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 Emerson H. Grit

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3 participants
AuteurMessage
Emerson H. Grit
Neutre Delta
Emerson H. Grit


Nombre de messages : 63
Age : 31
Autre(s) identité(s) : /

Pouvoirs : Acier Organique, Force, Endurance, Resistance physique et thermique

Age du perso : 22 ans
Date d'inscription : 02/06/2011

Emerson H. Grit Empty
MessageSujet: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeVen 3 Juin 2011 - 15:32

Emerson H. Grit
Music is Life





Emerson H. Grit Avaeli11
© avatar


    NOM : Grit

    PRENOM : Emerson Holly

    ALIAS ET SURNOM : /

    AGE : 22 ans

    DATE DE NAISSANCE : 9 décembre 1988

    METIER: Musicienne

    NATIONALITE : Américaine / Allemande.

    GENRE : Femme

    CLAN : Neutre

Pouvoirs

  • Description :
    Emerson a la capacité de recouvrir l’intégralité de son corps d’un acier organique, soit une couche de métal particulièrement résistante et lourde, prenant les caractéristiques physique et chimique de l’acier. D’une couleur gris-bleuté, alliage du fer et du carbone, il permet une résistance aux grosses chaleurs, allant jusqu’à 1000°, sa température de fusion, ainsi qu’au grand froid (-100°) et a certain acide (exception faite de l’acide chlorhydrique qui fait rouiller l’acier). Emerson voit ainsi son poids triplé (atteignant alors les 160 kilos, facilement). La force de Holly est accru, lui permettant de soulever jusqu’à 1 tonne naturellement (sous l’effet d’une forte émotion, le poids qu’elle peut porter double). Ne lui permettant pas de flotter, notre mutante coule lorsqu’elle est recouverte d’acier organique, faisant de l’eau une faiblesse. Autre chose, elle conduit plus facilement l’électricité et son poids réduit sa vitesse. Son pouvoir est pourtant une protection assurée contre toutes sortes de coups, et si elle est évanouie, elle a la capacité de garder son armure d’acier même en étant inconsciente. Avec ses compétences actuelles, Emerson a la capacité de rester près de deux heures, mais avec quelques difficultés cependant vers la fin, car celui-ci lui prend beaucoup d'énergies et de ce fait, la fatigue plus facilement (Du fait de l'emploi répété de celui ci pour son travail, elle a acquis une certaine endurance). La totalité de son corps (organes, os compris) se transforme. Elle ne peut pas ne recouvrir qu’une seule partie de son corps (c’est tout ou rien). Elle respire, mange, boit, sous sa forme métallique. Au niveau de ses blessures, si elle se blesse sous sa forme humaine, la blessure apparait toujours sous sa forme métallique, sinon, dans le cadre d’une blessure sous sa forme métallique (plutôt rare et qui s’apparenterait plus à des os brisés), la blessure est la même lors du changement de transformation, en pire puisque les coups portés sur une armure d’acier sont plus puissant et avec plus d’impact sur un corps de chair, si blessure il y a.

  • Niveaux de maitrise:
    Assez bon niveau de maitrise, en partie grâce à son expérience dans la vie quotidienne (Elle l’utilisait régulièrement dans son travail lorsqu’elle était à Hawaï, pour gagner sa vie), mais Emerson a encore beaucoup de chose à apprendre sur ses capacités et la potentialité de son pouvoir, mais aussi sur sa maitrise, car ses sentiments l'influencent encore énormément.


Description Physique :


  • Apparence

    « Je ne suis que physique et illusion, définitivement trop irréelle pour être quelqu’un. »

    L’apparence est la première partie d’un être (humain ou non) que l’on peut mirer, celle qui est l’évidence même de l’existence matérielle d’une personne, que l’on peut considérer comme vivante, du moins, physiquement parlant. Le bien visible de l’entité, l’enveloppe corporel fait d’os et de chair, là ou repose l’esprit et l’âme, introduit dans une exuvie temporaire… ou éternelle. Cette partie tangible reste pourtant le déguisement de l’esprit, rien qu’un masque arboré pour montrer au monde notre fausse volonté, notre fausse existence. Caché derrière un regard pénétrant, un sourire évoquant le mensonge même, un minois si adorable et parfait que cela en devient suspect. Le corps est l’hôtel d’une espèce d’humanité, une part de vérité camouflé sous une couche de fausseté.

    Mesdames, Messieurs ! Regardez ces risettes, ces éclats aussi frais que pure et dites moi ce que vous y voyez ! Osez vos mots, qu’ils franchissent la barrière de vos lèvres ! Quelle langue vous vient ? Que voulez-vous exprimer pour parler de cet ange venu des enfers même ? Que le jargon vous échappe les amis, qu'il en vienne à s'enfuir sans que vous ne le vouliez ! Osez, osez brave gens, rien n'est trop beau, rien ne suffit, rien n'est parfait. Et pourtant…

    Prologue d’une description, doux conte d’une beauté dont on parle, chaque mot pèse sur la conscience pour décrire l’extraordinaire et l’ordinaire, réunies en un être, une entité palpable et présente, pourtant aussi vide que surnaturelle. Ce corps, pourtant si frêle d’apparence, est, en fait, d’une robustesse sans borne, pouvant être entaillé, certes, mais pas pour autant brisé. D’une élégance rare, irradiant la sérénité à même la peau, tel est son corps et sa beauté, un ravissement qui s’en va au-delà des dieux et des envies. Si le divin a crée ces êtres, ces corps, c’est pour que des âmes les habitent. Mal conçu, mal fabriqué ou au contraire trop parfait… Qui sait ?

    Emerson est ce que l’on peut appeler une jeune fille « naturelle ». En phase même avec dame nature, elle est ce genre à ne pas apprécier les grossiers artifices que l’évolution a offert à la Femme. Si le maquillage offre du charme aux jeunes humaines, Holly (de son deuxième prénom) est certaine de ne pas vouloir connaître l’utilité de ces produits valorisants. Parce que ses joues sont déjà fraiches et rosées, son teint de poupée à de quoi faire pâlir celles qui se tartinent de crème pour garder vigueur, ses fossettes creusés aux coins de ses lèvres sont en tout point mignonnes.
    L’adorable restait bonne enfant, celle qui n’a jamais demandé de jeunesse ou de beauté mais qui l’a pourtant obtenue et qui a aussi su en tirer les vertus. La demoiselle possède un sourire très franc, d’une sincérité sans limite, qu’elle n’offre pourtant que rarement. D’ordinaire, ses lèvres restent inlassablement sèches, sans jamais se tendre pour témoigner de ses plaisirs. Une grâce brutale, l’on ne peut croire que sa carrure pourtant si fragile puisse s’accroitre et obtenir une force si herculéenne. Si ses muscles ne sont pas visible, ils n’en restent pas moins présent. Son corps est d’un acier glacé, d’une froideur incroyable, proportionnelle à la pâleur de son visage.

    « Un sourire ne coute rien, ça en dit pourtant beaucoup selon la situation. Mais je préfèrerai m’arracher les yeux, me bruler la langue et me coudre les lèvres que d’en offrir un. Parce qu’un sourire, ça ne s’offre pas à tout va ! Un sourire, ça vaut trop pour moi, ça ne se donne que par amour lorsqu’on peut encore l’éprouver ! Un sourire, c’est tout ce qui me reste après tout ce temps, alors ne me le vole pas. »

    Ses yeux ronds pétillent encore d’une malice d’enfant, malicieuse et espiègle qui s’exprime à travers ces regards trop souvent perdus. D’une tendresse sans borne, c’est ainsi qu’elle arrive à montrer ses envies et sentiments. Emerson a le don de la parole, de savoir dire les bonnes choses au bon moment mais ce n’est pas pour autant qu’elle les pense. Ses yeux, eux, ne trahissent pas ses émotions lorsque l’honnêteté est de mise.
    Ses cils sont recourbés, donnant plus de profondeur à ses iris océans, ses sourcils marquent ses expressions, passant par l’étonnement, la colère, la surprise, la douceur, l’impassibilité. Même les pierres peuvent pleurer. Son visage est encadré par une crinière longue et ondulés, tirant sur le blond ou le châtain selon l’éclairage extérieure, cette tignasse incoiffable arrondis et adoucis les traits de son visage.
    Lui tombant dans la chute des reins, ils dévoilent de temps à autre un dos long et droit, une nuque belle et pâle, ainsi que des épaules. De ses cinquante trois kilos, l’on ne la pense pas capable de soulever une maigre charge. Elles portent pourtant les peines de ce monde, soutenant les poids de la tristesse et de l’absence, du doute et de l’hésitation. Elles tiennent de long bras fins, des mains qui tiennent souvent un pinceau, un crayon ou un appareil photo, les touches d’un piano. De longs doigts aux ongles acérés…

    Ses jambes sont longues et aussi fines, souvent découverte parce que Rose aime porter des jupes, des robes volantes lui arrivant aux genoux. S’il y a une mode qu’elle apprécie énormément, c’est sans aucun doute celle des années 50’ avec les jeunes écolières, les souliers vernies et autres robes pliés aux chaussettes montantes et chemises fermées. Le raffinement se lit sur ses traits, elle est de celle que l’on ne dompte pas sans un minimum de séduction, et elle est de celles qui veulent être présentable. Bien qu’élancée, elle n’en reste pas moins petite du haut de son mètre soixante cinq. Sa taille ne l’a jamais dérangé car elle sait qu’elle correspond au mieux à son âme d’enfant…

    « J’aurais aimé être une femme, allongée sur le dos, les jambes écartées, écrasés par le poids d’un homme au dessus de moi… Agamemnon, Apollonia. »



Caractère

  • Mental

    « Le destin s’acharne sur ceux qui n’ont rien demandé. Je n’ai pas le souvenir d’avoir désiré être ce que je suis, ni d’avoir voulu une quelconque amélioration dans ma vie. Je me répugne, autant que j’ai pu me détesté avant ça. Être humain était déjà une plaie béante, être mutant reste pour moi le pire des cauchemars. On pouvait reconnaître une chose à l’humanité : elle pouvait au moins goûter les saveurs de l’univers. Pourquoi moi ? Pourquoi ? J’ai toujours été une fille discrète et peu avenante, l’on ne m’appréciait pas parce que je ne souriais pas, et la solitude n’engageait que moi, alors je m’en contentai. Je me plais à être seule, je me sens bien lorsque je peux savourer les courts instants que l’on m’offre. Les songes, les rêves… Je me perds à penser, non pas à vivre mes pensées. J’apprécie le calme et la sérénité car c’est dans ma propre nature d’être ainsi. Le silence est ma plus grande amie, une sœur qui m’accompagne par-delà les années. Elle est celle qui m’écoute, sur qui je me repose. Elle me permet de me retrouver lorsque je m’égare, d’imaginer. Parce que l’imagination m’a toujours porté sur ses grandes ailes argentés, au loin dans ces contrés reculés, là ou la pluie tombe sans cesser ou le soleil n’éclaire plus ma peau.

    C’est parfois dans un regard, dans un sourire, que se cache les mots qu’on a jamais su dire.

    « Il me faut me présenter, n’est-ce pas ? Parler de moi, de ce que je suis aujourd’hui et qu’importe mon statut. Très bien, je m’empresse de le faire pour vous satisfaire : Je suis une fille éperdue dans les méandres profonds des ténèbres, le cœur rongeait par l’obscurité du néant, une de ses âmes perdues qui recherchent désespérément une main secourable. Une main qui accepterait de se faire mordre avant d’être agrippée. Ce que je veux dire par là ? Non, je n’ai jamais été du genre a accepté l’aide que l’on veut me porter, je me renfrogne aux moindres signes d’intérêts, je fuis l’engagement comme la peste parce que je ne veux plus vivre de sentiments, je ne m’en crois plus capable. Néanmoins, un être qui peut vivre ne devrait pas faire son chemin seul, ne devrait pas fuir la compagnie des autres par peur, par crainte. Je ne suis qu’une pauvre chose effrayée, qui n’a jamais été apprivoisé. Indomptable et fougueuse sont deux adjectifs qui me qualifient a merveille. Ça ne tient qu’à moi, toujours.

    Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu, c'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. P. Eluard.

    « Bourrée de défauts ? Oui, j’en ai, comme tout le monde. Je suis peut être mutante et peut être que mes tares ne se voient plus autant, mais elle reste là. Parce que, je serais à jamais têtu comme une mule, persuadée de mes capacités, de ce que je peux faire. Pessimiste ? Moins qu’avant, mais je dramatise toujours trop sans même m’en rendre compte. Je ne fais jamais confiance, je suis méfiante, je le suis depuis mon plus jeune âge. Parce que l’on ne se refait pas, même avec le temps. Je réagis comme une enfant, sautant trop vite en conclusion. Je fais des choses déraisonnables, je joue avec le feu en sachant que je peux me bruler. Ça ne me dérange pas, parce que je n’ai peur que des hommes. La peur engendre la haine. Misandre depuis mon adolescence à cause d’évènements malheureux, je hais l’homme. Est-ce pour autant que ma sexualité se tourne vers la femme ? Non. Je ne me permettrai pas ce genre d’excentricité. J’apprécie les femmes à leurs justes valeurs : elles sont volupté et raffinement, grâce et élégance et j’aime capturer les sentiments qui émanent d’elles.

    C’est juste une tentative pour retrouver le bonheur…

    « Ce que j’entends par « Capturer » ? Je suis une artiste, une vraie. Dans mon âme regorge cette fibre rare mais présente, celle qui éprouve le besoin de s’exprimer par l’art, la création. Je joue du piano depuis des années, j’apprécie les demi-mesures et même les fausses notes. Les couleurs se gravent en moi le plus simplement du monde et de mon crayon et de mes mots s’écrivent les pensées les plus belles qui puissent me traverser. A cela s’ajoute un narcissisme flagrant, mais l’on ne m’en tiendra pas rigueur, parce que j’ai du talent.

    « Bon, je ne suis pas pleine de défauts comme le dressait le portrait au dessus : j’ai aussi ma palette de qualités. Je vous l’assure ! Par exemple, je suis d’une fidélité parfaite : Je n’ai jamais quitté ma solitude. Même si je me lasse d’elle… Je suis une personne obstinée et intelligente. Malgré mon côté enfantin, j’ai une très grande culture et je sais l’utiliser au mieux, d’ailleurs j’aime étudier et je ne me lasse jamais d’apprendre. J’aime les choses très simple de la vie de tous les jours, comme faire semblant de dormir, suivre le train-train quotidien, manger une énorme tarte aux fraises, du chocolat, du lait et des cookies,… Je me fiche du reste, et aussi égoïste et egocentrique que cela puisse paraitre, je ne m'interesse pas plus que cela aux parades mutantes. J'en ai connaissance et conscience, mais je n'ai ni l'envie, ni la patience, de rejoindre l'un des groupes de mutant existant actuellement. Les bons, les méchants, les idéologies, les policiers mutants ou pire encore (Même si le fait d'avoir une police pour les mutants, et donc une reconnaissance de l'existence des mutants, est une bonne chose, je n'ai pas l'intention de prendre contact avec eux)... Cela me passe largement au-dessus de la tête. Mais peut être que plus tard, je serais apte à choisir...

    C'est un peu ainsi que je me vois... Ou que je suis, tout dépend.

    Nous ne sommes que des hommes, parait-il.


Histoire

  • Biographie


    « Merci d’être venu me voir. Prenez place je vous prie… »

    Ils pénétrèrent dans le bureau du Docteur O’clark, un homme grand, les cheveux grisonnant et l’air avenant. Il semblait ravi de la voir, ravi de l’accueillir sans savoir à quoi vraiment s’attendre en sa compagnie. Il l’invita à s’assoir dans un canapé beige, en cuir, assortie à la sobriété de la pièce, à la douceur apaisante qui régnait. Les derniers rayons du soleil filtraient à travers les longs rideaux tirés, amenant une touche de chaleur qui rassura la jeune fille.
    Ses longs cheveux blonds étaient relevés en une queue haute, sa peau était lisse, ses yeux à peine maquiller. Un petit minois charmant, souligna le médecin d’un regard tendre. Elle portait un haut blanc, une écharpe légère cachant son décolleté, ainsi qu’un jean tout simple. Malgré toutes ses bonnes dispositions pour la mettre en confiance, elle ne semblait pas vouloir se mettre à parler. Son bonjour avait été à peine audible, ses sourires restaient discrets, et il avait la nette impression que les mots étaient sur le bord de ses lèvres rosées, prêt à sortir à tout instant.

    « Vous vous appelez ?
    - Emerson Grit.
    - Vous vivez depuis longtemps à New York ?
    - Non, seulement quelques mois… »

    Il la fixa au-dessus de ses lunettes en demi-lune, reprenant doucement :

    « D’où venez-vous alors ?
    - Hawaï, d’Honolulu plus précisément.
    - Hawaï ? Vous n’êtes pourtant pas… enfin, je veux dire…
    - Je n’ai pas l’air d’y venir ? Je sais. Mon père venait du continent, ma mère d’Allemagne. D’où mon type plutôt germanique. Mais je suis née à Hawaï et j’ai grandis là-bas.
    - Pourquoi être venu ici alors ? »

    Elle le fixait droit dans les yeux, avec un petit sourire. Se contentant d’hausser les épaules comme toute réponse, le docteur O‘clark compris qu’il n’avait pas grand-chose à attendre de plus venant d’elle. En tout cas, pas s’il se contentait de rester sur des questions de la sorte.

    « Pas par choix, je suppose… La vie ? Des évènements particuliers ?
    - Les deux. »

    Il posa son stylo et prit appuie sur son bureau, posant sa tête sur sa main, tenant fermement la position, il fronça les sourcils en gardant son agréable sourire bienveillant.

    « Si vous vous contentez de ça, cela ne servira à rien.
    - Je ne suis même pas convaincue que cela serve vraiment à quelque chose…
    - à vous libérer d’un poids peut être ?
    - Qu’est-ce qui vous fait croire que quelque chose me pèse ?
    - Vous ne seriez pas là sinon. Alors ? »

    Elle le fixait toujours, jusqu’à ce que ses yeux s’embuent de larme et qu’elle détourne le regard, mal à l’aise. Ses joues rosirent légèrement et elle se mit à renifler. Les bras croisés sur sa poitrine, fuyant les mires de son médecin, ce dernier comprit très vite que la chose était sérieuse, assez pour qu’elle prenne la peine de s’ouvrir, l’espace de quelques secondes à peine. Des larmes qu’elle n’avait pas su lâcher plus tôt.

    « Vous savez, reprit-elle en sanglotant, les choses n’ont jamais été très faciles pour moi… et personne n’a voulu le comprendre. J’ai été soit trop gâté, soit pas assez, trop aimé ou pas du tout, je n’ai jamais eu de véritable équilibre. A Hawaï, rien n’allait vraiment, et j’avais beau me demander pourquoi, tentais tout ce qui m’était possible de faire… rien n’a vraiment changé. La situation à la base était déjà de la merde et… tout s’est envenimé si vite… »

    Il la fixait toujours de derrière son bureau puis fini par se lever et par se rapprocher de sa patiente, s’installant dans un fauteuil mou juste en face d’elle.

    « Ma mère est du genre à vouloir toujours tout contrôler, absolument tout, à toujours vouloir que tout file droit comme elle le désirait. Elle est forte et autoritaire, manipulatrice, et quand bien même je sais que c’est horrible de dire ça, je n’ai pas le souvenir d’avoir été une seule fois attachée à ma mère. Quand j’en avais besoin, elle n’a jamais su être là pour moi, m’aider, me soutenir… J’ai été… j’étais pour elle un obstacle à tellement de chose… J’ai toujours été responsable de tout ce qui n’allait pas…
    - Et votre père ? »

    Elle essuya une larme d’un revers de main, reprenant d’une voix plus apaisée en pensant à cet homme qui l’avait créé :

    « Il nous a aimé pour deux, ma sœur et moi. Il n’était pas le meilleur des papas, il nous gâtait trop, et il était très souvent occupé par son travail. Mais on pouvait dire qu’il tenait à nous. Je me souviens l’avoir vu rire et sourire tellement de fois… Après, ça n’a plus été pareil.
    - Après quoi ?
    - La mort de ma sœur… Katy. Ça l’a anéanti, je crois…
    - Comment est-ce que c’est arrivé ?
    - J’avais 6 ans, c’était un après midi. Nous avions décidé d’aller au parc en bas de notre rue et puis ensuite d’aller nous baigner. Il fallait pour cela descendre toute notre rue, puis ensuite traverser une route pour accéder à la plage derrière un chemin. Nous habitions loin de la ville pour le calme… Tout allait bien au début, puis j’ai perdu le ballon que j’avais dans les mains en plein milieu du chemin près de la plage. La balle est repartie en arrière, Katy lui a couru après, jusqu’au milieu de la route… Un chauffard est passé au même moment et l’a renversé…
    - Et vos parents ?
    - Mon père ne m’en a pas voulu, il ne m’en a jamais tenu responsable. J’avais assez du poids de ma culpabilité et j’étais surtout sa dernière fille et qu’il n’aurait pas supporté de me perdre aussi. Différemment de ma sœur, certes… Nous aimions tous les deux ma sœur, plus que tout. Elle était ma meilleure amie, à Hawaï. Sa perte nous a beaucoup rapprochés, lui et moi, parce que nous partagions la même douleur, et que j’avais besoin de mon papa à ce moment-là…
    - Votre mère ?
    - Elle a vécu ça… autrement, disons. Je crois qu’elle a plus été affectée par le fait que je me rapproche de mon père, plutôt que par la perte de sa fille aîné… »

    Il arqua un sourcil, surpris par cette déclaration. Il n’était pas rare de voir ce genre de cas, lorsque la mère se plaçait en compétition avec sa fille pour l’amour du père, mais il y avait toujours une limite à ne pas franchir, qu’importait la situation. Il avait l’étrange impression, au vu de l’état de la jeune fille en face de lui, que plus d’une limite avait été franchis à l’époque…

    « Vous pensez qu’elle était… jalouse ? reprit-il.
    - Elle l’était. Mais c’était maladif, chez elle. Elle était jalouse de tout ce qui était possible de jalouser. Même au collège, quand j’ai commencé à avoir des petits amis, elle me jalousait. C’est horrible de dire ça, répondit-elle en secouant la tête. Je suis désolée, j’exagère sûrement…
    - Du tout. Vous vous sentiez étouffé ?
    - Oui… Beaucoup. Par ses comportements. Elle me faisait payer beaucoup de choses. Petite, je pensais qu’elle m’en voulait pour la mort de Katy, mais une fois, j’ai compris que c’était tout autre…
    - « Une fois » ?
    - Oui, elle m’avait regardé de travers lorsque j’étais sur les genoux de mon père, et plus tard, elle m’avait attrapé dans un coin pour me dire d’arrêter de faire ma « midinette » avec lui. Qu’elle m’avait à l’œil. »

    Elle marqua une pause, un peu confuse parce qu’elle racontait.

    « On ne choisit pas sa famille, fit le Docteur O’clark avec un sourire confus.
    - Il parait. »

    Un autre silence prit place. Il jouait avec ses doigts, les faisant glisser le long de ses paumes. Sa voix perça l’ambiance lourde qui commençait à peser sur leurs épaules :

    « Comment vous vous en êtes sortis, vous et votre famille ? »

    Elle fit un soupir, se relevant du dossier du canapé. Se posant sur ses genoux, elle se replongea dans ses souvenirs, cherchant les choses évoquantes qu’elle pourrait raconter. Sa bouche se fermait et s’entrouvrait régulièrement, comme si quelque chose allait s’envoler. Quelques sons étouffés presque immédiatement, la jeune fille semblait troublé…

    « Plus ou moins bien. Mon père et moi faisions notre possible, ma mère me détestait. J’ai été élevé dans une ambiance assez particulière…
    - J’entends ça, oui. »

    Elle sourit et un rire maladroit lui échappa.

    « J’ai essayé de mener une vie normale après ça, même si le procès contre le chauffard de ma sœur faisait partie de notre vie, si je passais plus de temps avec le juge à parler et rabâcher ce qui s’était passé… Personne n’a vraiment eu conscience que je voulais oublier un peu. J’ai toujours été mise le nez dedans, comme pour me rappeler que c’était de ma faute si ma sœur était morte. Oui, c’était de ma faute… mais… à 6 ans, comme à 10 ans… N’a-t-on pas le droit d’essayer de se racheter ?
    - Vous rachetez de quoi ?
    - Du mal que j’ai pu faire…
    - C’était un ballon.
    - C’était aussi de ma faute. J’aurais dû faire attention, si j’avais été prudente, si je n’avais pas fait mon caprice pour sortir, si…
    - Avec des « si », on mettrait Paris en bouteille…
    - … et je la boirais, pour tout oublier, coupai-je simplement. »

    Un nouveau silence surplomba la pièce. Il eut un sourire désolé avant d’enfoncer ses lunettes sur son nez.

    « Porter un enfant responsable de tous ses malheurs, voilà le véritable tord, le vrai préjudice que vous avez subit.
    - J’avais aussi mes tords.
    - Croyez ce que vous voulez, mademoiselle Grit, mais vous n’êtes coupable de rien. »

    Elle le regardait dans les yeux, mal à l’aise de nouveau de ce qu’il lui disait, de ce qu’elle pensait. Il pouvait sentir dans son regard un trouble sur lequel il n’aurait pu poser un nom. La souffrance des souvenirs et des mots qu’il prononçait, le soulagement d’être un peu innocenté… Retiré d’un poids, elle n’était pas pour autant plus légère…

    « Vous avez des passions ?
    - La musique, dit-elle sans hésiter.
    - Vous jouez ? Chantez ?
    - Les deux. Du piano depuis l’âge de 5ans, je n’ai jamais lâché cet instrument. C’est ce qui m’a permi de survivre, je crois. De la guitare aussi, de la batterie, un peu de basse. Je chante depuis que j’ai eu mon premier groupe, et qu’on m’a poussé à le faire…
    - Vous chanteriez, pour moi ?
    - Je… Je ne sais pas… Attendez… »

    Elle ferma les yeux, se concentrant. Quelques échauffements de voix, leger, presque imperceptible. Ce n’est que quelques secondes après qu’une prise de parole plus assuré s’empara de la salle et des tripes de chacun. Sa voix suave s’élevait doucement, virevoltant dans les airs tels une fumée fougueuse, les tons chaud de sa tonalité naturelle, s’emmourachant d’un rythme plus brut, un jazz comme il n’en connaissait plus, qu’il avait rencontré que plus jeune. C’était une voix chatoyante, agréable, apaisante. Il se sentait plus léger, plus libre. Jusqu’à ce que sa voix retombe et que son cœur bondissant ne cesse de battre, que les charges du monde retombent sur ses épaules…

    « Incroyable, dit-il après un silence. Quel talent.
    - Il ne m’a pas toujours apporté que des joies.
    - C’est-à-dire ?
    - à 17ans, j’ai fait la rencontre d’un musicien de ma trempe à Honolulu, lorsque nous nous produisions pour la première fois. On est tombé amoureux, il était plus vieux de 2 ans. Pendant près de 6 mois, j’ai cru revivre et être aux anges car ma vie entière me semblait… parfaite. J’étais heureuse, je faisais ce qui me plaisait, mon père était fier de moi, ma mère me laissait tranquille, mon petit ami était aussi beau que talentueux et mieux encore… il avait l’air d’être amoureux… J’avais des amis, une famille… Une nouvelle famille dans laquelle j’étais bien…
    - Et alors ?
    - Ma plus grosse erreur a été de croire que « fais-moi confiance » était un bon moyen de contraception. Ma première fois, avec un garçon que j’aimais. Juste après l’avoir fait, il m’a largué. Je ne vous dis pas le choc. Et puis, quelques semaines plus tard, j’étais en cloque. »

    Il soupira, désespéré par le comportement de ces garçons irresponsables et de ces jeunes filles naïves.

    « J’ai été bête, c’est vrai… Mais ce n’était pas vraiment le pire…
    - Ah ?
    - Vous vous y connaissez en ADN et mutation ?
    - Vaguement, pourquoi ? »

    Elle se mordit la lèvre, reprenant difficilement sa respiration.

    « Ce qui me rassure, c’est que vous n’avez pas le droit d’en parler. Et je suis toujours humaine, même si on peut en douter parfois. Vous ne direz rien, n’est-ce pas ?
    - Je ne dirais rien, promis.
    - J’ai fait quelques recherches sur la génétique des mutants. Il est dit que les pouvoirs des mutants ne se déclenchent qu’après un évènement fort. La séparation d’avec mon copain de l’époque a été assez, je crois, pour le provoquer. Je suis une mutante, pour ne pas dire une abomination sans nom. »

    A peine avait-elle terminé sa phrase qu’une épaisse couche d’acier organique s’emparait de sa silhouette. Le canapé en cuir s’enfonça, cassant les lattes qui renforcé la stature…



    « Désolée…, dit-elle doucement en faisant s’en aller son alliage si particulier.
    - Ce n’est pas grave. »

    Le médecin restait impassible et souriant, ni surpris, ni dérangé, par ce qu’il venait de voir.

    « Lorsqu'il claqua la porte, me laissant à moitié nu dans mon lit, il se passa... ça. Je mis quelques secondes à comprendre que j'étais différente, c'est quand je croisai mon reflet dans le miroir que ce fut un choc. Je ne comprenais pas, j'étais monstrueuse, et plus je voulais redevenir normale, plus j'avais l'impression que ce métal se greffait sur ma peau, faisant parti de moi à jamais... J'ai eu peur de devoir me montrer comme ça, mais par chance, j'eus l'occasion de m'enfuir sans que personne ne me voit. Au début, je ne maitrisais rien du tout, j’étais une catastrophe ambulante. Je réussissais à me cacher, de mes amis, de mes parents… et puis, ma mère s’en est rendu compte un jour et elle m’a chassé de la maison. Une transformation, comme ça... et puis, plusieurs fois après, toujours lorsque j'étais sous l'effet d'une émotion forte, jusqu'à ce que le parquet sous mes pieds ne se brisent complètement... Mon père n’a rien fait pour me retenir, il a même dit que j’étais un monstre. Mes amis refusèrent de me parler lorsqu’ils apprirent la nouvelle, car pour eux, j’étais trop dangereuse pour rester là. J'ai l'air d'être légère là, mais je peux vous assurer que la première fois, j'ai eu vraiment peur... De moi, de ce que j'étais. C'était à la fois "hyper cool" et terrifiant. J'ai voulu apprendre à ne plus jamais m'en resservir, j'ai voulu l'oublier, ne plus l'utiliser... Pour dire, j'étais... Une horreur. Mutante et enceinte, le pompon sur le gâteau…
    - On dit « la cerise sur le gâteau ».
    - Je sais…
    - Et qu’avez-vous fait ?
    - Je suis partie vivre avec les émigrés de l’île d’Hawaï, dans ces quartiers malfamés ou j’aurais préféré ne jamais mettre les pieds. On a essayé de me violer près de 6 fois le premier jour, le deuxième seulement 3, le troisième, on ne m’approchait déjà plus. Ce pouvoir avait son avantage dans cette situation, disons… Et puis, un homme, Tatsu Womei m’engagea dans son garage. Il savait que j’avais besoin d’argent et d’un logement, lui, d’un compresseur pas cher. J’étais donc la machine qu’il lui fallait. Lorsqu’il apprit que j’étais chanteuse et pianiste, il fit en sorte que je puisse me produire dans les bars du coin ou nous étions. J’étais mutante, mais on ne m’embêtait pas. On m’aimait, parfois.
    - ça allait déjà mieux, alors…
    - On peut dire ça. Pendant 2 mois, avec un ventre qui grossissait jour après jour. Un soir ou je me produisais, un homme est venu m’aborder.
    - Un homme ? Et il voulait quoi ?
    - Je me suis demandée au début, et puis, il a commencé à me draguer, on a pu se voir un peu, un peu plus souvent, pour finir par être beaucoup plus ensemble. Vous savez, un homme qui s’intéresse à vous alors que vous êtes enceinte jusqu’aux yeux, ce n’est pas courant. Je me suis demandée si c’était une mauvaise blague, un gag de mauvais gout, je l’ai plusieurs fois envoyer se faire voir chez les grecs en pensant qu’il se moquait de moi… Mais il est toujours revenu. Il m’a aidé pour le bébé, pour les échographies, tout ça.
    - Qui était-ce ?
    - Masao Hu.
    - ça me dit quelque chose…
    - Pas étonnant. J’ai appris à le connaitre sans savoir ce qu’il était réellement, et pas une fois il n’a été méchant envers moi. Jamais. Je crois qu’il m’aimait vraiment. En sachant tout ce que j’étais. A peine majeur, avec des erreurs de parcours, un gène mutant… Enfin, la totale. Tout sauf sexy si vous voyez ce que je veux dire… »

    Il hocha la tête… Un silence s’installa de nouveau et enfin, telle une illumination, il cria :

    « Attendez ?! Masao ? Masao Hu ? Mais ce n’est pas un criminel recherché ?!
    - Et bien… Si.
    - Bon dieu de banane ! Lâcha-t-il, éberlué. »

    La jeune fille le fixait, étonnée par ce qu’il venait de dire. C’était une expression amusante, elle eut un petit sourire.

    « Il n’était pas méchant. Bon, il a déserté l’armé, s’est mis au service des yakusas, est un homme de main plutôt sanguinaire. Mais il m’aimait –je crois-. Très peu de gens savent qu’il existe, il sait ce faire discret. Le seul problème, c’est qu’un mois plus tard, après m’avoir dit toute la vérité sur son identité, il m’annonça qu’il devait partir et changer de pays, et qu’il ne pouvait pas me faire risquer de mourir en le suivant... »

    Il reprit son sérieux, plissant les yeux en suspectant quelque chose…

    « Mais il n’y a pas eu que ça, n’est-ce pas ?
    - Non… Les médecins m’ont dit que ce n’était pas de ma faute mais… juste après l’annonce de Masao, de son départ, j’ai fait une fausse couche… … Au sixième mois, ce n’est pas courant… Masao a appelé une ambulance, m’a accompagné à la clinique… J’ai été hospitalisé d’urgence, pour une hémorragie interne importante, pour la perte du bébé qui, apparemment, était mort avant. Mon corps n’avait fait qu’expulser le corps. Anomalie chez l’enfant, m’ont-ils dit…
    - Et ? Vous n’y croyez pas ?
    - Pas vraiment. C’est trop de hasard, non ? Je ne peux pas m’empêcher de dire que c’est de ma faute si je l’ai perdu… j’étais pourtant très prudente, et Masao l’était pour deux… Alors je ne comprends pas… Je ne comprends toujours pas qu’est-ce qui s’est passé… »

    Une énième pause, tandis que les larmes remontaient à ses yeux…

    « Masao m’a trouvé un appartement à New York, où il m’a prié de m’installer. Il m’a dit qu’ici, j’aurais plus de chance de percer dans la musique… je ne pense pas avoir ce courage-là, pas maintenant en tout cas.
    - Vous avez des nouvelles de Masao ?
    - Une lettre de temps en temps… à laquelle je ne peux pas répondre…
    - Vous en étiez amoureuse ?
    - Oui. Oui, parce qu’il m’avait redonné de l’espoir, il m’avait fait rire, sourire, aimer à nouveau, parce que malgré tout ce que j’étais, malgré le fond que j’avais touché, il… m’aimait. Et pour ne rien gâché, il était charmant, beau, intelligent, musclé, talentueux, rusé, mystérieux, énigmatique…
    - Vous l’aimez toujours ?
    - Probablement… »

    La discussion se termina simplement. La séance finit, le soleil avait quitté les planches. Emerson quitta la salle après que le docteur lui ait demandé de revenir. Elle déclina sa proposition poliment, lui assurant qu'elle n'en avait pas la force pour l'instant. Elle prit le pas vers le bar au coin de la rue ou son groupe l'attendait pour jouer...

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    Comment avez vous connu le Forum ? : Et bien, à vous dire la vérité, j’étais déjà sur ce forum avant, il y a plus d’un an. Mais suite à quelques problèmes, de santé surtout, j’ai dû abandonner un peu tout ce qui concernait le RP, par manque de temps et de motivation. J’ai gardé l’adresse sous le coude parce qu’ici, j’avais passé de très bons moments de rires et de bonne humeur, ainsi qu’écrit des RPS que j’avais adoré. Et me revoilà. Pour ceux qui se souviennent et qui sont toujours là, j’étais Rory Quinn ou Leïa Susan Troy. :3

Spoiler:


Dernière édition par Emerson H. Grit le Dim 5 Juin 2011 - 12:38, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeVen 3 Juin 2011 - 18:15

Bienvenue, enfin je devrais dire bon retour.

Bon courage pour ta fiche, prévient nous quand elle sera terminée.

Cordialement

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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeVen 3 Juin 2011 - 19:41

Fiche terminée Smile

Sinon, merci ^^
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeSam 4 Juin 2011 - 11:51

Bonjour, ta modération est entre les griffes enfin je veux dire les mains d'une femme fatale.

NOM : ok

PRENOM : ok

ALIAS ETSURNOM : /

AGE : Pour moi elle a 23 ans au vu de sa date de naissance

DATE DENAISSANCE : ok

METIER: ok

NATIONALITE : ok
GENRE : ok

CLAN : ok
Description : combien de temps peut elle rester sous cette forme ?
Niveaux de maitrise: ok, rajoute aussi que les sentiments influencent son pouvoir

Apparence le poids du personnage ?

Mental:que pense t elle de l'idéologie de Xavier, Magnéto et du BAM ?

Biographie:

juste un peu plus de détails sur sa première transformation comment elle est arrivée ( tout de suite après l'annonce de la rupture, un peu de temps après en public, est ce que cela a durée longtemps …) et comment elle l'a vécu cette journée si particulière ?

Je n'ai pas grand chose à dire sur l'ensemble de ta fiche juste quelques petits détails, mais rien de bien méchant. une fois tes modifications faites tu auras ma bénédiction. Je reste, cependant à ta disposition. Fait moi signe quand tu auras fait les corrections.
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeSam 4 Juin 2011 - 15:30

Je crois que j'ai rajouté/modifié ce qu'il fallait, en espérant que ça ira Smile Merci !
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeSam 4 Juin 2011 - 16:14

Il me manque juste l'avis sur le BAM.

pour le reste c'est tout bon et je te donne ma bénédiction.
Bon courage pour ta seconde modération
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeSam 4 Juin 2011 - 16:22

L'avis sur le B.A.M. est explicité Smile J'espère que ça ira :3
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeSam 4 Juin 2011 - 23:54

Second tout de modération ma jolie !

Alors, ses organes se transforment-ils en acier eux aussi ?

Peut-elle transformer une seule partie de son corps ?

Est-ce qu'elle respire sous sa forme de métal ? Peut-elle se passer de boire, de manger ?

Si elle est blessée sous sa forme humaine, la blessure sera t-elle toujours présente sous sa forme de métal ?

Si elle est blessée sous sa forme de métal, la blessure sera t-elle plus importante quand elle sera sous forme humaine ?

Pour le reste ça me va.

Apporte les modifications pré-écrites et je donnerai ton second avis positif ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeDim 5 Juin 2011 - 12:39

J'ai ajouté ce que tu m'as demandé dans la partie du pouvoir, Smile s'il y a autre chose à mettre, dis moi! Very Happy
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeDim 5 Juin 2011 - 13:43

Non tout est parfait, j'ai pris un très grand plaisir à te laire, c'est donc un très grand second avis positif ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitimeDim 5 Juin 2011 - 14:12

Emerson H. Grit Welc210
Félicitations, nouvelle neutre delta, les portes de X-men rpg te sont enfin ouvertes!

Avant de commencer à jouer, n'oublie pas d'aller te recenser sur la liste des avatars , la liste des pseudos et la liste des pouvoirs.

S'il s'agit d'un double compte, pense aussi à poster sur la liste des multi comptes.

S'il s'agit d'un personnage marvel, n'oublie pas de te signaler sur cette liste.

Enfin, si tu veux qu'un joueur joue quelqu'un que tu as évoqué dans ta fiche, merci de remplir le formulaire que l'on trouve ici. N'oublie pas de mettre le lien vers la fiche de ton personnage dans ton profil, et si le cœur t'en dit, tu peux aller rédiger une fiche de relation ici.

D'avance merci et surtout, bon rp parmi nous!

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MessageSujet: Re: Emerson H. Grit   Emerson H. Grit Icon_minitime

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