Promenade tranquille dans la soirée (Pv Artemis et Thémis)

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Pour Walter, la vie était de plus en plus pénible. Il devait se battre contre se double qu'il ignorait encore son nom. Il n'avait pas encore eu la chance de parler avec Jean à propos de cette chose qui vivait en lui. Pour Walter, cet autre Walter n'était pas une double personnalité. Il ignorait qu'est-ce que cela était mais, il évitait toujours et à tout prix de le faire énerver. Il regarda dehors à partir de sa chambre et voulait tant aller se promener. Il prit donc des habits foncé et prit un coton ouaté et mit le capuchon sur sa tête et sortie de sa chambre. Il se dirigea vers la porte de sortie et quitta l'école. Il voulait voir la ville, même si il savait qu'il était rechercher. Il se balada tranquillement dans les rues et passa devant un dépanneur lorsqu'il vit sa photo accrocher sur la vitrine. Il y avait en tout trois fiche : une de la police, une du F.B.I et une de la C.I.A... Walter ne fit pas l'idiot et partie de cet endroit mais, un des client, en sortant, reconnu immédiatement le jeune homme. Alors, il prit ses jambes à son cou et se sauva. Il passa de rue en rue pour finalement se frapper contre une personne qu'il n'avait pas vue. Il se retrouva devant un jeune garçon. Il rougit et dit, en l'aidant à se relever :

-Désoler... je t'avais pas vue, dit-il avec un accent italien.

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Artemis se baladait tranquillement. Il aimait bien ces petites ballades seules, qui lui permettaient de laisser libre cours à ses pensées. Il choisissait d’habitude un quartier pas très riche, même si ces habitations à l’architecture sans aucune imagination ou aucun luxe le dégoûtait. Il était bizarre avec son costume classe des grands tailleurs européens devant tous ces gens de classe moyenne. Le truc, avec ces petites escapades, c’est que ça l’aidait à échafauder un plan. C’est pendant une ballade comme ça qu’il avait eu l‘idée de la grande vente de faux tableaux. Un plan parfait, qui avait été exécuté à la perfection et lui avait fait gagner plusieurs millions de dollars.

IL passa devant un magasin. Il vit une affiche qui montrait une personne recherché par plusieurs grandes agences de polices, comme la C.I.A. Heureusement, il avait eu plus de chance lui, il avait réussi a masquer ses méfaits. Bon Interpol avait monter un dossier sur lui met il était rempli de soupçon et d’hypothèse, théoriquement, il était encore blanc. Tant mieux. Mais il lui fallait une idée. Un gros coup. Quelque chose qui le ferait vraiment rentrer dans l’histoire à 13 ans seulement. Il avait pensé à deux choix : Vol de la Joconde, Vol d’une banque.

Les deux coups allaient se révéler très compliquer. Le musée du Louvre était un des bâtiments le plus sécurisé au monde, pareil pour la banque. Il avait déjà réussi à détourner quelques millions, mais ça n’était rien comparé à ce qu’il pouvait gagner si il réussissait à mettre en exécution un des deux projets. Mais il lui fallait trouver un plan du tonnerre. Il ne s’inquiétait pas pour ça, son intelligence ne lui avait jamais fait défaut, elle n’allait pas le lâcher aujourd’hui. Il fut coupé des ses pensées en étant bousculés par un homme. Ayant une très bonne mémoire, il le reconnut tout de suite, c’était l’homme de la fiche. Celui-ci s’escusa avec un léger accent italien :

-Ce n’est rien, mais si vous êtes recherchés, croyez moi, vous avez du les semer. Il y a une intersection entre deux chemins là bas, ils ont pris l’autre que celui là, car celui-ci se termine par une impasse, à l’autre bout, une veine que vous ne le saviez pas….

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Depuis quelques temps que Thémis vivait à l'Institut, il n'avait pas renoncé à son éternelle sortie du Samedi soir. Chaque semaine, il faisait autre chose : promenade à Central Parc, soirée dans une boîte de nuit (rare et mal apprécié), petite soirée shopping, etc... Et puis ce samedi là, il 'était dit qu'il se contenterait d'une petite ballade entre les buildings et éventuellement, un petit verre dans un bar ou un pub.

Alors qu'il marchait sans vraiment savoir où il allait, il remarqua que que plusieurs vitrines l'on pouvait voir afficher des avis de recherche. De la C.I.A., du F.B.I. et de la police de New-York. Mais ce qui était des plus étonnants, c'était l'homme sur la photo, Thémis le connaissait ; il s'agissait de Walter. Walter Zaccarie. Un élève de l'Institut Xavier dont Thémis venait d faire la connaissance récemment, et comme il le lui avait dit, il était véritablement recherché, et activement.

Thémis s'était trop attardé devant les affiches, et les quelques passants qui le regardait le trouvèrent bizarre. Il montrait trop qu'il connaissait Walter. Thémis s'empressa de changer de côté de rue, et continua à marcher d'un pas un peu plus soutenu. Il vit, quelques pas devant lui, un jeune homme courir tête baissée et foncer dans un autre homme. Par chance, aucun d'eux ne tomba. Une sirène de police se fit entendre, elle s'éloignait. Thémis continua à avancer en regardant ces deux individus. Quelque chose lui était familier, mais il ne savait pas quoi. D'un coup, il reconnut Walter. Il se précipita, sans faire attention à l'autre jeune homme, et saisi le bras de Walter.
"Mais tu es fou de venir en ville ! Tu veux te faire arrêté ?"

Thémis avait chuchoté cela à l'oreille de Walter, pour que personne d'autre qu'eux n'entendent ses paroles. Sa voix mêlait colère et inquiétude, et les yeux de Thémis trahissait la sympathie qu'il éprouvait à l'égard de Walter. Se retournant vers le jeune homme qu'il avbait ignoré quelques instants plus tôt, il lui dit :
"Veuillez nous excuser monsieur."
Les riches habits étonnèrent Thémis, car ce jeune homme paraissait décalé par rapport à leur environnement actuel.

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Walter resta figer devant le jeune homme, espérant qu'il ne le reconnaitrait pas, du moins, qu'il n'ai pas encore vu une de ses affiches sur lui. Il ne savait pas vraiment quoi faire. Devait-il fuir ou attaquer cet homme pour qu'il ne dissent rien? Non... l'attaque était une très mauvaise chose... encore ce double qui voulait tout régler par la force. Il tenta de faire taire cette petite voix. Ignorant que c'était un mutant, le jeune homme chercha mille solution pour éviter d'être découvert qu'il était un mutant. De plus, sont pouvoir était assez destructeur lorsque son double prenait le dessus. Il était dans cette école, l'Institu de Xavier, depuis trois semaines maintenant. Et il cela faisait enfin deux semaines que son double n'avait pas encore vraiment surgie. Il c'était manifester une fois devant Plasm et Thémis mais, depuis, il ne c'était pas manifester de nouveau. Donc, deux semaines de repos. Certain croirons que quelque seconde d'apparition n'était pas du repos... mais comparer à de longue minutes, cela était parfais pour le jeune homme.

Et alors qu'il tenta de trouver une excuse pour partir, il entendit une personne se diriger vers lui et lui saisir son bras et une voix lui murmura au creux de son oreille, la voix de Thémis. Celui si traita Walter de fou pour être sortie de l'école. Il fût rassurer que ce sois lui. Il c'était lier d'amitié avec cet homme et ils c'étaient presque vue à tout les jours. Il se retourna, le regard triste et lui murmura.

-Désoler... mais je suis un peu tanné d'être enfermé la... je sais que c'est risqué mais..

Il ne disait plus rien, ne sachant plus quoi dire pour s'excuser. Il pouvait lire l'inquiétude de son ami sur son visage, ce qui le fit rougir un peu. Il n'était pas habituer d'inquiéter une personne. Il fit tout pour ne pas laisser les larmes sortir. Il détestait sa nouvelle vie... Il était enfermer dans sa propre école et il était rechercher par presque tout l'Amérique. Il fixa le jeune homme et son ami s'excusa aussi. Walter ne savait plus quoi faire.

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Artemis attendit la réaction du jeune home après le fait qu’il venait d’annoncer ouvertement qu’il connaissait son identité. Mais il fut interrompu par un autre gars qui fonçait et qui le bouscula une deuxième fois, ça devenait une habitude ou quoi ? L’homme se mit a lui parler dans les oreilles sans même faire attention à Artemis. Quel culot quand même ! Il avait envie de leurs rappeler qu’il était là tout de même ! Mais il se calma en voyant qu’après les paroles prononcés par le premier homme, l’autre, celui qui l’avait bousculé au depart parut soudainement très tristes. Pensant qu’il devait quand même faire se presenter par ces deux personnes qui l’avaient bousculé l’un à l’autre :

-Pardon, messieurs, pourrais-je savoir qui vous êtes ? Moi, je me nomme Fowl. Artemis Fowl. Milliardaire américain et héritier de la famille Fowl. Ne vous en faites pas, je vais pas dénoncé a la police votre ami ici présent….

Il fut interrompu par une sirène de police qui approchait. Apparemment par pur hasard, mais il savait que ils allaient immédiatement reconnaître l’homme. Il sortit son téléphone, le dernier modèle de chez Phonetix. Très cher, capable d’ accéder à internet n’importe où et avec plein d’autre option de ce genre, il avait aussi un magnifique design. Artemis l’avait un peu traficoté, il repéra la radio qui se trouvait dans l’engin de police, ils n’étaient plus tèrs loin, et avec quelques piratages, il put parler dans la radio qui se trouvait dans la voiture :

-Allo, agents, vite, vous devez vous rendre dans le commissariat immédiatement !

Comme prévu, le son de la sirène se fit de plus en plus bas, la voiture s’éloignait, un véritable coup de bol ! Il jeta un coup d’oeil autour de lui, personne ormi les deux gars l’avaient entendu. Tant mieux. Il laissa un peu vagabonder son imagination quand il pensa à la tête que feraient les policiers quand ils arriveraient au commissariat et qu’il découvreraient qu’ils n’avaient nullement été demandé. Bah, il le saurait sûrement, il avait déjà pirater toutes les caméras de surveillance de tous les commissariats de la ville, par précaution.

-Ne vous inquiétez pas, j’ai réglé le problème, vous n’avez rien à craindre, mais j’ai touts de même des question à vous poser, si j’en crois l’affiche là bas, seriez vous… des mutants ? Non pas que je ne les aimes pas ou les maltraite, bien au contraire, je suis toujours heureux d’en recontrer….

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Thémis était étonné de la réaction de ce jeune homme dénommé Fowl. D'ailleurs, ce nom ne lui était pas inconnu, mais il ne saurais dire où il l'avait entendu, vu ou lu. Se plaçant de telle sorte que personne d'autre qu'eux ne puissent voir le visage de Walter, il remercia donc l'homme les ayant aidé :
"Merci à vous, Monsieur Fowl."

Puis, repensant à la manière dont il avait accosté les deux jeunes gens, il se dit qu'il y était peut-être allé un peu fort avec Walter et que dans son empressement, il aurait pu éviter de bousculer l'autre jeune homme, Artémis Fowl. Aussi, jugea-t-il nécessaire de présenter ses excuses aux deux, en commençant par Walter :
"Désolé d'avoir réagit de la sorte, mais je ne voudrais pas qu'il t'arrive un malheur, tu comprends ? Je te trouve sympathique, et je voudrais éviter qu'il t'arrive des embêtements."
Puis se tournat vers Artémis :
"Merci encore Monsieur Fowl. Mais, puis-je me permettre de vous demander pourquoi avez-vous aidé mon jeune ami ?"

Il est vrai que la situation était en réalité étrange : Walter poursuivit par la police de New-York, Le F.B.I. et la C.I.A., un jeune homme milliardaire les aidant à ne pas se faire prendre... Thémis aurait bien voulu des explications sur tout cela.

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Walter se sentait un peu minable. Il avait fait inquiété un ami qui l'intéressait quand même assez et qu'il trouvait très gentil et sympa. Il ne savait pas trop quoi dire ou quoi faire. Il sentait toujours la main de celui si sur son bras, qu'il na lâcha pas de si tôt. Il avait une mine basse et une larme coula mais, tout semblait aller vite. Le jeune garçon qu'il avait bousculer venait de l'aider. Il déposa sa main libre sur la main de son ami et l'enleva délicatement de son bras, sans vouloir le brusquer. Thémis se plaça plus en face de lui, pour ainsi empêcher le monde de voir son visage et ainsi que personne ne lui attire des ennuis. Il déposa alors sa main sur le dos de son ami pour que celui si lui permette de voir Fowl. Il chuchota à son ami.

-Je suis désoler de t'avoir causer des ennuis... si tu veux me chialer, ont attendra d'être seul et dans l'école...

Il fixa les yeux de Fowl et lui dit :

-Merci... euh... monsieur? Je sais pas comment vous appelez... mais comme mon ami vous à dit, pourquoi m'avoir aidé? Si ils apprennent que vous m'avez aider à me sauver, ils vont vous arrêtez et sûrement vous disséquer vous aussi. ET toi Thémis... je ne veux pas qui t'arrive de quoi... je ne veux pas perdre un ami précieux pour moi...

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Artemis Fowl regarda autour de lui. La situation devenait malgré elle un peu génante. Il adressa un sourire au deux personne. Malgré tout, cette rencontre avait mis fin à ses pensées. Quelle système utiliser pour voler cette fichu banque. Bah, il décida que ce n'était pas le moment d'y reflechir. Il avait devant lui deux personnes fort interessante. Les deux autres personnes semblait éttonnées du fait qu'il les aies aidés. Il est vrai qu'il l'aurait été lui aussi. Un milliardaire qui aide un bandit, on ne devait pas voir ca tous les jours:

-Je voulais déjà dis, je suis un Fowl, une des plus riches et vieilles famille du monde. Mais beaucoup de cette richesse c'est faite malgré elle dans l'illégalité. Nous sommes une des plus grande famille de la pègre Americaine. Théoriquement, nous somme encore blanc et des êtres libres, pour fautes de preuves, mais interpol à un fichier de 10 giga octets sur nous. A peu près l'equivalent de la moitié d'une bibliothèque. Je suis Artemis Fowl, le plus jeune et déjà l'un des plus grand gangster de tous les temps. J'ai détourné plusieurs million de dollars des banques, vendu une dizaine de faux tableaux impresionniste, vendu aux enchère le journal de Leonardo Da Vinci que j'ai écrit de toute pièce, déposé mon brevet à plusieurs inventions et dessiné les plans du nouvel opéra.

Artemis se demanda soudainement si c'était une bonne idée de tout deballer ici, comme ça. Mais dans un sens, il ne risquaient pas de le dénoncer, il les avait aidés et l'un deux était lui même recherchés, il avait assez confiance en eux pour penser qu'il n'iront pas tout devoiler à la police, depuis le temps qu'ils attendent de mettre un Fowl en prison:

-Et puis vous savez ce qu'on dit, un homme qui prend des risques meurt jeune, mais un homme prudent, ne vit jamais.

Artemis aimait bien ce proverbe. Il le trouvait juste. C'était surtout une façon pour lui de justifier tous les risques qu'il prenait.Une sorte de façon de rester droit dans ses pensées. Avec le famaux prover bien sûr. "Arum protesta es" "Le pouvoir, c'est l'or" Avant sa disparition, son père lui avait dit mes millions de fois ce proverbe. Ah son père, la justice le croyait mort, mais une part de lui était sûr qu'il était encore vivant

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Thémis comprenait désormais mieux la situation un peu bancale dans laquelle tous ces trois jeunes gens venaient de tomber. Certes, étrangeté de la chose que de ce faire aidé par un inconnu, mais compréhensible réaction que celle de Artémis lorsque l'on connait son passé, et donc son état d'esprit. Mais pour Thémis, le même problème subsistait toujours : Walter avait toujours autant de chance de se faire arrêter par une quelconque autorité nationale ou locale. Et il fallait y remédier au plus vite.

"Je ne voudrais pas paraître rabat-joie, Messieurs, mais il me semble que nous ferions mieux de trouver un endroit moins fréquenté que cette rue si nous voulons continuer notre conversation à l'abri des oreilles indiscrètes."

Non pas que Thémis n'appréciait pas la compagnie d'Artémis, mais ce jeune homme semblait déjà bien cerné par les instances d'Interpol. Et non plus que la compagnie de Walter le gêna, au contraire. Mais il était plus sage pour eux trois de partir d'ici afin de ne pas être pris en chasse. Thémis ne désirait pas avoir à ce servir de ses pouvoirs pour s'enfuir, ni ne voulait que le double de Walter refasse surface ; après ce qu'il avait entendu dire et l'expérience directe qu'il avait subie dans le parc, il était préférable pour tous que Walter reste lui-même.

"Monsieur Fowl, ne connaissez-vous pas un endroit où nous puissions tous nous rendre afin de minimiser nos risques de capture en se trouvant en ville."

Thémis rajouta, mais assez bas pour que seul Walter et lui entendent sa remarque. Cela ne les concernait que eux deux, et malgré se gentillesse, Artémis n'avait pas besoin de savoir plus sur eux à ce moment :
"Nous reparlerons de tout cela avec le Professeur Xavier et Jean, à notre retour à l'institut si tu veux bien. Je suis conscient que tu veuille ne pas rester enfermer entre les murs de l'Institut, mais il faut que tu sois plus prudent Walter."

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Walter se sentait un peu comme un prisonnier. Il savait que Thémis faisait cela pour son bien... mais... Il semblait vouloir trop le protéger mais Walter ne lui en voulait pas. Il était même heureux à l'intérieur de lui même. Sa montrait qu'au moins une personne tenait à lui et qui s'inquiétait énormément pour lui et sa santé. Il approuva alors la demanda de Thémis pour aller parler dans un coin calme. Ici, il était trop exposer au gens. Il s'arrangea même de la sorte à être un peu plus cacher par Thémis, comme si il serait en train de lui chuchoter quelque chose. Il écouta tout les paroles des gens. Ainsi Fowl trempait dans des affaires pas net, ce qui le fit sourire et rire.

-Cela me fait pensé à mon grand-père. Il est le chef de la Mafia Française et il possède de nombreux contacte ici... voyez vous, il est Italien et il c'est marier avec une française... et je suis du même avis que Thémis... étant donner que ici, c'est moi qui a le plus de chance de se faire capturer.

Et Thémis lui chuchota que tout les deux, il irait voir Jean et Xavier pour parler de sa situation... il eu à nouveau une mine basse. Il savait très bien ce qu'ils allaient lui dire... et il n'y échapperait pas...

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[ HS: pas beaucoup d'inspiration, désolé^^]

Artemis s'efforçait de sourire mais ils avaient raison. Il y avait ici deux personnes que la police n'attendait plus que de devoir coffrer. Bien qu'il était encore un citoyen totalement blanc de cette cher et fière nation que les états-unis qui avait cette règle de ne pas arrêter sans preuve concrète, le voir à côté d'un suspect mondialement recherchés suffiait à lui faire faire 10 ans de prison. Peut être reduits à quelques mois si ils corrompaient les juges et payaient la caution, mais là n'étaient pas le problème:

-Je vous aurez volontiers proposés mon manoir, mais, voyez-vous, il est assez loin d'ici, je crains que nous n'avions, pas le temps, mais j'ai des contacts et des cachette, notemment une tout près d'ici.

Il ouvrit son telephone. Aussitôt fit, aussitôt fait. Il y avait un ptit gars dans le coin qui pourrait les héberger. Une ptite villa sympa, bien sûr, c'était rien en comparaison de son manoir ultra-protegés, mais ça irait, et c’était tout de même une sympathique petite villa avec de jolis petite maison. Il savait que le propriétaire n’allait pas cafter. Il les conduisit dans la villa ou il s’assirent dans un fauteuil et Artemis posa la question qui lui brulait la langue :

- Êtes vous des mutants ?

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Thémis suivit Artémis sans trop savoir où ce dernier les emmenai, mais il lui faisait confiance, aussi étrange que cela puisse paraître. La villa en question était assez charmante et serait une cachette suffisante en attendant de pouvoir rentrer à l'Institut. Après s'être installés tous les trois sur les canapés du salon richement décoré (surchargé aux goût de Thémis, de fioritures et dorures inutiles), vint le moment de la fatidique question : étaient-ils des mutants.

Bien qu'assez enclin à faire confiance a ce Fowl, le suivre pour se cacher et et le croire lorsqu'il disait qu'il n'appellerait aucune autorité, Thémis revint sur un mode plus défensif en entendant la question. Il avait trop subit à cause de cette condition, et ne voulait pas que d'autres souffrent à cause de cela. Il regarda Walter, et lui fit un signe pour lui faire comprendre de na pas révélé ce "secret" pour le moment. Thémis se redressa, puis demanda à Artémis :
"Et qu'en est-il de vous, Monsieur Fowl ?"

Avant que Walter et lui ne s'engagent sur une voix ne permettant pas de revenir en arrière, il voulait s'assurer que ce n'était pas foncer tête baissée dans la gueule du loup, mais que ce tunnel dans lequel ils s'étaient tous engouffrés par un concours de circonstances tout à l'heure aboutissait à une sortie concrètes.

[HRP : Walter, ça ne te donne pas beaucoup de marge de manoeuvre... mais j'ai essayé d'accorder tout cela avec le côté méfiant et protecteur de Thémis. J'espère que tu trouvera assez d'inspiration pour répondre..]

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Walter ne disait plus rien, criagnait faire fâcher son ami. Il ne voulait pas non plus faire surgire se double alors... valait mieux éviter de fâcher pour rien Thémis et surtout, il savait qu'il irait en parler avec le professeur et Jean alors, aussi bien de faire bonne figure. Il regarda l'homme prendre son téléphone et demander à une personne refuge pour permettre à Walter de se cacher. Il eu un demi-sourire, espérant que rien de mauvais se cachait la dessous... il commençait vraiment à croire que cette homme travaillait peut-être pour le F.B.I. et ainsi de suite. Mais, étant donenr que Thémis semblait lui accorder une petite confiance. Il les suivit donc jusqu'à la demeure. Il s'assit proche de Thémis, étant la seule vrai personne en qui il avait confiance ici. Et Fowl leur demanda alors si ils étaient des mutants... Walter était certain... cet homme travaillait pour le F.B.I. ou la C.I.A. et il devait sûrement enquêter sur Walter. Lorsque Thémis lui fit signe de ne rien dire, il approva. De toute façon il ne voulait rien dire...

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Les hommes refusèrent de répondre à sa question. Bien evidemment, il s'y attendait, il n'allaient pas lui révéler l'un des plus grands secrets que tout être vivant cacherait. Mais néanmoins, en ne répondant pas, ils avaient fourni une réponse très claire à Artemis, ils étaient bel et bien des mutants. Il s'en doutait, mais il en avait là la confirmation, ca voulait dire que si ils se connaissaient, il y avait un lieu ou tous les mutants se rencontraient, et peut-être labas se trouvait celui qui pourrait repondre à ses questions:

"Et qu'en est-il de vous, Monsieur Fowl ?"

-Si vous prenez toutes les personnes intelectuellement supérieure à la moyenne pour des mutants, croyez moi, il y en a plus que des êtres humains. Il est normal que vous refusiez de me repondre, déjà que c'est une belle preuve de confiance que de m'avoir suivie jusqu'ici, mais, jusque là, n'ai-je pas tenu ma parole ?

Artemis avait un sens magnifique de la répartie, et aussi cette curiosité extrème, en plus de sa grande intelligence, il voulait toujours plus, en savoir plus, et quoiqu'il arrive, il saurait.

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Thémis restait tout de même sceptique quant aux agissement de Fowl ; mais d'un côté, tout ce qu'il venait de dire était vrai. Et à bien y réfléchir, Thémis se rendit compte que sa réaction, lorsqu'Artémis leur avait demandé si ils étaient mutants, avait trahis sous toutes les coutures sa condition, ainsi que celle de son ami. Alors désormais, au point où ils en étaient, rien de pire ne pouvait véritablement arriver ; car si le multimilliardaire avait réellement voulu s'en prendre à eux à cause de leurs pouvoirs, il l'aurait déjà fait depuis un moment.

Thémis décida de continuer à lui faire confiance, car d'après ce qu'il leur avait conté, il n'avait pas vraiment de raisons de les trahir maintenant. Les enjeux pour lui étaient plus importants que la simple arrestation d'un mutant en fuite recherché par... le F.B.I. ... la C.I.A. ... la police de New-York... et peut-être bientôt Interpol ?

Au final, Clair'Obscur se résout à quand même lui dire leur état. Si jamais les choses venaient à mal tourner, il pourrait toujours user de ses lumières pour trouver le moyen de s'échapper. Et Walter serait là pour l'aider à retourner à l'institut, quoiqu'il arrive.

"Nous sommes en effet tous deux des mutants.
Veuillez désormais répondre à ma question quant à votre personne concernant ce sujet."

De toute façon, que Fowl soit mutant ou non importait peu, puisqu'au final, Thémis et Walter dépendait désormais de son bon vouloir. Qu'Artémis soit du même acabit qu'eux ne pouvait que les aider, mais même en simple humain, son aide avait été suffisamment importante pour ne pas être négligée.

Invité

Walter ne se sentait pas bien. Il était assit au près de Thémis, avec qui il se sentait énormément en sécurité mais, quelque chose en lui semblait vouloir surgire, et il savait de qui il s'agissait. Mais, il n'était pas question de laisser cette chose prendre le dessus, surtout pas en se moment. Il écoutait donc chaque conversation... et lorsque Fowl avoua avoir tenu ses paroles, qu'ils devaient continuer à lui faire confiance... toute gêne, toute peur, toute tremblement disparurent. Un sourire sadique s'afficha sur le visage de Walter. Il ne dit rien, ne voulant pas montré que ce bon chère Walter était enfermer au plus profond de lui même. Personne connaissait son nom, lui seul le savais... Dagonis était son nom. Il repensait à cette femme qu'il avait vue, qui, possédait une toute autre personnalité aussi... Thémis parla et dit :

Nous sommes en effet tous deux des mutants.
Veuillez désormais répondre à ma question quant à votre personne concernant ce sujet.

Alors, le jeune pouce vert ne dit rien encore. Il resta la à chercher si quelqu'un avait remarquer... remarquer que maintenant la tête du dragon était posé sur sa joue et qu'il fixait les personnes dnas la salle et rajouta...

-Si vous nous avez mentit... je vous ferai pendre... hi hi hi... je blague... je vous déchirait en faite... hi hi hi... je blague biensûre...

Il se pencha par la suite vers Thémis et murmura...

-Ne dis rien... sinon le pire vous arrivera...

(dsl de l'attente...)

» Promenade dans New-York...(ouver)
» Promenade dans New York (ouvert!)
» Promenade et jogging dans le Parc. [Pv Danko]