23h00; au Western-Pub. [Dolce.] - Clos°

Invité

23h00.

Comme toujours, à cette heure là, il y avait du monde.
Comme toujours, à cette heure là, c'était le ~~show~~.
C'était il y a peu de temps, en parcourant des petites annonces, que Susan était tombée par hasard sur une annonce d'un bar assez peu connu, le "Western-Pub", qui cherchait des filles pour faire un show devant les clients. La jeune Suzie avait doutée, réfléchie, et c'était décidée à allé voir le patron, un gros monsieur au cigare puant et à la moustache grise. C'était simple, elle dansait sur le podium, il la payait. C'était simple.
Elle avait besoin d'argent. Certes, elle aurait pu demander, tous ses amis auraient certainement mis la main à la poche, et lui aurait prêté toutes leurs économies... Mais c'était hors de question. C'était simple. Personne ne savait qu'elle travaillait dans ce bar, elle travaillait tard de surcroît, et quittait le bar par l'arrière, invisible comme une ombre.

C'était vêtue comme une cow-girl, d'un soutien-gorge d'acier et de cuir, d'un pantalon de cow-boy clouté et muni de centaines de lanières de cuir, d'une ceinture avec des douilles de fusil et deux revolvers, aussi munie d'un lasso, qu'elle entrait en scène. Il y avait sur le devant de la scène des ventilateurs, qui, lorsqu'elle dansait, soulevaient ses cheveux et les nombreuses franges de cuir de son costume. Cela rendait le spectacle presque iréel, comme un fantasme. Rare étaient les hommes à détourner les yeux de Susan lorsqu'elle dansait, certains stoppaient même leurs discussions le temps de son show. Il suffisait de faire tourner le lasso, de cambrer les reins et d'onduler son corps de jeune fille devant ces soulârds pour qu'elle y gagne son pain, et son indépendance.
Elle ne craignait jamais rien, elle savait se défendre, et puis, elle était avant tout inssaisissable...

On lui fit signe d'y aller.

On annonça l'arrivée de "Nancy". C'était son pseudonyme, c'était plus sûr. Et elle creva les lourds rideaux de velour rouge. Il y eut des exclamations, surtout des hommes qui commençaient à sentir les vapeurs de l'alcool, dans le fond du bar. Les autres la regardèrent, d'un air satisfait, en commandant un autre verre aux autres filles du bar. Suzie se mit à danser, secouant sa longue chevelure blonde, bougeant les hanches d'une façon sensuelle. La danse, c'était ce que Susan aimait faire lorsqu'elle était petite. La danse du ventre lui parut plus simple que d'habitude, à force de la faire, elle n'avait même plus mal aux abdominaux, et avait raffermit son corps. Elle n'avait pas pour habitudes de parcourir la salle des yeux, mais, irrésistiblement, elle s'avisa de jeter un coup d'oeil.
Rien, que des hommes vieux et saoules, quelques dealer dans le fond, et les serveuses, rien de bien intéressant, elle reprit sa danse.

Elle fit tournoyer le lasso, tel une arme entre les clients et elle, pour qu'ils n'espèrent pas plus, parce qu'ils n'auraient pas plus. Nombreux étaient ceux qui l'avait attendu à la porte de derrière, mais toujours invisible, elle les esquivait sans mal et rentrait à l'Institut sans encombres... Mais ce soir, elle jeta à nouveau son regard bleu acier sur les clients et le lasso s'arrêta de tournoyer...

Là. Devant elle, en contre-bas du podium, elle reconnue un visage qui la regardait fixement...

23h00; au Western-Pub. [Dolce.] - Clos° Scene_10

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Dolce n’avait pas vraiment voulu suivre la belle Susan, mais bon… Enfin si, il l’avait suivie et tans mieux ! Après tout, elle l’avait embrassé et était partie travailler le laissant la en plant. Il voulait donc savoir ou elle allait, ou elle travaillait pour se renseigner sur elle. Sur cette merveilleuse créature qui le charmait de plus en plus, sur cette jeune demoiselle au charme sans limite. Le jeune homme suivait donc la belle Susan, il arriva dans un pub qu’il ne connaissait pas vraiment. Sans hésitation, il pénétra dedans cherchant du regard la jeune blonde, miss invisible. Le jeune homme alla vers le comptoir, il balaya la salle des yeux, que des vieux saoulard… C’était déprimant ! Le jeune homme appela alors le serveur et demanda après Susan, il fit sa description se faisant passé pour son petit ami. Le barman lui dit alors qu’il allait bientôt la voir sur scène, Dolce sourie avec amusement

« Intéressant… »

Et encore, il n’avait encore rien vu ! Jaloux comme il était, il allait sûrement regretter d’être arrivé ici… Bref, Dolce commanda une bière et alla vers le podium, c’est alors qu’on annonça l’arrivé d’une certaine Nancy. Les yeux du jeune homme se posèrent sur la scène, il resta muet devant ce spectacle des plus…attirant ! Il entendait des cris, des exclamations, mais sentait les regards posés sur la belle blonde qui dansait, se déhanchait sur scène. Il reconnu directement Susan, sa beauté était mise encore plus en avant avec ses vêtements des plus sexy. Dolce l’observait, serrant sa bière dans son point… Oui, jaloux maladif voila se qu’il était ! Savoir qu’elle l’avait embrassé, qu’ils avaient flirté, qu’ils avaient passé un moment inoubliable ensembles et ensuite la voir ici. Tous ses regards… Cela l’énervait atrocement. C’est alors qu’il vit les yeux de la jeune demoiselle se poser sur lui, elle stoppa tous mouvement, elle l’avait reconnu et apparemment sa lui faisait un choque. Il entendit crié

« Hey continue ! Danse pour nous chérie. Approche, je vais te faire danser moi ! »

Oula, le jeune homme chercha du regard cette voix masculine qui venait de le percuter de plein fouet. Il vit un jeune, pas plus vieux que lui, rigoler aux éclats regardant avec un air pervers la jeune demoiselle. Dolce se mit légèrement à trembler, comme dans tous les pub, des plantes vertes étaient exposés dans la pièce… La plus proche de l’homme se mit elle aussi à trembler e à grandir doucement, le poing fermé de Dolce s’ouvrit doucement et approcha de l’homme

« Toi, tu vas le regretter »

Murmura-t-il…

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Dolce était là, assit à une table, à quelques mètres.
Son regard perçant fixé sur elle, son charme baignant autour de lui comme un parfum. Susan ne put détacher ses yeux du brun ténébreux, qui ne cessait plus de la regarder. Elle resta là, bouche bée, à observer ce magnifique jeune homme, avec qui elle venait de passer un moment inoubliable. Si elle n'avait pas travaillé ce soir là, elle serait restée, près de lui, à penser uniquement au moment de plaisir qu'il lui offrait. Un homme parla tout fort à l'adresse de Suzie, mais elle n'écoutait plus, la musique continuait mais son corps ne faisait plus de mouvements... On l'avait vu, on l'avaut vu dans ce bar, on l'avait vu sur ce podium. Dolce l'avait vu. Qu'allait-il penser ? Elle avait de bonnes raisons, elle le savait. Mais Dolce, lui, ne le savait pas. Qu'allait-il dire ? Susan fut tétanisée par la scène. Heureusement, la musique changea, et une autre danseuse entra sur le podium...

Dolce semblait furieux. Susan descendit de la scène, et aperçut Dolce se diriger vers l'homme qui avait fait un commentaire tout haut. Les autres clients avaient déjà repris le silence, et regardaient le nouveau show. Dolce s'approchait de l'homme, Susan, zigzaga entre les tables et se précipita vers Dolce.
Elle tendit les bras vers lui, comme pour le retenir. Il se rapprochait de plus en plus. Il était jaloux, qu'allait-il faire au client ? Susan ne pouvait se permettre de perdre ce job, et encore moins de perdre Dolce, même s'il savait se défendre. Elle matérialisa l'espace d'un instant un champs de force à peine visible derrière l'homme et se jeta dans les bras de Dolce.

- Dolce je... C'est pas ce que tu penses !

Elle avait le souffle court, sa tenue faisait un peu de bruit avec tous ces clous et ses cheveux retombaient désormais sur ses épaules. Son regard fuyait, évitait celui du beau ténébreux pour qui elel avait un faible. Elle posa ses deux mains sur son torse, chercha son regard. Elle ne savait plus où se mettre, ni quoi dire. Elle avait peur, de sa réaction, de ce qu'il penserait...

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Dolce avançait vers le jeune homme, son regard assez noir… Il détestait les humains, la moindre occasion de leurs faires du mal était la bienvenue ! Il avançait avec rage quand il senti quelqu’un se jeter dans ses bras, il comprit très vite de qui il s’agissait mais ne la regardait pas… Non pas qu’il ne le veuille pas, mais parce qu’il regardait cet homme, toujours cet homme. Il sentait en lui une tel colère que sa pouvait en être étrange, mais bon, pas pour lui. Il entendit alors ses paroles, celle-ci dit que c’était pas se qu’il pensait ! De quoi ? Puis que pensait-il à vraie dire ? Qu’elle dansait devant des humains avec un charme réel ? Qu’elle était habillé d’une façon très…provocatrice ! Il fini par la regarder droit dans les yeux

« Et je suis censé penser quoi ? »

Sa voix était devenue neutre, il voyait bien qu’elle ne voulait pas d’ennuie. Après tous, elle travaillait ici et il devait comprendre. C’est alors qu’il se détendit très légèrement, la plante redevient alors se qu’elle avait toujours été et lui redevenait Dolce. Le jeune homme replanta son regard sur le dos de l’homme puis dans les yeux de Susan, il soupira alors

« J’ai besoin d’un verre ! »

Ben oui, il devait accuser le coup… Il se dégagea légèrement de Susan et se dirigea vers le bar, en passant, il lança un regard noir à l’homme qui ne sembla pas comprendre pourquoi il faisait cela… Puis, il commanda un whisky cette fois, quelque chose de bien fort ! Il s’assoie dans un coin et bu d’un trait sa boisson, il se dirigea ensuite vers une plante verte, il avait toujours besoin d’être près d’une plante… Chez lui, il n’y avait que sa ! Il déposa brusquement le verre sur une table et s’assoie sur une chaise, et bien, il aurait mieux fait de rester dans son resto lui ! Il repensa à la scène de tous à l’heure, ce baiser si vite donné mais tellement beau en même temps… Cela signifiait-il quelque chose ou rien pour la jolie blonde ?

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Il n'avait pas lutté. Il s'était laissé approcher. Bien qu'il adressait encore un regard noir à l'homme qui l'avait interpellé, il avait fini par planter son regard dans celui de Susan. La dureté du regard et la voix neutre firent tiquer Susan. Comment pouvait-on être aussi froid d'un coup ? Un frisson la parcourut, elle avait froid. L'atmosphère du bar et sa tenue ne l'aidaient à avoir chaud. Il se détourna d'elle en soupirant et commanda un verre.
Susan resta blessée par la découverte du jeune homme, s'il ne l'avait pas suivit, il n'aurait pas vu ça, et rien de tout ça ne se serait passé... Elle se détourna aussi, et alla enfiler un jean et un pull à l'arrière du pub, dans sa loge. Lorsqu'elel revint, elle trouva Dolce, assit à une table du fond, un verre de Whisky dans la main, le regard vague. Elle s'approcha doucement, rien dans son regard, ou son attitude, montrait qu'il ne voulait pas d'elle. Elle s'assit en face de lui, le regard vide et les gestes lents. Il ne daigna parler. Elle murmura alors :

- Je suis désolée, j'aurais dû te le dire...
Mais... J'ai besoin d'argent, je, je ne suis plus la petite fille aisée d'avant... Mes parents m'ont laissé, je dois trouver de quoi vivre... C'est pas un job très gratifiant, je te l'accorde, mais au moins j'y gagne. Je comprend ta colère, mais...

Elle resta silencieuse un moment, posa sa main sur la table, elle espérait au fond d'elle qu'il poserait la sienne par dessus. Il ne fit pas de mouvements, elle la laissa tout de même et reprit :

- Pourquoi tu m'as suivie ?

Susan se perdit à penser qu'il devait être tellement en colère qu'il l'aurait giflée. Que sa question était tellement bête qu'il n'aurait rien d'autres à lui dire qu'une berge d'insultes et de mots blessants à égard. Elle pianota sur la table avec ses doigts... Elle ne voulait pas qu'il s'énerve, et surtout le perdre ! Dolce était un homme qui plaisait énormément à Susan, et si elle l'avait embrassé, c'était parce qu'elle pensait qu'ils étaient d'accords sur ce point là. Elle croyait à une histoire entre eux, après tout pourquoi pas... Elle se sentait mal là, il se sentait peut être trahis... Il voulait encore d'elle ? Elle, oui. Elle remarqua la plante verte à côté de lui. Il aimait énormément les plantes, il en était proche de part son pouvoir et surtout de part son caractère. Elle le trouvait beau, là, assit à boire son whisky. Elle ne dit plus rien, elle attendait un geste, un signe, une parole...

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Dolce était la, assit à sa table avec son verre maintenant vide en main… Perdu dans ses pensées, il ne savait plus vraiment quoi faire, il ne savait plus vraiment quoi penser de tous cela. Entre lui et Susan allait-il se passer quelques choses ? Il aimerait bien sa il ne pouvait le nier, mais elle, avait-elle envisagé cette éventualité ? Il n’en savait rien… Il la vit alors venir se mettre juste en face de lui, le jeune homme ne broncha pas, il ne la regardait pas vraiment, il ne savait plus quoi faire. Elle déposa sa main sur la table, il eu une envie irrésistible de venir la prendre mais ne le fit pas. Il l’écouta alors sans répondre, sans l’interrompre. Elle dit que ses parents l’avaient laissée, qu’elle devait trouver de l’argent et c’est donc pour cela qu’elle travaillait ici. Le jeune homme la regarda alors légèrement, sans parler. Elle demanda ensuite pourquoi il l’avait suivie, il ne pu s’empêcher de faire un petit sourire cette fois… Dolce ne buvait que rarement, donc, il ne commanda pas un autre verre d’alcool même si il en mourrait d’envie. Il regarda cette fois la jeune demoiselle droit dans les yeux, de son regard pénétrant, de ce regard mystérieux et envoûtant.

« Je voulais savoir ou tu allais pour partir presser ainsi… »

Il remarqua alors qu’elle c’était changée, normale, faut dire qu’elle ne devait pas vraiment avoir chaud dans la tenue ou elle était avant… C’est juste à ce moment la qu’il déposa sa main sur la sienne, serrant avec douceur celle-ci, lui montrant bien que dans un sens, il ne lui en voulait pas vraiment… C’était plutôt aux hommes qu’il en voulait, à ses humains et leurs regards si…provocateurs, manipulateurs ! Il la regarda et sourie doucement, puis, il se redressa et vient poser un délicat baiser sur ses lèvres

« Puis, le spectacle était plutôt joli »

Il lui fit un clin d’œil et se remit dans sa chaise, il commanda cette fois un verre d’eau. Dans un sens, Susan et lui allaient bien ensembles mais justement, cela faisait assez peur au beau Dolce. Il n’avait jamais eu de relation durable, il était tros volage comme sa… Il ne trompait pas les filles, mais il était tros jaloux, tros mystérieux… C’était sa ses défauts, en plus, il était bagarreur à mourir !

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Lorsqu'il planta son regard dans le sien, Susan se sentit comme ravivée et emplie de chaleur. Elle l'écouta. Une irrésistible envie de l'embrasser lui vint soudain, particulièrement lorsqu'il eut un petit sourire. Son regard bleu, pénètrant, mystérieux, envoûtant et magnifique, Susan ne pouvait plus s'en passer. Elle sentit le contact de sa main sur la sienne, et c'était comme si le pub se colorait de partout, et, lorsqu'il se pencha pour poser ses lèvres sur les siennes, Susan eut un sourire magnifique. Il lui adressa un clin d'oeil resplandissant et Susan prit son compliment avec une grande humilité. Ses joues se colorèrent de rouge et son regard scintilla. Il était si beau. Susan savait qu'elle serait bien avec lui, mais, au fond d'elle même, elle avait peur... Peur de ce qui allait se passer s'ils allaient plus loin, elle savait qu'ils faisaient un couple hors du commun, mais elle était plutôt du genre réfléchie et calme, bien que parfois très impulsive et assez jalouse. Elle le dévisagea, lui caressa la main.
Elle savait que s'il restait il lui fallait de bons arguments, que Susan soit la meilleure dans tous les domaines, qu'il ne soit pas tenter de séduire et de voir ailleurs, sans pour autant le priver de liberté...
Elle regarda distraitement ses doigts et glissa les siens entre ceux de Dolce. Il commanda un verre d'eau. Susan en profita pour parler à la serveue, qu'elle connaissait :

- Mets-moi une Tequila Frappée, et met son Whisky sur ma note.
" Ok Nancy. ”

La serveuse posa le verre d'eau devant Dolce et revint quelques temps plus tard avec un élégant verre à Coktail. Elle saisit son verre par le pied, le leva devant elle en adressant un clin d'oeil au bel homme qui se trouvait devant elle. Et descendit d'une traite son verre. Elle sentit le feu lui saisir la gorge mais resta de marbre.
Elle n'avait pas l'habitude de boire. Mais ce soir était un soir exceptionnel. Ils étaient là, l'un en face de l'autre, à se dévisager et à réfléchir chacun sur ce qu'ils allaient faire... Susan passa une main dans ses cheveux et commanda une autre tequila. C'était la dernière. Elle allait parler lorsqu'il lui sembla que Dolce allait dire quelque chose, elle le laissa faire...

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Dolce réfléchissait de tros même à son goût, il ne savait plus quoi faire, il était bousculé de tous les cotés entre sa raison et son cœur qui disait qu’il pourrait bien se passer quelque chose entres eux deux… Sa raison elle, lui disait de ne pas aller plus loin, que son caractère sauvage allait tous foutre en l’air ! Qui écouter ? Mais comme on dit, le cœur a des raisons que la raison ignore… Il senti la jeune demoiselle lui caresser la main, il la laissa faire. Autrefois, l’homme qui l’avait élevé lui avait toujours dis que la femme qu’il choisirait serait bien une chançarde … Pourquoi ? Peut-être parce que Dolce n’était pas un homme qui allait courir à droite et à gauche. Peut-être aussi parce que ce jeune homme ne laissait pas vite tomber, il préférait affronter les problèmes que les éviter… Bref, il faut dire aussi qu’il était assez doux et gentil avec ceux qu’il aimait, drôle, attachant mais restant toujours aussi indomptable que le vent. Il entendit Susan commander une tequila, le jeune homme observa alors la serveuse appeler Nancy Susan… Ses doigts dans les siens, il la regarda en biais

« Un pseudonyme ? »

Mais le problème, se qui était un gros gros problème c’est que elle était à l’institut et lui…à la confrérie ? Que se passerait-il quand ils allaient l’apprendre tous les deux ? Comment allait-ils réagir face à cela ? Aucune idée… La serveuse apporta le verre de Susan et le siens, Dolce bu quelques gorgées puis regarda la jeune blonde boire son verre d’un trait, il la regarda avec amusement.

« Et ben, tu avais soif il me semble… »

Il la regarda commander un autre verre et lui bu une autre gorgée, pendant quelques instant, il garda le silence. Il se demandait si il devait lui dire ou non pour la confrérie, jouer la carte de la vérité ou mentir, se qu’il n’avait pas l’habitude de faire. En générale, il était très franc quitte à blesser les autres, mais Susan elle, c’était autre chose. Il regarda un moment son verre d’eau et fini par dire

« Il faut que je te dise quelque chose…tu connais la confrérie ? »

Il allait y aller doucement, ne pas lui lancer sa à la figure directement… Il allait d’abore connaître son avis sur la question et puis, il envisagerait

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L'histoire du pseudonyme, ça faisait toujours jaser. Mais au moins, si on cherchait les ennuis à Susan, on ne la trouverait pas dans ce bar, puisqu'elle n'y était connue que sous le pseudonyme de Nancy. Peu à peu, Nancy était devenue comme une seconde peau, que Susan enfilait chaque fois qu'il fallait danser, c'était en quelque sorte son côté un peu sombre, ou provocatrice, c'était bien loin de la Susan, sage et rigolote. Il y avait deux facettes à sa personnalité. C'était courant chez les filles de la nuit, le pseudonyme, et la vrai nom, la séparation de deux moments, le jour et la nuit, le bon et le mauvais. Toutes les filles du bar avaientn un pseudonyme, et elles se serraient toujours les coudes pour éviter les problèmes...

- Ca évite les emmerdes, en général...

La vulgarité n'était pas son habitude, mais la tequila semblait être montée plus rapidement que prévue. Elle posa son verre et sourie gentillement à Dolce, qui, concentré sur son verre, semblait chercher quelque chose à dire... Lordqu'il ouvrit la bouche, Susan l'écouta avec autant d'attention qu'elle le pouvait.
Elle sentait bien qu'il allait dire quelque chose de peu plaisant, ou de fâcheux, et lorsqu'il parla, Susan tilta assez rapidement.

Au mot "Confrérie", Susan eut une petite réaction et son visage disparu légèrement, avant de réapparaître. Ca arrivait souvent, peut être pesnait-elle entendre autre chose...

- Oui, je connais... Pourquoi cette question ?

Chez les mutants, le choix d'un camp avait toujours été une question à problèmes, une grande question réthorique qu'on aimait peu remuer, que se soit seul ou accompagné. Susan resserra la main de Dolce et attendit la suite.

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Dolce était la, doigts dans les doigts avec Susan, souriant maintenant. Il écouta sa réponse du à son nom, Nancy, un doux sourire illumina le visage du jeune homme. C’est vrai que sa évitait les ennuies, c’était sûr ! Il remarqua aussi que l’alcool lui montait vite aux joues, cela amusa Dolce qui lui n’était pas vite bourré. Pourtant, il ne buvait pratiquement jamais, mais cela ne lui faisait pratiquement rien. Bref… Il lui posa ensuite la question sur la confrérie, il remarqua son tique et crains le pire… Ses doigts se serrèrent un peut plus avec ceux de Susan, il la regarda doucement et soupira. Oui, la confrérie n’était pas vraiment bien vue, mais lui en quelque sorte, était plus en dehors que dedans. Oui, il ne supportait pas être attaché, commandé ! Don, il gardait sa liberté comme convenu avec Magnéto. Il dit alors

« Parce que…moi j’en fais partie. Mais, je suis plus dehors que dedans. C’est un accord convenu entre Magnéto et moi, je garde ma liberté et suis maître de mes actes et de moi-même mais je fais partie de la confrérie… »

Il ne voulait pas lui mentir et donc avait opté pour la vérité ! Il caressa doucement la main de Susan, ne sachant pas qu’elle réaction elle allait avoir, il craignait le pire. Il fini ensuite son verre d’eau et finalement commanda un autre Whisky ! Il en avait vraiment besoin… Il sentait bien que quelque chose se passait entre elle et lui, quelque chose de plutôt spéciale et doux… Puis, cela se voyait aussi. On aurait dit un vrai couple ainsi, mains dans la mains, les baisers qui c’étaient perdus. Que pensait Susan de tous cela…il aimerait qu’ils en parlent réellement, savoir se qu’ils allaient faire.

« Susan…je vais te dire se que je pense réellement de se qui se passe entres nous. Je pense qu’il se passe quelque chose de réel, pas de superficiel, pas un truc d’un soir ou je ne sais pas encore. Mais toi, tu penses quoi de tous sa ? »

Il lui avait dit tous cela en la regardant droit dans les yeux, puis, maintenant qu’il lui avait avoué qu’il était à la confrérie il allait savoir se qui allait se passer. Soit ils allaient en rester la et il comprendrait son choix, soit ils continuaient malgré qu’il haïsse les humains. Dolce regardait Susan dans les yeux, comme pendu à ses lèvres, une grande envie de la prendre dans ses bras le prit mais il ne fit rien.

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Susan écouta attentivement Dolce. certes, qu'il soit de la confrérire l'avait étonné au départ, il était si gentil, si doux, si attentionné, elle avait du mal à y croire. C'était pas la question. En entrant à l'Institut, elle avait appris certaines choses à propos des gens qui faisaient partie de la confrérie. Après tout, Dolce ne leurs ressemblait tellement pas, Magnéto, ses sbires. C'était marrant, Susan n'y croyait pas vraiment. Sur le coup, ça l'avait choqué, mais en vérité, ce n'était pas important.

- J'ai intégré l'Institut du Professeur Xavier il y a maintenant 2 ans. Au départ, j'étais loin d'être celle que tu tiens par la main, et celle qui montait sur les podium pour danser. J'étais chétives et craintive, je ne contrôlais rien. En deux ans, il a consacré, lui et ses étudiants à faire des mutants qui désiraient contrôler leurs pouvoirs des gens capables de décider quadn et de quelle manières utiliser leurs pouvoirs. Grâce à ça, j'ai pu devenir moins dangereuse, et j'ai pu m'épanouir, je lui dois ça...

Elle caressa sa main, respira un grand coup, commanda une autre tequila et reprit :

- Je ne dois pas mon bonheur à l'Institut des X-men. Même si je considère que si j'ai pu grandir et devenir matûre c'est grâce à l'éducation qu'on m'a inculqué. Alors je vais te dire, que tu sois de la confrérie ne ma dérange pas, je m'en fiche, je ne suis pas là pour te juger...

La tequila fut déposée devant, elle l'a vida cul-sec et passa une main dans ses cheveux. L'alcool lui montait à la tête et elle avait chaud. Elle surprit le regard envoutant de Dolce la fixer. Elle soutint son regard et l'écouta. Lorsqu'il avoua, elle devint complètement invisible, incapable de gérer, entre l'alcool et la montée d'humeur qui se mélangeaient. Elle apparut, disparut pour réapparaître encore plsu rouge que d'habitude. Elle eut un petit rire, la tequila était montée si vite! Elle lui posa son autre main sur les deux déjà jointes.

- Tu sais très bien que tu me plaîs à mort... Je sais que je te plaîs aussi... Je veux tenter avec toi, parce que j'ai confiance et je sais que ce sera quelque chose de sérieux Dolce...

Elle planta son regard bleu dans celui de son beau brun et déposa un baisé sur ses lèvres. Elle ferma les yeux, et savoura le goût voluptueux des lèvres du bel homme. Sa chaleur la réchauffait....
Un doux contact passait par les deux mains jointes. Dolce et Susan. Ensembles, main dans la main. Le regard dans celui de l'autre.
Elle était si heureuse là d'un coup. Il allait boire lorsqu'elle retint son geste. Elle s'approcha et se posa sur ses genoux.
Elle le serra dans ses bras, fort, de toute la force que le tequila lui avait laissé. Elle posa à nouveau ses lèvres sur les siennes.
Elle lui caressa les cheveux. Posa son front contre le sien.
C'était un moment magique, juste inoubliable...

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Dolce venait donc de lui avouer qu’il était dans la confrérie, il voyait bien qu’elle était surprise comme pas mal de gens à vraie dire… Puis, le jeune homme n’était pas toujours gentil loin de la, il pouvait être un monstre rempli d’arrogance et de charme… C’est sûrement pour cela qu’il était dans cette confrérie ! Le jeune homme attendait que Susan lui réponde, il était pendu à ses lèvres, il angoissait légèrement et ne pouvait le nier… Il l’observait calmement mais avec anxiété, il attendait, encore et encore quand enfin elle parla. Ainsi, elle, elle était dans l’institut. Il l’écouta parler puis elle prit une pause et commanda un autre verre, Dolce grimaça légèrement car elle commençait à perdre la tête avec l’alcool, cela lui rappelait tros son père

« Tu devrais te calmer avec la boisson.. »

Il l’entendit dire qu’elle n’était pas la pour le juger, puis, qu’elle voulait tenter quelque chose avec lui et des paroles qui n’était pas dans les habitudes de la belle Susan. Il l’observa alors, il voyait bien que l’alcool lui montait à la tête mais bon, il ne pouvait pas l’empêcher de boire. Lui, ne toucha pas encore à son verre.

« Heureux que tu pense cela… »

Il senti les lèvres de Susan se poser sur les siennes, il aimait ce contacte si doux, si sucré. Il aimait la savoir près de lui, contre lui tous simplement et même sa simple présence était une chose très agréable… Il voulu alors boire sa boisson quand elle l’empêcha de le faire, il la regarda calmement et elle vient se mettre sur ses genoux. La tequila était bien présente maintenant… Il senti qu’elle le prenait dans ses bras et il fit de même, il répondit simplement à son baiser, profitant du moment présent. Il posa ensuite son front contre le siens et la regarda calmement, caressant les longs cheveux de Susan il dit avec un sourire

« Tu es toute rouge…l’alcool te monte à la tête ? »

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Il faisait chaud. Ses joues étaient rouges et sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration. L'alcool montait vite, mais, rien au monde ne pouvait gâcher ce moment. Elle décida d'arrêter de boire et de se concentrer sur le moment présent. Il était si beau. Il lui conseilla de stopper la boisson et c'ets se qu'elle fit immédiatement.
Il la tenait dans ses bras, elel était à lui, elle le tenait dans les siens, il était à elle. Dolce Ryan et Susan Storm formaient désormais un couple. Et pas n'importe quel couple, un couple complet, sulfureux et sincère. Sincérité, c'était la carte qu'ils avaient joué jusqu'à maintenant. Susan la jouerait tant qu'elle le pourrait, elle s'en obligerait. Elle lui sourit, et lorsqu'il lui devant si l'alcool lui montait à la tête, elle eut un petit rire discret. L'alcool, oui, lui montait un peu à la tête...

- J'ai chaud...

Elle se rapprocha encore plus de lui, c'était comme si tout son corps brûlait, sans qu'on puisse distinguer des flammes... Elle l'embrassa à nouveau, c'était si bon. Il n'y avait rien que lui, rien qu'elle et lui, rien qu'eux. Susan oubliait tout le reste. Cependant, même si l'alcool lui montait à la tête, tout ce qu'elle avait dit était la stricte vérité. Dolce lui plaisait vraiment. Elle continua de la serrer dans ses bras, comme s'il allait partir ou l'a laisser. Elle était bien là, dans se sbras, sur ses genoux, près de lui. Elle se laissa caresser les cheveux, en fermant les yeux, elle adorait qu'on lui touche les cheveux. Elle était brûlante, comme del a fièvre, mais rien n'y faisait, rien ne l'affectait, elle était tellement bien soudain.
Elle se posa sur son épaule et, l'espace d'un instant, crut fermer les yeux sur ce qui était désormais, son petit ami...

Invité

Un couple...voila un mot que Dolce connaissait mais qu'il avait fuie pendant très longtemps. Cela voulait dire pour lui ^^etre attaché, emprisonné en quelque sorte. Mais avec Susan, cela serait-il la meme chose?Il n’en savait rien, il ne voulait même pas y penser… Il voulait y croire, croire en eux, croire en lui aussi même si cela paraissait étrange. Susan était sur lui, contre lui, il voyait bien qu’elle n’avait pas l’air dans son assiette et cela l’inquiétait assez. Le jeune homme entendit celle-ci dire qu’elle avait chaud, il l’observa calmement et posa une main sur son visage, elle était bouillante. Il connaissait bien cela, son père était alcoolique et le battait quand il était plus jeune. Il comprenait qu’elle n’avait pas l’habitude de boire, il l’embrassa une nouvelle fois puis l’observa. Il senti Susan déposer sa tête sur son épaule, il caressa doucement une nouvelle fois ses cheveux, elle avait l’air épuisée, assez faible

« Tu veux que je te raccompagne jusque l’institut ?? Je ne te laisse pas reparti seule dans cet état… »

Il recula légèrement la tête pour la regarder, il caressa légèrement sa joue avec une très grande douceur. Ils étaient un couple bien étrange…mais cela était merveilleux en même temps. Il ne pensait même pas au regard des autres, il n’en avait que faire. Si quelqu’un avait un problème, il l’enverrait valser en quatrième vitesse. Puis, si un jour il devait se battre contre les X-men, il ne se battrait pas contre Susan mais essayerait bien de la protéger le plus possible sans trahir la confrérie.

« Tu es sur que ça va Susan ? »

Oui, il n’aimait pas la voir ainsi c’était normale dans un sens… Il était ensembles maintenant, il était attentif, calme, doux mais bon, elle ne le voyait que dans sa bonne humeur la ! Généralement, il pouvait se montrer plutôt rebel, distant, jaloux et raleur pour un rien

Invité

Il était toujours avec elle, là, dans le bar. Qu'ils étaient beaux ! C'était plutôt étonnant mais Susan se sentait vraiment bien. Même si une furieuse envie de ormir pointa son nez, elle sourie en voyant Dolce s'inquièter pour elle. Bien qu'un peu fatiguée, elle se redressa, posa ses lèvres sur celles du jeune homme, caressa sa joue d'un main douce et murmura.

- Je ne peux pas rentrer comme ça... Je crois que c'est trop tard en plus... D'habitude je dors au Môtel.

Elle chercha les clefs dans sa poche, et ne les trouva pas. Elle chercha dans son autre poche, dans sa veste, mais les clefs n'étaient pas là. Elle se mit à rire, discrètement, en leva les mains en signe de négation.

- J'ai perdu mes clefs.

Elle sourie à cette constatation, l'alcool lui donnait sommeil. Elle avait tellement chaud, et elle se sentait tellement bien. Dolce était si merveilleux. Elle espérait, une fois ses esprits retrouvés, qu'elle pourrait le remercier et lui dire combien elle état heureuse. Si bien, si contente... Elle avait chaud, mais un frisson la parcourut. Elle se reblottit dans les bras de son homme, lorsqu'il redressa sa tête pour planter son regard dans celui de la belle.

Citation :

« Tu es sur que ça va Susan ? »

- J'ai sommeil... Répondit-elle d'une voix douce.

Elle posa sa tête contre le torse de Dolce et ferma les yeux quelques instants. Quelle éprouvante journée ! Elle posa sa main contre sa poitrine, elle était brûlante... Elle avait envie de s'allonger, mais ils étaient encore dan sle bar. Pauvre Dolce, pour leur première soirée, Susan avait but le verre de trop, et gâchait la soirée peut être... Elle se redressa doucement, puis lui sourie. Un nouveau baisé fut donné, et Susan marmona.

- Je suis très heureuse d'être ici, avec toi...
Pardon d'être si fatiguée, dit-elle en retenant un baillement.

Invité

Dolce venait de dire à Susan qu’il allait la raccompagner à l’institut, celle-ci lui dit alors qu’il était tros tard et que en général elle dormait dans un motel… Il la regarda stupéfait, la il en était hors de question, elle ne dormirait pas dans un endroit comme sa et surtout pas dans l’état ou elle était… Il senti ses lèvres se poser sur les siennes, il sourie calmement, gardant cet air mystérieux sur le visage

« Oui ben pas ce soir…tu viendras chez moi, je te laisse pas dans un état pareil dans un motel ! Hors de question… »

Elle chercha alors les clefs de chez elle dans sa poche mais elle ne les trouva pas, elle dit alors qu’elle avait perdu ses clefs et il leva les yeux au ciel… Mon dieu…elle était vraiment loin ! Il la regarda avec amusement et l’embrassa une nouvelle fois, il garda son petit sourire amusé et mystérieux, il caressa doucement la joue de celle-ci. Il était vraiment bien avec elle, enfin, pour le moment en tous cas

« Tu n’en rate pas une toi… »

Il lui demanda si elle allait bien et elle lui répondit qu’elle avait sommeil… Pas étonnant… Le jeune homme la serra doucement dans ses bras. Elle dit qu’elle était heureuse d’être avec lui et elle lui demanda pardon pour être si fatigué

« Hey, sa se comprend ta pas à t’excuser… Viens, vais te ramener chez moi et tu vas pouvoir dormir ! »

Il l’aida à se mettre debout tous calmement, il la tiens fermement mais avec une immense douceur… Il lui déposa un doux baiser sur le coin des lèvres et lui sourie tendrement, il l’emmena doucement avec lui, la gardant contre lui pour être sur qu’elle ne se fasse pas mal.

-> Vers la villa de Dolce Ryan.

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