Fouille dans les poubelles (libre)

Maiwenn avait froid. Bon, d'accord elle avait six couches de vêtements sur elle, mais elle avait froid. Elle sortait tout juste d'un supermarché où bossait l'une de ses vieilles connaissances et s'était vu avoir un sac entier de gateaux. Du genre fin de stock et tout jsute comestible. Elle soupira, elle avait loupé le dernier bus et se voyait mal faire le chemin vers la confrérie à pied avec son sac sur le dos. Mais bon, elle devait bien s'y résigner.

Soudian elle aperçut au coin de la rue déserte ce qui ressemblait plus où moins à un clochard. Trouvant un moyen de fair eune bonne action et de se débarrasser de sa cahrge inutile, elle s'avança d'un pas assuré vers lui. Elle fit glisser de son épaule le sac et en sortie deux paquet. Puis elle les tendit à la silhouette encore peu visible.

- Si t'en veux.

Puis elle put détaillé des yeux l'être. Un frisson de stupeur la parcouru. Vert. Couvert de fourrure. Maiwenn sentit son sang cogner contre les veines, lui criant de partir en courant.

Maios non. C'était un mutant. Quelqu'un comme elle. Avec moins de chance qu'elle. Elle se pencha et psoa le sac sur le sol. Accroupie elle demanda timidement :

- Ca fait combien de temps que tu es comme ça ?

(hrp : je ne suis pas couvert de fourrure ^^)

Le diablotin était entrain de manger tranquillement quelques fruits, a peine comestible mais cela ne changeait rien pour lui, il pouvait les manger, même légèrement pourrie, son organisme pouvait le supporter. Il ne pouvait manger que cela pour le moment, il n'avait pas l'argent et surtout pas le physique pour pouvoir allez en acheter ^^. Mais sa il en avait l'habitude.

Alors qu'il était encore entrain de manger, une jeune femme apparut, lui proposant des gâteaux ou d'autre sorte de chose. Mais il savait qu'il ne pouvait en manger, il pourrait en mourir, il ne pouvait manger que des fruits et légumes et ne boire que du lait. Elle lui demanda ensuite depuis combien de temps il était comme cela.

Depuis toujours, d'aussi loin que remonte ma mémoire. Tu n'est pas obligé de me parler je sais que je te répugne.

Spoiler:

Il dénigra la nourriture et retourna aux restes des poubelles. Maiwenn ne comprennait pas. Puis l'être vert prit la parole :

Depuis toujours, d'aussi loin que remonte ma mémoire. Tu n'est pas obligé de me parler je sais que je te répugne.

Elle répondit du tac au tac :

- La seule chose qui me répugne sur cette planéte c'est le sang et le jaune. Tu n'est ni couvert de sang ni de jaune à se que je sache.

L'être avait l'air jeune, et affaé. Sans doute les humains l'avait persécuté durant sa vie. Compatissante, elle continau de le regarder. Il avait l'air dans unassez piteux état. Elle continau :

- Tu as besoin de mangé un truc spécifique ? T'as l'air d'avoir besoin de manger. Moi tant que tu ne me demandes pas un coeur de boeuf je pais la note.

Ce rendant compte de ce que pouvais penser le jeune type, elle se présenta :

- Je m'appelle Maiwenn Short. J'ai dix sept ans et je suis mutante depuis environs trois ans.

L'être à la peau verte allait peut être la regarder bizarrement après cette présentation epu commune mais c'était tout ce qu'elle avait en stock.

Avec sa main gauche, la jeune fille chercha son protefeuille dans la poche de son manteau. Il restait pas mal de souvenirs de son braquage avec le FLéau. Elle allait pouvoir réparer l'erreur des humains si l'être acceptait son offre de manger autre chose que des poubelles.

(hrp ; pas grave)

Beast boy regarda la jeune femme c'était la première fois que quelqu'un lui donnait un peu d'aide, mais il compris assez rapidement, elle était mutante elle pouvait comprendre, et encore... Certain mutant s'amusaient a tester leurs pouvoirs sur lui parfois, alors entre les humains et les mutants il ne préférait aucun des deux clans. Elle était vraiment gentille avec lui, lui proposant de payer a manger. Il la regarda et dit :

En gros je ne peut manger que des fruit est légumes non cuit et du lait complétement écrémer. Je m'appelle Matthias mais on m'appelle Beast Boy ou Diablotin. J'ai 15 ans, et sa fait 15 ans que je suis mutant. Merci tu est .... gentille avec moi. Pourquoi ?

Voila la bonne question, pourquoi ? Pourquoi elle était gentille avec lui ? Surment de la pitié.

Il ne parut pas rassurée qu'elle soit mutante comme lui. Elle fut surprise. A ses yeux, tous les mutants devaient s'aider. Si un mutant avait eut l'inhumanité de faire du mal à ce... Diablotin ? Enfin à cet autre mutant, la situation des mutants étaient plsu précaire qu'elle ne le pensait.

En gros je ne peut manger que des fruit est légumes non cuit et du lait complétement écrémer. Je m'appelle Matthias mais on m'appelle Beast Boy ou Diablotin. J'ai 15 ans, et sa fait 15 ans que je suis mutant. Merci tu est .... gentille avec moi. Pourquoi ?

Il était mutant depuis sa naissance ? Ce n'était pas courant. Sa question donna matière à réfléchir à Maiwenn. Par instinct sans doute, elle n'aurait pas pu se supporter mentalement après avoir laissé l'un des siens derrière, affamé et malheureux.

- Pourquoi je suis gentille ? Parce que ce n'est pas normal. Tu est vert. Et alors ? Un type dit normal peut bien avooir les oreilles décollées qu'ont ne le mettra pas à la rue. Les gens sont... Stupide d'agir ainsi. J'en ai souffert et je me bats pour que d'autres ne souffre pas. Même si j'ai du mal à être efficace.

Maiwenn réfléchit alors à la réflexion de Matthias. Légumes et fruit cru ? Lait ? Il lui fallait une grande surface. Un super marché. revenir sur ses pas et retrouver son amis pour lui acheter ce que Beast Boy avait besoin ? Non, elle ressortirait avec cent fois plus de produit avec date de peremtion dépassée. Elle se revit mentalement le plan de New York. Est ce que le "Lake's" était ouvert ? A voir. Elle proposa aussi tôt :

- Je crois que je peux te trovuer de quoi manger. Tu veux bouger où tu préfére m'attendre ?

La jeune fille était prête à courir jusqu'au Lake's. Peut être même au "Spinnach Drivers" alors que c'était beaucoup plus loin et beaucoup plus cher.

L'injustice. Encore en face d'elle. Dieu qu'est ce qu'elle haïssait les hommes et leur peur.

Décidément la vie réservait bien des surprises, une jeune femme, lui proposait de le nourrir mais se n'était pas le plus important, elle était gentille avec lui, et elle n'avait pas peur. C'était sa le mieux, il pouvait être comme il était avec elle. C'était sa la belle vie, c'était son rêve : que les humains et les mutants vive en harmonie, mais a cet instant, ils étaient entre mutant. Pas d'humain en vue. Il sourit et répondit :

Je ne vait pas te laisser y aller seule, je veut t'accompagner.

Il rabattis sa capuche sur sa tête, mit des lunettes noires. Résultat dans la lumière on pourrait voir qu'il est vert, mais dans le noirs, ou en pleine nuit il était plus dur de le voir. Il avait encore les pieds nus, mais se n'était pas grave, le plus gros était caché, ces cornes, ces yeux, sa queue. Il se mit sur ces deux pieds, et faillit tomber a la renverse, il se rattrapa en s'appuyant contre le mur, et soupira. Il avait vraiment du mal a se tenir sur ces deux pattes. Il avança vers elle toujours en se tenant au mur avec son bras droit.

Allons y.

Matthias fut enthousiasmer par ses paroles. Un sourire s'étira sur les lèvres de la jeune fille. Apporter du bonheur à plein temps. Il y avait de quoi être heureuse pour lui, non ?

Il accepta de la suivre et commença à se relever. L'idée qu'il ait du mal à marcher n'avait pas effleurée la jeune fille. Mais le voir la ramena sur terre, les mutations pouvaient changer les hommes, un fauve n'était pas fait pour marcher sur deux pattes. Contrite de l'handicap de son nouvel ami, elle cherchait mentalement une aide qu'elle pourrait lui apporter de ce côté là. Réponse ? Aucune.

Il se dirigérent vers la rue du "Lake's". Ce supermarché n'était pas du luxe en viand eet poisson, mais ses fruits pouvaient convenir. Pendant le trajet elle netama une conversation :

- Les mutants ne t'on jamais aidé ? Je ne trouve pas ça normal. Tu n'as pas eu de chance. Enfin, tu as une préférence pour les fruit et légumes ?

Ils entrèrent dans le "Lake's". Maiwenn prit d'abord deux litres de lait complétement écrémé, et accompagna Beast Boy vers le rayon furits et légumes pour qu'il puissent faire son choix.

Trop concentrée, Maiwenn avait "débranché" son ouïe. Erreur stupide mais passé 20h réfléchir en entendant à cent mètre à la ronde ca devient compliqué.

Ce fut donc avec une ouïe tout à fait normale qu'elle entendit la voix galvanisée par l'adréanline d'un homme :

Vous les mutos, ont sait se que vous êtes. On va vous exploser.

Avant qu'elle n'ai pu ouvrir la bouche, Matthias était sur eux. Il envoya valdinguer un homme. Elle en resta bouche bée. Pourquoi être agressif dés le début ? Certes il ingorait qu'elle pouvait régler la situation de loin mais... C'est à ce moment précis qu'elle aperçut un canif.

Une rage noire plaça un voile rouge sur ses yeux. Elle ne voyait plus une solution pacifique. Un des deux hommes restants étaient trop près d'elle pour qu'elle puissent se servir de son don avant d'être touchée. C'était le dernier à avoir une arme.

Elle fléchit les genoux et lança à pleine vitesse son coude dans l'estomac de l'homme. Se redressa et remonta violement son genoux dans le visage ce son ennemi qui s'était courbé sous le coup précédent.

Il en restait un.

- Casse toi.

Un ordre simple. En temps normal il lui aurait foncé dessus. Mais il y avait tellement de colére dans la voix fragile de la Syrène, que cet ordre aurait arrêté un buffle en pleine charge. L'atmosphére crépitait littéralement.

L'homme que Matthias avait battut s'aida des étalages pour se relever et partir. Bonjour la solidarité. Le type restant gémit. Elle lui avait peut être bien cassé le nez au passage.

Il passa un instinct où les épaule de Maiwenn se relevèrent lentement et en cadence avec sa repsiration. Elle créait une barrière intérieue pour ne pas continuer le massacre. Elle devait s'arrêter.

Maiwenn allait se pencher pour s'enquire de l'état de l'homme, histoire de ne pas avoir l'air trop mutante aux yeux des témoins lorsque le boucher du Lake's lui fonça dessus.

Deuxième erreur de la jeune confrériste : ellle était un dangerde mort car le grand type avait un hachoir à la main, et elle ne s'en était pas rendue compte. Elle n'alalit pas réussir à esquiver.

Un ruggissement retentit alors aux oreilles de la jeune fille. Connu. Elle eut le temps de se retourner et de voir tomber un morceau du hachoir tomber, le boucher se prendre un coup de point par Dent de Sabre.

Stop. Dent de Sabre ? Etrange coïncidence. Enfin elle n'alait pas se pleindre elle avait risqué sa vie et faillit la perdre. Vive le hasard.

Maiwenn débloqua enfin son ouïe et entendit lairement le chargeur d'une arme en même temps que l'ordre de sone benfaiteur (pour changer :

"Maiwenn, emmène le petit vert à un endroit sûr ! Je vous couvre"

Bah tiens tiens. Elle partie vivement vers Matthias pour le faire sortir de la lorsqu'un détail lui revint. Chargeur. Arme. Pas bon du tout.

Matthias plus rapide avait déjà lancé une conserve sur l'homme au fusil. Une vieille appelait les flics. Dent de Sabre n'avait pas vraiment besoin de se prendre cinq minutes de massacre en plus à désintégrer quelques policiers. Elle utilisa sa voix pour faire sauter le portable et et pour dire à Matthias :

- Suis moi on se casse d'ici.

Elle avait toujours le lait dans la main. C'etait déjà ça de gagné. Bien entendu personne pour les empêcher de sortir. Quel frousssards parfois ces hommes !

Une fois dehors, Maiwenn prit vivement les commandes :

-D'ici cinq minute tout le quartier sera rempli de forces de l'ordre. T'inquiètes surotut pas pour Dent de Sabre, il aurait pu se prendre la ballle que je n'aurrais pas été surprise de le voir se relever. Tu peux courir ?

Elle ignorait si il accepterait. Certes sa vie était en jeu mais, est ce qu'il courait plus vite en nemarchant pas sur deux jambes ?

Maiwenn calmait tranquillemnt et avec méthode ses doutes et apréhension. "Dehors la peur et revient dans une ou deux heures !" Elle jeta un coup d'oail cirvulaire à la rue. Ses oreilles bien entendu faisait mieux.

Cinq personnes réveillée. Une armée. Elle allait évité cette rue. La Syrène eut jsute le temps de se décidé pour l'endroit sur. La Confrérie.

De un Dent de Sabre n'aurait pas pu en citer d'autres en es^èrant qu'elle comprenne. De deux, l'avantage de la Confrérie était que c'était surprotégé donc sur. de trois ? De troi MAtthias aurait un auttre choix de vie que de pourrir dans les égouts.

Il eut alors une réaction aussi prévisible que stupide. Il s'appréta à retourner dans les égoûts. Avec une sensation d'urgence circulant en elle, Maiwenn ne put s'empècher de répondre :

- Dis donc Matthias ! Combien de temps avant que les types dans le supermarché organise une de leur foutues expéditions punitive ? Combien de temps avant qu'un petit malin dise que t'es surement dans les égoîts ? Parce qu'ils ont beau être stupide et savent que c'est comme ça que tu vas réagir. Je sais pas pour toi, mais moi j'ai compris que pour pas se faire cjoper avec eux il faut les surprendre. Et là, oh qu'elle surprise les égouts. Réflechis un peu je t'en pris !

C'était logique. Ses arguments étainet irréfutables.Soudian les voix qu'elle seule pouvait entendre à cette distnace l'informèrent que Dent de Sabre se... Retenait ? Il avait déjà balancé un type à six mètre comme ça le jour où elle avait pris connaissance de la Confrérie et là il attendait.

Ca aussi c'était logique. Elle devait se grouiller parce qu'il allait vraiment s'enerver d'ici peu. Il attendait qu'ellle et Beast Boy se fasse la malle. Ce n'était pas près d'arriver avec la grande stratégie de ce petit monsieur vert.

Consciente soudian qu'une balle perdue pouvait traverser la vitrine et elle avec, elle grogna et dit :

- Le temps de réflexion est écoulé. Tu sais ce que tu risque. Si je reste à attendre je vais à 50 pour cent me prendre une balle. Je préférerais éviter. Où tu me suis, où tu vas passer ta nuit à fuir. C'est au choix.

Sur ce elle se retourna, sonda les sons de chacune des rues puis se décida sur le chemin à prendre. Elle commença à courrir. Elle n'était franchement pas endurante mais assez pour s'éloigner. Ses yeux ne pouvait s'empècher de surveiller les plauqes d'égouts, s'attendant à voir surgir Matthias.

Matthias avait écouter se qu'avait dit la jeune fille. Elle avait de bon arguments, mais elle ignorait que les égouts de New York, était aussi grand que la ville pour ne pas dire plus. Mais il n'y avait pas que cela, un grande partit des égouts était ignorer des humain ceci du a deux meurtres horrible qui y avait eu lieu. Donc elle pouvait courir, lui il irait de son coter.

Il descendit donc dans les égouts et couru vers on repaire, personne ne le trouverait il en était certain. Il cavala donc vers sa cachette, le plus rapidement possible.

(hrp : désoler pour se dernier post assez court)