du crime qui utilise des mutants comme hommes de main, c'est vrai. Mais il reste encore ce que l'on appelle communément du "menu fretin", et ne fait pas dans le terrorisme. Peu de chances donc pour intéresser le BAM. Concernant les autres instances policières (la D.E.A ou l'antigang par exemple), elles ne peuvent manquer d'avoir relevée la présence du Groupe dans le paysage du crime organisé new yorkais, et parallèlement celle de Matthew. Mais de là à avoir des preuves...

-Propos corolaire du précédent, mais néanmoins nuancé. Si un flou subsiste sur l'incrimination de Matthew c'est évidement parce que ses lieutenants font le sale boulot pour lui. Ceux-ci sont des figures du crime notoires et ont un casier, mais également assez de jugeote pour éviter les pièges de la justice...
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeLun 9 Mai 2011 - 19:31

Juste une précision : dès le moment ou un mutant est impliqué, comme suspect ou comme victimes, le dossier passe sous la responsabilité du BAM. Donc la question n'est pas de savoir s'il est du menu frettin, mais si ses affaires l'impliquent assez souvent avec des mutants ^^"
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeLun 9 Mai 2011 - 19:33

C'est exceptionnel. Lorsque le savoir faire de l'homme ne suffit pas.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeLun 9 Mai 2011 - 19:35

Ok pour moi. Premier avis positif.

Encore un et tu pourras être validé, courage.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeMar 10 Mai 2011 - 16:03

Bienvenue, avant ta seconde modération je vais t'inviter à mettre ton avatar au dimension demander sur ce forum.
Petit rappel:
Votre avatar doit mesurer obligatoirement 200 pixels (de large) x pour 400 ou 320 pixels (de haut) / résolution 72 pixels/pouces et ce pour privilégier une certaine harmonie esthétique sur le forum.

Cordialement

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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeMar 10 Mai 2011 - 18:42

Effectué.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeMar 10 Mai 2011 - 18:44

Actuellement c'est du 200*341. Hors c'est soit 200*320 soit 200*400 ^^"
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeMar 10 Mai 2011 - 20:35

Redimensionnement effectué.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeSam 14 Mai 2011 - 22:48

Bonsoir, ta modération est entre les mains d'une femme fatale. Il n'y a pas de fatalité et tu devrais fatalement survivre à cette épreuve.

NOM : ok

PRENOM : ok

ALIAS ET SURNOM :ok

AGE : et non que 37 ans il aura 38 ans en juin

DATE DE NAISSANCE: ok

M ETIER: ok

NATIONALITE : plutôt italiennes

GENRE : ok

CLAN : ok

Apparence : 

Il mesure et pèse combien ?

Signes Particuliers : ok

Caractère :
Mental : ok

Histoire : 

Talents Particuliers : 

Possessions : ok

Biographie : 

Parle moi un peu plus de son enfance ! Son père a t il été dur avec lui ? Avait il des copains de son age ?
Du coup je suppose qu'il a appris à ce servir d'une arme des son plus jeune age ?
Au japon est-ce la première fois qu'il tuer quelqu'un ? Si oui c'est pas anondin comme choc psychologique comment l'a t il vécu ? Sinon quel fut sa première victime et comment l'a t il vécu ?

Juste quelques petits points de précisions mais rien de bien méchant,
Bon courage
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 15 Mai 2011 - 10:15

J'ai donc fatalement édité.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 15 Mai 2011 - 17:44

Tu as donc ton second avis positif, je n'ai rien à redire sur ta fiche.
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MessageSujet: Re: Matthew Coffin.   Matthew Coffin. Icon_minitimeDim 15 Mai 2011 - 18:04

Matthew Coffin. Welc210
Félicitations, Humain, les portes de X-men rpg te sont enfin ouvertes!

Avant de commencer à jouer, n'oublie pas d'aller te recenser sur la liste des avatars , la liste des pseudos et la liste des pouvoirs.

S'il s'agit d'un double compte, pense aussi à poster sur la liste des multi comptes.

S'il s'agit d'un personnage marvel, n'oublie pas de te signaler sur cette liste.

Enfin, si tu veux qu'un joueur joue quelqu'un que tu as évoqué dans ta fiche, merci de remplir le formulaire que l'on trouve ici. N'oublie pas de mettre le lien vers la fiche de ton personnage dans ton profil, et si le cœur t'en dit, tu peux aller rédiger une fiche de relation ici.

D'avance merci et surtout, bon rp parmi nous!

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