pluie et recontre (PV Téofilo Galindo)

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Un temps pluvieux inondé le ciel a des centaines de kilomètres, faisant tomber de manières excessives des quantités de gouttelettes d'eau tomber du ciel, donnant une impression de déluge qui se déversa partout. Beaucoup de gens du centre-ville doivent se balader dans les rues avec un parapluie sur soi ou bien un imperméable. Fallait voir les immenses flaques d'eau inondant tout le parking de l'institut, mêlée a cette pluie déferlante qui ne cesse de se calmer, on porterait a croire que tornade aurait fait exprès de générer ces temps-ci pour une raison personnelle dont on ignore la logique de cette raison. En tout cas, cela ne donnait aucune déception à l'océanologue qui se baladait dans le parc dans ce temps de chien, vêtu d'une minijupe imperméable couleur platine et d'un top haut sans manche de mêmes matière et couleur. L'eau était son élément et se sentait faire qu'un avec lui, peut importe que ça soit de l'eau de mer, de rivière, de pluie, de WC et de tout ce qui et lier a cet élément....
Quand on sait qu'elle peut changer son corps en un corps aqueux en moins 1 seconde, accompagner d'une excellente maitrise de son pouvoir hydraukinétique dont elle peut faire d'immense chose avec et a sa guise, comme une demi-déesse de l'eau.

Marchant paisiblement dans le parc, sans ce préoccuper des flaques d'eau engloutissant la totalité de ses pieds, avec une démarche aussi délicate et sexy qu'une femme fatale, Jennifer adore se balada dans le parc durant ce temps faisant tomber des cordes abondamment, assez ressemblant aux trompes d'eau qui tombe dans les jungles tropicales du pacifique comme celle d’Hawaï ou de Tahiti. Se laissant lécher tout son corps par la pluie, comme si elle voulait se servir de cette pluie comme pour prendre une douche naturelle. Elle se posa délicatement sur un banc en pierre, posant ses bras sur le long du banc, son regard azurique rivé sur la rivière de l'institut, observant les nénufars flottants sur l'eau comme des bouées. Nous somme un vendredi après midi, 13h30 pour être précis, son patron lui avait offert 1 semaine de congés payés avec une journée de travaille terminer a midi pile....cette journée était justement le vendredi. Et comme ça ne pouvait pas tomber mieux, il pleuvait intensément au même jour, à croire que le hasard avait une étrange envie de commencer sa semaine de congés par un temps comme elle les aime.

Jusqu'à ce que des pas se firent entendre non loin d'ici, marchant sur les flaques situées un peu partout. Jennifer détourna son regard vers sa droite avec un air étonner, comment pouvait t'il y avoir quelqu'un qui trainait dehors avec un temps pareil, à part Jenni ? Y aurait t'il des gens qui aiment se promener durant les temps pluvieux tout comme elle ? Dans l'institut, tout et probable, mêmes certaines choses que l'on penser s'attendre. Mais bon ! Elle n'y prêta pas attention et continua à se détendre sous la pluie avec un visage radieux.

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Je regardais la fenêtre du salon de l’institut avec humour, ayant proposé il y a quelque minute à un enfant de treize ans d’aller s’y promener en échange d’un exemple de mon don mutant, -voulant apparemment voir le plus de capacité mutante. Il avait accepté, et comme promis je l’avais envoyé, contre lui, en dehors de la pièce, puis, furieux, était partit à l'opposé de cette salle. Mais son comportement m’avait quand même étonné. Je ne serais, pour ma part, jamais partis dehors pendant autant de temps juste pour une si simple récompense vu le temps. Je pense plutôt que j’aurais fait monter les enchères jusqu’à que ça atteigne quelque billet, histoire que la paris ai plus de valeur qu’un soupçon de curiosité. Le temps était en effet presque insupportable. Les nuages noirs inondait le ciel d’habitude d’un bleu éclatant, l’eau se déversait sur le sol comme si les vannes du paradis s’était ouverte en même temps et l’herbe si douce et verte d’habitude était recouverte pour la plupart de la terre humide du sol et la pluie avait créé d’immense flaque au sol qui s’agrandissait de seconde en seconde par les battements des gouttes d’eau qui empêcherait sans nul doute à un rat de flotter. Le temps était à quelque détail prêt de ce qu’on s’imaginerait de la dernière nuit de la terre, pour être exacte il ne manquait que l’orage et une tornade surplombés d’une lune orangé. Nous étions en fin Juillet, ce temps était donc innabituel, laissant pensé qu’un mutant maîtrisant l’air et l’eau faisait sa crise en ce moment.

Au bout de quelque minute à regarder vaguement le temps à travers la fenêtre de l’institut, je tourna les roues du fauteuil pour quitter la salle quand je vu par la «porte-fenêtre» du salon une jeune femme à moins d’une centaine de mètre de moi. Je me stoppa net, tentant de la voir, mais le temps noir qu’il y faisait empêcher une vu net, on ne pouvait voir que la couleur blonde de ses cheveux et en plissant les yeux on pouvait à peine voir ses habits plutôt court pour le temps, même très. Elle portait un mini-short, voir jupe, et un haut sans manche apparemment. Il fallait espérer pour elle qu’elle soit insensible au froid, voir qu’elle puisse contrôlait l’eau qui s’habattait sur elle pour le rendre moins glacial. A cet instant, je me mis à penser que le temps pouvait très bien venir d’elle étant donné qu’elle était au milieu du parc en tenue courte et qui montrait apparemment peu de tremblement face au vent. Je me mis donc en route vers la porte dont les gouttes s’y déversait et regarda ensuite la terre trempée et les quelques flaques donnant une allure de marécage au parc. Je ne voyais qu’un seul moyen d’y arriver rapidement sans me prendre les roues dans l’eau : «l’auto-mimétisme». Un simple moyen qui me forçait à faire des actions sans que ma raison ne m’en empêche. J’ouvris donc la porte d’un simple geste de la main de droite à gauche et me murmura pour m’aider à tenir plus longtemps, -même si ce procédé n’avait aucun lien avec la parole- , : « Amène-moi vers la jeune femme ». A l’instant, mes mains s’accrochèrent au roue et les poussèrent vers l’avant avec fermeté, et je tournais au bon moment, contournant toute les flaques avec aisance. Le seul point négatif de cette manipulation était que je m’étais pris une bosse placé devant ma roue gauche, la faisant claquer et donnant une sonorité de pas à quelque mètre de la jeune femme, la faisant se retourner vers moi. Je m’approcha encore un peu et atteignant une distance d’un mètre et demis à peu près, je lui adressa un peut-être brusque :

- C’est vous qui faites ça ?

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Le bruit de pas qu'elle n'avait pas prêté attention prit aussitôt la sonorité d'un déplacement de roue. À ce moment la, elle entendit quelqu'un lui demander si c'était elle qui provoqué cette pluie déferlante. Elle leva un sourcil interrogateur après s'être tourné vers la droite pour voir son mystérieux interlocuteur, ce fut une un jeune homme assis sur une chaire roulante, surement un résident tout comme elle ou bien un élève x-men, mais n'ayant pas eu le temps de faire des visites dans l'institut à cause de son boulot qui lui prenait toute une journée, sans compter les moments plus importants pour elle telle que développer de nouvelle faculté de ses pouvoirs étant donné que niveau maitrise, c'était déjà fait pour elle. Du coup elle n'a pas pris le temps pour faire connaissance a tous les élèves de l'instit et encore, fallait savoir combien ils y en avaient en tout dans cet établissement. Elle s'adossa sur le banc de pierre et détailla brièvement son mystérieux interlocuteur handicaper faisait penser au directeur de l'institut, Charle Xavier, mais en étant plus jeune avec des cheveux sur la tète et surtout, avec un fauteille roulant plus simple, celui-ci avait l'air de croire qu'elle était responsable de ce déluge, faisant un haussement des épaules pour dire que non-avant de répliquer.

" à vrai dire...pas du tout, je ne suis pas assez puissant pour causer un tel déluge, ça serait plus l'oeuvre de tornade qu'a moi. Moi chuis juste ici pour me détendre sous la pluie, ça me fait du bien. Je pense que tu t'es demandé ce que je faisais ici via une fenêtre, ben maintenant tu le sais. Lacha t'elle d'un ton amical. "

Jennifer se foutait complètement qu'elle soit trempée jusqu'à l’os, elle aimait ça de toute façon, de plus, ça lui donnait une douce sensation d'être en harmonie avec l'eau, c'était un peu comme une sorte de méditation sous la pluie. En rentrant de l'institut, pour éviter de laisser de l'eau partout derrière elle, elle n'aura qu'a réunir toute l'eau sur elle et laisser trainer, sous la forme d'une sphère aqueuse qu'elle jettera dehors par la pensée. C'était ça qui est génial avec son hydraukinesie, c'est de pouvoir se sécher en un rien de temps, bien mieux qu'un séchage aux sèche-cheveux. Quant à la température de la pluie, elle était agréable, malgré ce temps grisâtre, il faisait néanmoins 15 degrés, ce qui ne risque pas de rendre malade Jennifer avec ce temps-ci. De plus, elle voulait faire connaissance avec son mystérieux interlocuteur, même si elle ne sait rien de lui. C'est drôle comment Aquagirl avait une grande confiance sur le premier étranger venu a elle, rare sont les moments ou il lui vient en tète de se méfier de quelqu'un, a l'exception des personnes qui n'ont pas l'air très commode comme les bandes anti mutants et les personnes à l’air de quelqu'un de très malin pour tenter de la manipuler. Elle poursuivit avec son air doux et chaleureux, en commençant par ouvrir les présentations en première.

" Je m'appelle Jennifer Roosevelt, je vis ici depuis un certain temps et comme tu dois le deviner, je possède des pouvoirs hydraukinétique que je maitrise parfaitement, de même pour mon corps aqueux que je peux prendre. Mais si je suis ici, c'est bien pour développer de nombreuse faculté de mon pouvoir et ainsi me préparer pour rejoindre les X-men. "

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