Bar paumé, rencontre et embrouille assuré [Pv Favole]

Invité

La nuit était tombée sur New York City, et c’est à une heure avancée que la belle Leïa Suzane Troy avait décidé de sortir de l’institut Charles Xavier, sans avoir demandé l’avis a qui que ce soit. De nature impétueuse, elle était tout de même actuellement majeur (et vacciné) et il était hors de question pour elle de rester enfermer de nouveau dans ces lieux. Même si ceux si étaient particulièrement accueillants, elle avait besoin d’air et de respirer… Dans les rues de New York par exemple.
C’était pourquoi elle avançait calmement dans les ruelles sombres et mal fréquentés pour rejoindre un bar dont on lui avait parlé un soir, qui n’était pas particulièrement bien fréquentés non plus, mais ou on y servait des cocktails terribles. Dans un bar paumé ? Bah, oui, pourquoi pas. Elle voulait juste voir. Parce qu’au fond, un bar perdu ou on y buvait bien, ça ne devait pas exister, n’est-ce pas ? Et bah, c’est ce qu’on verra.
Il ne lui fallut pas longtemps pour quitter les rues fraiches de la grosse pomme et franchir les portes a battant du fameux bar « Chez Joe’ ».

Les lieux n’étaient pas particulièrement grands, obscures et l’ambiance y était particulièrement étouffante. Les chaises étaient un bois, tout comme les tables et le bar. L’on ne voyait pas très loin devant tant il y avait de la fumée. C’était de la fumée de cigarettes, qui piquait les yeux des qu’on les ouvrait un peu trop. Et puis, il y avait aussi cette odeur d’alcool qui prenait a plein nez. Horrible odeur, pire que désagréable.
C’était un mélange de Whisky et de mauvais alcool que seuls les alcooliques acceptaient de gouter. Leïa s’approcha alors du bar, ses pas s’entendaient alors, même si la musique (un vieux Jazz enivrant) était à plein volume. Il n’y avait rien dans les pensées de Leïa, a part peut être le même brouillard immense, aussi épais que la fumée de cigarette qu’il y avait dans le bar.
La jeune fille était toujours perturbée par son frère et cette rencontre tumultueuse. Elle l’était tout autant des derniers événements : Ce jeune homme impétueux qu’ils avaient rencontré la nuit dernière et dont elle devait s’occuper actuellement. Elle en pinçait un peu pour lui. Mais un peu seulement. Enfin, les faits étaient que la belle avait l’esprit ailleurs, et ce n’était pas forcément une bonne nouvelle pour elle. Enfin, se dirigeant vers un siège, elle bouscula une jeune fille :

- Oups, excusez-moi.

Leïa fut toute surprise d’être bousculer de la sorte, ceux pourquoi, un fort courant d’air traversa la pièce et s’arrêta tout aussi tôt lorsqu’elle retrouva ses esprits.

Invité

Que le temps est long et déprimant lorsqu’on est séparer de ses proches, on se sent si inutile dans ce monde de brute. Un sentiment que la magnifique Favole ressentait depuis deux semaines, a sa grande peine. Voir défiler toutes ses journées a la conferie des mauvais mutants ou personne ne faisait attention a elle, était devenu un quotidien bien lassant. Sans doute pour cette raison que la belle, passait la grande partie de ses journées a jouer son instrument de musique. Cependant on savait pertinemment que dans les notes obscures de la jeune femme, elle pleurait sa détresse. Dans les chants de Favole qu’elle chantait dans la nuit, elle espérait en vain de se faire entendre par ceux qu’elle aime. Tristan, Gabriel et mes deux autres compagnes, mais que faites vous en des heures aussi sombres ? Pensez vous a moi ? Vos visages, vos murmures me manquent terriblement. Je ne cesse de penser a vous dans mes rêves, ou a travers les objets que vous m’aviez donner lors de la cérémonie.

En effet , elle avait maintenant deux choses accrochés autour de son coup, des objets qu’elle ne quitterait jamais. Il y avait une petite bouteille noire dans laquelle, elle gardait un peu de sang de Lord Tristan, et une croix que lui avait offert son prince Gabriel. Elle avait gardé d’helena et de victoria, deux magnifiques bagues en argents et un bracelet de force. Malheureusement elle ne se faisait pas d’illusion et qu’elle était bel et bien séparé de ces proches, et cela pendant un bon bout de temps. Ce soir, elle en souffrait de trop pour pouvoir supporter cette ambiance de chien, ce pourquoi elle décidait de sortir un peu la ou il y avait de l’ambiance. Une personne comme Favole allait dans des lieux publiques ? Ben oui, ça lui arrivait même si les occasions étaient bien rare, mais elle y allait pour se vider la tete de conneries humaines. Rien qu’a y repenser, la rose noire ne pouvait afficher un magnifique sourire sur ses lèvres. Dans sa petite nouvelle vie, elle avait apprit a aimer de torturer ou de jouer avec le comportement des humains. Sa nouvelle destination ? Oh, rien que pour jouer, vous allez essayer de deviner l’endroit ou elle se trouvait actuellement. Une ambiance de fête, de plaisirs ou tout était permis, de l’alcool, ou la plupart des humains étaient tous pervers.. ça ne vous dit vraiment rien ? Bon c’était bel et bien dans un oetit bar ou s’était rendue la rose noire, qui ne regrettait pas du tout ce choix. Enfin avec les groupes du genre U2, green day, Paramore, de la techno, c’était a mourir d’ennuie.

Favole aurait bien rien dit s’il y avait du rammstein ou noir désir, mais la, elle ne pouvait que pester contre le maudit barman. Ce denier était gros, rasé, puant le whisky, et surtout pervers ! La marquise sanglante le voyait bien qu’il s’amusait a mater toutes les belles meufs du bar; et bien sur la mutante ne passait pas a travers. Il fallait bien avoué que celle-ci devrait sûrement être la plus belle de toutes, même si ses vêtements étaient pas très beau. Non, pour une fois, elle n’avait pas fait des folies, en ne mettant qu’une longue robe noir avec des souliers de la même couleur. Enfin ce qui rassurer la rose et qui faisait sa grande joie, c’était qu’il n avait aucune chance de sortir avec personne ! Il était vraiment laid celui la, enfin comme la plupart des sales types de ce bar. La jeune femme n’avait rien encore pris, mais elle commençait a sentir sa gorge était toute seche. Ce pourquoi elle se leva tranquillement de sa petite table qu’elle avait bien choisit, dans un petit coin de façon a ne pas être déranger par un vieux soulard. Tendis qu’elle marchait doucement pour pas se prendre une personne dans la face, voila qu’elle fut persécuter par une jeune fille. Au même moment, son esprit fut directement envoyé dans un autre monde, ou tout était en noir en blanc. Une vision du passé de cette jeune fille en concluait elle, tandis qu’elle vivait ce souvenir. Dans celui-ci il y avait une scène de séparation, des gens qui se disputaient, des hurlements, des proches qui fuirent, des pleures, c’était tellement vite qu’elle avait du mal a comprendre. A la fin de sa vision elle revena dans la réalité en poussant un petit cris aigue, avant que son regard redescende sur le visage de la jeune fille. Vampyr était chamboulée et malheureuse de sa vision, comme ça lui rappeler son drame. Cependant et sans savoir pourquoi, il y avait deux prénoms qui ne cessèrent de se répétaient dans son esprit: Leia et Tristan ? Selon la vision de Favole, cette fille était une mutante ce pourquoi elle n allait pas s’amuser a la torturer. Cependant, prise par une immense curiosité et une immense peine, elle ne pu s’empêcher de demander sur un ton sombre:

« Qui était ce Tristan ? Votre bien aimé ? »

Invité

Qui était ce Tristan ? Votre bien aimé ?

Je vous demande pardon ?

On se connaît peut être ? Vous êtes qui ?

Invité

A chaque fois qu’elle rencontra une personne, la marquise sanglante regardait toujours son apparence avant le reste. En pensant qu’elle était une vampire aux multiples pouvoirs, elle trouvait qu’elle arrivait facilement a deviner le caractère des personnes a partir de leur tenue. Et puis quoi encore Favole, dit aussi que tu as le pouvoir de transformer le plomb en or, sérieusement elle ne pouvait pas avoir tous les pouvoirs du monde. Remarque que la plupart du temps, ces prédictions collaient a peut près a la réalité. Encore une folie de sa part ou un simple harsard ? Elle en savait strictement rien et elle s’en fichait totalement, de plus que les questions existentielles n’étaient pas son fort. Elle n aimait pas se prendre la tête sur ce genre de trucs, parce qu’elle trouvait que ça lui rapportait rien du tout. En ce moment et dans ce bar puant le whisky, elle s’amusait malicieusement a relooker la jeune femme en face d’elle. Elle était d’une grande taille, les cheveux longs et bruns. Favole la trouvait fort jolie, dommage que ses vêtements étaient trop classique. Autrement la marquise sanglante s’aurait sûrement fait un plaisir de la torturer, si Dame Favole ne s’était pas pris de peine pour sa vision. Touché par la vision qu’un être qui fut séparer d’un de ses proches, elle ne pu s’empêcher de repenser a sa situation. En étant séparer de ses proches, elle se rendit compte qu’elle n’était plus du tout la même. En effet, de la magnifique vampire charmante, romantique, plongé dans le monde des châteaux et cimetières, elle était plongé dans une décantence a tout niveau. Aussi bien pour son comportement de folie que dans sa façon de se vêtir, ce qui l’écoeurait. Oui, Favole était dégoûtée de se voir ainsi, complètement perdu par ces événements et ses sentiments. Pour le moment, elle ne savait quel chemin prendre, entre celui ou elle pourra se venger des siens et celui ou elle vivrait en paix dans son domaine. Car si les humains étaient tous des minables, pourquoi elle voulait autant leur mal ? Favole s’était posée cette question plus d’une fois, mais elle compris qu’elle ne pourrait pas vivre en les voyant heureux. Ça serait trop injuste pour elle, après tout c’est eux qu’ils lui avaient retirer son bonheur. Déjà qu’elle se trouvait bien gentille de leur faire des tortures, comme des humains qui avaient osé de mettre la jeune femme orpheline, ne méritait même pas de vivre !

Quoi qu’il en était, elle voulait rapidement finir cette mission avant de repartir dans son château, finir le reste de son immortalité dans les bras de ses biens aimés. Enfin cette Leia dont elle avait su son nom dans sa prémonition, était une mutant. Dont elle avait aussi vu dans sa vision qu’elle contrôler le vent, chouette le pouvoir. Favole qui avait osé de poser une question indélicate, n’était pas du tout surprise de la réaction de son interlocutrice. celle-ci était bien surprise aussi bien d’inquiète, c est sur que c’est pas tous les jours de voir qu’un parfait inconnu soit au courante de votre vie. Mais les deux sentiments que la rose noire adorait que les autres ressentent. Pour mieux ressentir ce sentiment, elle décida de la mettre encore plus dans le doute en lui répondant calmement d’une voie mélodieuse et sombre.

« Je pense que vous m aviez bien comprise.. Je désire savoir qui était cet homme qui hante vos pensés »

La marquise sanglante avait mis des mitaines en tissus, dont on pouvait voir des petites roses comme motifs. Le doigt ou elle avait mit sa bague en argent venait caressé la joue de Leia, qui avait plutôt une peau chaude comparé a la froideur de Favole. Ayant des grands ongles vernis au noire, Favole fit attention de ne pas la faire devenir borne. Cependant la belle, ne pu sourire, avant de remarquer que Leia sentait un bon parfum. Elle retira son doigt froid de la joue de la jeune fille, a l’instant ou celle-ci avait reprit la parole. Apparement, elle aussi voulait en savoir plus sur la marquise sanglante, comme elle lui avait demandé de se présenter. Selon la gothique, elle semblait ressentir de la peur, si jamais elle lui répondit qu’elle la connaissait déjà. A croire qu’elle avait fait une croix sur son passé, enfin Favole allait elle lui répondre ? Ben quoi, elle pouvait bien ignorer sa question, tout comme elle. Mais ce jeux était totalement stupide a ses yeux, elle savait qu’elle allait tourner en rond, et c’était pas le but. Dire qu’on est mutant dans un lieu publique ? Favole s’en fichait totalement, de plus qu’avec la musique qu’il y avait, peu de gens entendrait les mots de la belle. Et puis elle n allait surement pas dire qu’elle était une mutante, mais regardez par vous-même. Après un long soupire, Favole allait enfin se présenter a cette fille, et on pouvait voir qu’elle était quand même fière de sa petite personne.

« Je suis la marquise delarquois, une vampire de la nouvelle époque. Comme les miens, je possède des pouvoirs bien a moi.. Comme la vision que j ai vu de vous… Maintenant allez vous répondre a mes questions ? Qui êtes vous? »

Invité

Je pense que vous m avez bien comprise... Je désire savoir qui était cet homme qui hante vos pensés

Entre ce que vous désirez et ce que je vais vous dire, il y a un véritable faussé

Je suis la marquise delarquois, une vampire de la nouvelle époque. Comme les miens, je possède des pouvoirs bien a moi.. Comme la vision que j ai vu de vous… Maintenant allez vous répondre a mes questions? Qui êtes vous?

Vous êtes d’une impolitesse… en toute logique, vous auriez dut commencer par vous présenter et après poser des questions. Et en plus d’être impolie, vous êtes indiscrète et trop curieuse, n’est-ce pas ? Qui je suis ne vous regarde pas et non, je ne répondrais pas a vos questions, tout simplement parce que ça ne vous regarde pas non plus.

maintenant, si vous le permettez, j’ai autre chose a faire que de rester avec des gens impertinants, sur ceux…

Invité

La curiosité est un vilain défaut, on te l’avait jamais dit Favole ? De plus qu’a force de vouloir chercher trop loin, tu risques de t’attirer des gros ennuies. Des problèmes pour la rose noire ? Mais qui en cette heure, ne rêvait pas de voir la tête de Favole sous terre ? Pouvez vous vraiment me donner le nombre ? Impossible, tellement qu’ils en avaient, enfin ces coups ci, Favole n’était pas du tout innocente. Et ce n’était pas surprenant qu’il avait bien des gens qui voulaient sa peau, avec toute la souffrance provoqué par la jeune femme. Alors qu’elle nourrissait déjà de la haine en vers les mortels depuis sa naissance, elle n’avait pu s’empecher de se venger sur eux après l’événement. Elle avait passé par tous les moyens possibles et inimaginables, et elle arrivait toujours a atteindre son plaisir ! Que ça soit en passant par la torture moralement que physiquement, cela la fesait sourire de les voir souffrir. Alors bon et dans un sens, on comprenait et on partissait totalement avec les ennemies de Favole. Cependant celle-ci n’avait plus du tout conscience du danger, bien pour ça qu’elle avait tendance a demander n’importe quoi a cette jeune femme. Ben quoi ? Fallait bien avouer que la marquise y allait plutôt fort, et qu’elle était bien suicidaire pour poser ces questions. La curiosité, voila la bonne excuse que sortirait la rose noire, si elle lui reprochait. Alors que la plus part des personnes trouvaient cela mal élevé, Favole trouvait ça passionnant de découvrir le passé des autres. C’était l’une des raisons du pourquoi elle aimait tant son pouvoir de prémonitions, enfin lorsqu’elle y voyait des vissions intéressantes.

En tout cas, elle avait bien de la chance, que cette jeune femme était plutôt sympas avec elle ! Parce que certaines personnes ne sauraient pas privé pour la renvoyer chier, voir pire. Remarque pour une fois, Favole s’était bien comporter avec cette jeune femme. Tendis que la plupart du temps, elle utilisait ses prémonitions pour faire souffrir les autres, la elle se sentit obligé de compatir après ce qu’elle avait vu. Ce fameux Tristan était certainement quelque un de bien, sinon elle n’aurait pas eut cette vision ! Parce qu’on devait se rappeler, qu’elle devait d’abord ce nourrir des pensés des autres, avant de pouvoirs utiliser son deuxième pouvoir. De plus que sans cet individu, Favole aurait pariée qu’elle ne saurait jamais rentré dans le bar. Elle qui avait un peu fréquenter le monde des humains, elle savait qu’ils buvaient toujours pour oublier leur souffrance. Pour une fois qu’elle avait joué les mamans poules avec une petite adolescente, elle allait bien être surprise de sa générosité débordante. En effet, la pauvre Favole se fit voir renvoyer chier par la jeune femme, qui la traitait en plus d’impolie ! La marquise sanglante qui avait fait un effort, n’en revenait pas de s’être fait jetter comme une chaussette pourrite ! Leia avait bien du culot, ce qui provoquait une grand colère chez la rose noire. Cette dernière, folle de rage de se faire passer pour une guignol, ne cherchait plus a comprendre cette petite peste ! Ce pourquoi, elle lui répondit d’un ton ferme mais avec une magnifique touche d’ironie dont elle savait parfaitement faire.

« Alors vous pensiez que je suis curieuse ? Vous me faites bien rire ma chère ! Si je suis impolie, qu’Est-ce que vous êtes ? Une petite peste, qui n’a rien a faire ici ! Pas étonnant que ce soit disant Tristan est parti ! »

A la fin de sa phrase, Favole fit un magnifique sourire diabolique, elle savait qu’elle avait touché la ou ça faisait le plus mal. Cette jeune impertinante avait osé de contredire les dits de la belle marquise, elle n’était pas prete de sortir de ce bar, je vous le dit. Après les insultes qu’elle s’était pris en pleine face, Favole s’était jurer de lui faire voir de toutes les couleurs. Tandis que Leia était sur le point de la quitter, la marquise se fit une joie de lui transmettre un sentiment de tristesse dans son esprit avant de lui lancer:

« Vous pensiez que vous alliez vous débarrasser de moi si facilement ? »

Invité

Qu'est-ce qu'elle voulait? Qu'est-ce qu'il lui prenait? Se faire envoyer bouler de lui avait visiblement pas suffit, hein. À croire que les gens étaient tous les mêmes. Pour dire, Je pensais de plus en plus a ne plus sortir de mon trou et de ne plus fréquenter personne. Je pensais que ça serait certainement un moyen plus simple pour moi, pour ne plus avoir a souffrir en tout cas. C'est fou ce que je pouvais avoir peur de ça. C'était sans le vouloir après tout, mais soit : souffrir, ça fait mal. Je ne parle pas de la souffrance physique, mais celle du mental, elle est beaucoup plus affligeante selon moi. Et je ne pouvais supporter que quelqu'un se permette une fois de plus d'engouffrer sa lame dans ma plaie béante déjà ouverte (et réouverte) pour y apposer sa marque.
J'étais toujours aussi certaine que les relations humaines n'apportés que des mauvaises choses. Misanthrope dans l'âme comme vous vous en doutez, je n'arrivai plus a me mettre en tête que le partage entre mortel (mutant ou non) pouvait être bénéfique a chaque personne. Vu tout ce que le passé m'avait apporté, j'avais plutôt tendance a penser que mieux valait être seule que mal accompagnée, et plus j'y pensais, plus je savais que j'aurais dû rester chez moi ce soir.
Tout ça pour un maudit Cocktail, autant le dire tout de suite, plus jamais je n'écouterai ces fichus élèves, pas capable de dire qu'il y avait n'importe qui qui en voulait a ces fameux cocktail « carrément trop délicieux de la mort qui tue si tu en prends hein, direction le septième ciel! ». Pour aller au septième ciel, il y avait le sexe, et c'était bien suffisant comme ça! Grognant et m'apprêtant a tourner les talons pour filer vers le bar pour commander, chose que j'aurais dû faire des le début, je me retrouvai soudainement sous l'emprise de la jeune femme qui avait l'air carrément furieuse contre moi.

« Alors vous pensiez que je suis curieuse ? Vous me faites bien rire ma chère ! Si je suis impolie, qu’est-ce que vous êtes ? Une petite peste, qui n’a rien a faire ici ! Pas étonnant que ce soit disant Tristan est parti ! »

Outch. Touchée.
Mais comment savait elle qu'il était parti? Me retournant vers elle avec des yeux reflettant la douleur de ces souvenirs ancrées, la fureur de ce moment maladroit et terrifiant qui me subjuguait et la tristesse de mes songes qu'elle me rappelait sans même savoir ce que ça pouvait savoir, je ne pouvais qu'admettre qu'elle avait raison sur ce coup si. Et c'était d'autant plus amer de l'admettre de la sorte. J'étais un peste, je le savais bien au fond de moi, mais que voulez-vous : c'était bien le temps qui m'avait rendu ainsi, et les autres. Comment pourrais-je me protéger si j'étais restée l'adorable petite Leïa a son Tristan?
Abandonnée, salie, trahie, meurtrie. Après avoir subit tout ça, resteriez vous aussi gentille que vous l'étiez au début? J'avais été corrompu, est-ce une raison pour m'en vouloir de mon comportement? Moi, je me comprenais, je savais ce que j'avais fait et ou est-ce que ça me mènerait. Mais les autres, eux, est-ce qu'ils comprenaient vraiment ou faisant semblant? Non, c'était que des masques. Des masques qui ornaient leurs visages, cachant la lubricité de leurs maux. Il n'y avait pas d'honnêteté, ni de personnes intègres, ça n'existait plus.
Pour protéger notre fierté, notre âme et notre être, nous nous cachions sous des masques : souriants, froids, fermes, effrontés. Mais jamais nous ne montrions notre véritable visage, parce que ça serait trop se dévoiler, montrer sa pureté d'âme était aujourd'hui aussi stupide et inutile que d'admettre pour un anti-mutant qu'un mutant était son frère. Sourire diabolique, traduisant parfaitement sa magnificence. La jeune femme en face de moi ornait ce sourire maléfique qui rendait son visage affreux, voir effrayant. J'allai pour m'enfuir, échappé a ce regard machiavélique, mais je me retrouvai soudainement figée, incapable de faire quoique ce soit...

« Vous pensiez que vous alliez vous débarrasser de moi si facilement ? »

Sur le coup, je devais admettre que oui, c'était ce que j'espérai le plus au monde. Partir très loin et ne plus avoir a la recroiser. Elle m'avait assez poignardé comme ça, non? Semblait il que pour elle, ça ne suffisait pas, loin de là. Je sentais en moi une énorme tristesse s'écoulait, passant dans mon hémoglobine. Tétanisé, de tristesse, de peine, je ne savais plus quel sentiment passait dans mes veines pour me rendre aussi incapable et puérile. Me mettant alors a pleurer a chaudes larmes en repensant a tout ces souvenirs qui m'assahissait. Je me retournai vers cette femme, les perles qui tombaient sur mes joues...

« Qu'est-ce que... Qu'est-ce que vous m'avez fait?? »

Limite j'hurlai, soudainement beaucoup plus inquiète que je ne le voulais. Je ne comprenais vraiment pas ce qui pouvait m'arriver, ce n'était vraiment pas mon genre de me mettre a fondre en larme de la sorte. C'est alors que, sans maitriser mes émotions, une immense bourrasque de vent s'engouffra dans la pièce, causant un vent fort et tourbillonnant, particulièrement violent, virevoltant autour de ma personne et de cette fameuse gothique.
Je pensai alors qu'elle devait maitriser les émotions des autres... Mais mes émotions maitrisaient mon pouvoir, ce qui faisait que si elle touchait a ça, alors elle était au moins sûre de déclencher une tempête...

Invité

Favole, on t as jamais dit qu’il fallait, toi aussi te méfier des inconnues? Non sérieusement, tu t es pris de pitié ou de compassion pour cette fille, alors que tu ne la connaissait même pas. Normalement, tu ne fais pas ce genre de chose, toi qui préfère de loin a la regarder de hauts et de leur faire de magnifique sourire sadique ! Pourquoi cette vision t a tellement marqué ? Pourquoi toute cette compassion pour cette jeune femme ? Au plus profond de son être, elle essayait de trouver des réponses a toutes ses questions, mais cela était en vain. La jeune femme n’en savait strictement rien, même si elle commençait a regretter sérieusement son gest de bontés. Son magnifique visage angélique s’était soudainement transformé, en un visage froid et sans pitié. On leur donne un peu d affection et voila ce qu’ils en font ? Pathétique, le pire c est qu’après, je les entends tous se plaindre qu’ils sont tout seul, et que personne ne veut les aider. Voila les pensées de Favole, qui commençait a la chauffer pour le petit combat qui se préparer. Comme elle savait que Leia était une mutante et qu’il commençait a avoir du vent dans ce bar, elle n’eut pas de difficulté a savoir que son pouvoir était lié avec le vent. Cependant et toute aussi sur d’elle, elle savait que contre ses pouvoirs a elle, elle ne risquait de ne pas faire le poids.

Mais en parlant de bar, la marquise sanglante remarquait que les gens n avaient toujours rien remarqué, tellement qu’ils étaient remplis comme des pots. Encore un trucs qui la faisait bien rire, en se disant que cette soirée n’allait pas être si ennuyeuse que cela. Lorsque la jeune sœur de troy se retournait vers elle, La rose noire vit dans ses yeux beaucoup de sentiment. En effet, la sœur avait de la colère, de la peine et aussi de la surprise. Encore une fois, il ne fallait pas être devin, pour deviner que la jeune femme était bien étonnait du savoir de la marquise sur son histoire. celle-ci toujours muette, ne fit que continuer a la regarder avec un beau sourire moqueur. Elle jugeait qu’elle avait assez parlé et maintenant, elle attendait que sa petite peste prononce un mot.. Enfin si elle avait encore le cran ou la force de le faire, une chose qui restait a voir. Heureusement et a la grande joie de la jeune gotique, troyette repris la parole. Elle lui demandait sur une petite voix, ce qu’elle aurait pu lui faire. La sombre marquise qui s’était bien fait taper dessus 5 min avant, allait enfin pouvoir se venger de son insolance du debut. Sur quoi et sur un petit ton a la fois angélique mais ironique, elle lui sortait joyeusement.

« je ne fais ce que vous m aviez fait ma chère »

Un rendu pour un rendu, c’était exactement comme cela que la marquise fonctionnait ! Et ce n’était pas un tord, quand on remarquait tous les cons qu’il y avait sur terre. Cependant et alors qu’elle avait eut tendance a négliger les pouvoirs de la jeune femme, elle fut bien surprise de voir une mini tornade se former. Étant donné qu’elle ne tenait pas tellement a se faire ridiculiser encore plus, elle provoquait un autre sentiment de panique chez Leia..

» Des retrouvailles bourgeoises ( pv Favole Delarquois )
» Pour une fois que je veux pas d'embrouille [PV: Colossus]