Retour au point de départ [Lucifel]

Sujet: Retour au point de départ [Lucifel] Lun 4 Oct 2010 - 18:48

Le juge regardait le dossier devant lui avec une certaine circonspection. Jack Storm mutant accusé de plus d'une trentaine de meurtre particulièrement ignoble, les photos des victimes lui avait retourné le cœur. Il consulta la suite du dossier, d'après les spécialistes et autres psychiatre cet homme souffrait d'une tripoté de pathologie mentale, a lui tout seul on les médecins lui avait diagnostiqué : une paranoïa aiguë, psychopathie sévère, sociopathie, sadisme pervers et comble du bonheur une double personnalités.

Il releva la tête, ce monstre était a présent devant lui, dans l'uniforme orange des prisonniers, menottés aux mains et aux chevilles, arnachés au sol par des chaines et un policier a côté de lui avec la main sur son armes. Au yeux du juge il semblait plus pathétique qu'autre chose, avec ses cheveux long, sa visage mal rasé et son bandeau qui caché le trous béants qu'il y avait a la place de son œil gauche. Cette homme était la pour demande de mise en liberté, cela paraissait totalement surréaliste comme pourrait-ont libéré un individus pareilles en toute connaissance de cause. Le greffier du tribunal se leva.

Nous somme ici pour la demande remise en libertés du détenus Jack Strom, incarcéré pour a l'asile de la prison de Ryckers, pour homicide volontaire et involontaire, coups et blessures, coups et blessures sur mineurs, meurtres volontaire de mineurs, enlèvements et acte de tortures.

Le juge poussa un soupir, cette histoire serait vite réglé, dans son esprit un type pareille devait finir ses jours en prison. Mais la lois était ainsi faite, le juge devais entendre le procureur et l'avocat de la défense. Il se tourna vers le procureur de New-york, il affichait un sourire vainqueurs certains du verdict de cette demande, d'un geste le juge l'invita a parler. Le procureur se leva ajusta son costume et s'avança dans le prétoire.

Monsieur le juge, je serais bref. Le dossier de cet homme parle de lui-même. C'est un monstre, pas seulement parce que c'est un mutant, mais aussi parce qu'il est coupable d'une séries de meurtres et de massacres, comme cette ville, que dis-je, comme ce pays n'en a jamais connus !!! S'il n'a pas été condamné a mort c'est a cause d'un tour de passe-passe de son avocat !!! Aussi je vous le demande, ne libérer cette homme, ce monstre, sinon je vous le garantie les citoyens perdrons définitivement la foie dans la justice.

Le procureur retourna a son bureau, avec une mine qui ne laissait aucun doute sur son état d'esprit. Il avait gagné et fêterais cela avec un bon resto une fois la journée terminé. Le juge pris quelques notes, puis invita l'avocat de Jack a prendre la parole. C'était un petit jeune commis d'office, il avait l'air un peu gauche mais était en fait assez redoutable, déjà il avait réussit a faire en sorte que Jack évite la peine de mort, et au vue des charges ce n'était pas gagné. Le jeune avocat pris le dossier et le feuilleta avant le mettre dans son dos.

Monsieur le juge. Je ne vais pas, a la difference de monsieur le procureur, me lancer dans une longue tirade théâtrale, mais me contenter de présenter les faits. Depuis son arrestation et le diagnostique de son état, Jack a suivit des thérapie, des traitements, qui comme vous l'avez vu dans son dossier, se sont révélé totalement positif. Aujourd'hui le Jack Strom psychopathe, sociopathe, sadique et paranoïaque est mort. Non maintenant nous avons devant nous le VRAI Jack Strom, un jeune homme calme et réservé, et qui va devoir supporter toute sa vie les atrocités que son double a connues. Alors je vous le demande monsieur le juge ne trouvez-vous pas qu'il est assez punis comme cela. De plus...

Le jeune avocat ouvrit de nouveau le dossier, et en sortie une lettre, il l'agita comme si elle contenait la réponse a tout les maux de la terre. Il enfila ses lunettes et la posa sur le bureau du juge.

...voici une lettre d'une des autorités en matières de mutants, que dis-je du plus grands spécialiste de la question : le Professeur Charles-Xavier. Dans cette lettre il explique clairement qu'un mutant du type de Jack Storm est l'exemple vivant du danger du rejets des mutants. Il invite aussi le tribunal, non pas a relâcher Jack Storm dans la nature, mais a le placer avec lui dans son Institut, ou Jack pourra vivre sans avoir a craindre de voir l'autre Jack Storm ressurgir. Aussi monsieur le juge, je ne demandes pas la libération de mon client, mais bien son placement auprès du Professeur Xavier, afin que, grâce à une étude approfondis du cas de Jack, de tel horreurs ne puisse plus être commise.

Sur ceux l'avocat rejoignit son siège. Lui aussi semblait confiant, il décocha un regards narquois au procureur qui se contenta de l'ignorer. Le juge pris d'autre notes, il regarda a nouveau le dossier, puis regarda Jack, celui-ci avait la tête baissé, il semblait totalement absent, surement a cause du cocktail de médicaments que les infirmiers lui avait injecté afin de prévenir toute crise dans le tribunal. Le greffier se leva et annonça que le juge allait se retirer pour délibérer.

Quelque minutes plus tard, le juge allait rendre son jugement. Il avait longuement réfléchis, cette question était hardue. Aussi afin de ne pas prendre de risque il avait finis pas trancher la poire en deux.

Bien après avoir étudié toute les pièces du dossier, et après avoir entendus vos arguments, voici mon jugement : J'accède a la requête de la défense de placer le prisonnier Jack Storm auprès du Professeur Xavier dans son Institut. Néanmoins Jack devra être équiper d'un bracelet électronique, il ne devra pas quitter l'enceinte de l'Institut sauf cas extrême. En outre il devra se soumettre a son traitement pour le reste de sa vie et avoir des consultations régulière avec un psychiatre désigné par la cour.

Il fit claquer son marteau. Justice était rendus, si l'avocat de Jack prenait cela comme une grande victoire. Le procureur lui fulminait, d'ailleurs il partit sans accorder un regards a Jack et son avocat. Jack lui n'avait pas tout entendus les tranquillisants l'avait totalement abrutis, mais quand il tourna mollement la tête vers son avocat, le sourire de ce dernier lui fit comprendre que la nouvelle était bonne.

Quelques jours plus tard, un fourgon pénitencier s'arrêta devant la porte de l'institut. Deux hommes en armes descendirent de l'avant et ouvrir la porte arrière. Deux autre homme en descendirent avec de longue perche de métal, l'une était relié au coup du Jack et l'autre a sa taille. De plus le mutant porté des menottes rigides aux poignets et des chaines aux chevilles qui l'entravaient. Jack leva la tête pour contempler la battisse, il était venus la pour trouver un endroit ou se réfugier après que tout son village ait tenté de tuer, et c'est la que "l'autre" était né. Tout cela lui paraissait tellement loin, pendant dans cette période il avait eu l'impression d'avoir été dans le comas, ou plutôt dans un mitard de prison ou il n'entendait que des sons étouffé et ne voyait que des images flou. Devait-il être heureux pas de revenir ici ? Il l'ignorait.

Le petit groupe pénétra dans le hall de l'Institut ou l'attendaient les personnes qui allait le prendre en charge a partir de maintenant.

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Lun 4 Oct 2010 - 19:48

XX J'adorais comment les choses avançaient dans ma vie. J'avais un bon ami, même s'il était plutôt dérangé en ce moment, une petite amie formidable qui me faisait vivre les plus beaux moments auxquelles je pouvais rêver et je m'approchais du poste auquel je rêve depuis presque deux ans. Je m'en approchais tant qu'on me faisait confiance pour une mission de la plus haute importance. Une du genre que si je n'étais pas à la hauteur, j'allais possiblement me retrouver avec la mort de tout un tas d'élèves de l'institut et/ou de civils. Je ferais mieux d'être parfait.
XX C'est ainsi que je m'étais retrouver dans les laboratoires a créer un bracelet électronique pour un des plus grands criminels de notre temps. Enfin, selon les journaux en tout cas. Pour moi, ce n'était qu'un type pris d'une folie absurde. C'était mal et dangereux mais pas aussi préjudiciable que ces enculés de terroristes. Ceci dit, ce n'était pas une bonne raison pour manquer mon coup. J'avais tout préparer dans le but de le rendre aussi sécuritaire que possible.
XX Le bracelet en métal solide était fermé à l'aide d'un verrouillage mixte mécanique et magnétique. Les deux systèmes devaient être désactivés dans un laps de temps de 1.5 secondes ou l'alarme serait sonné. J'avais laissé une clé à Xavier, lui promettant qu'il n'en existait aucune autre. C'était faux, je pouvais le désactivé à l'aide d'un de mes doigts. Sérieusement, j'avais juste à mettre mon doigts dans la prise. Enfin... Deux fils d'alarme était autour des limites du bracelet, s'ils étaient endommagés, l'un des 4 senseurs s'activeraient pour envoyer une alarme. Tout le tour du bracelet qui faisait un peu plus de 10 centimètres, un contenant d'un acide puissant qui dissoudrait sa jambe en moins de quelques secondes et, une fois passé dans le sang, contaminerait les organes un par un assez rapidement. J'avais aussi un cadeau en plus, une ancienne création qui n'avait pas eu le temps de servir. Je l'avais fait pour quelqu'un d'autre, mais je doute qu'elle m'en veuille.

XX Je me préparai d'avance, amenant mes deux créations sur place. Je me tenais au milieu du hall d'entré quand le prisonnier débarqua. J'avais dans mes mains le nouveau bracelet qui allait remplacer celui de la cour, avec la permission du gouvernement. Près de moi, assis comme le ferait un véritable chien, Cerberus attendait que je lui donne un ordre. C'était ironique, le chien de garde d'une des victimes de Storm allait devenir son propre chien de garde. Même si le sens du terme variait entre ses deux missions, je m'étais assuré qu'il ne les mélangeraient pas. C'était assez impressionnant de voir cet homme débarqué ici. L'on m'avait raconté qu'il y avait un certains temps, il avait déjà habité à l'institut mais j'avais peine à y croire maintenant. Il n'avait pas le profil visuellement mais après tout, Wolverine non plus.
XX Je pris bien le temps d'observer l'homme devant moi et les informations que j'en avais eu. Les pouvoirs comme un peu de son passé. Rien de concret. On ne voulait pas que je me fie au passé de l'homme pour planifier ce que j'allais faire. J'imagine qu'ils s'attendaient à ce que je veuille le voir mort dans ce cas. Mais en vérité, cela avait tout bonnement soulevé quelques questions. D'abord, pourquoi es-ce qu'ils tuaient. Les psychopathe disent qu'ils aiment tués, mais c'est généralement beaucoup plus complexe. C'était une réflexion de leur propre problème, le passé qui les hantait. Moi j'avais chassé et tué des terroristes parce qu'ils avaient tués ma famille. Pour beaucoup, c'était un passé de psychopathe. Mais qu'était vraiment la psychopathie? Une maladie ou un état d'esprit. Si c'était une maladie, était-elle curable? Un état d'esprit quant à lui est, par définition même, instable et donc modifiable. Par conséquent, la psychopathie n'était qu'une phase plus ou moins longue probable chez tous les êtres humains. Quelque chose sur quoi basé une autre statistique idiote et halluciné une pseudo-compréhension de la psychés humaine que les psychologues recherches. Moi, ce que je voulais, c'était voir si celui qui était devant moi, en ce moment même, était un danger ou non. Et s'il le devenait. Je m'occuperais personnellement de lui. C'était mon devoir auprès de tous ces élèves sans défenses.

XX J'avertis les gardiens de la garder attacher et de me donner un instant. Je m'agenouillai devant l'homme et détachai son ancien bracelets. J'y mis ma création qui émis quelques sons mécanique après avoir été activé. Je me reculai de quelques pas et fis un signe de la tête aux gardiens. Ils purent donc libérer le prisonniers. Libérer, c'était un grand mot. À sa place, je ne pourrais simplement vivre avec l'idée d'être forcé de rester dans un si petit endroit. Quoique, comparé à la cellule d'une prison. C'était toute une évolution. Je reculai de quelques pas. Je posai la main sur le museau du chien, comme si ça pouvait l'intéressé d'une quelque façon que ce soit, il ne ressentait pas le toucher. La peau de rottweiler que j'y avais soigneusement déposés cachait les imperfections de sa surface mécanique. Le seul problème restait la démarche un peu trop robotisés de la créature mais pour l'instant, elle n'était pas visible.

-C'est Cerberus, il restera toujours avec toi. Plus de 100 mètres de distance et tu active l'alarme mais ne t'inquiète pas. Il ne porte pas de puces, n'a pas besoin de boire, ni de manger, ni de pisser. Bienvenu à l'institut.

XX Que pouvais-je dire d'autre pour l'instant?

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Ven 8 Oct 2010 - 18:36

En entrant dans le hall, le petit cortège stoppa devant un homme. Jack ne voyait que ses pieds, le gardien qui tenait la barre relié au la sangle de son cou l'obligeait a gardé la tête penché. Il voulut la relevé, mais d'un geste vigoureux il en fut empêché. S'il avait été comme avant ce flic n'aurait déjà plus de mains, ni de tête et surement plus aucun organes interne intacte. Jack n'était pas idiot il avait vu des photos de ce qu'il avait fait quand "l'Autre" le commandait, c'était horrible, comme quelqu'un, lui de surcroit, avait été capable de faire une tel chose. Pendant plusieurs jours il n'avait pas dormis, les images lui revenant constamment, même pendant les journées elle le harcelaient, lui retournant l'estomac et l'empêchant de manger. Pour cela aussi les médecins avait sortie un médicament de leur poche.

Durant son internement il voulut se suicider en se tranchant les veines, mais la aussi les toubibs l'en empêchèrent et le gavèrent encore plus de cochonneries. A la fin le mutant se trouvait dans un état second presque constant. Durant son procès il réussit a faire comprendre à son avocat qu'il voulait plaider coupable et être condamné a la peine de mort, cela fut totalement inutile, son avocat ne l'écoutait pas, pourquoi écouterait-on un fou ? Il réussit a faire admettre que Jack était un malade mental et donc ne pouvait être tenue pour responsable de ses actes. Maintenant le mutant était de retour la ou tout avait commencé avec plus de drogue dans le sang qu'aucun junkie n'en aurait jamais.

L'homme qui les avait accueillit se pencha vers lui et lui retira son bracelet électronique, pour le remplacer par un autre. Puis il demanda au policier de le libérer. Ce qu'ils firent, non sans une certaine crainte, ils lui retirèrent, ses menottes, ses chaines et les deux sangles qu'il portait au cou et la taille qui étaient relié a des barres. Ils lui laissèrent sont uniforme orange de prisonnier qui portait dans le dos son matricule et l'inscription "STATES PRISON ASYLUM". Jack put pour la première fois relever la tête, dévoilant son visage a la barbe de trois jours, son bandeau sur l'œil gauche.

Il regarda l'homme en face de lui, il semblait aussi jeune que lui, mais avec des traits de visage plus fin. Jack remarqua aussi qu'il portait une espèce de prothèse a la place de son bras droit et surtout qu'il avait des ailes c'était donc un mutant et il était bien a l'Institut. Ensuite il lui présenta un chien, un gros Rothweiller a la démarche bizarre aux mots de l'autre mutant il compris que cette animal devait être un robot, la bête s'approcha et le renifla puis se posa a côté de lui Jack ne fit pas un geste vers l'animal se contentant de le regarder. Le mutant ailés lui appris que désormais cette chose allait le suivre en permanence. Tu parles d'un gardien.

Un des gardiens alla au véhicule et revins un avec un porte-document et une glacière. Il sortie un tas de papier du porte-document et les tendis a l'homme qui les avait accueillit.

Vous devez signer ces papiers, comme quoi vous acceptez de prendre cet homme a votre pleine charges et que vous acceptez de vous conformer aux ordres du tribunal.

Ensuite il attrapa la glacière et la posa devant lui.

Il y a la tout les médicaments qu'il doit prendre de façon régulière, il y a aussi les solutions a lui injecter en cas de crise. Un contrôleur médicale passera une fois par mois pour vérifier que vous lui donnez bien son traitement.

Il se dirigea ensuite vers Jack, l'attrapa au col, et défit la fermeture éclaire du mutant jusqu'à la taille, dévoilant un espèce de juste au corps noir sans manche.

Ceci est un vêtement fabriquer spécialement pour lui, c'est de fait a partir de molécules instable modifiées, on l'a ensuite cousu en le mélangeant avec du lycra. Sa lui couvre tout le corps, l'adamentium et la seul chose qu'il ne peut pas trancher. Assurez-vous qu'il le porte en permanence, il ne peut l'enlever que pour se doucher,il en a deux.

Et pour finir il sortie un pistolet a injection rapide qu'il tendis a son interlocuteur.

Pour finir veillez a ce que la personne qui le surveille est toujours ça sur lui. Ce pistolet contient une solution pour l'endormir instantanément. C'est a utiliser quand il a des crises violente et croyez moi il en aura.

Après avoir récupéré les documents, les policiers partirent, en passant devant Jack celui qui avait donné tout les instructions a la personne chargé de l'accueillir regarda Jack dans les yeux, enfin dans l'œil.

Sa aurait été moi le juge, tu aurais eu droit a l'injection létale.

Puis il partie avec les autres. Jack regarda autour de lui comme s'il découvrait cette endroit pour la première fois. Ce qui n'était pas tout a fait faux. Il regarda ensuite le chien qui était a côté de lui et l'homme qui l'avait accueillit.

Vous n'auriez pas une cigarette par hasard ?

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Mer 13 Oct 2010 - 17:43

XX C'était une de ces situations. Une de celles ou l'on vous mets dans une position inconfortable de laquelle vous ne pouvez pas vous tirez. Je n'avais aucune envie de récupérer un criminel qui sort d'une prison de sécurité maximale. Ça n'avais rien à voir avec le fait qu'il avait assassinée ma dernière cliente, je n'avais aucun lien spécial avec elle alors ça ne me faisait ni chaud ni froid. C'était plutôt que je ne voyais pas le métier de X-men de cette façon. Pour moi, vouloir devenir un de ces super-héros, c'était me lancer dans des missions extrêmement difficile dans le but de sauver le monde de terroristes. Je sais bien qu'ils étaient tous des professeurs aussi mais ça ne voulait pas dire que c'était leur priorité numéro un. Sauf que maintenant qu'ils prenaient mon nom en considération pour peut-être les rejoindre, ils me donnaient des missions ridicules. Je soupirai lorsque le policier me donna le formulaire. Bien sur, j'étais prêt à suivre les ordres du tribunal. Ordres dont j'ignorais absolument tout puisque l'on ne m'avait dit que le stricte nécessaire. Ceci dit, l'empêcher de tuer tout le monde devait faire partie des ordres en question.
XX Lorsque le gardien déposa la glacière à mes côtés, je ne pus m'empêcher de relever un sourcils. D'accord, je ne suis pas psychologue, je ne peux pas savoir si c'est vraiment nécessaire ou non. Pourtant, une partie de moi refusait de croire que de droguer un homme au maximum de ses capacités métabolique avait quelque chose à voir avec une quelconque forme de guérison. Sincèrement, s'il n'était pas en état d'apprendre, comment pourrait-il s'améliorer. Une idée commença a germer dans ma tête. Je refermai toutefois rapidement cette porte. À moins d'avoir un lieu clos ou j'étais certains de pouvoir l'empêcher de sortir, je ne prendrais pas de risque.
XX Mais là ou je tiquai vraiment, mais alors là vraiment! Ce fut à la découverte du matériau utilisé dans le linge de l'homme devant moi. Cela faisait longtemps, très longtemps, que je demandais a avoir accès à de l'adamentium. Le métal de relative mauvaise qualité de mon bras n'était pas tellement solide et surtout très lourd. Il m'avait forcé à une opération lourde de plaquage de métal sur certain os de mon épaule pour augmenter la répartition du poids. Ce métal là était la clé qui me rendrait la vie un million de fois plus facile. J'avais besoin de ce métal pour faciliter ma vie mais un foutu criminel ce mettait à découper du monde et il en recevait une quantité non-négligeable dans ses foutus vêtements? Ce que je déteste ce connard de gouvernement.

XX Finalement, le gardien me donna un pistolet servant à l'injection d'un somnifère qui empêcherais, du moins en théorie, l'homme devant moi à se rebeller d'une façon trop agressive. Il était en plein milieu d'une école de mutants dont beaucoup de télépathe. S'il déconne un peu trop, je suis persuadé que Xavier serait plus rapide avec son esprit que qui que ce soit avec ce stupide fusils. J'imagine que le gouvernement n'y avait pas pensé à celle-là. Je mis quand même l'arme à ma ceinture, je n'avais pas trop envie d'expliquer a cet homme pourquoi ce n'était pas utile. En quittant, j'entendis à peine les mots qu'il prononça à Storm. Il fallait pas pousser. Quand on force trop une bête à attaquer, elle finit forcément par le faire. J'imagine que ça avait du bon qu'il quitte la prison pour venir ici. Au moins, il ne serait plus traité comme de la viande pourrie et pourrait peut-être vraiment prendre le temps de se soigner. S'il y avait quelque chose à soigné, évidemment.

-Désolé, je ne fume pas. Je ne suis d'ailleurs pas sur que tu en aie le droit à l'intérieur. Il faudra demander au professeur Xavier lorsque tu le verras. C'est la première fois que j'accompagne un ancien prisonnier dans une étape de sa réforme alors on vas y aller lentement. J'ai entendu des rumeurs entre les branches sur le fait que tu aurais déjà passer du temps à l'institut, dans ce cas je n'aurais pas besoin de faire comme le guide comme avec...

XX L'image d'Ashley me revint en mémoire. Je ne l'avais pas revue depuis que j'avais pris un loft avec Anne-Éléonore. Ce n'était toutefois pas le détail important. La jeune fille avait littéralement le pouvoir de posséder un autre corps. Comme elle l'avait dit, ce n'était pas très utile en combat en groupe, perdant le contrôle de son propre corps en entrant dans celui d'un autre. Pourtant dans ce cas précis, c'était d'une grande utilité. S'il n'en tenait qu'à moi, je la garderais à mes côtés durant le temps que j'allais passer avec Storm à l'institut mais je n'étais quand même pas pour demander a une nouvelle étudiante, inexpérimentée en plus, de surveiller, et peut-être tenté de prendre le corps, d'un criminel de haut niveau. Après une ou deux seconde, je repris donc mon discours.

-...les autres nouveaux. Je n'ai pas été mis au courant de tes connaissances actuelles sur ce que tu viens faire ici, sur les emplacements différents, sur les limites ou tu peux te rendre et tout le reste. Du coup, j'apprécierais que tu me fasse un résumer de tes droits en ces lieux. Et pourquoi pas, ce que tu avais en tête pour commencer.

XX Non, je n'allais pas le croire sur parole. Ce n'était pas le but. Je voulais surtout qu'il aie la chance de faire les preuves de sa bonne foi en me disant la vérité. Si j'avais un doute, le moindre doute possible, je me renseignerais auprès de Xavier. S'il disais la vérité. Cela montrait soit qu'il était un manipulateur, ou qu'il avait réellement le désir de changer. En faites, avait-il seulement ce désir, ou étais-ce l'espoir farfelu du professeur qui l'avait amené ici?

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Jeu 21 Oct 2010 - 19:57

Les policier étaient partis, il ne restait que Jack et la personne charger de l'accueillir, visiblement il n'aimait pas trop le fait de devoir prendre en compte la forte médication de Jack. Mais d'après les médecins c'était la seule façon de garder "l'Autre" Jack sous contrôle, lui-même ignorait si cela serait efficace a long terme, il l'espérait. Il aurait préféré se suicider que de recommencer ses massacres. Il revit les images de ses tueries cela fit naitre un frisson glacer le long de sa colonne vertébrale et une bile amère lui envahit la bouffe, il la ravala.

"-Désolé, je ne fume pas. Je ne suis d'ailleurs pas sur que tu en aie le droit à l'intérieur. Il faudra demander au professeur Xavier lorsque tu le verras. C'est la première fois que j'accompagne un ancien prisonnier dans une étape de sa réforme alors on vas y aller lentement. J'ai entendu des rumeurs entre les branches sur le fait que tu aurais déjà passer du temps à l'institut, dans ce cas je n'aurais pas besoin de faire comme le guide comme avec les autres nouveaux. Je n'ai pas été mis au courant de tes connaissances actuelles sur ce que tu viens faire ici, sur les emplacements différents, sur les limites ou tu peux te rendre et tout le reste. Du coup, j'apprécierais que tu me fasse un résumer de tes droits en ces lieux. Et pourquoi pas, ce que tu avais en tête pour commencer."

Au moins il était carré, Jack ne décela aucune trace d'animosité ou de dégout dans sa voie, elle était neutre. Enfin c'est comme cela qu'il le perçut. Jack se frotta les poignets pour atténuer la sensation que les menottes avaient laisser sur sa peau. Il réfléchit, ses droits en ces lieux ? Il n'en avait presque aucune idée, cela devait être consigné dans les papiers que le policier avaient laissé a cet homme. Jack se passa une main dans les cheveux pour les ramener en arrière dévoilant totalement son visage mutilé.

Je n'ai aucun droit, je ne peux pas sortir de l'institut, je ne peux pas assister aux cours, je n'ai pas le droit d'entrer en contact avec des personne extérieure de l'institut. J'ai juste le droit d'être la et de me taire.

Jack aurait vraiment voulut une cigarette, avant il ne fumait pas mais son existence l'avait poussé a commencer cette détestable habitude. Jack retira le haut de sa combinaison de bagnard et noua les manches autour de sa taille.

J'ai...Il déglutit J'ai tué plus de soixante personnes, j'aurais du finir mes jours dans un asile pénitencier. Alors ce que j'attends en venant ici c'est de pouvoir un jour expier tout cela, de ne plus me réveiller en plein milieu de la nuit en suant et en vomissant mes tripes d'écœurement.

Jack savait parfaitement que cela ne se ferait jamais, il allait devoir vivre avec cela jusqu'à la fin de ses jours. Il se demandait aussi si les gens ici était au courant de qu'il était et de ce qu'il avait fait. Il était clair qu'il ne se ferait pas d'amis, d'ailleurs il n'en voulais pas s'en faire. Il avait trop peur que "l'Autre" ressurgissent sans prévenir. Un bip-bip se fit entendre, Jack mit une main dans une de ses poches et en sortie un cadran de montre (il n'avait pas le droit au bracelet), arrêta l'alarme et attrapa un petit flacon dans son autre poche, il en sortie une dizaine de pilule qu'il avala d'un trait en grimaçant. C'était censé calmer ses nerfs, un stress trop important risquerait de "Le" faire revenir.

Je n'ai aussi pas le droit d'approcher tout objets coupants,ni de faire des activités entrainant un contact physique avec autrui. Hum on aurait mieux fait de me laisser crevé dans une cave murée.

Il pris une grande inspiration, ce qu'il allait demander risquerait de lui apporter l'opprobre de toute le monde ici, mais il devait le faire.

J'ai tué aussi quelqu'un de cet Institut. Je sais qu'elle enterrée ici, j'aimerais aller sur sa tombe. S'il vous plait

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Lun 25 Oct 2010 - 22:18

XX C'est étonnant comment les situations peuvent remettre notre vision de la vie en question. Je vois un homme en forme, pour ne pas dire puissant, bafouillé en parlant d'une petite soixantaine de meurtre. Combien de fois avais-je retiré la vie d'un homme? J'avais cesser de les compter au bout d'une petite année de chasse alors je n'en avais plus la moindre idée. Juste mon attentat contre les White Blood d'il y avait déjà presque deux ans avais dus tuer beaucoup plus de personne. En Italie aussi, j'avais tuer beaucoup de personne avec le C4. Es-ce que c'était moi qui étais si froid? Es-ce que j'étais un psychopathe en puissance qui devrais être limité par des drogues et porté un GPS continuellement? Peut-être que j'avais été moins cruel avec mes ennemis, moins sadique aussi. Peut-être que les morts ne comptent pas vraiment, mais plutôt la façon qu'on l'applique. L'exécution directe, d'une balle dans la tête, était surement moins préjudiciable que de couper la tête en question et de se balader avec quelques temps.
XX C'était une discussion que je réserverais pour Véga, il tenait tant à m'apprendre que tuer c'est mal, je n'allais pas l'empêcher de se marrer comme il peut. Je me concentrai plutôt sur les autres dire de Jack. Ainsi, il n'avait pas le droit au moindre contact physique. Je comprenais que la proximité rendait le meurtre de contact plus simple mais il devait bien y avoir une raison pour tenir à ce point à ce qu'il ne touche à rien. Peu m'importe pour l'instant, je trouverai bien. Ce qui me surpris par contre, ce fut sa demande d'aller visiter la tombe de la jeune Lisbeth Salander. Je n'avais jamais voulu voir la tombe d'une personne que j'avais tué. Ceci dit, personnellement, je n'en voyais pas le problème. Certains parleraient de sacrilège ou de profanation mais pour moi, une tombe c'était une tombe. Je hochai la tête et lui fit un signe de la main en quittant l'institut. On avait une petite marche à faire.

-Je suis quand même surpris de cette demande. En général, il n'y a pas de bonne raison à visiter une tombe sinon que de se rappeler que cette personne est morte et, j'imagine que tu t'en souviens bien. Je n'ai rien contre t'y amener pourtant. Lisbeth Salander venait de m'employer pour faire ton nouveau gardien lorsque tu l'as tuée. J'ai trouvé que c'était une bonne idée de le faire te garder plutôt que de le laisser sur sa tombe. Par curiosité, quelque chose t'as poussé a ses meurtres particuliers ou étais-ce instinctif? Après tout, ça peut-être par vengeance, par contrat ou par pur désir de tuer. Moi c'était pour me venger à vrai dire.

XX Non, je ne m'étais en toute bonne fois même pas rendu compte que j'admettais être un tueur au nouvel élève mais je ne l'ai jamais vu ainsi non plus. Pour moi, c'était un règlement de compte tout simple. Certes, Véga semblait ne pas trouvé cela compréhensible mais pour moi ce l'était. Surtout maintenant que je savais ce qui m'avais, entre autre, poussé à une époque à tué. C'était simplement trop de trahison pour un jeune garçon de 16 ans. Alors que je passais dans la grande cour, je revoyais en flash quelques images de la sombre vision que j'avais eu sur mon lit d'hôpital ou j'agonisais. Un frisson me parcourus le dos que je camouflait comme je le pus. Dos que je présentais d'ailleurs tout normalement à un tueur qui venait d'être transféré d'un pénitentiaire de haute sécurité. D'accord ce n'était pas très brillant mais, de toute façon, nous étions maintenant rendu à la tombe.

-C'est ici que repose le corps de mademoiselle Salander. Vous avez besoin d'un peu de temps pour vous? Je sais que certaine personne voit quelque chose d'utile au recueillement devant une pierre tombale.

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Jeu 4 Nov 2010 - 15:48

Pourquoi il avait tué ? Les flics avaient posé la question, les juges aussi, son avocat et les psychiatres également. Ils en étaient tous arrivé a la même conclusion que c'était uniquement par plaisir, mais un plaisir qui était devenus au fur et a mesure un une drogue. Jack Strom était devenus un junky de l'homicide. Plus c'était douloureux pour la victime, plus c'était cruel sanguinolent plus il aimait cela. Au moment ou il avait été arrêté c'était devenus presque sexuel.

Je penses qu'il tuait parce que cela lui plaisait.

Il n'aimait pas utilisé la première personne du singulier quand il parlait de l'autre Jack. Une manière comme une autre de ce défendre et de prendre de la distance par rapport a ses agissement passé. Jack suivit son hôte jusque devant la tombe de Lisbeth, c'est ainsi qu'elle s'appelait. Une simple plaque posé au sol. Jack s'attendait a fondre en larme ou quelque chose, mais non rien il ne ressentait rien, c'est comme la personne enterré la n'y était par sa faute. Il avait beau essayé de se convaincre du contraire il n'y arrivait pas. L'acceptation de ses agissement viendrait plus tard avait dit les psy, pour l'instant il était dans une phase de refus. Il savait qu'il avait commis tout ces meurtres et il s'en voulait, mais il n'arrivait pas a éprouver un quelconque remord. Enfin si il avait a des remords, mais le même type de remords qu'aurait un enfant ayant fait une bêtise.

Non c'est bon vous pouvez rester je...

Il se prit soudainement la tête, comme pour une grosse migraine. Il savait ce que c'était l'autre venait de se réveiller. Pourquoi ? Il avait pris ses médicaments et aucun signe avant coureur n'avaient été perceptible. Rien ne lui avait fait peur ou ne l'avait stressé, il aurait dut resté encore sagement endormie. Jack sentait qu'il prenait de plus en plus de place dans sa tête. Était-ce le fait de voir la sépulture d'une de ses ancienne victime qui l'avait réveillé. Jack se sentit disparaitre dans une trou noir.

Jack se redressa lentement et pris une grande inspiration.

...je suis toujours content d'avoir de quoi m'amuser a porter de main. Tu demandais a l'autre tafiole pourquoi je tuais ? Mais parce que sa me plaisait, sentir le sang sur ses doigts, tenir au creux de sa mains un cœur encore battant et l'écraser. Voir dans les yeux de sa victime cette peur et cet étonnement quand il comprend que ses finis et entendre ces longs cris d'agonie. Sa vaut touts les spectacles du monde !!!!

Il fit face a Lucifel. Le chien sur le coté se mit a aboyer furieusement. Jack le regarda un instant avant de lui décocher un magnifique coup de pieds qui fit un bruit métalique.

LA FERME SALETÉ !!!

Il fit craqué son coup et s'étira comme après une bonne sieste. Il regarda autour de lui comme s'il découvrait les lieux pour la première fois. Puis fixa son regard, dans lequel on pouvait deviner une petite lueur malsaine, sur l'autre mutant.

Sympa la baraque, j'ai besoin d'exercice c'est l'endroit idéal. Et je suis aussi trés curieux de voir jusqu'où tu peux voler une fois que je t'aurais enlevé les bras et les jambes.

Il se jeta de toute ses forces sur le mutant. D'habitude il était plus vicieux dans ses attaques, il aurait attendus qu'il soit de dos ou la nuit, mais la il était en manque il fallait qu'il tue cet homme et tout ceux qui habitaient la.

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Ven 12 Nov 2010 - 20:07

XX C'était une situation étrange de se tenir devant la pierre tombale d'une femme qui avait été assassiné avec l'assassin en question à ses côtés. Même pour moi qui ne croyais pas trop en l'utilité d'aller dans les cimetières, ça me semblais soudainement pas souhaitable. Qu'es-ce que je m'attendais à ce qu'il fasse? Qu'il recreuse la tombe pour jouer avec son corps mutilés? Bah voyons, ça aurait été le summum de l'inutilité. Puis mon inquiétude sembla prendre une forme plus réelle. J'avais crus comprendre que l'homme à mes côtés avais au moins deux personnalités et j'en avais maintenant la preuve. Le discours me dégouta plus que ne m'inquiéta. J'avais eu affaire avec un très grand nombre de sorte de tueur durant mes années en tant que Chasseur et le genre sadique en faisait partie, je n'étais donc pas très impressionné. Ceci dit, je pris quand même le temps de me reculer de quelques pas. Bonne décision.
XX Franchement, je n'étais pas un débutant en combat en combat rapprochés et j'étais en excellente forme physique, seulement le pouvoir de cet homme était de rendre n'importe quelle partie de son corps extrêmement coupante, c'était du genre dangereux. Heureusement qu'il portait cet habit, j'éviterai donc finalement de lui voler un de ses habits pour l'étudier. Par automatisme lors de l'attaque, je positionnai mes doigts de façon à activer le système de défense inclus dans mon bras. Une puissante décharge électrique sortis de la pointe de mes doigts dès que l'habit de Storm les touchèrent. J'avais suffisamment de jus pour assommé un homme normalement mais je n'avais pas rechargé mon bras depuis deux jours alors le système enclencha un système de protection pour m'assurer que je pourrais toujours me servir de mon bras. Faut pas croire, un choc de cette force ça reste troublant.
XX Je pris quelques pas de recul de plus et releva le pistolet servant aux seringues de médication pour l'homme devant moi. Je ne fis pas feu immédiatement. Il n'aurait pas le temps de se rendre jusqu'à moi avant que je ne lui tire dessus ni le temps de s'enfuir. Je me sers d'arme à feu pour traquer des cibles mutantes depuis bien trop longtemps pour que ce soit un problème. Avant de mettre K.O. Mon adversaire, je devais donner une chance à l'original de prendre le dessus. Si tout le monde le droguais immédiatement, il ne pourrait jamais essayer d'y arriver.

-Merci pour les informations. Ceci dit, tu n'es pas le bienvenu ici. Si j'étais toi j'abandonnerais maintenant. Je suis un très bon tireur et je ne te manquerai pas. Laisse l'autre prendre la place et ne reviens pas. Tu n'auras pas un bon entraînement ici. C'est l'institut Xavier et peut-importe a quel point tu es dangereux, tu ne pourras même pas passer le cadre de cette porte sans que dix télépathes sache ce que tu as en tête et tous les X-men sur le dos. Tu as perdu, peut-importe qui tu es à l'intérieur de ce corps. Ici, à n'importe quel moment du jour ou de la nuit, tu as perdu.

XX Je n'avais pas la moindre idée si ce que je disais avait une véritable utilité mais si cette personnalité possédait aussi un minimum d'intelligence, il saurait qu'il devait se mettre en sommeil indéfiniment. Évidemment, ce deviendrais officiel que Storm ne quitterais jamais cet endroit au risque de réveiller son colocataire mental mais ce n'était pas vraiment une possibilité de toute façon. Et encore, avec tous ce qu'il y a à faire en l'institut, un homme pouvait vivre toute sa vie dans ses murs. Une vie pas géniale, je l'admet, mais c'était mieux que rien.

Jack se jeta sur Lucifel avec toute sa force et sa folie. Il fallait qu'il tue peut importe le risque, en fait il était persuadé de pouvoir prendre la vie du mutant aussi facilement que celle des autres. Mais au moment ou sont vêtement rentra en contact avec le bras de Lucifel une forte décharge le parcourus. Jack fut surpris et choqué assez violement, il reculât en étouffant un cri de douleurs. Le choc électrique l'avait paralysé légèrement il s'ébroua comme une bête qui sort de l'eau, pendant que Lucifel ce mit à parler.

Il conseiller a "l'autre" Jack de repartir dans les tréfonds de la psyché de Jack et de ne plus en revenir. Une chose tout à fait impossible pour lui. Il regarda le mutant en face de lui, avec une colère qui semblait augmenté de seconde en seconde. Comment ce type pouvait le comprendre, il était comme les autres, il lui voulait du mal, il voulait l'éliminer et cela il n'en était pas question.

Jamais, tu ne m’entends jamais. Je ne retournerais jamais là-bas, je préfère mourir que de disparaitre !!! Pourquoi ? Pourquoi je devrais m'évanouir ? C'est lui qui m'a créé, je fais ce qu'il rêve de faire, j'exploite toute les possibilités de son pouvoir alors que lui il en est encore a ce demander si c'est mieux de découper son steak avec son couteau qu'avec son doigt !!!! Si je dois tuer tout le monde pour exister je le ferais !!!! Et si je dois mourrir en le faisant alors tant mieux !!!!

Il se jeta de nouveau sur Lucifel en écumant de rage. Il était presque sur son adversaire quand il stoppa net, un de ses bras fut pris de convulsions. Et deux voies distinctes se mirent à sortir de sa bouche. Le combat intérieur entre les deux Jacks faisait rage.

Laisse moi il faut que le tue !!!
Non tu m'entends tu ne tueras plus personne !!!
Tu ne peux pas me faire cela, j'ai fait de toi quelqu'un de puissant et crains !!!
Tu as fait de moi un monstre, je te laisserais plus faire !!
Je suis ce que tu veux être, je suis ta création !!!!
Tu n'es que ma peur !!! Si je dois te tuer pour t'arrêter je le ferais !!!
Tu ne peux pas me tuer !!! Si tu fais cela tu meurs aussi !!
Et bien tant pis !!!!

Le bras droit de Jack fonça vers sa propre gorge, il fut stoppé par le bras gauche. C'était surréaliste Jack se battait contre lui même au propre comme au figuré. Une moitié de son corps se battait contre l'autre. Finalement une jambe fit un croche-patte à l'autre et une main attrapa la tête du mutant.

Attends, attends, je m'en vais, je pars. Mais sache une chose un jour, tu ne feras pas attention, tu t'affaibliras et ce jours le je resurgirais encore plus fort et encore plus déterminé que maintenant.

Puis soudain le corps de Jack se détendit et s'affala au sol comme une marionnette dont on aurait coupé les fils. Il se releva en haletant couver de coupures.

Il est parti. Il est repartis.

Il reprit son souffle. Et s'appuya contre une statue qui ornait le parc.

Je crois que je vais aller me reposer maintenant.

Sujet: Re: Retour au point de départ [Lucifel] Lun 10 Jan 2011 - 18:01

J'avais vécu des tas de situation étrange durant mes années de chasse. J'avais vu un homme s'embrassant lui-même dans son intimités avant de lui mettre une balle dans la tête, une femme dormant dans son garde-robe, que j'avais laissé en vie pour je ne me souviens plus qu'elle raison, et d'autres choses encore. Je pouvais maintenant ajouté à cela un combat inter-personnalité avec un seul corps en action. C'était aussi passionnant que troublant. Qui allait gagner cette argumentation complètement folle? Au final, es-ce que le corps de l'homme n'était pas gagnant de toute façon? Ceci dit, comme il y avait deux personnalités se faisant la guerre, lune gagnant forcément sur l'autre, si le corps gagnais à tous les coups, cela créait plutôt une forme de combat déloyal à trois adversaires d'une certaine façon.

Ah non, peut-être pas gagnant à tous les coups. Je dois admettre que je ne m'attendais pas à voir un bras tenter de tuer le corps et l'autre tentant de le défendre. J'aurais peut-être put essayer de m'en mêler, j'avais une arme servant à cela après tout. Une partie de moi pourtant s'y refusait. Si le côté positif du corps ne gagnais pas, valais mieux qu'il ne soit pas là du tout. Je tenais l'arme toujours pointé devant moi car s'il y avait bien quelque chose dans la voix qui changeais au rythme des personnalités, je n'avais aucune certitude que ce soit vraiment un combat plutôt qu'une grosse blague pourrie.

Lorsque le combat pris fin, le gentils Storm survivant, je fus presque déçu. J'aurais préféré qu'il soit mort. La menace finale du côté sombre de Storm me semblait on ne peut plus réelle. Je prenais un risque pour mes amis. Xavier prenais un risque pour tous ses étudiants. Je n'avais qu'une envie, le tuer moi-même et maintenant. Pas pour une quelconque revanche ou par haine, mais par pur instinct de protection. C'est pour ça que pendant quelques secondes après son annonce d'être revenu à la normale, je ne cessai pas de le viser de l'arme. Je me creusai la tête mais finalement je repensai à une autre chose. J'avais promis à Véga de ne plus tuer. C'en était fini de mon intention.

-Bien, alors rebienvenu parmi nous. Viens, je vais te montrer ta chambre. Cerberus, vient.

C'était une mission ingrate que j'avais reçu, je le savais maintenant. J'allais devoir garder un oeil de façon continue à tous les systèmes que j'avais développer pour contrôler ses mouvements. Aucun des X-men n'aurait voulu avoir un poid de cette taille sur les épaules et je le comprends parfaitement. Évidemment qu'en mission c'aurait été le comble de devoir s'occuper simultanément d'un criminel dangeureux et psychopathe tout en évitant les attaques de la confrérie. Je n'avais donc pas d'autres choix que de faire de cette mission une grande réussite car, une preuve après l'autre de la confiance qu'ils pouvaient m'apporter, je m'approchais du titre officiel d'X-men. J'avais un but et si pour y arriver je devais me réduire à faire ce genre de triste besogne alors j'étais prêt à le faire sans fléchir. D'une certaine façon, j'allais devoir finir par remercier Storm de m'avoir offert un coup de main. À tout le moins s'il ne finit pas par se révolter et attaquer tout le monde autour de lui ou que quelqu'un ne se décide à le tuer.

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