Promenade sur la plage et nouvelle rencontre (Levda)

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Levda, n'aimait pas rester enfermée, chez ceux qui l'avait prise en charge. Souvent elle partait tôt de la grande demeure, ou elle ne manquait de rien, enfin matériellement, car son père lui manquait.
Il avait fait en sorte, que Levda quitte la Russie, pour être en sécurité.

Car Mr Urmanov n'est autre que le Parrain de la mafia Russe.
Il est donc rechercher par la police et pour ne rien arranger un de ses ancien bras droit, celui qui était le plus fidèle, enfin en apparence, avait tenter de le tuer et de tuer Levda.
Donc notre jeune fille, ce retrouvait seule loin de son père, dans une famille appartenant à l'organisation. Sa vie n'avait pas changé, elle était toujours isolée des autres et ne s'amusait jamais.

Mais ici, elle pouvait quand même sortir quand elle le voulait et elle ne s'en privait pas.
Comme tous les jours, elle mit une robe et des petits souliers.
La robes était blanche, avec de petites fleurs brodées, les souliers étaient en cuirs blanc vernis.
En passant par la ville, elle acheta un pain au chocolat et un grand chocolat chaud.Elle avait toujours faim le matin.

Puis elle ce dirigea, sur la plage, pensant être seule, à une heure matinale, mais en y regardant bien, il y avait une femme, belle, qui marchait sur la plage.
Elle était vêtue de noir et portait ses chaussures à la main tout en veillant, à ne pas ce mettre trop prés de l'eau pour ne pas ce faire mouiller.
En ce rapprochant d'elle, Levda vit sur le visage de cette femme de la tristesse et de la fatigue.

doucement, mais de façon à ne pas surprendre, l'inconnue, elle s'approcha d'elle en faisant en sorte d'être vue.
Tenez, je crois que vous en avez plus besoin que moi, un bon chocolat ça remonte, toujours le moral.
Levda tendit, son chocolat chaud à l'inconnue, tout en lui souriant.
Le visage de la jeune fille,était doux mais on pouvait y voir de la tristesse.

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Si elle avait décidé d'ignorer l'enfant qui arrivait, cette dernière n'était pas décidée à faire de même visiblement. Elle s'approcha doucement d'Oliana qui ne bougea pas jusqu'à ce qu'elle se trouve à côté d'elle. Elle n'était pas bien grande, elle devait être toute jeune... Quelle imprudence de laisser une enfant toute seule, dehors ! Quand on savait à quel point les rues de New York pouvaient être mal fréquentées, elle trouvait ça honteux. Personne pour la surveiller, et s'il lui arrivait quelque chose, qui s'en occuperait ?

Elle fut surprise que la petite fille lui adresse la parole de but en blanc. Elle fut encore plus surprise de son comportement. Voilà qu'elle lui tendait son chocolat chaud ! C'est une gentillesse qui toucha Oliana et elle tendit la main pour le récupérer, ne voulant pas l'offenser. Après tout, elle avait raison, le chocolat avait pour avantage de remonter le moral...

« Merci ma grande, c'est gentil. »

Son visage se fit légèrement plus doux qu'en temps normal. Elle aurait voulu lui sourire pour la remercier, mais elle en était incapable. Seule une lueur de tendresse passa dans le regard de la jeune femme lorsqu'elle croisa les yeux bleus de la petite fille. Elle l'invita d'un geste à s'asseoir auprès d'elle si elle en avait envie.

« Que fais-tu toute seule, à cette heure de la matinée? »

Elle but une gorgée de chocolat tout en gardant un oeil sur la petite blonde. Les enfants avaient toujours l'air si innocents. Elle aurait pu penser qu'elle aurait aimé rester enfant, mais non, c'était à cause de son enfance qu'elle était dans cet état-là actuellement. Elle enviait juste les gamins insouciants. Elle aurait aimé pouvoir bénéficier de cette insouciance elle aussi, mais ça n'avait jamais été le cas. Tout lui avait été dicté par ses parents. Elle se détachait tout juste de leur influence.

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Etrangement, le chocolat n'avait pas fait l'effet escompté.
Normalement le fait de boire, cette douce boisson à la fois chaude et onctueuse, provoquait un étonnant bien être, même chez le plus triste.
Elle doit être bien triste, si le chocolat chaud, n'agit pas.
Mais la femme, ce souciait plus de la petite qu'autre chose, même si elle avait l'air songeuse. Pourtant elle était belle et la gentillesse qui ce dégageait de son visage, donnait envie de lui parler.

Au vous savez j'aime être seule, c'est mieux que ce retrouver dans une maison sans ceux que vous aimez. Car mon papa est en Russie et je suis chez des amis à lui, il me manque beaucoup.
Mais vous pourquoi êtes vous si triste si je peux me permettre de demander.

Ce permettre elle le pouvait, mais aurait elle une réponse, là était la question.
Le petite Levda, venait de penser, qu'elle ne c'était même pas présentait à la femme qui passait sa journée sur la plage.

Veuillez pardonner, mon incorrection, j'ai oublier de me présenter,je suis Levda Urmanova et j'ai 11 ans. Je suis enchantée de faire votre connaissance, madame.

Levda était une petite fille douce,gentille et polie,rien ne pouvait faire penser, a ce qu'elle était réellement. Une mutante,qui ne contrôle pas ses pouvoirs et aussi la fille du parrain de la Mafia Russe, dont le père avait fait en sorte de faire que sa fille soit en sécurité, loin de lui.

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Ainsi elle était seule, sans sa famille. Si jeune... Oliana lui aurait donné une dizaine d'années, elle ne s'était pas trompée. Cette enfant, prénommée Levda, n'avait que onze ans. Onze ans, et déjà loin de sa famille. Pourquoi dont avait-elle été envoyée si loin de chez elle ? Ses parents avaient-ils autre chose à faire que de penser à la petite fille qu'ils avaient mis au monde, ou au contraire, l'avaient-ils envoyées là-bas pour son bien ? Elle espérait que c'était la seconde solution.

Elle lui avait également demandé pourquoi elle était triste. De nouveau, elle fut touchée par les paroles. Les gens ne se préoccupaient pas d'elle, se contentant de l'écouter jouer, de lui lancer quelques pièces, plus par pitié que par amour de la musique, elle en était conscience, mais elle se contentait de ce qu'elle avait.

« C'est triste d'être loin de chez soi. Je viens d'Irlande, et mon frère me manque beaucoup. »

Elle ne parla pas de ses parents. Ces derniers ne lui manquaient absolument pas. Ils l'avaient trop brimée, trop étouffée et c'était à cause de leur comportement stupide qu'elle s'était rendue malade. Elle ne répondit pas de suite à la question de Levda, restant quelques secondes silencieuse, tournant à nouveau son regard vers la mer.

« Disons que je ne suis pas très en forme. »

Elle n'avait ni envie de se confier, ni envie de parler d'elle à une si jeune fille. Elle avait le temps de se préoccuper des problèmes de la vie. Elle était jeune, elle avait le temps de profiter de son enfance sans se prendre la tête.

« Je suis venue ici pour me reposer avant d'aller travailler, en fait. »

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Tout comme Levda, La belle jeune femme était, aussi loin d'elle.
Levda la comprenait bien, trop bien même

Au vous savez moi aussi je suis loin de chez moi, mon papa est en Russie et...

Elle fit signe, a la jeune femme de s'approcher puis parla à voix basse.

Il fait parti de la mafia, c'est même le parrain, si il m'a envoyé ici, c'est pour que dimitri ne me tue pas.

Pour Levda c'était normal de faire partie de la Mafia c'était comme respirer.

Mais tu sais même si tu es loin de chez toi, tu as cas penser fort fort fort , à une personne ou une chose auquel tu tiens beaucoup et qui est toujours labas et tu verra ça ira mieux. En tout cas pour moi ça marche.
Levda était comme ça elle parlait facilement, à tout le monde sans la moindre crainte.
Ne faisant pas attention, une vague trempa sa robe.
Ha ba bravo, quel godiche je suis, une robe toute neuve, sans compter que mes chaussures sont mortes.

Oui Levda était très fille et les vêtements avaient une importance primodiale pour elle.

Elle fit une grimace,puis regarda, la jeune femme.
Ha c'est vraiment pas facile de rester belle et propre à mon âge,je t'assure.

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