A la recherche du FLM [PV: Phil]

La phase une du plan de Tarnek étant de trouver quelqu'un qui allait pouvoir lui dire son avenir, cette phase était à présent terminé, il avait rencontré Hayden un mutant capable de voir le passée ou l'avenir d'une personne. Le problème est que par ça rencontre, il allait devoir à présent le libéré de son Chaz, en plus il n'avait eu aucune nouvelle comme il le voulait, le jeune homme ne contrôlait pas ses précognitions, le russe ne savait donc pas comment pouvoir retrouver le Front de Libération Mutant. Il recherchait ce groupe et l'oracle n'avait pas donné signe d'une vision proche de cette rencontre, ni même d'une lointaine alors il allait devoir marcher autrement, il allait essayer de les amener à lui. Ce groupe de mutant était très violent et était sans pitié, il ne respectait rien, hors le fait que le téléporteur sois sous les ordres de Magnéto, sa vision de ce qu'il faisait était proche du FLM, il allait donc marcher à leur manière pour essayer de les amener. Pour la phase bis de son plan, il allait donc voir gros, le meilleur moment était le jour, le meilleur endroit une rue très fréquenté, aujourd'hui serait un jour noir pour les USA.

Départ de bon matin, il fut réveillé par les lueurs du soleil car il était connu que les ruines que squattait le russe n'avait aucun volet, ce fut cette lumière sortant d'un horizon plutôt élevé, il fallait dire que le levé de soleil sur New York se faisait tôt le matin mais en centre ville les buildings cachaient la lumière. Cette chaleur caressant son visage, cette lumière traversant ses paupières, Tarnek se leva aveuglé par la pureté du soleil, mettant alors une main sur son visage, masquant ses yeux pour se rouler sur le côté. Comme tout les matins, il lâcha des insultes en russe car il en avait marre de toujours être levé aux petits matins passant ses nuits à roder pour tuer quelque gang et sauver quelque fois des personnes dans le besoins. Le comportement du téléporteur agissait à l'inverse du temps, le jour il devenait un terroriste attaquant femme et enfant, et la nuit il ne tuait que les malfrats et aidaient les gens. Il n'était pas vraiment méchant mais travaillant pour le secteur externe, il se devait de faire des actes terroristes pour masquer le plan secret de la confrérie, c'est pourquoi il devait montré son mauvais côté au grand jour. Il se leva de son sac de couchage et le replia pour le ranger dans son grand sac à dos, sortant directement habillé, il n'eut pour petit déjeuner qu'un vieux morceaux de pain tout dur, une boisson, oui de l'eau de gouttière, il vivait vraiment comme un SDF. Il était pas plus de dix heures quand notre sans abris de la confrérie décida de partir, saisissant tout son équipement allant de son katana jusqu'à ses grenades, il ne lésinait pas sur les moyens, il devait marquer un grand coup dans les esprits des habitants de New York. C'est en étant armé jusqu'au dent qu'il se balada dans les rues, les passants le regardaient avec frayeur, il fallait dire qu'il avait son katana dans une main et le fusil à pompe de l'autre, même les policiers avaient trop peur de l'arrêter. Les quelques personne et surtout officier qui essayaient de l'arrêter on finit dans le néant, le russe créait des portails en aspirant les officiers et leur voiture, créant des petites folies, des appels pour la police et autre mais Tarnek n'allait pas s'en arrêter là.

C'est alors qu'il arriva à son point d'arrivée, il traversa le pont de Brooklyn, marchant en plein milieu de la route, se faisant klaxonner par les voitures, il marchait sans regarder ce qu'il se passait autour de lui, fixant un point à l'horizon, ignorant les insulte des passants. En arrivant au centre du pont, il décida de faire un carnage, créant des portails un peu partout, provoquant des accidents sur le pont, les voitures passaient à travers et rentraient dans une autre de l'autre côté. Bien sur le russe lui était en sécurité, il veillait à ce que rien ne lui arrive, utilisant sa bulle de protection pour ne pas se faire toucher. Puis au bout de quelque minute il arrêta ses portails, ils ne servaient plus à rien, les accidents avaient créé des embouteillages, plus rien n'avançait, dans le grand accident, il y avait eut des survivants mais aussi des blessées léger et certain grave. Il y avait eu quelques voitures qui étaient tombé du pont par le choc, il avait réussit, il avait causé de gros dégâts mais ceci n'était qu'un début. Une des personnes qui étaient encore en vie sortie comme il le peux de sa voiture avant de se diriger vers le mutant, il était gigantesque, pesait facilement les cent kilos de muscles, il semblait menaçant.

"-Hey mec t'es complètement malade de faire ça ! Enfoirée de mutant on va te faire la peau pour ce que tu viens de faire, vous n'êtes que des abominations du monde, vous méritez de crever et je vais le faire. "

Les insultes ne touchaient pas vraiment le russe mais il en eut marre de l'entendre jacasser, plaçant alors son fusil à pompe dans son manteau avant de dégainer son katana pour trancher le bras de l'homme qui le pointait du doigt avant de lui couper la tête. Le corps tomba alors au sol et les quelques personne qui eurent vu cela partir en courant ou se masquèrent le visage, certain voulaient même vomir. Cela faisait quelque minute qu'il avait commencer ses actions et les hélicoptères des informations étaient déjà arrivé, il avait à présent l'attention de tout le monde, il allait donc montrer sa véritable venu.

"-Pouvoirs aux mutants, nous sommes l'échelon de l'évolution et vous êtres faibles ne voulez que nuire à l'évolution de l'homme, empêchant l'évolution de l'espèce humaine, vous avez peur de devenir faible mais vous êtes faibles. Nous sommes l'avenir, vous êtes le passée, en voulant nous tuer vous condamner l'espèce humaine, il y aura toujours des mutants alors lutter contre nous ne sert à rien, devenez ne esclaves ou mourez. Vive les mutants et nous le Front de Libération Mutant allons détruire l'espèce humaine pour que seul le gène X survive."

Après ces quelques mots pour essayer de faire venir le FLM, marquant son action un grand coup en se faisant passer pour eux, il devait marquer leur attention, il devait marquer New York, il devait marquer tout le monde. Mais il devait continué son acte terroriste, levant les yeux vers les hélicoptères de la télévision, il balança quelque hélicoptères pour détruire les hélices ou sinon les queues du véhicules. Une pluie d'hélicos s'abattit sur la flotte, tombant non loin de quelque bateaux, provoquant un nouvel élan de panique, puis il commença à monter la montagnes de voitures pour avoir un aperçut de la foule, il commença alors à tirer avec ses deux pistolets pour faire des victime. Il était clair et net qu'il était en train de faire un acte terroriste, il faisait beaucoup de chose qu'il évitait à la base, il commença donc à attendre de voir ce qu'il allait se passer.

Phil était tous ce qu'il y avait d'un homme qui aimait son métier : il ne rechignait jamais quand on lui parlait d'une mission qui pourrait mettre en danger sa vie, quand on lui proposait un entraînement, c'était toujours avec un large sourire qu'il acceptait, et trouvait même matière à sourire quand tout craignait pour sa vie. Il était même venu à un stade qui l'avait poussé à exiger de son patron qu'il n'hésitait pas quant l'idée de faire appel à lui lors de dimanche, ou jour de congé, il n'était pas censé travailler – il en avait bien sûr acceptait les conséquences, soit ne pas se rebeller quand sa vie privé en était meurtrit; mais la vie privé de Phil se limitait à ses collègues de travail, et un Espagnol qui lui enseignait cette fameuse langue pour quelques dollars.

C'était ce qu'il lui était arrivé ce jour-ci, appelé à se rendre au pont de New-York pour acte de terrorisme, alors qu'il était descendu au droguiste de sa rue pour acheter un poulet qu'il comptait cuisiner pour le diner. Évidemment, le coup de fil qu'avait reçu Phil de la part de son patron avait laissé sur le visage du jeune homme un épais sourire, qu'il avait prit le soin de masquer derrière un casque de moto noir une fois qu'il eut atteint, devant chez-lui, situé entre une vielle voiture rouge cabossé et au rétroviseur pété et un parcmètre bleu clair et sans doute bien remplit, la moto qu'il avait, dans un élan d'excitation – lié à l'idée de travailler, bien sûr – enjambé avec fougue, pour ensuite mettre le contact.

Celle-ci était suffisamment rapide pour qu'il pu voir rapidement les raisons qui avait poussé son patron à l'appeler sur le tas : un tas de voiture en l'occurrence, superposé ensemble pour créer une sorte de pyramide de voiture, camion, il y avait même quelques hélicoptère sur le haut, suffisamment pour ne pas avoir explosé du moins. A voir le carnage qu'un groupe de personnes avait fait, il commença à trouver plus ça posé que super.

Au vu du soleil qui tapait New-York à cette heure-ci, plus les vitres et rétroviseur de tout ces véhicules empilés, Phil prit rapidement une expression du visage montrant un énervement du jeune homme – il fallait dire que bien que son pouvoir avait des avantages, il comportait aussi un triste effet secondaire. De vilains mots, comme disait certains, perça ses lèvres, et frappa le tympan de quelques un de ses partenaires de travail.

Certains de ceux-là ne savait pas quoi faire, quelques uns tentait la monté de cette montagne de ferraille mais parmi ceux qui y arrivait, nombreux disparaissait dans ceux qui avait semblait être, aux yeux de Phil, une bulle blanche. Ce blanc étincellent n'était pas aux gouts du bamers, et rejoignit rapidement, en même temps qu'un nouveau mot du même genre que le dernier, la partie de ses collègues qui montrèrent un vif énervement aux agissements de ces personnes.

Phil du s'aider des ombres pour monter, récupérant une infime partie des chaines qu'était fait le pont, il pu créer quatre boule, dont l'apparence variait entre le rond et le spectral, dont il se servit pour monter – chacun de ses membres soutenu par une, celles sous ses mains servant plus à l'équilibre qu'à tout autre chose. Il arriva rapidement en haut et pu constater la présence que d'un mutant.

« J'espère que t'aime l'ombre, car les cellules de la BAM en sont remplies. »

Pour toutes vigilances prisent à l'égard du perturbateur aux accents de terroriste, il prit entre ses mains une des boules qu'il avait précédemment créé, et garda l'autre pour seules point d'équilibre.

L'attentat du russe avait eu un grand effet côté média mais il n'avait eu aucun signe de mutant appartenant au Front de Libération Mutant, la seule personne qui arriva jusqu'à lui fut un autre homme, il ne semblait pas dangereux du tout. Les seules paroles de l'homme réussirent pour autant à rendre le mutant de bonne humeur, il lui demanda si il aimait bien l'ombre car les prisons du BAM en étaient rempli, voilà de belle parole. Cet homme était du BAM, cette police mutante capable de grande chose pour attraper de puissant mutant, ils pouvaient même être capable d'arrêter des mutants aussi puissant que Magnéto. Magnéto, le boss de la confrérie, un mutant que même Tarnek ne pourrais égaler, un mutant si puissant que la plupart des confréristes restaient par crainte et non par respect. Pouvoir alors affronter un adversaire aussi puissant, un agent du BAM, un homme de terrain qui devait égaler de puissant mutant, voilà un combat qui allait marquer New York ainsi que le BAM. S'il réussissait à vaincre cet agent ou à lui échapper cela marquerait un grand coup sur le nom du russe, sa prime allait monté, et en plus il allait même pouvoir narguer le BAM en leur échappant ou sinon en gagnant.

"-De l'ombre ? Ce la ne me gène pas mais j'espère que toi non plus tu n'en as pas peur car entre une cellule et le néant je pense que le néant est bien plus noir agent du BAM. Pour te rendre service sur la personne que je suis, je m'appelle Tarnek Zabrovski alors si tu connais mon casier tu vas pouvoir t'aider face à moi."

Le russe regarda l'agent qui était au loin, il commença à ranger ses pistolets dans son manteaux ainsi que son katana, il rangea toute ses armes pour ensuite avoir les mains libre. Sa première réaction fut de tester les réflexes et les réactions de son adversaire, il décida de faire une attaque brève mais efficace. Il créa un portail aussi grand qu'un camion pour l'envoyer directement en direction de l'agent, le portail était centré pour qu'il prenne au dessus et en dessous de l'agent, essayant de lui donner aucune solution pour fuir. Le portail était unique, possédant ainsi un allé simple pour le néant, il allait envoyer l'agent du BAM dans cet endroit sombre ou planait des cadavres à moitié brouiller. Le téléporteur créa juste après avoir envoyer le portail, un second avec son jumeau au dessus du pont, il le traversa pour se retrouver au dessus de tout. Il regarda alors la situation qui se passait en bas, il ne voyait que des petit rectangles de couleurs plus ou moins grand ainsi que des petites fourmis qui grouillaient dans tout les sens. De la haut, mise à part la zone de crash ou se superposait, la vue donnait place à une partie réelle de Tetris, sauf que là il avait gagné car toute les lignes étaient remplie. Il voyait une petite fourmis isolé en plein milieu des voitures, cet fourmis, c'était l'agent du BAM, le russe voulait aller le voir mais d'abord il voulait faire une nouvelle vague d'attentat. Il créa un petit portail aussi gros qu'un poing devant lui et un autre derrière l'agent du BAM, il voulait le soumettre à un test, il allait parler à travers pour lui soumettre ses pensées.

"-Bon monsieur du BAM, on m'a souvent dit que vous étiez de redoutable mutant possédant de puissant gadget pouvant vaincre de mutant du niveau de Magnéto, j'ai hâte de voir vos compétences car figurez vous que la foule derrière vous va être en danger, j'espère pour vous que vous pourrez les sauver."

Il stoppa directement son portail avant de commencer son nouvel attentat, il saisit ses grenades et les balança dans des portails, il lança un total de six grenades, chacune passa à travers un portail différent. Les six grenades tombèrent alors au dessus de la foule, bien sur eux ne savaient pas vraiment ce qui allait leur tomber dessus, les grenades allaient exploser dans moins de dix secondes. Les cartes étaient joué pour le russe, il avait joué sa paire de dix, il jouait de petite cartes mais avec de grand impact car si l'agent du BAM n'arriverait pas à stopper ses grenades, il allait causer la mort d'une vingtaine de personne. Le fait qu'une tel catastrophe se passe sous les yeux du BAM et qu'il ne puisse intervenir montrait un côté de leur inutilité, après tout contre certain adversaire, Tarnek n'était pas très puissant. Mais tout mutant possédant des pouvoirs hors psy était déjà désavantagé face au téléporteur, il pouvait vaincre des mutants même certains X-Men car il pouvait renvoyer leur pouvoir. Il en profita aussi pour sauter dans le vide, il devait baisser un peu pour plus apprécier le paysage, mieux voir son œuvre, il voulait voir chaque explosion, entendre les cris de la foule. Dans sa chute libre, il décida d'utiliser ses portails pour se retrouver sur le bord d'un des pilier du pont, s'asseyant alors sur ce rebord pour admirer son attentat.

Un révolver pointé sur lui, une arme blanche dont coulait le sang d'un homme qu'il voyait mort, une main qui gisait sur le sol, une tête détaché du reste du corps était retombé sur le capot d'une voiture rouge, sortit quinze ans plus tôt. Les yeux de Phil, cachait derrière une paire de lunette de soleil – fine et qu'il mettait hors du travail, car il n'avait pas prit le soin de les changer par manque de temps –, regardait tour à tour la lame, le cran de sécurité, puis le visage, de l'homme.

Il se rappela à ce moment-là qu'il avait, à porté de main, une arme sûr lui-même, donné par la BAM un an plutôt, preuve qu'il n'avait pas prit tous les automatismes que son travail apprenait. Il avait cependant une arme bien plus puissante dans sa main droite, qu'il savait être très utile et maniable.

Phil avait toujours ce sourire réjouit quand on lui parlait d'ombre, à tout moment de la journée. A croire que son pouvoir se faisait tellement important, que même ce mot faisait varier son humeur entre joie et énervement. Il était donc bien évidemment encore présent quand le terroriste se mit à parler – d'ailleurs l'alliance des mots mutants et terroriste avait fait surgir au jeune homme des souvenirs d'heures passait à étudier un coup monté qui s'était joué un ou deux mois plus tôt... Était-il de la confrérie ?

Pas le temps au jeune homme de répondre à cette question que le mutant avait éveillé la curiosité de Phil : Tarnek... Tarnek... il avait vu ce nom dans un dossier, sur l'étiquette du moins, oui, c'était sur le devant d'un casier judiciaire qu'il avait vu passer entre les mains de quelques enquêteurs. Mais le grade du jeune bamers ne lui permettait pas de les voir, sauf ce qui permettait une stratégie d'approche pour une futur mission donné par ses employés.

Mais pas le temps ! Il venait de lancer contre Phil ce qui semblait être un transporteur ! Devant agir en vitesse, il lâcha la brume qu'il tenait dans la main droite, puis fit de même avec la gauche, chacune d'elle prirent place dans les ombres qu'il avait au pied, et le temps pour Phil de sauter, elle s'était combiné pour former un assez large disque épais qu'il pu utiliser pour se déplacer avec plus d'aisance.

Le jeune mutant qui ne pouvait avoir une agilité hors-du-commun, du tenir la brume en même temps que ses pieds étaient dessus pour ne pas tomber à terre, et commença une tentative de fuite de la brume en ligne droite pour prendre de la vitesse, puis fit monter la brume pour échapper à ce cercle un peu trop familier à son gout.

Non sans un souffle de soulagement, il lâcha le disque de ses mains pour se retrouver debout, essuya ses mains qui avait prit la moiteur d'une action autant inattendu qu'épuisante. Il était encore loin du mutant, quelques mètres plus haut et plus loin. Mais il ne préféra pas chasser la bête tout de suite, et s'assura avant de sécuriser le pont, et appuya donc sur l'oreillette qu'il s'était équipé plus tôt pour parvenir à entrer en contact avec ses collègues plus bas :

« Jim, Tom, Nick ! surnom qu'il était toujours mieux d'user en des temps actuels, je règle le problème Tarnek, vous : amenez les civils à l'abris et délimitez le... »

Trop tard pour parler ! L'australien venait d'être contact par une voix sortit de nul part lui faisant grace de compliment au sujet de ses compétences en tant que bamers, une voix qui agaça le jeune homme qui y trouvait une trop forte ressemblance avec la voix d'un téléporteur trop bien connu. Il énuméra les pouvoirs qu'il avait remarqué chez le mutant, du plus récemment découvert, au plus ancien, mais ne pu finir, il venait de voir quelques uns de ces cercles dont Tarnek avait le secret naître dans le ciel – bien que si petit qu'il n'en vit qu'un ou deux.

De là, l'homme lança une multitude de cadeau empoisonné. Phil, dont la concentration défiait l'idiotie, ne pu se retenir de lancer, à la poursuite d'une de ces armes, un bout de la brume dont il usait pour voler, et pendant qu'elle prenait le même téléporteur pour rejoindre la grenade et propulser celle-ci dans l'eau froide qu'avait New-York – un coup de chance plus qu'autre chose, car une fois le téléporteur atteint, Phil n'était plus arrivé à la diriger –, Phil perdit toute équilibre et s'effondra sur le toit d'un camion gris métallisé, amortit par une ombre qu'il avait fait bouger plus par un reflex de survie mutante que par autre chose.

Bien inefficace face à une série de ces armes explosives, il allait devoir attendre l'explosion de celle-ci, couché sur le toit d'une voiture, une côte frappé par le métal qu'était fait le véhicule, sans non plus la briser, quand une idée vint le frapper alors qu'il refusait de lever son visage vers les civils.

Ne savant pas pourquoi il n'avait pas pensé plutôt à cette possibilité, il commença à changer l'ombre du camion, et par un effet d'ombre lié les unes aux autres par cette proximité,il pu concentrer, sur un rayon d'un peu moins de quinze mètre, une densité suffisamment importante pour soulever seulement grenade et autres petits objets du même poids, ou moins.

Faisant léviter les grenades de quelques mètres, dans une masse noire informe, il sécurisa le terrain sur un rayon de quatorze mètres et demi, et dans un effort qui lui valu un rictus sur le front, et toute son énergie, ou presque, les fit monter suffisamment haut pour pouvoir toucher Tarnek, bien que le noir de la brume ne lui permit pas de voir, pendant que Phil pu arrêter son action.

« Rend toi maintenant avant que ça ne dégénère ! lui cria-t-il pendant qu'il peinait à se relever, tout en espérant avoir sécurisé tous les civils des grenades du mutant. »

Fatigué par sa chute, puis par le nombre excessif d'ombre utilisé, il préféra rester assit au lieu de se relever, et lança plusieurs ombres suffisamment dense et petite pour percer la peau du terroriste, qu'il lança par un geste de l'index pour une meilleur visée et concentration.

L'agent du BAM n'était pas du tout inoffensif, cet enfoiré avait réussit à contré l'attentat du russe mais il fit bien mieux que cela, il avait remonté les grenades, les faisaient volé dans les airs avec une technique un peu bizarre, c'était une sorte de nuage qui les portait. Les dit nuages montèrent bien haut, au niveau du mutant pour que celles si explosent sur lui mais bon Tarnek n'allait pas se faire avoir par une chose aussi futile, ce qu'il venait de faire était un test mais pour lui c'était rien de bien méchant. En voyant les grenades qui se trouvaient à son niveau, il commença à esquisser un sourire sur ses lèvres avant de se créé une bulle protectrice juste avant la détonation. Une légère forme bleuté recouvra la peau du mutant et sans bouger il admira l'explosion de ses propres armes, il pouvait voir le spectacle en première loge car l'avantage de sa bulle était qu'elle téléportait même les sons, ainsi il n'allait rien entendre. Les grenades explosèrent alors de mille feu, le mutant put voir les étapes, tout d'abord c'était le contour en métal qui sautait pour faire place à un léger flash blanc, puis ce fut l'explosion. Une grosse bouffé de chaleur vint caresser la paroi de la bulle avec un son très bruyant sauf pour le russe, il put alors voir la dernière étape qui était la partie fumigène car il y avait de la fumée un peu partout. Ce qui était un petit rebord était presque devenu un balcon avec l'effet des grenades, il avait largement la place pour s'installer, un grand troue c'était formé dans la parois du pilier. Avec l'explosion et la destruction du pilier, des débris tombèrent sur le cimetière de voiture que se trouvait juste en dessous, dans les yeux du grand public il devait s'agir de la mort du mutant. Ainsi Tarnek profita de la fumer pour sa seconde peau et montrer sa toute puissance aux yeux des caméras, levant les bras en l'air en esquissant un grand sourire de joie. L'agent qui se trouvait juste en dessous criait pour se faire entendre par le terroriste, il osait lui demander de se rendre avant que cela ne dégénère et il était vrai que le russe voulait faire cela mais pas pour la même raison que le BAM. Il était vrai qu'il cherchait à communiquer avec le BAM pour essayer de faire une sortes d'alliance avec eux histoire de se partager des informations sur le Front de Libération Mutant, essayer d'avoir des données sur certain membre déjà connu des autorités. Il avait un atout le Tarnek, il avait un oracle, un petit devin alors il pourrait essayer de connaître leur prochaine attaque et capturé un des membres du groupe pour le soumettre à un grand interrogatoire. Mais en même temps si il pouvait continuer pour attiser la colère du groupe pour peut être le faire venir était une chose bien plus importante car il se débarrasserait de beaucoup de tâche d'un coup.

"-Me rendre, vous osez demandé à moi le grand Gate Mirror de me rendre, misérable mutant tu ne peux rien face à moi, on ne peux pas arrêter le Front de Libération Mutant, nous sommes tous puissants nous sommes des mutants."

C'est durant le petit pitch du mutant que l'agent du BAM attaqua, il envoya des sortes d'ombre sur le russe, il y en avait beaucoup et les premières à arriver firent des troues dans le béton du pilier. Le russe commença alors à essayer de les éviter avant de sauter sur le côté, à travers un portail pour ne plus être dans la direction des étranges projectiles, il se trouvait à nouveau tout en haut du pilier. Malgré sa suprême agilité situé aux niveau d'une tortue remplit de rhumatisme, il réussit à ne pas mourir sous les coups de feu, ou plutôt d'ombre, quelque projectile avait éraflée ses jambes ainsi que ses bras. Il avait été gentil depuis le début avec un agent du BAM et celui-ci venait de l'attaqué directement sans relâche, il décida alors de répliquer.

"-Hey c'est pas très poli d'attaquer quelqu'un pendant qu'il parle, en plus tu fais ça devant toutes les caméras de la ville, mais bon cela montre au moins l'efficacité du BAM, si tu veux vraiment te battre je vais te montrer ce que veux le FLM."

La réaction du russe fut immédiate, il sortit ses deux armes à feu, ses deux pistolets et se prépara à une attaque suicide, il se mit face aux vides, commença à se mettre dos au pont, levant alors ses bras en croix, une arme à chaque main. Il se laissa alors tomber en arrière en faisant le saut de l'ange, rabattant alors ses mains en crois contre son torse, regarda l'asphalte se rapprocher, il se trouvait juste au dessus de l'agent. Quand il fut assez prêt pour viser, sois 100m, il tendit ses deux bras vers le sol et tira continuellement sur l'agent du BAM, tel une rafale dévastatrice, une pluie de la mord, une pluie de balle. Une fois les chargeurs vide, soit une quarantaine de balles tirés, il utilisa un portail pour ne pas se fracasser le crâne contre le bitume, il c'était téléporté cinq cent mètre au dessus de l'agent, il décida de ranger ses deux pistolets vide pour sortir une artillerie bien plus lourde, le fusil à pompe, il ne l'utilisait presque jamais et encore moins en chute libre, cette fois si il n'allait pas pouvoir en vider le chargeur. Il tira trois cartouches de fusil à pompe, chaque coup lui broyait les bras à cause du recul du tir, et à nouveau il se téléporta pour ne pas se cracher mais cette fois il préféra se téléporter directement sur le pilier pour ne pas retomber dans le vide. Bien sur il créa plusieurs portail pour ralentir sa chute pour ne pas se casser les jambes, il profita du moment pour ranger à nouveau son fusil à pompe et remettre deux nouveaux chargeurs dans les pistolets en commença à remettre des balles dans les chargeurs vide. Le russe prenait toujours tout ce qu'il avait, il n'était pas étonnant qu'il puise faire cela en plein combat.

La façon qu'avait eu le terroriste pour éviter ces puissantes et fines ombres,bien que moins qu'une réelle balle de révolver, amusa le bamers qui,de dos au soleil, s'était construit ce qui semblait être un mur brumeux, n'ayant que comme seul intérêt de le protéger de ce dernier.

Une technique que pouvait user le mutant lorsqu'il avait un ennuie en mission, et que le manque d'ombre le rendait moins attentif – si c'était seulement possible de l'être moins – sur les choses importantes.

De la faute d'une lubie prise il y a de nombreuse années aujourd'hui, il avait gardé, bien que derrière un mur créant un coin d'ombre en pleins jours d'été, ses lunettes sur le nez. Il avait toujours gardé une main droite levé, pendant que l'ombre descendait pour récupérer une nouvelle parcelle d'ombre qu'elle modelait, pour se relayer dans une cadence rapide.

Car comme dit plus tôt, la force des brumes lancé sur l'ennemie l'avait plus que réjouit, et pendant qu'il semblait interpréter la danse celtique de base sur le haut d'un pont fait de ferraille, Phil c'était vu grandir un plan dans ses pensées, mais il n'eut pas le temps de le construire entièrement.

Tentative vaine de lui assener un coup puissant et précis sur l'omoplate droite, le bamers avait scruté attentivement le jeune homme, avait plus que scrutait les parcelles visibles de son corps, pour en mémoriser la dimension, et avait « tiré » une balle, qui aurait sûrement atteint sa cible si il n'aurait pas sauté dans l'un de ces portails sphérique dont il faisait naître aussi rapidement qu'une poule caquetait.

Toujours la tête levé si haute qu'il aurait pu voir le soleil derrière lui, si il n'aurait pas été caché, il entrevit un portail se recréer et le mutant tomber juste au dessus de lui, et pendant que ce dernier sorti ce qui semblait être deux révolvers, Phil tendit la main vers lui pour lui assener un coups bien placé sur l'épaule de droite, mais avant d'avoir pu faire venir l'ombre devant lui, il entendit le bruit d'un coup de feu trouant le camion sur le quel il était, à quelques centimètres de ses orteils.

Regardant à sa droite, une autre voiture non bien loin, à la couleur jaune et à bande latérale blanche, qu'il s'entreprit à atteindre pour échapper au coup de feu, quand, pied dressé pour s'apprêter à sauter, il tombât du véhicule avant de comprendre que la voiture avait l'air si proche pour la simple et bonne raison qu'il était juste au bord du camion. Évitant de justesse un coup de feu mal placé, touchant la cuirasse de la voiture jaune, il s'adossa au camion pour ne pas être toucher par les coups de feu lancés.

Réjouit par un moment de tranquillité – les coups de feux ayant cessé sur le pont –, il entreprit un nouveau contact avec ses collègues de boulots :

« Jim ! Jim ! » … « Tom est dans le coin ?! J'aurai... » … « Putain mais sèrieux, qu'est-ce qu'il fout à ne pas travailler en pleins jours de congés ce con ?! » … « Garde l'œil sur les civils, je me charge du gars ! » …

Se levant, pour faire un état des lieux, il ne pu se reposer très longtemps avant d'entendre le canon d'une arme plus puissante que ces dernières. Par chance, le coup tiré échappa de peu à l'australien,qui se vit offert d'une belle blaffre à la joue – blessure superficiel. Pour prévenir du mal que lui aurait causé l'arme après un second coup, il préféra se mettre à courir, échappant de par ce fait à un second coup, et au prise à un angle sec juste après, il usa de ses compétences pour fuir l'angle, frappant, à l'aide de la brume le protégeant du soleil jusqu'à lors, bien qu'amoindrit par les effets de l'ignorance, son flan droit pour ensuite amortir la collision entre lui et la camionnette d'une célèbre agence débarrassant les mites, cafard et autres nuisibles.

Il profita de cette cachète – si l'on pouvait appeler ça comme ça, disons du moins qu'il y avait de nombreuses voitures entre lui et Tarnek – pour fondre la brume dans l'air, pour avoir quelques réserve si jamais il était en situation de faiblesse. Fouillant ensuite sa ceinture en quête d'une arme métallique en vain – l'ayant laissé chez-lui puisqu'il était en jours de congés –, il dut finir par se lever, gravir une voiture, et tenter le coup de bluff à l'homme qui portait maintenant deux révolvers chargés :

« Que j'entende le moindre cliquetis venant de la sécurité de tes armes, l'apparition de l'un de tes téléporteurs ou quoi que ce soit, en d'autre mots : que tu fasse le moindre geste; et je lâche deux balles dans ta nuque ! Tu te souviens, celle qui ont faillit te blesser il y a quelques minutes ! »

Phil jouait gros sur ce coup, il suffisait qu'il se tourne pour voir qu'elle n'était pas là, et il aurait tous son temps pour décocher une balle dans le crane du bamers, si seulement il acceptait de défier son mensonge, et s'il visait suffisamment bien à une quinzaine de mètre de distance.

L'attaque du russe n'avait pas été inutile, sa pluie de balle avait fait fuir le bamer, il courait dans tout les sens se cachant d'abord derrière une camion quand Tarnek tira ses quarante balles des pistolets. Quand le téléporteur sortit son fusil à pompe et commença à tirer, l'agent du BAM préféra courir dans tout les sens, c'était risible, cet homme était un mutant, il était censé pouvoir vaincre des mutants cinq fois plus fort que le russe mais face à de simple balle il ne pouvait rien faire. Après son attaque, il préféra se reposer, se téléportant en haut du pilier, il commença à sortir ses deux chargeurs vide et ouvrit une petite poche remplit de balle. Cela mit quelque minute pour remplir ses deux chargeurs ainsi que de remettre deux cartouches dans le fusil à pompe, il était à présent prêt pour un nouvel assaut. Durant sa pause de rechargement, il entendit l'agent du BAM qui essayait de lui parlait ou plutôt de l'effrayer, c'est pourquoi le russe jeta quelque coup d'oeil dans le vide pour regarder ce que faisait la petite fourmis en bas. Ce qu'il disait était une menace, si le téléporteur utilisait un portail, tirait un coup de feu ou faisait autre chose, le bamer allait tirer avec ses balles étranges, celle qu'il avait tiré un peu plus tôt. Mais bon ce n'était pas le russe qui allait avoir peur de cela car après tout il était un téléporteur, il pouvait téléporter ces balles si il le voulait, il était un intouchable. Tarnek n'allait donc pas écouté les mauvais conseils de l'agent du BAM, de toute façon il n'écoutait personne, il n'écoutait même pas ses alliés, seul Magnéto était son maître, il était donc le seul à pouvoir lui donner des ordres. Mais même si il comptait pas écouté la pseudo menace, il n'allait pas y aller sans vraiment se protéger non plus, il devait utiliser une protection mais cela allait lui demandé une chose plutôt difficile. Il recommença alors une attaque mais cette fois il ne prit ni fusil à pompe ni pistolet, il n'allait même pas utilisé son arme favorite le katana, il allait utilisé une chose qu'il faisait jamais d'habitude. Se précipitant dans le vide, sautant en bougeant dans tout les sens, il activa en même temps sa bulle protectrice, une seconde peau bleu commença à recouvrir tout le corps. Il avait activé sa bulle pour se défendre tout le long d'une attaque, sa bulle allait pouvoir le protéger des balles du bamer. Dans sa chute libre, il ne sentit rien, il n'entendait pas le vent, ne se sentait pas attirer vers le sol, il était dans un autre monde, coupé de cette réalité ou cette chute était son envol. Il se rapprocha peu à peu du sol, pouvant voir l'agent de plus en plus gros, passant du statut d'une fourmis à celle d'un homme normal, au moment de sa chute, Tarnek désactiva avant de frapper le sol sa bulle protectrice et créa un portail de téléportation. Il était réapparut en plein milieu de la foule un peu plus loin, apparaissant au dessus d'eux, il retomba en plein milieu et tous commencèrent à crié en le voyant.

"-Messieurs les bamers test n°2, le titre du jour, pourrez-vous sauver ces centaines de personnes du mort terrible ?"

Il créa alors un grand portail de la taille d'un camion à la place du béton et tout les new-yorkais traversèrent alors le portail pour se retrouver téléporter cinq cent mètre plus haut, Tarnek aussi tomba dans le portail mais lui ne craignait pas la mort, il se créa son portail personnel pour revenir sur le pilier. Il regarda alors cette scène biblique, la descente des anges sur terre, cette centaine de personne tombant dans le vide, ce son harmonique mélangeant les cris de femmes, enfants et même des vieux. Tous tombèrent à toute vitesse, c'est dans cette situation de mort que l'on pouvait voir la vrai personnalité des gens, certain fermait les yeux, d'autre essayait de remonter ou de pousser les autres d'abord en espérant retomber en vie sur une montagne de cadavre. Mais malgré de la difficulté, il était tout de même possible pour un mutant de sauver toute ses personnes, c'est pourquoi Tarnek allait rajouté un peu plus de sauce pimenté dans ce test, il allait devoir occuper le bamer. Recommençant son saut de l'ange, sortant à nouveau ses deux pistolet, il tira à nouveau ses quarante balles, se rapprochant de plus en plus de l'agent du BAM pour essayer de ne pas le rater. Quand les chargeurs fut vide, il n'allait pas se téléporté et sortir un fusil à pompe comme il l'avait fait précédemment, il allait faire autre chose de bien plus contraignant. Il balança un autre portail immense pour pouvoir attaquer le bamer, ce portail allait téléporté l'agent dans les airs, lui aussi allait pouvoir se retrouver à plus de cinq cent mètre au dessus du pont. Le téléporteur créa son propre portail pour revenir sur son perchoir, en haut du même pilier, regardant toujours la chute de ces anges.

"-Maintenant je vais pouvoir voir comment le BAM va se débrouiller, si ils allaient pouvoir tous les sauver ou si quelques corps aller se confronter à l'asphalte, leur jambe se brisant au contact, leur crane explosant par le choc, le pont devenant un lac de sang, c'est jouissif. Mais si ils réussissent à tous les sauver, cela va donc pouvoir dire que le BAM n'a pas de la merde comme agent, ils seraient de bon homme de terrain, si cela arrive je veux bien croire que le BAM est redoutable."

N'ayant pas vu la fine pellicule de protection bleu qui était apparut sur tous le corps du mutant, Phil ne pu en déduire qu'il ne craignait rien, et ce fut ce qui le mena à s'étonner de la fausse intelligence dont faisait preuve le mutant, mais il n'était pas temps pour Phil de rester à s'émerveiller de la capacité de déduction du jeune mutant sur le bluff du Bamers, et commença donc à s'approcher du terroriste, sautant de voiture en camion, de camion en voiture, risquant de tomber à la rencontre d'une moto cachée entre deux véhicules, pour pouvoir l'arrêter maintenant qu'il tenait tête au jeune mutant.

Trop concentré sur les voitures qu'il enjambait, il ne put voir Tarnek disparaître dans un de ces téléporteurs, sauter de plusieurs centaines de mètres pour atteindre le sol sans un bruit, et réapparaitre à un peu plus de cent mètre de lui, en compagnie des civils. Rapidement, il commença à lancer un défi au bamers, soit sauver la vie de tous les civils, soit à peu près une centaine de personnes n'ayant rien demandé.

Cherchant avant tout à neutraliser le mutant, il prit sous ses ordres une nuée d'ombre de véhicules, soit un peu plus de quatre, qu'il commença à lancer pendant qu'il descendait en piquer sur lui. Malheureusement, la brume eut vite fait fait de disparaître une fois la limite des quatorze mètres et demi franchise, et ne put que quelques centaines de mètres avant de stopper sa course.

Phil reçu malheureusement quelques balles mal placées – rien de grave bien sûr, cependant la branche de ses lunettes se brisa, empêchant le mutant d'avoir une meilleur concentration en raison d'un contact visuel plus poussé avec la luminosité environnante. Il les avait, par la suite, accroché à T-shirt.

Rapidement, il entama une course en sautant de véhicule en véhicule pour échapper aux balles de son adversaire, se rapprochant de plus en plus de lui. Se réfugiant finalement entre une porch et un camion, il attendit quelques secondes avant de tenter la moindre attaque, et finit par se relever, faisant maintenant face à Tarnek.

Il ne put, malheureusement, pas faire grand chose. Sans le vouloir, ni sans s'en rendre compte, il était tombé dans une téléporteuse du terroriste, et en avait fait tombé ses lunettes sans s'en rendre compte.
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Il était maintenant trop tard pour réfléchir à un plan d'attaque, Phil devait, à tout prix, trouver un moyen pour ne pas finir quelques centaines de mètres plus bas, réincarner en crêpe cuit sur la route. En parlant de cuisson, Phil arrive à mettre sa main devant ses yeux pour cacher ce soleil qui lui brûle l'entière partie de son corps, il ne sue pas car l'air qu'il transperce en tombant de mètre en mètre lui donne un coup de fraie, mais il se sent rougir, il ne voit aucune ombre à moins de quinze mètre, il tend vainement son bras en espérant s'en procurer, mais ce manque d'assombrissement lui donne un côté pessimiste en lui.

Il lâche finalement tout contrôle de son corps, vrille légèrement, n'ose pas regarder en bas, ferme les yeux, attends son heure. Ca ne durera que quelques secondes, il a à peine franchit deux cents mètres qu'il se sent bousculer par quelques chose, il ouvre les yeux et entre à nouveau dans quelques choses. Il l'a vu, très bien vu : c'est noir, ou non, sombre ! A peine solide, une plume tiendrai à peine dessus, mais ça le réjouit le cœur, il lève ses bras, mais vu la position ils sont tendus vers le sol, ferme les yeux, contrôle ces masses informes.

Il sait qu'il peut le faire, puisque ce sont ses ombres. Il en bouscule encore : il se souvient évidemment en avoir lancé il y a quelques minutes, pour frapper le mutant, bien que ça l'avait ratée.

Petit à petit, il se sent couvert de cette pellicule d'ombre, qui se renforce plus il en transperce. Il arrive à s'entourer d'une masse suffisamment importante pour soutenir son corps, commence à changer la direction de sa chute alors qu'il est à un peu plus de cinquante mètre du sol. Le soleil ne parvient plus sur sa peau, il se sent revivre, il sait qu'il a maintenant plus de chance de le battre puisqu'il ne souffre pas de cet effet secondaire. Il redevient optimiste, ignore cette petite voix qui lui dit « Tu va te cracher, mec », et continue sa route en tentant de « voler » parallèlement à la route. Il est à peine à une dizaine de mètre du sol, n'a pas encore franchit ce qu'il souhaite faire, et sent qu'il vient de franchir quelques chose, la brume se dissipe légèrement en même temps qu'il en devient intrigué.

Il regarde autour de lui, voit une masse bleu qui l'entoure, comprend rapidement qu'il a atteint l'eau sous le pont New-Yorkais, remonte rapidement : il n'a pas prit l'air suffisant pour y rester sans se soucier de visiter le bleu Américain, et prend une bouffée d'air, regarde autour de lui : une centaine de personnes nagent prêt de lui, les adultes gardent leur enfant prêt de soit car certains ne savent pas nager, des maris font pareil avec leur femme quand elles sont dans le même cas que les plus jeunes. Il monte rapidement son regard, voit un troue béant dans le pont, cylindrique, sourit, il se croit suffisamment fort pour l'avoir fait et les avoir tous sauvé, il ne se doute pas une seconde que ce sont ses confrères qui ont tout fait, et s'aide de la brume qui est resté sous l'eau pour se surélevé par rapport aux autres, franchit le troue, se met à la même hauteur que son opposant, la brume lui recouvre l'entière partie des jambes, lui donnant un équilibre parfait, et d'un air victorieux, prend la brume d'autres voitures pour la mettre entre lui et le soleil, comme il l'a fait tout à l'heure, et sourit à Tarnek, et calme car il est plus entouré d'ombre que de lumière, lui dit :

« Tu ferai mieux de te rendre si tu ne veux pas avoir plus d'ennuis que nécessaire..., en même temps, il crée les balles dont il a le secret, les mets en direction de Tarnek, et en sachant que si elles atteignent leur site, ce ne sera que des points de son corps qui ne le tuera pas, à moins qu'il se refuse à tout soin. »

Plus il les lance, plus l'ombre de la vielle camionette couleur jaune pastel qui est sous lui perd en visibilité, une série de dizaines et de dizaine de balle partant vers les bras et tibiats de Tarnek dont le nombre ne dépend que de l'envie du Bamers sont propulsées.

Voilà une victoire pour le russe, en haut de son perchoir il pouvait admirer la chute de l'empire, les centaines de civiles qui tombaient des cieux ainsi que l'agent du BAM, tous allaient se confronter à l'asphalte pour ne devenir qu'une purée de chair et de sang. Il ne restait que quelque seconde avant le désastre, plus ils se rapprochaient de leur destin plus la joie montait en Tarnek, il était fière de pouvoir montré sa supériorité face au bamer. Le téléporteur était fou de joie, sautant partout sur le pilier, il commença à sourire bêtement, il ressemblait à un petit enfant devant son cadeau de Noël ou son anniversaire, ce jour allait être le plus beau de sa vie. Il ne restait plus que trois secondes …. deux …. une , ils allaient enfin mourir écrasé comme des crêpes mais apparemment le destin était contre lui. Sans vraiment comprendre ce qu'il venait de se passer une partie du pont avait disparut sous le regard du russe, il n'avait pas vraiment vu ce qu'il venait de se passer, il c'était effondré avant que les gens ne touchent le sol. Il remarqua alors non loin du nouveau troue deux autres personnes, ils étaient venu au départ avec l'autre bamer, ils étaient donc trois, trois contre un seul confrériste, malgré sa déception cela rendait un peu le sourire au confrériste. Tarnek décida alors de descendre de son pilier, tous étaient tombé dans l'eau, aucun mort, aucun blessé, ils n'avaient rien eu, aucun, c'était vraiment lamentable mais cela montrait la puissance des agents du BAM malgré qu'il s'y prenne à deux. Le jeune mutant arriva alors au dessus d'une voiture pour avancer vers le troue des lamentations, un troue qui avait brisé le rêve du téléporteur, un troue qui avait sauver de nombreuse vie, un troue qui avait tout gâché. Marchant petit à petit, arrivant juste devant le troue, son premier réflexe fut de regarder comment cela se passait en bas, il voyait des centaines de fourmis nager dans tout les sens, on croirait voir des tâches noir sur un fond bleu. Il voyait de l'autre côté du pont les autres bamers mais à leur place ils ne pouvaient rien faire car le pont fut couper en deux, mise à part le fait de voler ils ne pouvaient rien faire. Il décida alors de rebrousser chemin pour partir car il était tout de même un peu frustrer, il venait de tout rater, d'après ce qu'il voyait le Front de Libération Mutant n'allait pas encore venir et le BAM semblait plus prêt à le capturer que l'écouter donc essayer de parlementer serait une pertes de temps. Mais bizarrement quelque chose clochait, il avait un mauvais pressentiment, il se doutait bien que c'était trop facile même si le précédent bamer était tombé à l'eau, il n'allait pas rester dans l'eau à se croiser les bras. Il fit demi tour pour regarder à nouveau dans le néant bleu pour voir ce qu'il se passait, il vit alors une fourmis qui commençait à remonter, c'était le bamer, sans vraiment voir comment il semblait voler dans les airs. Tarnek commença à faire quelque pas en arrière car l'agent arrivait, il vit sa tête remonter et son corps semblait suivre, la première réaction du russe fut de frapper des mains pour le féliciter.

"-Il semblerait que le BAM a de bon agent qui arrive à survivre dans n'importe quel situation, vous avez réussit à sauver tout ces civils j'espère que les secours vont vite arriver pour ne pas avoir de mort par noyade ce serait vraiment bête. Mais bon je reconnaît que vous êtes impressionnant malgré des pouvoirs plutôt faible pour venir à trois agent contre moi, mais bon cela ne rend la partis que plus intéressante."

Mais le bamer semblait tout de même croire qu'il gardait la situation en mains, il osait demander au confrériste de se rendre malgré le fait que depuis le début il devait suivre les instructions du téléporteur. Il créa alors ces balles si bizarre mais inoffensive pour le russe, il avait presque comprit le système du pouvoir de son adversaire, ces balles n'étaient qu'une chose bien matériel, une chose qui pouvait être téléporté par les pouvoirs de Tarnek. Le premier réflexe du mutant fut alors de créé sa bulle de protection, prenant à nouveau la forme de seconde peau, une aura bleuté l'entoura. L'agent balança alors ses balles bizarre pour attaquer le confrériste mais les balles le traversèrent, à peine eurent-elles un contact avec le bouclier que les balles apparurent direct de l'autre côté, il ne prit aucun dégât, tout traversa pour complètement détruire les cadavre de véhicule qui se trouvait derrière. Tarnek commença alors à faire quelque pas vers le bamer en éclatant de rire, il semblait le narguer avec sa seconde peau, il le regarda dans les yeux avec un petit air sournois.

"-Quoi c'est tout ? Tu ne sais pas faire mieux contre moi, je suis déçus, je lançait des défis pour te tester et malgré le fait que tu te sois fait aidé par tes collègues et que tu as sauvé bien bizarrement les civils tu as réussit. Mais il semblerait que mes tests étaient trop facile car tu ne peux même pas me toucher en face à face, je te conseille de faire venir tes collègues pour en finir au plus vite sinon ce sera vite finit."

Il semblait regarder derrière le bamer pour voir la réaction des deux autres agents mais le russe n'était pas assez patient pour attendre leur arrivée, il allait en finir au plus vite, il allait envoyer l'agent dans le néant pour le faire disparaître. Le bamer était tout juste au bord du pont, juste derrière lui un creux, en face de lui le téléporteur qui était à une dizaine de mètre, l'issue du combat était décisif. Tarnek enleva alors sa protection et pointa la paume de sa main vers le bamer, se mettant alors de profil, on aurait dit une pose avant d'attaquer, un petit sourire se dessinant sur son visage, il envoya son portail contre l'agent, un portail aussi grand qu'un camion, aspirant en même temps une légère partie du pont.

Flatté dans son égo, Phil ne put empêcher un léger sourire en remontant au niveau de la route, quand il entendit le choc entre les deux mains de l'ennemi. Il le regardait cependant avec un air de méfiance, gardant ses mains dans son dos, écoutant le léger discours de Tarnek, et y répondant presque aussi tôt, un léger rire en plus d'un regard de mépris – quel idiot..., avait pensé Phil à cet instant.

« Si nous avons réussi à les sauver, tu te doute bien que les remonter ne sera guerre plus compliqué, avec ou sans technologie. »

Il savait qu'il devait faire vite, prévenir ses camarades de sauver la vie des civils, mais sans user de véhicule de toutes sortes, hélicoptères comme bateaux. Il fallait dire que l'interprète avait un esprit cartésien, pouvant rapidement réfléchir par méthode, quand solution il y avait. Il s'approchait de très loin de mutant à cette facette comme gêne x, mais il avait déduit que si quelqu'un s'approchait d'eux, ils finiraient comme les véhicules autour de lui, et ceux qui étaient tombées à l'eau, finissant leur vie de moteur à explosion, en tant que sous-marin inadaptés, par le bon vouloir du mauvais mutant. C'était donc ce qu'il allait devoir dire : Sauvez-les, mais ne bougez pas ! Ils allaient sans doute user de leur mutation, c'était aussi dit Phil.

Il ne restait, à présent, plus que deux de ses collègues, il les apercevait grâce au rétroviseur d'une voiture derrière Tarnek, qui lui tournait dos. D'autre, ceux qui étaient partit sauver les civils il y a quelques secondes, bientôt minute, nageait maintenant dans l'eau New-yorkaise, ils se chargeraient sans doute, eux aussi, de sauver quelques civils. A la mémoire de Phil, il en avait vu neuf de ses collègues, quand il était arrivé. Et par un calcul rapide, il en déduisit que sept était sous le pont.

Le « nous », utilisé plus tôt, était plus une formule de politesse qu'autre chose, pour Phil. Il continuait à croire – car il n'avait pas vu Timoté faire disparaître la structure moléculaire d'une partie de ce pont, quelques secondes plutôt – que c'était grâce à lui que le pont avait été partiellement détruit, ce qui avait sauvé par la suite les civils, ainsi que sa vie. Se flattant encore plus quand il put apercevoir les bords consumés du pont.

Phil en avait plutôt assez des agissements du terroriste, ayant déjà faillit tuer plus d'une centaine personnes, qui sait jusqu'où pourrait le conduire sa prochaine action ? Tuer tous les employés d'un immeuble, les habitants d'un pavillons entier, voir une ville ? Il ne savait rien des limites de son adversaire, et si il ne stoppait pas tout, tout de suite, il en serai peut-être trop tard.

Ce fut ce qu'il le poussa à déverser sur son ennemi un torrent de petites balles brumeuse. Il fut cependant surpris et énervé de ne pas les voir blesser son adversaire. Entendant, par contre, des coups portés sur la carrosserie de car, scolaire et touristique, voiture, de taxi, personnel ou de fonction, et camion.

Il fut par la suite surpris et énervé de voir Tarnek s'approchait de lui, sans la moindre précaution hormis ce champs bleu autour de son corps. Doué d'un esprit logique et méthodique, comme dit plus tôt, Phil du, et fit, un plan rapide et, il l'espérait, efficace. Se rappelant des actions de son opposant rapidement, il comprit qu'il n'arrivait ni à utiliser son bouclier en même temps que ses « téléporteuses », ainsi qu'il ne semblait pas pouvoir utiliser son pouvoir sans l'aide de ses mains.

Ce fut quand il aperçu ça, qu'il en profita pour frapper Tarnek de dos, et de bloquer par la suite ses mains grâce aux ombres laissées derrière ce dernier.

Mais devant éviter d'abord le portail qu'avait créé le terroriste il y a quelques instants, il ne put s'en défaire que par un violent réflex qui le fit monter de quelques mètres plus haut, poussé par la brume qui, depuis qu'il était dans l'eau, l'avait aidé à remonter sur le pont.

Devant à tout prix maintenir son plan à la lettre, il se précipita au sol, et saisi fortement Tarnek par les épaules, et lui soufflant ces quelques mots :

« Tente de me projeter dans le ciel, et tu pars avec moi. Et si tu ne tiens pas à atterrir dans la cellule d'un mutant violeur récidiviste à la force un peu trop poussé pour ton petit minois, et je suis parfaitement apte à t'y faire atterrir, je te défens de te débattre. C'est comprit ? »

Tel un jeu d'échec, Phil avait placé un pion que le roi ne pouvait faire autrement que de manger, créant l'échec de Tarnek, et une fois fait, il avait enchaîné avec le cruel mot, « Mat ». Il était évident que Phil avait obtenu le premier coup de son acte finale par un splendide hasard, mais il serai bien trop imbu de lui-même pour l'accepter consciemment.

Le bamer avait fait une chose que le russe n'avait même pas pensé, à la base l'attaque semblait suicidaire mais bizarrement cela n'avait aucun danger sur le fait que Tarnek si attendait tellement pas qu'il n'avait pas prévu de défense à cela. Cela resta tout de même efficace, l'agent avait saisit le mutant, il l'avait attrapé par les épaules empêchant alors tout mouvement de bras afin de créé un portail en face de lui, il ne pouvait pas non plus se débattre, forçant pour se détacher mais cela ne fit que resserrer les lien. Le bamer chuchota alors à l'oreille du mutant le fait que si il voulait le balancer dans les airs le russe allait le suivre, cela montrait bien le fait que si il voulait l'envoyer contre le bitume la crêpe prenait aussi le corps du téléporteur dans sa recette. L'agent défendais le mutant de ce débattre expliquant qu'il était capable sans soucis de l'envoyer loger dans une de ses prisons sordide avec dans sa cellule un grand mutant récidiviste violeur. Cette petite phrase était plutôt drôle, elle ressemblait souvent à l'idée que l'on donnait de la prison ou les petits nouveaux qui étaient faible allait devoir joué la femme dans la cellule et que tous allaient abusé d'eux, hors c'était loin la vérité. Mais les prisons étaient bien différente de cela, il s'agissait surtout de regroupement de gang et de malfrat avec à chaque pose des combats dans la cour, quelque mort la nuit ainsi que du marchandage avec les gardes. Mais actuellement il n'était pas l'heure de penser à la prison, il fallait plutôt réfléchir au moyen de se libérer de l'emprise de ce vil bamer qui resta là pour bloquer les mouvement du russe. C'est alors que l'idée proposé par l'agent arriva à l'esprit de Tarnek, si il l'envoyait en l'air le russe allait aussi s'écraser, cela montrait qu'il était prêt à mourir avec lui mais si il ne s'agissait pas de mourir peut être que cela pourrait marcher. Il allait donc tester les paroles du BAM, il voulait voir si il était vraiment prêt à mourir pour arrêter le téléporteur, il concocta alors un plan en deux phase.

"-Bon monsieur l'agent on va suivre vos paroles à la lettre, si je vous envoie dans les airs je dois suivre le mouvement, voyons si vous êtes vraiment capable d'aller jusqu'au bout, voir si vous êtes prêt à mourir."

Le russe créa alors un portail de téléportation sous ses pieds ainsi que ce du bamer, ils se retrouvèrent alors cinq cent mètre au dessus du pont, ils n'étaient pas en dessous du troue, s'ils tombaient ils allaient s'écraser contre le béton pour ne devenir que de la chair à saucisse. Les deux hommes tombèrent dans le vide, chutant à toute vitesse, allant de plus en plus vite, les voitures qui n'étaient que fourmis devenaient alors alors un crapaud puis une voiture. Quoi une voiture aussi grande qu'une voiture ? Je crois bien que le russe a oublié de se téléporter, il ne restait qu'une quinzaine de mètre avant la confrontation contre l'asphalte, il fallait faire vite. Par réflexe Tarnek cria même car il semblait avoir peur, oubliant presque la deuxième partie de son plan, puis il se rendit compte qu'il ne devait pas mourir, créant alors contre le béton un autre portail. Ils atterrirent alors juste au dessus du troue que le BAM avait créé pour sauver les gens de la chute mortel que Tarnek avait provoqué. Leur chute continua à nouveau dans le vide, ils allaient à présent se confronter à l'eau avec une masse de gens en dessous, à croire qu'ils ne voulaient pas bouger pour retrouver la rive. La seule solution pour le téléporteur de ce libérer sans mourir était la puissance du choc contre l'eau, il voulait utiliser cet impact pour se libérer, il ne lui restait que quelque seconde de préparation pour se libérer. Impact imminent. Au contact de l'eau, une force ralentit la chute du mutant tout en ayant une force qui essayait de le remonter, il commença alors à se débattre en donnant un coup de tête en arrière. Il bougeait dans tout les sens au moment de l'impact et sans vraiment comprendre comment il c'était libéré, il fallait à présent fuir, il devait profiter du petit moment de liberté pour partir. Nageant alors vers les profondeurs en créant quelque mètre plus loin un portail qui rejoignait à nouveau la route du pont, il le traversa pour retrouver alors un peu d'air ainsi qu'une légère marre. Il s'avança alors vers le troue pour regarder en bas, il restait toujours autant de civil avec dans le tas l'agent, il devait s'en débarrasser.

"Monsieur l'agent test numéro trois ! Attention il va pleuvoir ….. des voitures ."

Le mutant commença alors à se retourner en sautillant, il se dirigeait vers les débris de voiture en se préparant à les téléporter petit à petit, une par une. Il téléporta tout d'abord un camion pour jouer dans la faciliter, le relançant dans le troue pour qu'il puisse percuter la foule, il enchaina ensuite avec une Ferrari puis un Scenic. Jouant alors des coups à répétition il lâcha rapidement une voiture après l'autre n'utilisant qu'un seul portail à la fois pour ne pas trop se fatiguer, il balança un total d'une trentaine de voiture ainsi que trois camion au dessus de la tête des innocents. Il profita du léger défis ainsi que de la catastrophe apocalyptique qu'il venait de reproduire pour essayer de se cacher, il devait essayer de voir la réaction de son adversaire tout en profitant du fait de passer incognito. Le seul endroit ou il pouvant se cacher et admirer était de ce mettre sous le pont, sous ses structures en métal pour voir de près tout en étant loin de la vision des bamers qui se trouvaient sur le pont. Il se téléporta alors en dessous, se cramponnant à cette matière grise et froide, sentant ce métal refroidir sa température mais le froid était un sacrifice pour une belle vue.

"-Voyons voir comment il va s'en sortir, si ces coéquipiers l'aide encore je me casse mais si il arrive à sauver tout le monde seul cela peut être intéressant d'analyser son pouvoir, voyons si un miracle va se produire ou non. A croire que malgré le fait que le Front de Libération mutant ne se montre pas, il me reste tout de même de la chance pour m'améliorer et découvrir un grand potentiel dans les agents du BAM."

Mais il n'était pas très patient et se doutait que le bamer n'allait pas agir seul, il décida donc de quitter les lieux en passant par la structure du pont.

Il n'était plus temps pour Phil de trouver une solution au problème que le mutant lui avait lancé. Il savait ce qu'il devait faire, user de technique rude mais pour le moins efficace : ne pas flancher, attendre que la chute passe. Il n'allait sûrement pas mourir ! Quel fou se le permettrait ! Il n'était pas vraisemblable qu'il risque sa vie pour simplement être libéré !

Mais c'est qu'il le semblait de plus en plus, fou... il n'avait pas fait chemin arrière et une cinquantaine de mètre, maintenant 100, avait été parcouru, il les avait à peu près calculer à vu de nez, un nez qui ne lui plaisait que peu pour le moment.

Ce pouvait-il que le ce bougre ce soit évanouit ? Il fallait dire que Phil n'était pas loin non plus, le jeune homme qui souffrait dans sa jeunesse de vertige, bien que l'ayant combattue, n'aimait toujours pas le saut en chute libre ! Il fermait les yeux depuis tous ce temps, mais pour constater son hypothèse, il devait les rouvrir.

Il n'était pas non plus fou, il les avait simplement entrebâillait, pour ne voir que l'homme, et surtout pas les voitures qui se rapprochaient à une fréquence effrayante. Il n'était pas endormit, mais il avait l'air apeuré, presque, il était couvert de spasme effrayant. Il n'était pas non plus en joie de voir ce qui pouvait leur arriver. Tarnek ne pouvait rien faire pour vaincre ce danger de mort, à moins d'accepter la prison. Il fallait dire que Phil ne le lâchait pas. Constituant sa seul chance de survie, le faire serai simplement un suicide.

Maintenant deux cents mètres avait passé, la vitesse des deux hommes, du fait d'une énergie de position effrayante, ne cessait de croitre. Maintenant trois cent, c'était pour dire ! Il fallait faire d'urgence quelques chose, il n'avait pas l'air de vouloir leur survie, donc il ne pouvait compter que sur lui même ! Mais comment ? Une idée lui vint sur le coup, peu réfléchit, et mauvaise, mais pas pour le Bamers. Il pensait l'avoir fait il y a quelques secondes, il pouvait, d'après lui, la refaire ! Il y avait ces deux brumes qui retenaient les mains de son adversaire, celle qui l'empêchait de se téléporter. Mais oui, d'ailleurs, c'est ça ! Il ne pouvait rien si il le détenait ! Il le libera donc, garda sous emprise l'air noir qu'il contrôlait, et format, autant qu'il pu, une barrière couvrant la partie qui risquait d'en prendre le plus lors de la chute, en dessina approximativement une forme conique, finissant en pointe, pour détruire ce bout de route, et atterrir dans l'eau !

Impacte imminent, plus que quinze mètre, il s'approchait à une vitesse folle du béton, Phil avait d'urgence refermait les yeux, sans non plus détruire la forme de la brume. Enfin, il pensait qu'elle était resté pareil, mais la distraction l'avait ramollit. Mais qu'importait ! Le sol atteint, il se produisit un étrange procédé : ils étaient réapparut quelques mètres plus haut, et se dirigeait maintenant dans l'eau New-yorkaise.

La forme conique et pointu de la brume aida à présent, elle perça l'eau, détruisant la fine pellicule qui présageait généralement la mort à une telle vitesse ! Phil lâcha Tarnek sous le choc, la brume avait quand même ressentit un lourd poids sous elle, poussant fortement le mauvais mutant qui avait donné sans le vouloir un coup de tête au menton de Phil. Il termina à moitié conscient sa course, seul dorénavant, sous l'eau.

Il saignait presque, sentait une dent qui battait de l'aile, présageant, elle, d'un séjour chez le dentiste, et était exténué. Et l'eau semblait si apaisante... il ne voulait pas la quitter pour le moment. Mais l'eau n'a jamais agit en tant que morphine, et une fois l'adrénaline passé, il put sentir le mal lui prendre. Décident de sortir de l'eau, car celle-ci n'était plus que signe de maux, il remonta à la surface, quittant le liquide presque bleu par une ombre qui le portait, à nouveau.

Ça en était devenu un reflex dorénavant, sentant le danger arrivé, il avait attiré l'ombre sous ses pieds qui l'avait poussé. Il était arriva sur le pont, mais du côté allié cette fois-ci. Agir seul était stupide, il s'en apercevait, dans le fond il devait bien comprendre qu'il n'était qu'un interprète, surtout.

« Défi numéro trois », avait dit le mauvais mutant. Comme un jeu au quel il était maître. Oubliant qu'il n'aurai presque suffit que d'un mètre de plus dans sa chute pour qu'une larme coule de sa joue. Phil ne trouvait pas sa drôle – bon, bien sûr, la pitié que lui inspirait ce fameux Tarnek lui avait provoqué un sourire, mais le jeu non.

Des voitures commençaient à pleuvoir, un par une, vers les civils. Et il était évident que Phil, qui avait bien du mal à soulever plus de quatre-vingt seize kilo avec ses ombres, n'aurai pu soulever cette technologie donnant plus vers le tonne. Il adressa donc un regard vers Tim, alias Timoté pour son prénom complet, qui dans un placement de son index sur sa tempe, les fit un par un disparaître. Phil souriait, il appréciait presque autant l'esprit d'équipe qu'étudier les langues.

Phil était épuisé. Les parties d'actions de ce type était rare pour quelqu'un qui, généralement, était coltiné au tapage nocturne de la part de mutant à la voix un peu trop criarde, ou autre plainte banale. Il lâchait dans sa barbe un « Le jeu est finit, Tarnek. ».

Il se retourna vers ses camarades, fatigué, exténué :

« Il a disparut, mais appelez quand même des renforts ! C'est finit, pour moi. Il est bien trop... téléporteur, on va dire ».

Il s'accorda un léger sourire, pendait qu'il laissait l'affaire à ses collègues.

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