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| Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] | |
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Invité Invité
| Sujet: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Ven 14 Nov 2008 - 1:05 | |
| La nuit était tombée depuis longtemps déjà. Le sommeil avait gagné Arkady durant le vol mais, lorsque qu'il était devenu possible de discerner par les hublots l'île de Manhattan, il s'était éveillé. Regardant autour du lui, il remarqua que le teint des gens autour de lui avait changé, passant du naturel au livide. Le virus qui avait autrefois décimé la ville natale d'Arkady avait encore une fois fait des siennes. En regardant autour de lui, Arkady en conclu que personne n'en avait rechapé mais, puisqu'il devait à tout prix se rendre aux États-Unis, la vie de quelques personnes n'avait guère d'importance à ses yeux. L'important étant seulement que la cabine du pilote soit séparé du reste de l'avion ce qui lui avait permis de ne pas être affecté par le virus que proliférait Arkady par le biais de ses phéromones. Lorsque l'avion amorça sa descente, Arkady révisa son plan d'action. Ne connaissant ni l'endroit où il se rendait ni même l'époque à laquelle il se trouvait, Arkady avait conclu que la meilleure façon de retrouver l'objet qu'il cherchait était de s'installer en Amérique. En effet, l'endroit étant immense, il lui serait impossible de tomber immédiatement sur le voleur alors il devrait auparavant s'informer sur le pays et s'y faire des contacts. De plus, le KGB n'avait aucun pouvoir à cet endroit donc, il ne serait plus traqué et pourrait enfin agir comme il l'entend. L'avion touchant le sol sortit Arkady de ses rêveries. Bientôt, il put se lever pour débarquer de l'engin volant. Contemplant une dernière fois l'intérieur de l'engin d'AeroFlot qui l'avait mené saint et sauf jusqu'en Amérique, il quitta. Ce ne fut pas sans avoir une dernière pensée pour les gens à bord de l'avion qui étaient maintenant tombés dans un sommeil éternel qu'il dévala les escaliers, bouclant le large manteau beige qui lui couvrait maintenant le corps du cou au genou ne laissant visible que ses bottes militaires noires et sa tête. Touchant le sol de ses bottes, Arkady huma l'air des États-Unis, un air que les passagers de son vol n'auront jamais senti. Arkady ouvrit la bouche, laissant échapper une dernière phrase à l'endroit de ceux qui étaient morts pour lui permettre de fouler le sol du Nouveau-Continant. Cette phrase, qui peut paraître anodine fut murmurée sous un ton à glacer le sang : «Que dieu bénisse l'Amérique...» À l'intérieur de l'avion, le pilote constatait l'ampleur des dégâts. Plusieurs personnes étaient dans un état critique. Ce ne serait que bien plus tard que l'on constaterait leur décès... *** En entrant dans le batiment principal, Arkady remarqua une sorte d'arche de fer où plusieurs personnes étaient attroupées. Il fit une halte prenant son sac qui contenait ses effets personnels quand une femme l'interpella d'une voix sec : «Monsieur! Monsieur! Par ici! Avez-vous quelque chose à déclarer?» Arkady, s'approcha. Il la regarda d'un regard froid et lui répondit à la négative. Celle-ci lui fit signe de se tasser sur le côté et lui dit qu'on allait fouiller ses bagages. Un homme de loi s'approcha d'eux et ouvrit le sac d'Arkady. N'y voyant rien de suspect, il fit passer Arkady sous le détecteur. Alors, un fort bruit retentit, signalant la présence de métal.
L'homme lui fit signe de s'approcher et utilisa son magnétomètre sur lui. L'engin signala à l'agent que le corps d'Arkady était couvert de métal.
L'agent lui fit signe de le suivre. Arkady, qui commençait à en avoir assez du jeu de l'homme le suivi tout de même. Ils entrèrent dans une pièce mal éclairé ou l'agent prit place dans un fauteuil de cuir noir plutôt usé faisant face à Arkady. La pièce était muré de grandes et solides pierres et au centre de celle-ci n'apparaissait qu'un bureau de bois sur lequel un trouvait un téléphone et le journal du matin. L'homme prit un ton qui se voulait autoritaire pour dire à Arkady : «Monsieur, expliquez-moi pourquoi le détecteur sonne lorsque vous passez mais pas lorsque les autres passent!» Arkady lui répondit d'une voix qui en disait long sur l'importance qu'il apportait à la vermine qui se trouvait devant lui : «Je porte du fer... et les autres non...» L'agent se sentit quelque peu indigné par la réponse du criminel potentiel qui se tenait devant lui. Il prit une grande respiration et toussa alors. Étrangement, il commençait à se sentir mal. Tout de fois, il continua l'intergatoire: «Ne tentez pas de jouer au plus malin avec moi! Je sais qu'où vous viviez vous pouviez le faire mais ici, on est aux États-Unis, KOF KOF, et il y a des lois! Maintenant, vous allez retirer tout le fer, KOF KOF KOF ERMM HUMM, que vous portez et nous allons voir de quoi il en retourne.» Arkady, qui commença à en avoir assez de la vermine lui dit tout de même d'un ton dédaigneux:
«Je ne crois pas que sa soit possible... Sans une lame du moins. Vois-tu, il est dans ma peau...»
L'agent, n'ayant pas comprit les dires d'Arkady et le suspectant de plus en plus d'être un malfaiteur lui demanda prestement de sortir ses papiers. Ceux-ci avait été rédigé à l'époque ou Arkady exécutait diverses travaux pour le KGB soit, il y a plus de 60 ans. Pourtant, il avait la même apparence sur la photo que présentement ce qui pouvait causer suspicion. Arkady tendit tout de même ses papiers, de plus en plus exaspéré par l'agent. L'agent agrippa les papiers, les lut et dit à Arkady d'une voix qui tentait d'être aggressive mais, qui était coupé par quelque raclement de gorge causé par l'oesophage de l'homme qui commençait à être sérieusement hérité:
«Ces papiers sont faux! Vous êtes en état d'arrestation pour usage de faux documents!»
L'agent se leva rapidement de son siège, gardant les yeux rivés sur Arkady. Ce dernier ne bougeait pas. L'agent recula d'un pas pour garder le criminel à une distance sécuritaire. Il baissa les yeux vers sa gaine et y défit rapidement l'arme mais, alors qu'il relevait son regard en même temps que ses mains, il sentit un fort pincement au niveau de son épaule et sombra dans l'inconscience. Arkady contemplait la vermine étendu sur le sol dont le bras n'était maintenant retenu au corps que par un mince filament de peau. Cet homme ne méritait aucunement la vie, il avait tenté de lui freiner sa route, en plus de le faire enfermer à un endroit ou plein d'autres personnes risquaient de mourir et des gens innocents en plus. C'était lui le meurtrier, pas Arkady! Arkady n'avait pas un énorme respect de la vie humaine mais, il restait tout de fois assez d'humanité en lui pour ne pas tuer sans aucune raison. De plus, un séjour en prison lui aurait fait perdre du temps précieux et il lui restait encore beaucoup de chemin à faire avant d'atteindre son objectif. Il se dit donc que s'était soi l'agent qui y laissait la vie ou des dizaines de personnes et effaça les quelques remords que son côté humain lui permettait encore d'avoir. Repensant au passagers de l'avion qui étaient morts à cause de lui, il tenta de justifier ses actes intérieurement en se disant qu'il les avait avertis de ne pas prendre l'avion avec lui et que ceux-ci s'en était moqué. Il méritait donc aussi leur sort. Ce n'était après tout que des humains, tous aussi profiteur et malfaisant que les membres du KGB. Ayant effacé ses remords, il se pencha sur l'agent qui était sur le sol et qui se vidait de son sang et lui murmura à l'oreille:
- C'est toi qui en a voulu ainsi... c'est toi qui m'a provoqué... C'est de TA faute!
Le sourire lui étant revenu, il quitta la pièce, se dirigeant vers la sorti de l'aéroport... Il n'avait pas remarqué que l'agent recommençait à bouger. Ce dernier, à l'aide de sa main restante, s'agrippa au bureau et signala 9-1-1 avant de s'écrouler au sol, mort.
Au bureau de police, la femme avait entendu le râle du policier en fonction à l'aéroport. Elle signala à toutes les unités de se diriger à cet endroit. Elle expliqua qu'il s'y était passé quelque chose mais qu'elle n'avait pu savoir quoi... Ayant sortit de l'aéroport, Arkady marchait dans le stationnement. Bientôt des sirènes se firent entendre. Des voitures de patrouille ainsi que des ambulances étaient cernaient maintenant les lieux. Arkady était assez loin pour ne pas être repéré par les agents de police.
Seulement, quelqu'un l'avait remarqué...
(C'est à vous ^^)
Dernière édition par Arkady Gregorivich le Ven 14 Nov 2008 - 13:09, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Ven 14 Nov 2008 - 7:42 | |
| Executer un pouilleux dans un aéroport... on avait tout vu.. La jeune mercenaire se trouvait embusquée sur un toit de l'aéroport. Elle tenait dans sa main gauche un couteau à la lame bien affutée. Juste au dessus du parking... Sa cible, un enfoiré habillé en pingouin venait juste de sortir d'une voiture noire de riche. Elle esquissa un sourire macabre et lança le couteau de toutes ses forces. La lame alla se planter directement dans la tête du pauvre type qui s'écroula. Ah ben zut. Il était pas seul. Il avait une escorte, comme tous les pourris dans son genre. En quelques bonds, elle descendit de son perchoir et se métamorphosa. les pauvres gardes du corps ne virent qu'une ombre foncer sur eux, avant de voir noir. Lorsqu'ils s'écroulèrent, elle reprit une forme humaine, et s'essuya le visage qui était maculé de sang. Puis elle remarqua que quelqu'un venait de sortir de l'aéroport. Elle avait pas eut le temps de tout cacher. Zut. Elle décapita rapidement sa cible et fourra la tête tranchée dans son sac à dos. Elle dû tasser un peu pour que ça rentre, mais l'essentiel était là. Elle allait recevoir un beau petit pactole grâce à cette tête coupée. Puis elle se tourna vers la personne qui venait d'arriver. Elle sentait l'odeur du sang flotter autour de lui, et la jeune fille était habituée à cette odeur, étant donné que c'était son quotidien... Elle décida de ne pas se creuser la tête et adressa un signe de la main au nouveau venu.
"salut." |
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Lun 17 Nov 2008 - 23:34 | |
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Même si la nuit s'était totalement installée et qu'il serait, normalement difficile d'y voir à 3 mètres, l'endroit ou se trouvait Arkady était éclairée. Les lampadères qui entourait l'aéroport JFK lui permettait de se déplacer aisément. Il se déplaçait d'un pas assuré d'une vitesse constante. Son allure ne laissait en rien paraître les actes qu'il venait de commettre. Regardant autour de lui et ne voyant que peu de voiture policière, il se dit que le meurtre de sang froid qu'ilo venait de commetre n'était pas la raison de leur venu. Sans doute les cadavres à l'interieur de l'avion avait fait venir les agents et surtout, les ambulanciers. Se rendant compte qu'il y avait beaucoup de bruit dans les environs, Arkady se dit qu'il ne devait pas être facile d'habiter une grande ville et qu'il devrait s'adapter à cet ambiance infernal. C'est en ayant cette idée en tête qu'il ce dirigea entre les voitures cherchant un taxi. Étrangement, il n'en vit aucun. Comment allait-il faire pour se trouver un hotel si il ne possèdait pas de voiture. Il n'était pas question d'encore commettre un crime, il avait déjà du sang sur les mains alors autant ne pas attirer l'attention. Surtout qu'il serait facile de lui relier les crimes alors il devait se faire le plus discrêt possible. Surtout que la femme de la reception l'avait vue avec l'homme qu'il avait tué. Au moins, elle n'avait aucune idée de son identité alors il serait difficile de le retrouver, surtout s'il parvenait à se soigner.
Il fut sortit de ses pensées par une voix féminine le saluant. Les gens, habituellement n'osait pas lui adresser la parole vu son physique mais quelqu'un lui parlait. Levant la tête, il remarqua un individu sombre se tenant au centre du stationnement près d'une belle voiture noire qui semblait valoir une fortune. Le problème était, cependant, que la voiture avait une portière ouverte. Se disant qu'elle appartenait à la femme qui venait de le saluer, Akady s'approcha lentement. Arivant à une dizaine de mètres de la femme, une odeur vint éfleurer ses narines. Une odeur de sang... du sang frais. Il remarqua alors que la femme avait le bras droit sectionné. Ne s'attardant pas plus à son infirmité, Arkady regarda plutôt autour de son interlocutrice, cherchant la provenance de l'odeur. Il remarqua alors deux corps dont un qui était directement sous une voiture et donc on ne voyait que le dos dépasser, un dos dans lequel on voyait apparaître un poignard. S'aidant de son expérience auprès du KGB, Arkady conclu qu'il avait dût tenter de s'échapper de son agresseur mais que celui-ci l'avait remarqué et avait ralentit sa fuite... Plus loin gisait un homme qu'on avait décapité. Voyant seulement l'une des deux parties du tout, Arkady balaya son regard et ne remarqua pas la tête. Arpès avoir passé plus de 2 minutes près de la femme qui semblait en toute évidance la cause du massacre vu son allure calme, il laissa tomber le mystère de la tête perdu et se retourna vers son interlocutrice qui avait sans doute trouvé le temps long à attendre la réponse à sa salutation. Arkady corrigea le tir en lui disant de sa voix froide habituelle:
«Bonsoir chère. Je cherche un endroit ou passer la nuit et je connais mal la ville. Auriez-vous un endroit à me conseiller? Un endroit moins... bruyant...»
Arkady avait fait abstraction du décor sanglant, préférant ne intergoger la femme. De toute façon, ce n'était pas son travail d'enquêter sur les meurtes. En plus, la femme avait sans doute laissé sa marque quelque part et on la relirait aux meurtres du stationnement ainsi qu'à celui de l'aeroport. Il laissa donc tomber ce cas, se contentant d'attendre la réponse de la femme.
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Mer 19 Nov 2008 - 17:48 | |
| Leki remit son sac contenant la tête en place, avant de regarder son interlocuteur. Pusi elle se gratta négligemment la tête, tout en réfléchissant. Ouais... elle connaissait la ville, mais quant à savoir ou dormir... c'était une autre paire de manches... Il devait y avoir quelques hotels dans le coin, mais où exactement.... Bonne question. Elle finit par laisser retomber son bras le long de son flanc.
"ben je sais qu'il y a des hotels pas loin... mais où exactement... je peux pas te renseigner... mais de toutes façons, faut bien que j'en trouve un aussi pour ce soir, après avoir empoché ma paie. J'ai la flemme de rentrer à mon appart..."
Elle haussa les épaules. Et elle regarda l'homme en face d'elle. Une idée lui vint à l'esprit. Autant chercher à deux, si c'était ça..... Bon, ça lui plairait peut être pas. Mais autant tenter au point où elle en était.....
"on peut chercher ensemble, si ça te dit." |
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Ven 21 Nov 2008 - 17:07 | |
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"Ben je sais qu'il y a des hotels pas loin... mais où exactement... je peux pas te renseigner... mais de toutes façons, faut bien que j'en trouve un aussi pour ce soir, après avoir empoché ma paie. J'ai la flemme de rentrer à mon appart..."
La réponse de la jeune femme avait surprit Arkady. Son anglais (et oui, on est à New-york, alors faut faire comme si...) contenait des expréssions qu'il n'avait jamais entendu ainsi que d'étrange tournure de phrase. Arkady avait appris l'anglais en tant que langue seconde et ne maîtrisait pas parfaitement les expréssions américaines. Tout de fois, il comprit le message. Cette personne lui indiquait que l'on pouvait trouver diverses hotels dans le coin mais qu'elle n'en connaissait le lieu exacte. Il comprit aussi que cette femme devait recevoire un montant d'argent pour un travail qu'elle avait exécuté ce soir. Arkady n'eut aucunement besoin de réfléchir pour comprendre qu'elle était une sorte de tueuse à gage. Ce qu'il ne comprenait pas s'était pourquoi cette humaine lui disait-elle? Pourquoi avait-elle attiré son attention? Il pouvait parfaitement voir son visage alors il aurait put la dénoncer à la police. Elle devait être une novice. Les réels tueurs à gage ne laissait pas autant de sang et de preuve et n'étaient que des ombres. Elle, elle lui avait adressé la parole en plein milieu d'un massacre qu'elle avait comit et cela, même si la police était dans les parages. La bêtise humaine était définitivement grande...
"On peut chercher ensemble, si ça te dit."
Lorsque la jeune femme tint ses propos, Arkady comprit alors le plan de celle-ci, ou du moins l'esquisse du plan. Celle-ci désirait éliminer les témoins potencielles. Lorsqu'elle l'avait salué, elle n'était pas certaine si oui ou non il l'avait vue. Elle désirait donc le tuer. Elle désirait le faire ayeurs car elle ne connaissait pas les capacités d'Arkady et si elle s'attaquait à lui maintenant, il pourait avertir la police. Elle devait donc trouver un endroit ou le tuer sans se faire remarquer. Elle avait donc choisit de se servire de divers argumants pour l'attirer ayeurs. Arkady décida donc de répondre d'un ton quelque peu sadique:
«Non, je vais y aller seul. Disons que les gens près de moi on une facheuse tendance à... mourir...»
Lorsqu'il eut terminé sa phrase, un sourir se déssina sur ses lèvres. N'attendant pas la réaction de la femme, il lui tourna le dos et se dirigea vers la sortit de stationnement n'accordant plus d'importance à son interlocutrice. Observant les alentours, il comprit que les enquêteurs pousseraient bientôt leur recherche vers le stationnement. Il marcha donc d'un pas rapide tentant tout de fois de ne pas attirer l'attention et ne voulant pas devoir à nouveau tuer des gens. Son arrivé en Amérique serait déjà assez remarqué à cause des morts dans l'avion. Il ne voulait surtout pas que ses meurtres soient reliés à lui. S'il voulait retrouver celui qu'il cherchait, il devait tenter de rester discret... du moins pour quelque temps.
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Ven 21 Nov 2008 - 18:20 | |
| La jeune femme se gratta négligemment la tête. Il avait du interpreter quelque chose de travers. Ou alors il était très méfiant. Quelque chose fit tilt dans le cerveau de Leki.
si tu penses que je veux te tuer, tu te trompes. Je me fiche pas mal du fait qu'il y ait des témoins. De toutes façons, tu dégages la même odeur que moi...."
Elle avait dit cette dernière phrase avec un sourire. Oui, il était sur et certain que cet homme dégageait la même odeur de meurtre. Elle resta silencieuse et se changea en ombre. Sa voix retentit à nouveau, mais déformée par son état.
"toi aussi tu es un mutant... et toi aussi tu as tué."
Elle s'élança vers lui, sous la forme d'ombre, avant de le dépasser et d'aller s'aggripper au poteau le plus proche. Elle reprit sa forme normale et sa main gauche attrapa le poteau. Ainsi suspendue, elle sourit. Oui, c'"tait très interessant. Cet homme venait apparemment d'arriver, et il était assez méfiant. Si il avait compris qu'elle voulait le tuer, il s'était planté de manière royale. Leki voulait juste trouver un endroit où dormir ce soir. Elle regarda son interlocuteur:
"comment tu t'apelles ?" |
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Dim 23 Nov 2008 - 16:02 | |
| - Spoiler:
Hors-RP: Leki: Juste faire attention de ne pas trop utiliser les pensées de mon personnage pour tes RPs. Fis-toi plus au côté physique qu'à l'aspect mental car tu n'es pas censé connaître certains détails que tu mentionnes dans ton postes. (L'aspect des témoins principalement. C'est une pensée (un raisonnement) qui n'est pas visible de l'extérieur ni par mes paroles ni par mes gestes.) C'est correcte pour cette fois mais juste faire plus attention à ne pas mentionner des détails qui sont impossible à déduire pour garder un côté réaliste au RP. Aussi, je me suis permis de faire avencer mon RP et je t'ai laissé une porte de sortit si sa ne te plais pas Arpès avoir tourné le dos à la femme qui semblait vouloir le pièger, Arkady se dirigeait vers la rue, prevoyant y trouver un taxi même si ceux-ci était plus ou moins présent à cette heure ci. Avant même qu'il ai eut le temps de faire dix pas, elle s'adressa à lui: «Si tu penses que je veux te tuer, tu te trompes. Je me fiche pas mal du fait qu'il y ait des témoins. De toutes façons, tu dégages la même odeur que moi....»
Ses paroles entrèrent dans les oreilles d'Arkady et y sonnèrent une cloche. Arkady savait que cette femme n'était pas la discrétion même mais de la à lui avouer son crime... De plus, elle venait de l'insulter au plus haut point ce qui lui fit serrer les poings et lui donna un regard sombre. Elle avait osé se comparer à lui et le traiter de meurtrier. Arkady ne voulait pas tuer. De plus, les gens autours de lui mouraient de façon subite sans qu'il ne l'ait réelement décidé. Il était vrai que les humains n'étaient pas très important mais de la à en tuer pour des biens matériels, cela était s'abaisser aussi bas que le KGB. Les actes d'Arkady étaient justifiables mais ceux de cette femme ne l'était pas. Arkady était quelqu'un de bien. C'est les autres qui étaient mauvais; les gens du KGB qui l'avait traqué et forcé à tuer ainsi que les soldats qui avaient envahient sa ville natale. C'était eu les méchants pas lui! Ses êtres n'étaient que des monstres qui lui avaient volé sa vie! Et cette femme osait le traiter de meurtrier. Sans même qu'il ait le temps de répliquer, une nouvelle voix se fit entendre; la voix de la femme mais ayant subit une légère déformation: «Toi aussi tu es un mutant... et toi aussi tu as tué.»
Un mutant? C'était donc ainsi que l'on parlait de sa maladie dans se pays. Mutant... Ce terme était très négatif pour Arkady. Il lui rappelait son enfance, les histoire d'horreur que lui racontait sa mère. Celle que sa maladie avait tuée! À cette pensée, les yeux d'Arkady refletèrent soudainement un certaine émotion. Un émotion qu'il n'avait pas ressentit depuis très longtemps. De la tristesse. Pendant une infime seconde, Arkady était redevenu cet enfant à qui on arrachait la femme qui fut la seul à l'aimé et qui murut pour son salut et sa survis. Il fut l'enfant qui avait tué sa mère... Mais cela ne fut qu'une seconde car la barrière de haine qui entourait son coeur se régénéra comme si son pouvoir l'eut refermer telle une plaie.
Arkady remarqua alors une forme noir passer près de lui et s'agripper à un poteau pour reprendre l'apparence de l'inconnue. Il n'était donc pas seul. Sa maladie était partager et avait divers effet sur les gens qui la contractait. Il était arrivé en amérique depuis moins de 20 minutes et il en avait appris beaucoup plus sur son état. Si plusieurs personnes étaient affectés, peut-être que quelqu'un pourrait lui apprendre à contrôler ses pouvoirs pour ainsi pouvoir s'en servir sous une base volontaire. Cependant, il se demandait encore ce que cette fillette lui voulait. Elle semblait beaucoup trop s'interesser à lui. Peut-être se sentait elle seul elle aussi. En le regardant elle lui dit:
«Comment tu t'apelles ?»
Elle lui demandait cette question annodine en lui accordant une certaine importance. Qu'est-ce que tout cela signifiait. S'interessaut-elle vraiment à lui. Avait-elle fait abstraction de son physique monstrueux pour tenter de s'en faire un ami? Cette seule pensée le fit sourir mais très brièvement. Son air sinistre refit surface quelques secondes plus tard pour formuler une réponse à l'étrangère. Comme toute les fois qu'Arkady signifiait sa pensée, le ton utilisé était éffrayant mais les mots employés était bien plus sombres:
«Le nom est une arme qui accorde une emprise sur soi à la personne qui le connait, révélant ainsi des informations sur son passée. Appelles-moi Omega Red, c'est ainsi que tous m'appelle... Mais ce nom est dangereux car le prononcer revient à m'appeller et m'appeller revient à causer sa propre mort. Maintenant laisse-moi, avent de mourir toi aussi en rejoignant ainsi la liste des infortunés qui m'ont cotoyé. Ce sera mon seul avertissement; ensuite, il sera trop tard pour te sauver, tu seras déjà rongée par mes démons...»
La réponse avait été énigmatique mais au moins il avait répondu. Les mots avaient non pas été proférés comme une menace mais plutôt comme un avertissement car bientôt, si ce n'était pas déjà le cas, le mal qui infectait Arkady et qui avait causé la mort de plusieurs personnes de son village natale ainsi que plus récement la mort de dizaines de passagers d'un vol d'avion en partance pour les États-Unis affecterait la femme. Seulement Arkady ne souhaitait pas voir cette personne mourir car elle était la seul personne qui pouvait le comprendre... C'est pourquoi il l'avait avertit... Il l'avait avertit pour éviter qu'elle rejoigne le cimetierre; pour qu'au moins une personne sur cette terre puisse comprendre comment il se sent.
Ne faisant plus attention à la personne qui lui avait accordé un dialecte, il continua à avencer dans le stationnement jusqu'à s'engouffrer dans les ténèbres d'une ruelle non-éclairé. Peut-être que plus loin il pourrait enfin se reposer. Marchant dans les ténèbres, il rensentit alors une faiblesse et s'écroula au sol. S'aidant d'un bras pour se relever, il remarqua qu'on l'observait. Trois hommes qui semblait vouloir ressembler à des coqs se tenaient près d'un baris d'où s'échappait de la fumée causé par le feux qu'ils avaient sans-doute alumé plus tôt. L'un d'eux lui cria d'un ton moqueur:
«Alors m'sieur! Trop bu s'soir?»
L'autre renchérit la conversation par des mots pas très riches avec une voix qui trahissait qu'il avait lui aussi étanché sa soif avec de l'alcool:
«Les gars! On d'vrait l'aider à s'relever et il nous f'rait une p'tite contribution. Vous en dites quoi? L'monsieurs y'a un beau manteau et un belle valise. Il p'rrait nous financer!»*** - Spoiler:
Partie non-essentielle au RP. Il est possible de sauter jusqu'aux étoiles suivantes si vous ne voulez pas tout lire.
Ce matin là, Jimmy avait quitté sa barraque miteuse pour se rendre à l'école, du moins, c'est ce qu'il prétextait. Au lieu de prendre la traditionnelle autobus le menant en son lieu d'apprentissage, lieu qu'il ne fréquantait que rarement, il choisit une toute autre destination, se dirigeant à l'aide du métro vers le lieu de résidance de J-C, son patron. Pendant le trajet, il visualisa sa journée. Étant un vendeur de stupéfiant, son patron J-C avait besoin de jeune pour refiller ses marchandises dans des institut du savoir et étant trop âgé pour le faire lui même, il payait des gars comme Jimmy. Dans le métro, Jimmy se questionnait moralement sur ses actes passées et futures. Il était vrai que ses produits était très nocif pour la santé de ceux qui en prenait mais Jimmy se convainquit que s'était leur choix et qu'il ne faisait rien de mal. Cependant, voyant dans le métro un homme agée de quelques années de plus que lui sortir une cigarette et commencer à la fumer près d'une fillette qui semblait la sienne, il se sentit mal et repensa à son travail et décida que sa serait la dernière fois qu'il aidrait J-C à vendre sa camelote. Il avait lui-même décidé d'arrêter et y était arrivé. Secrètement, il rêvait d'unjour se sortir du troue et parvenir à être graphiste profetionnel, car Jimmy avait toujours eut une passion pour le dessin. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il travaillait, il désirait s'acheter un ordinateur pour y travailler ses oeuvres. Ses parents étant trop pauvres, il devait, et cela depuis toujours, travailler pour obtenir ce qu'il désire.
Ainsi donc, arrivé au terminus, il déscendit et marcha dans les rues pour se rendre chez son patron qui habitait près de l'aéroport JFK dans un appartement situé au fond d'une ruelle. Gravissant les escaliers, il fit savoir sa présence en frappant à la porte. Celui qui lui ouvrit était J-C, un homme costaud portant plusieurs tatoos mais aussi un mohawk teint rouge. Après une brêve discution, J-C confia ses stupéfiants à Jimmy et lui dit de revenir avec l'argent vers 21 heures. Jimmy fit ce pourquoi il était payé et revint cher son ami. Frappant à la porte, il fut reçu cette fois par Carlos, un autre ami de J-C. Celui-ci lui dit d'entrer. Dans l'appartement de J-C, on pouvait sentir les diférents produits utilisées pour fabriquer des stupédiants. Ce derniers approcha et demanda l'argent. Par son timbre de voix, il ne semblait pas avoir ses facultées mentales au maximum. Jimmy lui donna tout de même et décida d'enfin lui faire face et lui dire qu'il démissionnait.
Après que Jimmy lui ait formulé sa démission, J-C frappa violament de le mur. S'approchant de Jimmy, il dit:
«Ce ne devrait pas être le mur qui souffre. Il ne m'a rien fait lui...»
Puis, il frappa Jimmy qui s'écroula au sol les larmes au yeux. J-C continua:
«Je te croyais mon frère et tu me plantes un couteau au coeur! Traitre! Lache! Vermine!» Jouant toujours sur la tristesse, J-C continua:
«Jimmy! Je m'excuse... Je t'aime tellement mon frère! Je veux que tu restes. Penses à ton pote! Penses à moi! Si tu nous quittes, je perds un ami! Allez!»
Jimmy, toujours souffrant ne pouvait rien faire. Il comprit alors qu'il était piègé. J-C connaissait son lieu de résidance et la police de pouvait l'aider sans le mettre lui aussi derière les bareaux pour vente de stupéfiants. Il devait garder l'amitié de J-C. Il s'excusa alors auprès de lui. Ce dernier ''accepta les excuses'' et aida Jimmy à se relever. Jimmy lui demanda son argent mais J-C lui dit qu'il devait rester avec eux et faire la fête si il voulait être payé. Jimmy, ne pouvant rien faire d'autre fit mine d'être heureux et suivit ses amis dehors ou il allumère un feu dans un baril et y ''fêtèrent'' le retour de Jimmy.
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Jimmy était rester en retrait pendant que J-C et Carlos s'amusait au dépend de l'homme qui était tombé. Il déplorait l'imbécilité de ses ''amis'' mais ne voulait rien laisser paraître pour ne pas encore une fois être leur cible. Il les laissa donc s'approcher de l'homme, pensant que ce n'était pas la soirée de ce dernier, J-C et Carlos étant habituellement très cruelle lorsqu'il ''s'amusait''. Jimmy regardant la scène vit au départ Carlos qui s'appochait pour frapper l'homme. Jimmy vit alors la scène la plus effrayante de sa vie...
L'homme aggripa la jambre de Carlos avent qu'il n'ait frapper et la broyant avec sa mains. Carlos avait bien tenter de crier mais très rapidement, une pointe de fer passant au travers de la bouche défonça l'arrière de son crane. Se relevant pleine grandeur, le meurtrier de Carlos tira ses bras à pleine extention, transformant Carlos en deux parties d'un tout. Son sang venait d'asperger le meurtrier qui jetta les deux morceaux de Carlos pour s'occuper du suivant. J-C qui voulait venger la mort de son ami avait sortit une arme de ses poches. Un long couteau avec lequel il s'apprétait à dépesser le meurtrier. Cependant, lorsque l'homme s'était retourné vers lui, il s'était désister et avit pris un semblant de fuite. Cependant, vifs comme l'éclair, l'homme avait frappé avec un fouet de metal qui lui sortait du bras, harpant ses jambes et les brisant sur le coup. Puis, étrangement chancelant, le meurtrier pressa, à l'aide de sa jambe, la tête de l'employeur de Jimmy répendant divers morceaux de taille différente mais d'une couleur identique; le rouge, qui prensent sous différent tons se répendait dans la rue.
Jimmy se sauva alors, expérant que le meurtrier ne l'ai pas vue. Il courait dans la ruelle, voulant échapper à l'homme sadique qui venait d'éliminer ses ''amis''. Il arriva enfin à la cloture qui délimitait la fin de la ruelle. Si il la franchissait, il était sauf car à peine quelque dix mètre plus loin se trouvait une rue ou l'activité était fréquante. C'est alors qu'il sentit une intense douleur au dos. La douleur s'intensifiait jusqu'à devenir insuportable. Il voulait crier mais ne le pouvait pas. Ses yeux se remplir de floue. Il y avait tant de chose qu'il aurait voulu faire mais il ne pourrait plus rien faire. Ses dernières pensées furent pour ses parents. Ceux-ci l'aimait tant...
Arkady regardait le cadavre du jeune homme se vider de toute son energie. Il devait se faire des forces si il voulait pouvoir survivre à sa contamination par le carbonadium et puisque les jeunes étaient plus vigoureux, l'énergie qu'il absorbait lui permettait de bien se sentir. De toute façon, ses personnes avaient mérité leur sort, il n'était que des déchets de la société et Arkady avait accomplit une bonne action et les éliminants. Après avoir totalement abosrbé l'énergie du jeune garçon, il ramena son corps auprès de ses camarades. Voyant un apparatement près du lieu du massacre, le seul de la rue, il y pénétra. Voyant ses vêtements tachés par le sang, il y fit un brin de toilette et changea son manteau, qu'il jetta, pour un qui se trouvait dans l'appartement. Étant finalement repus et plein d'énergie, il sortit se dirigeant vers la rue qu'il avait remarquer l'autre côté de la cloture.- Spoiler:
Libre à toi de continuer ou à quelqu'un d'autre d'embarquer. Si je n'ai pas de réponse, j'en conclurais que le RP est terminé.
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Jeu 27 Nov 2008 - 21:09 | |
| Leki assista à la scène. Un sourire amusé se forma sur son visage, lui donnant un air de renarde. Elle se changea en ombre une nouvelle fois, et, en quelques bonds, rattrapa Arkady. Elle pensa à reprendre sa forme normale, et ralentit quelque peu l'alllure histoire de récupérer quelques forces. Elle sourit et son unique oeil rouge pointa vers Arkady.
"t'es super balèze !! Nyahahaha !!!"
Elle éclata de rire avant de se mettre à courir pour le rattraper.
"qu'est-ce que tu fais en Amérique? "
Elle regara Arkady dans toute sa grandeur, le détaillant des pieds à la tête. Ben oui, pourquoi un mutant aussi puissant que lui venait ici. Ce monde est pourri. Du moins, c'était ce que pensais la jeune fille. Elle se mit à se balancer d'un pied sur l'autre, sa mèche de cheveux se balançant au rythme de ses mouvements... Elle était curieuse de savoir ce qu'un type aussi puissant venait faire ici, et en même temps, le désir de l'affronter en combat augmentait.... La jeune mercenaire esquissa un sourire.
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| Sujet: Re: Chaos à JFK Expy (Près de l'aéroport JFK) [Libre 1-4 pers] Sam 29 Nov 2008 - 14:01 | |
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Arkady marchait dans l'ombre de la ruelle. L'ambiance était très glauque et plusieurs grafitis ornaient les parois muralles. Il serait bientôt 1 heures du matin et Arkady n'avait pas trouvé d'hotel ou séjourner. Même si il pouvait absorber l'énergie des gens pour contrer la fatigue, il préférait dormir pour se remettre les idée en place. Il avait, durant toute sa vie, développé cette habitude et préférait la garder car elle permettait à son cerveau de se reposer ce que l'abosrbtion d'energie ne lui permettrait jamais. L'esprit d'Arkady était cependant troublé. Durant toute sa vie il avait éliminé des gens gens pour survivre mais en une seul soirée, il avait tué enormément de gens. Selon lui, toutes les personnes qu'il avait tués méritaient leur sort mais, il en avait tué énormément. Il avait retiré la vie de plus de 20 personnes en un seul soir et commençait à se demander pourquoi toutes ses personnes s'étaient trouvé sur son chemin. Pourquoi les 16 passagers de l'avion n'étaient pas déscendu en écoutant son avertissement au lieu de l'ingnorer. Pourquoi l'agent avait-il tenté de le freiner dans sa route au lieu de le laisser agir? Pourquoi les 3 jeunes s'étaient-il attaqué à lui? Les questions tournoyaient dans son esprit et en tentant de voir plus clair, il en arriva à une conclusion; jamais il ne pourrait vivre avec sa malédiction. Siu il voulait survivre, il devait se procurer un synthétiseur de Carbonadium et apprendre à maîtriser son pouvoir meurtrier qui tuer les gens autours de lui sans qu'il n'en décide réelement. Ce pouvoir pouvait, en effet, tuer les gens autours de lui en moins de 45 minutes. Après seulement 5 minutes en sa compagnie, on commençait en sentir les effets et ainsi, à cause de se pouvoir, il ne pouvait jamais se trouver en un lieu publique sans en éliminer la population.
Perdu dans ses conclusions et pensées, il perçu la présence de l'incconue que lorsque celle-ci tenta de le rattraper. Cette fillette, la seule qui s'interressait à lui un temps soi peu allait bientôt mourir car elle ne suivait pas son avertissement. Arkady ne ferait rien, mais ses phéromones, q'il dégeait sans le vouloir, allait la tuer. Elle devait déjà sentir les premiers effets et d'ici une quarantaine de minutes, elle y laisserait la vie. Il l'avait pourtant avertit mais elle ne l'écoutait pas car comme tout les autres, elle ne prenait pas ses avertissements au serieux.
Lorsqu'elle arriva à la hauteur d'Arkady, elle lui dit de façon enjouée:«T'es super balèze !! Nyahahaha !!!»
Puis, son rire déchira le calme de la nuit. Arkady ne comprenait pas. Cette fille, qui semblait l'avoir en quasi idolation se réjouissait des meurtres qu'il avait commi. Pourquoi? Pourquoi en était-elle réjouit? Arkady était dans le chaos total. Cela n'avait rien d'humain de se réjouir des meurtres que l'on faisait. Même lui n'en n'était pas fière. Les humains n'étaient peut-être pas dans sa haute estime et il catégorisait peut-être leur cas mais, il avait été un humain avent sa mutation et ce n'était qu'un malheureux coup du destin si il était devenu un meurtrier. Certains humains meritaient de vivre; là était sa conclusion. Cependant, il y avait des sacrifices à faire et Arkady en avait assez de les faire. C'est pourquoi il en conclu aussi que se serait les humains qui devraient se sacrifier pour lui et non l'inverse. Même si celle-ci semblait vouloir le rattraper à tout prix, Arkady s'en éloignait. Il ne voulait pas d'elle près du lui. Ce n'était pas parce qu'il la détestait, c'était peut-être même le contraire. Cette personne était la seul qui avait osé s'approcher de lui, ignorant les avertissements. Elle était la plus courageuse de toute mais aussi la plus sote. Car c'était les autre qui avait raison de se sauver de lui. La fillette voulait vraiment le rattraper car elle le chassait dans la ruelle. Lorsqu'elle arriva à son niveau, elle lui dit:
«Qu'est-ce que tu fais en Amérique?»
Maintenant, elle le questionnait sur les raisons de sa venu en Amérique. Qui était-elle pour le questionner sur sa venu en Amérique? Arkady avec un regard froid et le ton qu'il prit pour annoncer son message ne dégagea aucune émotion: «Je tue des gens et tu es la prochaine alors cours et ne perds pas de temps, cours...» Après avoir pronomcer des mots visant à éloigner l'inconnue, il remrqua que la ruelle était éclairer et que la lumière dansait au loin. Quelqu'un venait. La police... Arkady se trourna rapidement et arracha la cloture de fer qui le séparrait de la rue qu'il avait remarquer et la projetta dans la ruelle vers l'inconnue puis, franchit les 10 mètres le séparant de la rue ou il désirait aller. Il ne savait pas si il avait touché la fillette mais, il savait que celle-ci y survivrait. Il ne voulait que faire diversion pour quitter la ruelle sans être remarqué. Débouchant sur la rue, il remarqua un immeuble ou il était inscrit ''Hotel Delta''. Il se dirigea vers cet endroit. À la reception, il demanda une chambre et s'y dirigea. Il avait besoin de dormir... la journée avait été longue... - Spoiler:
Je te laisse approter ta conclusion à ce RP. Si tu désires rechercher Arkady, tu n'as qu'à créé un autre topic dans ''Les buildings'' ou tu créera un topic ''Hotel Delta''
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