Opération à coffre ouvert [PV Bishop]

Line était enfin dans le bureau qu'elle convoitait tant. En fait, c'était la deuxième fois qu'elle y entrait, mais ce serait la dernière puisqu'elle avait obtenu la combinaison du coffre.

Elle avait fait le cambriolage en plusieurs étapes. Entrer une prelière fois pour obtenir le code des alarmes qu'elle récupéra en mettant une mini caméra espionne a côté du panneau de controle des alarmes à l'entrée, puis une fois qu'elle l'eut obtenue, elle refit pareil pour le digicode de la salle de réunion, où elle subtilisa le passe pour prendre l'ascenceur. Cette piéce n'avait pas de fenêtre, sinon elle serait entré par la. Elle n'avait pas eu d'autre choix que de passer par le coeur du batiment. Elle avait recommencé le coup de la caméra pour obtenir la combinaison du coffre. Avec un vieux coffre avec les verroux circulaires, elle l'aurait ouvert à l'oreille, mais avec ces nouveaux coffres, le métier perdait son côté artisanal et rustique qui faisait son charme.

Elle était donc dans ce bureau aveugle, dans un coeur de béton armé et d'acier, les parois truffées de détecteurs pour ne pas qu'on les perce, mais le bureau en lui même était sans détecteurs, les gros bonnets ne voulaient pas que quiconque sache quand les gens rentraient ici, où qu'il y est la moindre image de se qu'ils cachaient.

De sa main gantée de noir, elle effleura le bureau et y posa le dispositif habituel, un petit cylindre de 15 centimètres pendant que l'autre balayait la pièce avec une lampe torche. Elle s'agenouilla devant le coffre, et le dévérouilla. La lumière se refléta sur les quelques lingots entreposés dedans, mais elle n'y toucha pas, beaucoup trop lourds pour leur valeur. Elle mit dans son petit sac, trois dossier et deux envellopes qui contenaient des documents confidentielles sur la société, et empocha les bourses pleines de diamants, qui étaient en fait, la comptabilité secrète de la société, du détournement d'argent, réinvestit dans ces pierres. Cinq, peut être dis millions de dollars en pierres, deux de plus en revendant ses dossiers. Elle serait à l'abri pour un moment même si les miséreux en profiteraient. Elle posa une rose noire dans le coffre, là où se trouvaient les objets qu'elle avait subtilisé.
La porte d'entrée s'ouvrit derrière elle et la lumière s'alluma.

XAVIER SECURITY ENFORCEER, FREEEZE!!!! Mettez les mains sur la tête, vous n'avez aucune chance!!! Où est votre complice?!?!

Un noir bien costaud avec un flingue collosal venait de surgir dans la pièce. Elle le regarda et mit les mains sur la tête.

Je travaille seule, je n'aime pas les demis mesures. Je me rends si c'est vous qui me mettez les menottes, j'adore les hommes baraques en uniformes avec de gros calibres !

Elle aurait pouffé de rire pour un peu, c'était digne d'une super méchante arrêté par un héros de dessins animés pour ados, du genre poison ivy contre superman ! Ridicule, elle ne pensait pas un mot de se qu'elle disait, mais c'était amusant ! Finalement, elle était une super criminelle, et lui un agent de police. Rien d'insurmontable. Elle se retourna, ferma le coffre du pied, les mains toujours sur la nuque.

Ca m'étonnerai que les proprios portent plainte vu se que je leur vole, il préférerait le perdre plutot que de le voir dans les mains de la police. Alors ça va être dur de m'arrêter.

Elle appuya sur un petit bouton d'une télécommande au poignet. Le cylindre sur le bureau explosa, illuminant la piece dans un flash d'une grande puissance. De dos à la bombe et les yeux fermés, elle ressentit la lumière à travers ses paupières closes. Que dire du brave homme. D'un geste souple, elle attrapa son sac et sauta pour frapper d'un coup de pied le garde, pas trop fort pour ne pas le blesser, et sans attendre pour vérifier son état, elle se rua à bonne vitesse humaine hors du bureau et courut le long du couloir pour trouver l'escalier. Elle voulut prendre l'escalier pour descendre, mais des éclats de lampes torches se baladaient sur les murs, des agents montaient, soit des renforts du type, soit il avait déclenché des alarmes qu'elle avait évitait. Elle monta pour se retrouver sur le toit, un grand espace nu ouvert à tout les vents. Elle s'approcha du bord, grimpant sur le muret. deux cent cinquante mètres plus bas, le trottoire, à trente mètres en face, un autre toit.

Elle se retourna, un homme venant de sortir de l'escalier.

Lucas était rongé par la mort de ses deux amis. Il n'était plus chez lui, il n'avait plus de juridiction. Le badge fonctionnait, mais qui sait pendant encore combien de temps. Il avait intérêt à prendre son trou dans ce monde au plus vite. Il fusilla du regard l'excitante voleuse, il n'était vraiment pas d'humeur pour son sarcasme. Pour commencer, il entendu cent fois les criminels nier l'existence de complices poru les couvrir, elle ne parlera pas... il n'y avait plus de protocoles.

Un homme blessé, des armes, une armure, un uniforme et un badge. C'est ce qui restait de lui. Il répondit sèchement:

- C'est ça, on ne la fait pas à moi, dis-le moi où est ce fils de pute de Fitzroy tout de suite si tu veux revoir la lumière avant de mordre la poussière!

Il s'approcha d'elle, fusil braqué afin de lui passer les menottes. Mais il ne répondit pas à sa seconde affirmation. Pour la simple raison qu'il ne comprenait pas.

Bishop venait d'un monde détruit par les machines où il faisait partie de la première génération de gardiens de la paix, il n'a pas vraiment connu la vraie société comme celle à l'aube du troisième millénaire. Il n'avait pas vraiment connu de crime organisé et la corruption au niveau de ceux qui se disaient pour la Révolution Summer...

FLASH!!!!!

Une puissante explosion de lumìère innonda la pièce... Par réflexe, Bishop fit feu mais le flash le déstabilisa et le tir fut dévié sur l'immense table. L'impact fut plus bruyant que le tir.

ZAAAP!!!!

On aurait cru entendre un immense sceau d'acide sulfurique y être versé et le résultat était sensiblement parreil, la nuance était que le cratère était sec, fumant et brûlant, voire rouge vif tout autour.

Bishop, fut dans un premier temps, aveuglé et recula, porta sa main droite vers son oeil, braquant son arme maladroitement à gauche et à droite... puis se concentra et absorba l'énergie lumineuse de la pièce et ce qui restait de l'explosion...

De sorte que lorsque Line sauta et fut au milieu de son saut, la pièce fut replongée illico dans le noir, mais réussi à kicker Bishop dans le ventre, le projetant sur la porte, et il glissa sur le plancher pour finir au pied de l'ascensseur.

Grâce au surplus d'énergie, sa vision lui revint et ne fut pas trop étourdit. Elle n'avait pas frappé assez fort; il se releva assez vite, fit des mouvements de têtes pour échauffer ses os, mais lorsqu'il fut prêt à reprendre, la fugitive était déjà partie, il l'entre-apperçu se diriger vers l'étage supérieur. Les agents de sécurité commençèrent à arriver.

Bishop se dirigea vers l'escalier. Il montra sa badge en criant POLICE et ils le laissaient passer. Il escalada les marches quatre par quatre, emprunta l'escalier d'urgence, sauta l'échelle et défonça la porte au-dessus.

Il était sur le toit, braquant son fusil vers Line. Puis plus il y pensait... il se souvint que son fugitif ne pouvait voyager à-travers l'espace, mais bien à-travers le temps... et pourquoi donc braquerait-t-il une banque et laisserait des traces de la sorte?... Bishop perdait ses repères, cette mission était devenue tout ce qui lui restait.

- PLUS UN GESTE!!! Dis-moi tout ce que tu sais et je te laisserai partir!!!!

Bishop était couvert de blessures, son uniforme et son armure étaient lacérés. Il récupérait un peu plus vite que la normale, mais il semblait avoir connu de meilleurs moments. Il voulait néanmoins en savoir plus. Il avançait vers elle, arme braquée.

Les agents ne tardèrent pas à le rattrapper, on pouvait déjà les entendre escalader les marches...

Le policier émergea de l’escalier et pointa son engin de mort sur elle. Elle avait entraperçu les dégâts que ça faisait, et préférerai
éviter de l’expérimenter. Ce n’était pas une arme conventionnelle loin de la.

- PLUS UN GESTE!!! Dis-moi tout ce que tu sais et je te laisserai partir!!!!

Elle pouffa, autant pour la phrase débile que pour l’allure du policier. Il avait l’air défoncé, et sacrément amoché, loin du stéréotype du flic clinquant en uniforme.

Aucun de nous deux n’y croit vraiment ! On sait tout les deux que tu ne me laisserai pas partir, trop intransigeant. Tu veux savoir quoi ? Que la direction détourne les cotisations retraite des employés pour le placer aux iles Galápagos, que le directeur commercial trompe sa femme avec sa secrétaire, que les gars de la sécurité ont une caméra dans le vestiaires des filles peut être. Je bosse seule. Faut pas trop m’en demander.

Il avait l’air défoncer, vraiment camé.

Tu te fournis chez qui en drogue ? Parce que ça à l’air d’être de la bonne !

Elle se tenait au bord du gouffre, prête à sauter pour faire le grand plongeon et échapper aux policiers si ils voulaient la capturer ou lui tirer dessus.

Tu voudrais quand même pas que je meure non ? Alors baisse un peu ta pétoire avant que tu ne fasses quelque chose de regrettable. Tu veux parler, alors parlons ! Je veux bien te faire la conversation, mais pas trop longtemps, j’ai un emploi du temps très chargé !

Elle ne doutait pas de s’échapper, elle pouvait se permettre cette folie, l’ombre de la rose noire devait entretenir sa légende.

Nan, ce n'était pas une des Lifer de Fitzroy, mais bien une criminelle de cette époque. Il doutait également fort que le fugitif aurait remonté le passé pour l'engager afin de faire fortune. Non, il avait affaire à une délinquante indépendante. Mais il n'avait jamais vu une criminelle se justifier de cette manière.

Elle portait des accusations qu'il comprenait à peine; cette fille avait un an de plus qu'elle. Pour une civile, c'était trop jeune pour être enfermée à cause d'un simple vol, un trip d'ado.

- Toi, tu n'as pas l'air d'une Lifer à Trevor...

Doucement, il leva son fusil, le tenant vers le ciel, à une main, l'autre ouverte, paume vers elle, comme pour indiquer qu'il se rendait, puis rangea son fusil dans son étui dans son, dos et exposa ses mains.

- Fais pas ça, petite. Il te reste encore tellement de belles années à vivre.

Dans le monde d'où venait Bishop, la vie était dure et avait vu des petits gamins violer des petites vieilles en les lacérant à la machette. Quelques dollars pris ainsi, ce n'était pas la fin du monde.

Mais voilà qu'elle semblait l'accuser de prendre de la drogue...

- De quoi parles-tu? Je n'ai rien pris, c'est toi qui en prends pour t'imagnier de telles absurdités... Allez, je t'en pris, ton petit ami doit se faire du sang d'encre pour toi...

Line pouvait voir que ses blessures semblaient rappetisser à vue d'oeil comme si elles se guérissaient d'elles même. Pas comme un facteur réénergisaant, mais pas comme un simple humain non plus...

- Y a personne qui va te mettre sur le bûcher pour quelques railleries en toc. Tiens, je m'appelle Lucas Bishop, agent du Xavier Security Enforceer. Et toi, comment t'appelles-tu?

Il avait les deux mains en l'air. Son air s'adoucit, presque protecteur et paternel, puis baissa la main droite pour la tendre vers Line. Il était à environ dix mètres d'elle.

- Tout ce que tu voudras, mais par pitié, je t'en prie, ne saute surtout pas... J'ai juste quelques questions à te poser.

La vue était superbe, vue du toit. Il observa New York d'un oeil et trouvait ça extraordinaire.

- C'est magnifique, ici... où est-ce qu'on est?... Quelle année, on est?... Regarde.

D'un revers de coup de pied, il referma la porte derrière lui. Les agents s'y cognèrent et tentèrent de l'ouvrir, faisant un boucan épouvantable.

- Ouvrez cette porte!!!

Toi, tu n'as pas l'air d'une Lifer à Trevor...

Si vous le dites, je vous crois sur parole !

Il rangea son artillerie dans son dos et exposa ses mains vides, comme pour montrer son pacifisme.
Fais pas ça, petite. Il te reste encore tellement de belles années à vivre. Allez, je t'en pris, ton petit ami doit se faire du sang d'encre pour toi...


Je suis seule, aussi libre que l'air, et je compte bien le rester pour un bout de temps encore.

Y a personne qui va te mettre sur le bûcher pour quelques railleries en toc. Tiens, je m'appelle Lucas Bishop, agent du Xavier Security Enforceer. Et toi, comment t'appelles-tu?

Pour toi, se sera L'Ombre de la Rose Noire, mais je t'autorise à m'appeler Rose, ça fait un peu trop sollenel. Ca tombe bien, je veux rester libre. Tout sauf la prison.
Elle allait jouer à fond la carte du suicide voir où ça mener.
Vu comment il se régénérait, il était un mutant, et n'avait peut être pas besoin de son flingue pour être dangeureux.

Tout ce que tu voudras, mais par pitié, je t'en prie, ne saute surtout pas... J'ai juste quelques questions à te poser.

Il était à 10 mètres et lui tendait la main.

Recule donc un peu pour commencer, les grands gaillards comme toi m'ont toujours impressioner, de loin vous avez l'air plus petit.

C'est magnifique, ici... où est-ce qu'on est?... Quelle année, on est?... Regarde. Et il ferma la porte d'accés, bloquant les autres flics dans les escaliers.

C'est quoi ça ? Une méthode de manipulation psychologique pour empecher les suicides et pouvoir arrêter les criminelles ? T'es bizarre toi non ?! On est sur le toit d'un building dans la dix-huitième sur Manhathan à New York, Etats Unis, planète Terre, et on est en 2009 après la crucifiction du Christ, et en la trente et unième année de grace après la mort du King. Ca va mieux ?

Il se présenta comme un certain Luc, ou Bishop. Un deuxième nom signifiait bien un statut de mutant.

C'est bon, c'est bon, j'arrête, tu vois? Je respecte ton espace, il n'y a aucun problème... mouais, jusqu'à ce soir...

C'est quoi ça ? Une méthode de manipulation psychologique pour empecher les suicides et pouvoir arrêter les criminelles ? T'es bizarre toi non ?! On est sur le toit d'un building dans la dix-huitième sur Manhathan à New York, Etats Unis, planète Terre, et on est en 2009 après la crucifiction du Christ, et en la trente et unième année de grace après la mort du King. Ca va mieux ?

A cette annonce, il s'effondra psychologiquement et littéralement. Il lui montra des badges de police.

En devoir... ils sont allés rejoindre ma soeur, je suis aussi seul que toi, à présent. Je suis chez moi, bien sûr... mais je... c'est compliqué... putain, 2009...Je n'ai définitivement plus... ou pas encore... aucune autorité policière ici... je veux dire aujourd'hui. Écoute, je ne crois pas que tu sois vraiment une criminelle dangereuse, voler des babioles bonnes qu'à briller, je ne vois pas pourquoi on fait autant d'histoire. Tiens, si on allait parler ailleurs, le sommet d'un toit n'est peut-être pas l'idéal pour moi?

Elle ne répondit rien car ne comprit rien. Il avait perdu sa soeur et se collègues ? Triste, mais qu'est ce que ça venait faire dabs la conversation. Et puis il tenait des propos incohérent.
Il lui tendit son badge.

Tu le veux? Je n'en ai plus besoin... trop de souvenirs douloureux.

Définitivement allumé ce gars.

Non merci, j'en ai pas l'utilité. T'es bizarre, t'es sur que tu fumes rien ? Parce que je comprend rien de se que tu racontes. La seule idée qui me vienne à l'esprit, c'est que tu essayes de me manipuler pour m'arrêter, et ça c'est hors de question !

Elle se prépara à plonger pour s'enfuir.


[HRP : je t'autorise à m'attraper pour m'enpêcher de sauter, mais si tu le fais, je devrais te boxer pour m'enfuir, la t'auras pas le choix. Alors à toi de voir]

Line bascula pour tomber, la plante de ses pieds toujours sur le rebord, son corps décrivant un arc de cercle. Le policier réagit, mais de façon bizarre, il se mit à briller, et tira un éclair lumineux sur le rebord. En un instant, il fut sur le générateur électrogène de l’immeuble qu’il défonça d’un coup de poing, puis, il sembla voler vers elle. Prise de cours, elle réagit spontanément en changeant ses plans. Elle avait prévu de se laisser tomber, et de se réceptionner sur le trottoir sans dommage, mais avec cet policier du dimanche qui voulait la sauver, ça ne marcherait pas. Aussi, quand son corps fut à l’horizontal, elle poussa sur ses pieds, et se propulsa pour s’éloigner de la tour, et avec pour but d’atterrir sur le toit en face. Il fonçait vers elle, elle s’éloignait du toit. En plein vol, elle fit la bascule, pour que se soit ses pieds qui atterrisse en premier sur le toit d’en face. A mi-course, elle aperçu une chose incroyable. Elle fut témoin d’un phénomène inexplicable, une moto volante fonçait sur elle ! J.K Rowling remontait dans son estime ! La moto volante ne pouvait pas être une coïncidence, elle devait appartenir à l’homme volant à son «secours». Ce mec était définitivement, plein de ressources ! La moto était juste devant elle, comme si elle voulait l’attraper. Ses jambes heurtèrent la moto, et elle imprima un nouveau saut, mais cette fois ci dans l’autre sens, pour retourner vers l’immeuble qu’elle avait cambriolé. Le choc de la rencontre, plus l’énergie du saut repoussa la moto vers le toit numéro deux, alors qu’elle refilait vers le toit numéro un. Les deux protagonistes de cette affaire se croisèrent en sens inverse à toute vitesse. Elle atterrit sur le toit qu’elle venait de quitter. Elle n’avait pas le temps de regarder son boy-scout, elle devait filer. Elle se mit à courir et à sauter de toit en toit, entendant le bruit de la moto volante dans la nuit. Elle s’arrêta sur un toit, à la limite avec Central Park. Le vaste parc lui permettrait de fuir si le cow-boy était encore à ses trousses.

Sur le toit face au park, tel à la lisière de la jungle, une sombre panthère observait les insectes s'agiter les insectes dans la fourmillière 200 mètres plus bas. La nuit était déchiré par les gyrophares de la police qui allaient et venaient partout sans la moindre organisation. Ses cheveux flottant aux vents, elle cherchait un moyen de sortir de cette nasse. Le fleuve était pour elle une infranchissable barrière, à moins de trouver une pallette de bois pour flotter. Le mieux était de plonger dans central park, et d'attendre le jour pour sortir, il n'allait quand même pas boucler central park non ? Et puis on y retrouvait pas les enfants perdus, alors une criminelle déterminé à ne pas être trouvée, et qui pourrait se changer et dissimuler les objets de sa rapine, elle s'en sortirait sans trop de difficultés ! Elle sauta le plus loin possible, pour atteindre le coeur de central park. Dans les airs, en plein vol, alors que le vent lui fouettait le visage, la forêt de Manhattan lui rappelait sa jeunesse à la campagne, où elle randonnait et bivouacquer pendant des jours. Echapper à des policiers si ils la cherchaient la pourrait être amusant. Elle voulait s'en sortir libre, mais si ils voulaient jouer contre elle, à leurs risques et périls, le rôle du chasseur et de la proie pouvait très facilement s'inverser.



A suivre dans central park