Personnage
Nom : Harker
Prénoms : Psyché
Alias et Surnoms : alias MurderDoll, surnommée Yin par sa meilleure amie et Sissy par ses autres proches.
Age + Date de Naissance (JJ/MM/AAAA) : 18 ans, née le 8 février 1991
Genre : Féminin
Clan : Elève X-men
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) :
Force surhumaine: offensifPsyché est tout simplement doutée d’une force supérieur à la force humaine. Elle n’ira pas vous soulever un bus, mais une petite voiture, si. Elle n’ira pas détruire un mur d’acier d’un coup de poing, mais peut relativement facilement vous arracher la tête d’un coup de poing pas forcément ultra-violent (à son échelle à elle bien sur). Sa force n’est pas extra-ordinaire. C’est la force qu’un être humain sans règles, sans bon sens, sans raison et sans conscience possède. Une force que notre esprit, notre conscient et inconscient, bride.
Dans une rage plus que noire et sans plus le moindre contrôle sur son "ça", Psyché peut en arrivée à soulever un objet de deux tonnes mais ne pourra pas le lancer, et en sera vite fatiguée. Elle peut cependant lancé à plus de dix mètres d'ele un objet d'une tonnes. Si elle ne peut pas détruire un mur en acier, elle peut le faire grandement ployé, et un mur d'agglos ou de plâtre ne lui résiste pas.
Cet état n'est pas permanent. Il n'apparait que quand ses barrières mentales tombent. Sinon... bah elle se trouve sans doute bien plus forte qu'une jeune fille normal, voir même qu'un garçon, mais sa force n'est pas démeusurée.
Ses barrières mentales tombent instentanément sous le coup de la colère, sous le coup d'une trod grande surprise, ou quand elle se trouve dans une situation de détresse physique. Elles tombent aussi quand Sissy atteint l'orgasme.
Instinct primaire: passifToutes les barrière mentales de Sissy étant tombée et ayant laissées libre cours à une force incroyable, celle-ci se trouve dans une incapacité de penser, de raisonner. Elle n’a plus q’un désire, tuer. Mais elle sait encore reconnaître ses amis de ses ennemis, enfin… quand sa soif de sang, ou de violence et de mort, plutôt, est assouvie bien sur.
Cet instinct primaire permet aussi à Psyché d’avoir une notion plus claire du danger qui la vise, et ce même sans que ses barrières mentales ne tombent. Et ce constatment. Si Psyché est fatiguée ou appeurée, son instinct déraille et Sissy voit le danger partout car ses "antennes" détecte tous les mauvais sentiments des gens, même s'ils ne sont pas à son intention.
Elle ne peut pas détecter de danger "improbable". Elle ne peut pas prévoir que quelqu'un va se matérialisé ou se téléporter à côté d'elle. Par contre, l'invisibilité n'est pas un problème. C'est un peu comme si elle avait des antennes qui détectaient les envies de meurtre, la méchanceté ou la violence, les attentions aggressives des êtres-vivants qui l'entourent. Même si elle ne les voit pas. Par contre, elle ne peut pas détecter l'attaque de quelqu'un qui l'attaque avec une parfaite indifférence.
Niveau de maîtrise du pouvoir :
Quasiment aucune.
Si sa «détection » du danger est toujours présente chez elle, c’est bien la le seul avantage de ses pouvoirs.
Psyché ne peut pas se servir volontairement de sa force surhumaine. Ses barrières mentales doivent obligatoirement tomber. Elle arrive parfois, et ce grâce au yoga et à la méditation, à refouler, plus ou moins, son instinct primaire, et elle arrive alors à se contrôler tout en ayant sa force surhumaine, mais cela est relativement rare, et elle doit faire preuve d’un calme absolu. Ne pas paniquer, ne pas s’énerver
Lien entre les 2 pouvoirs : la chute de barrière mentale, le retour à l’instinct primitif (commun à tous les animaux soit dit en passant).
Description physique :
La miss est, du côté de sa mère, un quart japonaise et un quart française, et du côté de son père, un quart américaine et un quart mexicaine. L’avantage de ce mixte de nationalité, c’est déjà que la miss parle, du coup, français, américain, japonais et espagnol. Et puis, c’est aussi le fait qu’elle soit très belle.
Même si la racine asiatique ne se voit quasiment pas chez elle, Psyché a hérité des magnifiques cheveux noirs de son grand-père japonais. Sa peau pâle qui, ce pendant, bronze très facilement vient du grand-père mexicain. De grands yeux bleus-gris et envoûteurs hérités de la grand-mère française. Et enfin, le même visage que sa grand-mère américaine.
Un visage à la fois désuet et moderne, à la fois anguleux et formé de courbes nettes et fluides. Ses yeux gris-bleus sont très expressifs. Plus ils sont bleus, meilleurs et son humeur. Plus ils sont gris, plus Psyché est soucieuse, mélancolique. Plus ils sont sombres, plus elle est en colère. Et quand ils sont absolument noirs (y compris le blanc de l’œil) et bien c’est qu’elle est passé en mode araignée.
Après, pour le reste du corps, c’est la même chose dans un peu près tous les pays non ?
Sissy mesure un mètre 60. Oui, elle est petite. Mais ça l’arrange bien. Elle est une grande adepte des platforms shoes, et depuis l’apparition de son pouvoir, elle aime bien aussi se faire discrète parfois. Et puis elle est tout de même très bien proportionnée, avec des jambes fines, un ventre plats et une petite poitrine. Mais il ne faut pas trop se voiler la face en se disant qu’elle a un superbe corps, car elle commence à peine à reprendre du poids. Il y a peu de temps, elle en était à 38 kilos pour 1 mètre 60. Maigre. Trop maigre.
Niveau vestimentaire, Sissy navigue un peu entre différents styles plus ou moins sombre, tant que ça reste rock’n roll, c’est bon.
Signe(s) particulier(s) :
Psyché a un tatouage dans le poignet droit : un muffin rose avec un flot, avec « Karma » écrit en dessous, et un tatouage de flots rouge sur la hanche gauche.. Elle a aussi des piercings au nez et en dessous. Sissy possède aussi un pendentif représentant uniquement le Yin du symbole Yin&Yang, soit la partie blanche.
Caractère, tempérament :
Psyché est une fille à
l’attitude toujours joyeuse et gentille, avec une sorte de
calme constant en elle. Même quand elle est prise d’un fou rire, on a l’impression qu’elle reste calme au fond d’elle, qu’une sorte de
mélancolie la retient et l’empêche d’accéder à la vraie joie, au vrai bonheur. C’est d’ailleurs le cas.
C’est une fille aussi très
sauvage et
effrayée par elle-même, par ses capacités. Elle aime être seule, enfermée ou dans la nature peu importe. Elle est très proche des animaux terrestres et aériens, et surtout des araignées, qu’elle comprend facilement.
Elle n’est pas spécialement attirée par les gens, même si elle se fait facilement des amis grâce et sa
sympathie et sa
gentillesse. Mais elle ne cherche pas à être entourée, et même ses amis n’arrivent pas complètement à saisir qui elle est. Elle enferme, cache, son passé, ses erreurs et même son pouvoir, qui la dégoûte, au fond d’elle. Elle ne veut pas avoir trop de liens humains car entre le sexe et la bêtise humaine, trop de chose on tendance à la rendre
folle.
Sissy est une fille
insaisissable, car même si elle ne ment pas, elle peut très bien
se taire, et ne jamais dire ce qu’elle pense et ce qu’elle veut. Elle est toujours
arrangeante avec les autres. Elle n’est pas quelqu’un de soumis pour autant, mais elle ne veut être en conflit avec personne. Elle veut être en
paix. Et surtout, elle ne veut pas devenir un
monstre sanguinaire comme elle peut l’être.
Au niveau social comme je l’ai dis, la jeune femme n’est ni très extravertie, ni très introvertie. Parfois elle parle normalement à n’importe qui, parfois elle est timide, sans réelle raison, et ne s’exprime pas vraiment.
Psyché est une
artiste. Elle est assez
tête en l’air et souvent à penser à autre chose qu’à ce qui l’entour. Elle est souvent dans son monde, et oublie souvent ce qu’elle a à faire ou les commissions qu’elle doit faire. Sissy dessine, joue de la guitare, du piano et chante. Elle est très bohème, à dessiner ou chanter un monde utopique.
Mais comme un animal, et comme la Psyché de la mythologie grecque, la notre est
curieuse et
attirée par le danger. Sissy est en effet très curieuse sur ce qui l’intrigue. Elle cherchera à avoir des réponses même si cela la met en danger. Elle aime sentir le danger et avoir peur. Sentir l’adrénaline monter en elle. Elle a peur de la vitesse, mais n’hésite pas pour autant à pousser sur les 180 km/h sur l’autour quand celle-ci est dégagée. Elle n’aime pas trop le vide non plus, mais prendre parfois plaisir à s’asseoir sur le rebord d’une fenêtre au 6 ou 7ème étage.
Curieuse et
battante. Quand elle veut vraiment quelque chose d’important pour elle, elle se bat pour. Si elle est plutôt du genre discret et à ne pas exprimer un avis contraire pour éviter les conflits, elle se bat pour ses vrais idées, comme la tolérance, ou son idée particulière de la valeur d’une vie.
Autre que sa curiosité, Psyché est aussi très
attirée par l’inaccessible. Sous toutes ses formes. Que ce soit le pouvoir ou un garçon. C’est pour cela qu’elle n’a jamais gardé de copain très longtemps. Elle veut, elle a,… et après ? Tout ce qu’elle finit par obtenir, elle finit par l’abandonner. Bah oui, elle aime ce qui est inaccessible, encore plus au moment où elle l’obtient, et puis… c’est finit.
Psyché n’est pas le genre de personne à se mettre en colère. Si on l’agace, elle reste placide, lançant quelques répliques cinglantes voire méchante et cruelle. Elle est désolée de blesser les autres (ou pas), mais c’est toujours mieux que ce qui les attend s’ils ne baissent pas les bras à essayer de l’énerver.
Sissy ne connaît pas la colère. Elle passe directement, sans transition, et en une fraction de seconde de son état calme à celui d’une véritable
furie sanguinaire,
sans pitié et
sadique. Sa bulle de « moi » et « sur-moi » éclate, laissant libre cours à son « ça », à son
instinct primaire et meurtrier..
Enfin, Psyché est une fille
éternellement triste. Triste d’être une mutante tout d’abord. Ensuite, triste d’avoir blessé sa mère. Triste d’avoir été totalement rejeté par sa famille, ce qu’elle comprend néanmoins. Puis triste d’avoir tuer tant de gens. Et enfin triste d’avoir fuit sa meilleure et seule amie à cause de ses fichus pouvoirs aux étendues absolument terrifiantes. Sissy a longtemps
haït ses pouvoirs et elle-même. Mais depuis qu’elle a apprit que d’autres mutants s’en servaient pour asservirent la race humaine,
la haine de la MurderDoll a changée de cible.
Si elle hait Magneto et ses idées légèrement racistes, elle a cepenant du mal à croire en celles du Dr. Xavier. Elle vodrait y croire et que ce monde existe, mais avant ça, il faudrait peut-être qu'elle se contrôle, et qu'elle arrête de tuer. Les idées de Xavier lui plaisent donc, mais lui paraissent toalement utopiques. Pour l'instant, et surtout dans son cas.
Talents et Compétences particulières :
Grâce à ses origines, Psychée parle couramment anglo-américain et français, et elle a d’importantes notions d’espagnol et de japonais. Elle parle également couramment un chinois de banlieue assez américanisé, bien que cela n’ait rien à voir avec ses origines. Elle connaît le dictionnaire presque par cœur, fantaisie enfantine. Elle sait quelques notions de combats de rues, acquises pendant les quelques mois avant qu’elle ne se réfugie à l’Institut Xavier.
Histoire du personnage :
Psyché Harker est le fruit d’un incroyable mélange de nationalités, dont, bizarrement, aucune n’eut de répercussion sur son prénom. Un quart japonaise, un quart américaine, un quart française et un quart mexicaine, Sissy possède un nom tiré de l’Antiquité grecque. Original n’est-ce pas ?! Surtout pour une petite philadienne. Bien entendu, son prénom étrange lui valut bien des moqueries, mais toujours la petite Psyché se contenta d’encaisser les railleries et de rester la plus calme et « indifférente » possible .
Une institutrice, voyant bien la détresse de Psyché, la défendait de son mieux, sans la faire passer pour une fayote. Surtout qu’elle aimait beaucoup Psyché, qui lui posait toujours beaucoup de questions tant elle était curieuse. Avant les vacances de Noël, pour essayer de consoler la petite fille, l’institutrice lui offrit un dictionnaire pour « assouvir sa soif de savoir ». Sissy fut tellement touchée par cette attention quelle passa ses vacances à lire l’ouvrage et finit par le connaître par cœur. Et elle le connaît toujours.
Lors de sa deuxième année de primaire il y eut une nouvelle dans sa classe. Une petite blonde répondant au nom de Calypso Jenkins. Oui, un autre prénom sortit de la mythologie grecque. Mais Calypso, malgré son jeune âge, possédait déjà une langue bien acérée et un caractère de battante, et elle, elle ne se laissait pas faire et alla même défendre notre Psyché. Mais si Calypso était très expressive, elle l’était trop, et si elle complétait le manque de caractère de Psyché, celle-ci complétait le manque de raison de Calypso en lui disant de se taire quand les situations l’exigeaient. Dés lors, les deux gamines furent inséparable et complémentaire, tel le Yin et le Yang.
Psyché avait deux parents toujours très prit par leur travail, et qui ne s’occupait pas beaucoup d’elle. Ses grands parents maternels et paternels vivant aussi à Philadelphie, elle vivait une semaine chez les uns, une semaine, chez les autres, et ne rentrez chez elle que les week end. Cela n’était pas pour amélioré son caractère et sa vie sociale, mais elle aimait quand même beaucoup ses grands parents assez spéciaux car il venait tous de pays différents. Ce mélange de culture eut une bonne influence sur la jeune Psyché qui développa vite une bonne tolérance et une grande ouverture d’esprit. Grâce à ces mêmes grands parents, elle apprit plus ou moins leur langues d’origine.
Avec Calypso, Psyché grandit de façon plus ouverte au monde qu’elle ne l’était avant. Elles passaient leur temps dans le quartier chinois de Philadelphie, surtout dans les boutiques où l’on trouvait des millions de babioles chinoise. Si elles achetèrent une quantité assez impressionnante d’accessoire, de breloque et de fringues dans ces boutiques, leurs biens les plus précieux furent deux pendentifs. L’un représentant le Yang et appartenant à Calypso, l’autre représentant le Yin et appartenant à Psyché.
Psyché grandit donc avec cette fille qui l’aida a développer son caractère, et à oublier comment ses parents l’avaient délaissée. Mais Calypso ne fit pas que cela pour Psyché. Elle était son complément et un lien indestructible s’était tissé entre elles. Sans se lien, Psyché aurait été détruite après l’apparition de ses pouvoirs.
L’adolescence de Psyché s’était assez mal passée. De plus en plus elle répondait méchamment à ses proches, se mettait de plus en plus souvent en colère, et ressentait de plus un plus de pulsions de rage et d’envies de meurtre. Elle ne s’en inquiétait pas, car cela arrivait à tout le monde, non ? Il n’y avait qu’avec Calypo qu’elle ne se mettait pas en colère. Uniquement avec elle. Un jour alors qu’elle avait 15 ans, Sissy marchait dans les ruelles philadiennes quand elle croisa un jeune homme qui lui lança une réplique méchante sur son prénom. Passé l’étonnement, Psyché se rendit compte qu’il s’agissait d’un de ses anciens camarades des cours préparatoires. Elle resta à le regarder sans rien dire, ce qui excita l’amusement méchant de l’autre qui l’insulta carrément cette fois. Psyché esquissa un vague sourire avant de collé en direct du droit phénoménal (et carrément inhumain, mais ça elle ne s’en était pas rendu compte sur le coup) si bien que le jeune homme vola trois mètre plus loin et ne se releva pas. Il n’était pas mort, mais terrorisée par ce qu’elle venait de faire, Sissy s’enfuit.
Il n’y eut plus d’incidents similaires jusqu’à ses 17 ans. Sa crise d’ado passée, elle était redevenue quand avant, en plus mure. Enfin… c’est ce qu’elle croyait car les gènes mutants ou X peuvent entrer en activité à l’adolescence.
Elle avait dix-sept ans quand elle revint, un soir, chez elle, accompagnée par la police, attrapée dans une rave qui avait mal tournée. Sa mère lui hurla dessus, comme quoi elle ne l’avait pas élevée comme ça. Psyché se rendit alors compte qu’elle haïssait cette mère qui, justement, ne s’était jamais occupée d’elle. Voyant que sa fille ne l’écouta pas, Kami Harker la gifla. Psyché resta un moment sans bougée, puis tourna lentement la tête vers sa mère et, là aussi, esquissa un petit sourire avant de lui sauter dessus, plantant ses dents dans la gorge de sa mère.
Mais là non plus elle ne la tua pas. Heureusement qu’Alex Harker avait une poele à portée de main et qu’il put assommer sa fille avant que celle-ci n’arrache la trachée de Kami à coups de dents comme elle semblait bien partie pour le faire d’après les médecins Bien sur Alex ne dénonça pas sa fille, déjà parce que cela paraissait (et était) inhumain et parce qu’elle était sa fille, et que cela n’était pas bon pour les affaires.
Psyché, elle, n’avait pas attendu le retour de se parents quand elle reprit conscience. Horrifiée, elle fit sa valise et s’enfuit chez Calypso à qui elle raconta tout, en pleurs. Celle-ci l’écouta, bouche bée. Calypso vivait chez sa mère, mère à moitié barjo et légèrement (ah, ah…) alcoolique. Elle alla parler à sa mère, ce qui finit en réelle baston, et finit par optenir « gain de cause ». Sa mère la laissait partir et acceptée de lui payer le loyer d’un petit loft dans la banlieue chinoise (là où c’était le moins chère) de Philadelphie. Elle ne savait pas que Psyché allait vivre avec sa fille, et était à peine au fait de son existence, à vrai dire.
Psyché vécut avec Calypso pendant quelque mois qui ne se passèrent pas particulièrement bien, mais les deux filles restaient quand même unies. Un jour, un bonhomme chauve en fauteuil roulant se pointa dans leur appartement, annonçant à Psyché que c’était une mutante. Celle-ci lui dit de se la fermer, qu’elle n’était pas une mutante, juste un peu schizo. Celui-ci Charles Xavier de son nom, resta campé sur sa position et l’invita à rejoindre son école. Terrorisée à l’idée d’être séparée de son double et agacée par la situation, Calypso colla Xavier à la porte à coups de coups de pieds au cul. Ou du moins c’est ce qu’elle aurait fait s’il n’était pas en fauteuil roulant. Plus jamais elles ne reparlèrent de cet événement, et quand Calypso y faisait allusion, Psyché la faisait taire sèchement. Une nuit fit totalement basculée la vie de Psyché dans le noir. Elle avait alors une relation sexuelle avec un parfait inconnu, et quand vint l’orgasme, elle sentit quelque chose en elle tomber. Quand elle reprit ses esprits, un amas de chair déchiquetée était ce qui restait du pauvre diable. Psyché savait que c’était elle qui l’avait fait. Elle n’avait pas eut conscience de ses actes, mais maintenant qu’ils étaient passés, et s’en souvenait, sous forme d’un film saccadé et flou.
Elle ne hurla pas. Elle se rhabilla, ses vêtements tâchés de sang, retourna à l’appartement où Calypso n’était pas, elle était chez son copain, prit une douche, brûla ses vêtements souillés, fit sa valise et laissa un mot à Calypso : « Je suis devenu un monstre, ne me cherche pas, oublie-moi. Merci pour tout, je t’aime. Psyché. »
Elle parti pour New-York, et se fondit dans la masse infâme des jeune délinquants. Elle vivait dans un squatte et gagnait sa vie dans des combats de rues. Parfois, elle tuait. Mais cela restait rare. Pendant les tournois du moins. 2 ou 3. Mais en revanche, à chaque fois, ou presque, qu’elle avait un raport sexuel, cela finissait en bain de sang. A côté de cette horrible vie, elle prenait, à l’autre bout de la ville, des cours de yoga, espérant de toute son âme arrêter de devenir folle. Et cela marchait, tout du moins, légèrement. Elle avait réussit, d’un bout à l’autre d’un tournois, de se servir de cette force surhumaine tout en restant consciente. Mais un seul. Elle était tout de même devenue quelqu’un de redouté, et son surnom fut MuderDoll (poupée meurtrière), piqué à du groupe américain de horror punk légèrement hardcore Muderdolls que Psyché avait découvert, un peu à la bourre, dans son squatte, et qu’elle aimait beaucoup.
Mais cette vie, elle ne l’aimait pas Cette vie la détruisait, et cela se voyait sur Sissy qui maigrissait à vu d’œil et qui perdait absolument tout son charme, vu que même l’expression de son visage devenait figée, sombre et agressive. Bien qu’elle vivait dans un squatte, et bien qu’elle fut à la fois admirée et crainte, elle ne parlait à personne et pouvait passer des heures, assise, serrant dans son poing son pendentif Yin, pensant à Calypso dont elle n’avait pas eut de nouvelles, mais qu’elle ne voulait pas contacter, de peur de tout lui raconter, et de la faire fuir à tout jamais. C’est là qu’elle se fit ses tatouages et piercings, légères marques externes de son mal-être interne.
Au bout de quelques mois, elle se dit qu’elle ne pouvait pas continuer à vivre comme ça, qu’elle devait arrêter de se contenter survivre, qu’elle relève la tête et se batte. Elle avait eut à faire avec quelques délinquants mutants dans son genre, mais qui, eux, se servaient de leurs pouvoirs contre les humains. Et elle les avait tués. Mais ils lui avait rappelé le bonhomme chauve en fauteuil roulant qui était venu la voir. Il fallait croire que oui, elle était bien une mutante, et qu’il était sons doute la dernière personne à pouvoir l’aider.
Psyché débarqua donc, armes et bagages, à l’Institut Xavier, le jour où tombèrent les première neiges sur la ville.
Joueur
Personne sur l'avatar : Hanna Beth
Age dans la vraie vie : 16 ans
Expérience en RP : 4 ou 3 ans derrière moi ^^
Où avez-vous entendu parler de notre forum : en cherchant sur google.
Double comptes : non
Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non
Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play.
[
vu par Carmine]