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 le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron

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Maximillien Fray
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MessageSujet: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeLun 10 Mai 2010 - 17:40

Max se regarda dans le miroir, son oeil gauche n'était plus qu'un tas de chairs tuméfiés.

Encore un peu Monsieur ?

Non non merci ça ira, il faut quand même que l'on puisse me reconnaître.

C'était une prothèse et du maquillage, mais tellement criant de réalisme que son cerveau était surpris de ne pas sentir la douleur. Même un docteur ou un boxeur ne verrait pas la différence à moins de commencer à ausculter. Il toucha sa lèvre enflée qui saignait. Ca c'était pas du maquillage par contre, il avait demandé à un gros bras de le frappé pour faire plus vrai. Il avait quand même précisé de ne pas y aller trop fort qu'il ne voulait pas perdre de dents. Une chance sinon il y aurait perdu la machoire. A croire que ce loubard y avait pris son pied. C'était bien le genre à s'éclater à frapper n'importe qui, mais la, il avait l'impression que ça avait été un sacré bonus. Enflure, Max trouverait bien un moyen de se venger et alors il prierait le bon Dieu de lui pardonner sa vie de pêchés. En tout cas l'oeil était une réalisation admirable et assurerait sa couverture quand au mécontentement de ses employeurs et de la fin probables de ses activités de commerciales.
Max se leva et enfila sa veste. Il était pressé, il avait rendez vous avec des personnes peu patiente. Il descendit au parking et rejoint sa voiture. En cinq minutes de trafic il avait rejoint le camion de l'A.I.M avec les quelques hommes de l'organisation dans leurs ignobles combinaisons jaunes. Pour se qu'ils en savaient, Max était un de leur chef et devaient lui obéir pour cette mission. IL y avait le chauffeur et deux hommes. Tous étaient armés du fusil A.I.M standard, dans le genre fusil laser qui tire des rayons mortels. Max n'est ce pas ?

Allez on embarque !

Et les hommes et lui montèrent dans le camion chargé du matériel à livrer. Trois hommes de mains, ce n'était pas assez. Chacun était peut être un mutant pour ne pas vexer les clients, mais pas très puissant. Il y aurait des hélicoptères furtifs à quelques kilomètres histoire d'assurer des renfort, toujours des troupes d'A.I.Ms au cas où … elles ne seraient pas si fiables que ça.

Les kilomètres défilèrent et le camion s'engagea dans la bretelle pour sortir de la nationale. C'était une ancienne usine désaffectée. Les batiments avaient été fouillé, et étaient scanné par le satellite, comme le reste de la zone, pour éviter les surprises. Le camion s'arrêta et s'immobilisa au milieu d'un grand espace dégagé. La seule lumière étaient celle diffusée par les phares, et aussi puissant fussent ils, ils ne permettaient pas d'éclairer tout le décor de l'acte de cette nuit. Max descendit du camion et attendit à côté de la portière. Le froid était piquant à la campagne. Le livreur qu'était devenu Max s'impatienta bien vite et regarda l'heure sur sa montre, 11h56, elles avaient encore 4 minutes. La montre n'était pas celle qu'il portait habituellement, c'était un modèle spécial. En fait le camion était piégé, et s'il appuyait sur le bouton au fond de sa poche ou si ses signes vitaux s'arrêtaient, la cargaison exposée dans une vague de destructions apocalyptiques qui raserait encore un peu plus cet endroit. 11H57. Elles allaient bien finir par arriver.
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Ampère
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeVen 28 Mai 2010 - 2:09

Heure tardive et atmosphère froide et austère pour une nuit de livraison et de commerce. Le soleil s'était déjà coucher depuis belle lurette et l'air frais de la campagne environnante était on ne peut plus frais. Assise au volant du grand fourgon, emmitouflée dans sa veste en cuir, Louise ne pipait mot, gardant les yeux sur la route. Enfin, elle ne disait rien mais elle n'en pensait pas moins et si on lui prêtait vraiment attention, on remarquait rapidement qu'elle bougonnait toute seule dans son coin. Évidemment, elle tentait de garder un air neutre, histoire de ne pas passer pour la chieuse de service aux yeux de Fatale, assise près d'elle sur le siège passager. Même si il ne fallait pas se faire d'illusion, sa supérieure devait bien avoir remarqué sa mauvaise humeur. Il fallait avouer tout de même que le cœur n'y était pas. Enchainer plusieurs heures de route pour servir de livreur, sans compter qu’il lui faudrait recroiser ce vendeur de matériel de combat étrange...Bon sang, si elle n'avait eu pas face à elle la perspective de récupérer enfin ses fouets, elle aurait refusé niet cette mission. Parfaitement. Elle commençait à prendre des galons, elle aurait pu se permettre de rester à la Confrérie et d'envoyer quelqu'un à sa place...Là, elle n'y allait que pour son propre intérêt, il fallait l'avouer.

Quelques jours plus tôt, après plusieurs heures de débat houleux et intensif, mené par deux parties bien décidées à ne pas céder le moindre centimètre de terrain à l’adversaire, un accord avait été enfin conclus. Et un lieu neutre trouvé pour l'échange, l'armement et le matériel de guerre contre les liasses de billets. Un endroit désertique dans les extérieurs de New York...Vraiment, on n'avait pas ménagé les efforts pour rester discrets. Le plan était simple. On arrivait, on se garait, on transférait la marchandise et puis on réglait la note. Avant de partir vite fait bien fait et oublier ces types qui inspiraient tout sauf une confiance aveugle, c'était le moins qu'on puisse dire. Et Ampère n'avait qu'une hâte...Que l'opération se finisse enfin et qu'elle puisse regagner la chaleur et la sécurité de la Confrérie...

Bon sang, en parlant de chaleur, il ne faisait pas tellement chaud à l'intérieur de l'habitacle. Visiblement, les trois gaillards installés à l'arrière ne suffisaient pas à apporter assez de chaleur humaine -ou mutante, dans le cas présent- pour la réchauffer. Agacée, la jeune femme concentra son attention sur le chauffage du véhicule et d'une simple poussée mentale, accompagnée d'un vague geste de la main -qui ne servait à rien mais qui faisait très classe- elle l'activa. Quelques minutes plus tard, le climat sibérien du camion disparaissait au profit d'une température bien plus clémente. Bien. Au moins, elle ne mourrait pas de froid avant d'atteindre leur destination. De toute façon, ils étaient presque arrivés, après un voyage qui s'était somme toute déroulé dans le calme. A peine quelques banalités et des conseils échangés avec Fatale, tout juste quelques mots avec les trois mutants qui les accompagnaient...On n'avait pas fait de longs discours inutiles ni de conversations interminables, la situation ne s'y prêtait pas vraiment. Ils étaient là pour le travail, qui sous ses airs de routine pouvait se révéler particulièrement dangereux si Maximilien avait décidé de les trahir, et il fallait rester concentré pour parer à toute éventualité.

D'ailleurs, ce n'était plus le moment de rêvasser...La prochaine sortie était la bonne. Avec agilité et dextérité, Ampère quitta l'autoroute pour mener le camion jusqu'au lieu de rendez-vous...Apparemment, le pire lieu, le plus crasseux et ignoble de toute la terre, digne d'un navet d'action et d'espionnage hollywoodien...Bien que discret pour leur petit trafic, il fallait l'avouer. Ils étaient les derniers, leurs fournisseurs étaient déjà sur place. Tranquillement, Ampère se gara près d'eux, mêlant la lumière de ses phares aux leurs et jeta un regard à sa montre. Pile poil à l'heure. Ça c'était du timing de pro tiens. D’un rapide coup d’œil, Louise se dévisagea dans le rétroviseur. Envie d’avoir l'air un minimum acceptable, pas celle d'une folle furieuse qui venait d'enchainer plusieurs heures de route...Évidemment, cela risquait peu de se voir dans la semi obscurité mais ce n'était pas une raison. Une main passée rapidement entre ses mèches brunes et vertes, réajustage de sa veste et de son pantalon...Tout semblait en ordre. A sa ceinture, une arme...Certes, ce n'était pas la meilleure des techniques pour se rendre à un rendez-vous soit-disant placé sous le signe de la paix et de la négociation mais il ne fallait pas se leurrer...Y aller sans armes, c'était se livrer tout nu à l'ennemi et ça, Ampère n'était pas prête à s'y risquer. Enfin, si c'était vraiment trop osé, Fatale lui ferait la remarque avant de descendre...

Bien, il était temps de se jeter dans l'arène. Enfin prête, la jeune mutante se tourna vers sa supérieure, attendant les ordres...

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Fatale
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeDim 30 Mai 2010 - 19:49

Enfin le grand jour était arrivé, après avoir négocié avec acharnement, c'était la dernière étape récupérer la marchandise. Il n'avait pas été simple de trouver un lieu qui arrange les deux parties et qui soit suffisamment fiable pour garantir la sécurité. Cette affaire n'arrangeait guère Fatale, elle était sur plusieurs fronts en ce moment et elle aurait préféré se consacrer uniquement à son département qui en avait bien besoin. Elle avait cependant commencé le travail et elle se devait de le finir. Elle avait pris la résolution de ne plus assurer des missions que ne concernaient pas directement ses affaires sauf si c'était d'une nécessité absolu, pour le bien-être de la confrérie. Il y avait suffisamment de confrériste dans le département opération pour mener à bien ce genre d'action. Elle n'avait pas polémiqué, car elle était consciente que ce matériel était indispensable pour la suite des opérations. Elle n'avait donc pas eu vraiment le choix, surtout qu'elle se méfiait de ses pairs en ce moment et qu'elle ne voulait pas voir un échec après s'être donné tant de mal.
De plus elle se faisait une raison, certain de ses camarades étaient limités au niveau de leur capacité mentale alors diriger une équipe ils en étaient bien incapables.

Pour cette petite excursion, elle avait opté pour une combinaison en cuir noir fort sexy, avec une veste en sky, au vu du temps. Elle portait comme à son habitude une paire de gant, qu'elle ne quittait que rarement pour ne jamais laisser d'empreinte. Fatale était montée dans le camion sans rien dire, aussitôt que le véhicule s'était mis en marche elle avait changé d'apparence, sous les yeux éberlués d'un de ses congénères qui ne l'avait jamais vu autre que sous sa véritable forme. Elle avait pris les traits d'une jeune métisse, au minois fort charmant. Elle ne voulait pas attirer l'attention et elle savait que sa tête était mise à prix. Même si les vitres étaient teintées, elle préférait être prudente en cas de contrôle. Elle était quasiment resté silencieuse le temps du trajet. Visiblement Ampère n'était guère plus loquace aujourd'hui. Quand aux trois autres mutants, eux aussi n'avaient pas vraiment osé dire quoi que ce soit de peur sans nul doute de contrarier la tueuse. Son attitude n'était pas contre ses compagnons. Ce qui la préoccupait c'était cette affaire. Elle se demandait si Maximillien allait oui ou non respecter les termes de leur contrat. De toute façon dans le cas contraire, elle avait un bon moyen de pression l'argent. Fatale était bien décidée à ne pas se laisser marcher sur les pieds, si ce dernier n'honorait pas les termes de ses engagements elle ne lui verserait pas la totalité de la somme. Après tout c'était donnant donnant, s'il voulait jouer au plus fort avec elle, il risquait de s'y casser les dents une bonne fois pour toute et il irait expliquer son échec à ses patrons. Elle espérait aussi que tout se déroule sans encombre, qu'elle embarque la marchandise et basta. Elle se demandait bien ce que lui réservait leur intermédiaire, après tout avec lui rien n'était simple en général. Elle n'avait qu'une confiance très limité en lui. Dans un autre cadre, elle n'aurait sans nul doute jamais fait appel à ses services. Elle avait déjà tout planifié dans le déroulement et s'il n'y avait pas le moindre grain de sable, tout se passerait au mieux.

Durant le trajet, Fatale s'était plusieurs fois frottée les mains. Il ne faisait guère chaud dans le véhicule. Elle apprécia le fait qu'Ampère utilise son pouvoir pour remédier à cette situation. Ce n'était pas vraiment le moment de perdre de la dextérité par des doigts engourdis par le froid. La douce chaleur fut la bienvenue. Rien d'autre n'interféra durant le parcours. Fatale, tout en étant plongée dans ses réflexions, regardait défilé la route. Elle cogitait à toutes les possibilités et essayait de prévoir ce qui allait arriver.

Quand le véhicule quitta la bretelle d'autoroute, Fatale prit une petite valise qui était disposée à ses pieds. Elle l'ouvrit, il y avait dedans deux pistolets à plasma, ses armes à feu préféré. Elle en glissa un dans son dos sous sa combinaison comme elle en avait l'habitude, le second dans un étui qui était attaché par ses sangles le long de sa jambe droite. Bien entendu elle avait toujours sur elle ses poignards empoisonnés dissimulé un peu partout dans sa tenue et quelques autres petites surprises en cas de gros problème. Elle se doutait bien que ses interlocuteurs viendraient armé. Quand elle découvrit le paysage, elle se serait crue dans un mauvais film d'une série z. Au moins il y avait peu de risque qu'on les dérange et tout individu empruntant cette route ne passerait pas vraiment inaperçu. Elle devait admettre que l'endroit était bien choisi pour leur petite magouille.
Il était temps pour elle de prendre son rôle de chef.

« Bien, on ne montre aucun signe d'hostilité. J'y ai pensé longuement et ils doivent être plus nombreux que prévu, Maximillien est un roublard et donc je ne pense pas qu'il tienne parole. Ouvrait l'œil et les oreilles, si vous remarquez qu'effectivement il n'a pas respecté notre accord, vous me le signalez le plus calmement possible. J'aurais une petite surprise pour lui dans ce cas là, car j'avais envisagé cette éventualité et j'ai horreur qu'on me mente surtout en affaire. Laisse le contact allumé et ainsi que les phares!»

Elle n'était pas née de la dernière pluie et quand elle était réglo elle détestait par- dessous tout qu'on la roule dans la farine.

« Allons y ! »

Maintenant qu'elle avait prévenu de l'attitude à avoir et qu'elle avait exprimé ses doutes, elle descendit du camion, toujours sous sa nouvelle forme. Elle était éclairait des deux cotés, elle aperçut malgré cela une forme sur le côté qui lui était familière. D'une démarche assurée, elle s'avança vers Maximillien.

« Bonsoir, Monsieur Fray »

Elle venait de s'apercevoir qu'il avait une sale tête, ce qui au fond la réjouissait. Elle espérait que cela avait été douloureux. Sans nul doute il l'avait bien cherché. Pour l'instant ce n'était pas sa faute s'il avait une sale tête.

« Nous voici donc dans la dernière phase, j'ose espérer que vous êtes un homme de parole, comme vous pouvez le voir nous avons tenu nos engagements. »

Elle lui signifiait ainsi qu'il était le nombre convenu et elle en espérait autant pour sa part.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeLun 31 Mai 2010 - 13:46

Elles finirent par arriver à l'heure prévue. Dans un film de gangsters, Max aurait écrasé sa cigarette et pris sa mitrailleuse à camenbert dans les mains pour avoir du répondant pour la conversation. Ca aurait été un camion avec des tonneaux d'alcools de contrebande pendant la prohibition. Ca aurait été une période amusante à vivre. Mais en face de lui il avait des femmes modernes qui voulaient des armes modernes pour mener une guerre moderne pour écraser une espèce décadente qu'est l'humain. A la lueur des phares, il fit un découverte stupéfiante. Sa si chère amie Fatale n'avait pas son apparence ordinaire. Son don lui indiquait que c'était bien elle, mais ses yeux lui disaient le contraire. Elle était métamorphe et ses yeux étaient abusés, mais son don était fiable, on ne pouvait pas déguiser son énergie vitale.

« Nous voici donc dans la dernière phase, j'ose espérer que vous êtes un homme de parole, comme vous pouvez le voir nous avons tenu nos engagements. »

Les promesses n'engagent que ce qui y croient, mais je suis venu avec le nombre d'hommes prescrit, nous ne sommes que cinq. Ce nouveau look vous va très bien, ça change. Ca doit être pratique pour éviter de se faire prendre en chasse par les chasseurs de primes. Toute votre commande est dans le camion. Je propose qu'un ou deux hommes de chaques équipes se chargent du transfert, à moins que vous ne comptiez mettre la main à la pâte bien sur.

Il ne doutait pas que ses deux clientes soient du genre active, mais de là à décharger un camion d'armes, il avait des doutes. Elles devaient tenir à leurs images de chefs sans doute. A noter que leur tenues de cuirs étaient des plus sayentes et séduisantes. Il se demandait bien comment on pouvait entrer la dedans et en sortir. C'était très sexy, mais il ne se voyait surement pas porter ça car sur un homme, ça faisait plutôt gay. Si elle voulait faire de la manutention dans ce genre de tenue, elles allaient vite transpirer et passer en mode hammam.

Sinon, comment ça se passe à la confrérie ? La police ne vous a toujours pas trouvé ou elle n'ose pas approcher ?
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Ampère
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMer 2 Juin 2010 - 4:09

Bon. Apparemment Fatale n'avait fait aucune remarque en ce qui concernait les armes. Mieux, elle en portait une. Tant mieux. Dans une vieille usine désaffectée, au milieu de nulle part, les pouvoirs d'Ampère étaient on ne peut plus réduits. Et elle ne pouvait que s'appuyer sur les moteurs des deux camions pour lui servir de source. Utile et parfaits pour une urgence, mais pas forcément inépuisables. Sentir l'arme le long de sa cuisse la rassurait et lui donner un plus d'assurance. Elle n'avait certainement pas envie de passer pour un trouillarde aux yeux de Maximilien et l'automatique lui permettait de cacher ce semblant de malaise. Une illusion, en réalité...Plus un truc psychologique qu'autre chose parce que nul doute que si les lascars qui accompagnaient leur contact étaient tous des mutants, elle avait peu de chances pour se défendre avec une simple arme.

Quoi qu'il en soit, elle n'avait pas le choix. Elle ne pouvait pas terrer dans le camion en attendant que le deal passe. Décidée, elle sortit du camion et suivit sa supérieure jusqu'à l'homme. Homme qui soit dit en passant semblait être passé sous un train. Il parlait aux deux femmes mais surtout à Fatale. Ampère ne s'en formalisa pas pour autant et répondit avec spontanéité.

    « Oui, nous aussi. Trois hommes et notre bonne volonté...Bonne idée pour le transfert, on va commencer dès maintenant...Vous deux, allez-y.»

Elle s'était retournée et avait fait signe à deux des trois autres mutants de s'occuper du transfert. Avant de se retourner vers Max, feignant s'intéresser à la conversation; En réalité, elle n'écoutait que d'une oreille distraite, lorgnant discrètement les alentours. le vendeur prétendait être venu avec le nombre d'homme requis mais Fatale avait prévenu: Max n'était pas un homme qu'on pouvait qualifier de loyal et il avait sans doute une ou plusieurs cartes habilement cachées sous sa manche...

    « A la Confrérie? Très bien, merci. On a un nouveau café délicieux et des nouvelles douches. L'eau sort beaucoup plus chaude. Et apparemment ça va mieux chez nous que chez vous...Vous êtes tombés sur un client insatisfait ou quoi?»

En réalité, elle s'en fichait. Il aurait pu se faire laminer la figure par une armoire de catch ou par un troupeau d'éléphants en plein rue, ça lui était bien égal. Elle, elle avait d'autres priorités.

    « Et sinon, mes fouets, vous les avez mis dans un endroit spécial ou ils sont dans le tas et je vais devoir les chercher? Parce que je vous cache pas que j'aimerais les essayer...»

Il était hors de question qu'elle parte d'ici sans s'assurer que tout marchait à la perfection...Bien sûr.
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeVen 4 Juin 2010 - 16:05

Fatale n'avait pas dupé Maximillien sous son apparence. Il n'était pas facile à surprendre le jeune homme, dommage pour elle. Quoi qu'il en soit il avait raison sur la nature de ses pouvoirs qui étaient forts pratiques.

"Cela à des avantages, en même temps on ne me reconnait pas certains crimes c'est le prix à payer pour la discrétion."

Si elle avait emmené ses colosses ce n'était pas pour qu'ils profitent d'une balade gratuite. En tant que chef elle n'allait pas non faire la basse besogne. Les deux mutants qu'avait désigné Ampère se dirigèrent vers le camion. Ils commencèrent alors transvaser les caisses d'un camion à l'autre sous l'œil attentif de Fatale.

Fatale esquissa un petit rictus quant elle entendit la question qu'Ampère posa à Maximillien. Elle était curieuse d'en connaitre la réponse. Quoi que visiblement si tel était le cas il avait du sacrément énervé son interlocuteur. Cela ne surprenait guère la tueuse, car ce garçon avait un petit côté agaçant voir même très énervant. De doute façon il ne leur dirait pas la vérité, après tout ils jouaient au chat et à la souris. Quand sa coéquipière parla se ses fouets elle trouva l'idée assez bonne.
Une démonstration n'était pas pour déplaire à Fatale, après tout c'est un bon moyen de se garantir l'état de la marchandise et du fonctionnement de cette dernière.
De toute façon, elle avait bien l'attention d'ouvrir quelques boites au hasard pour être sur d'avoir de la marchandise.
Ce n'était pas dans l'intérêt de Maximillien de les duper, mais il fallait quand même être prudente.

"Je serais ravi d'avoir cette petite démonstration!"


Elle affichait un air décontracté.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMer 9 Juin 2010 - 20:29

Bon alors les deux étaient purement et simplement des zoulous, des sagouines, des filles qui n'avaient aucune sens des convenances et d'une quelqueconque relation sociale non axée sur l'affrontement ou le profit mutuel. Elles auraient pu se forcer un peu et échanger quelques banalitées d'usage. Il ne s'attendait pas vraiment à autre chose, mais bon, il aurait pu être surpris. De toute façon, leur tenue suffisait à expliciter assez clairement le style de la maison ! Qui donc iraient porter des tenues intégrales en cuirs ? Des tenues pour lesquelles il fallait mettre du talc sur la peau pour les enfiler, et se mettre à deux pour les enlever ? Dans lesquelles on se sentait comme dans un sauna ou si on avait été saucissoner dans du film plastique ? Des sadiques à coup sur. Voila pourquoi elles prennaient plaisir à ordonner à leurs sbires de décharger le camion et les regarder à l'oeuvre, se ruiner à la tâche. L'insistance sur les fouets en étaient une autre preuve sans aucun doute.

Les fouets ne devraient pas tarder à sortir du camion, vous les testez, puis vous payer, qu'en dites vous ? Vous vous assurez que ça marche, et vous règlez la transaction.

Max sortit l'Ipad modifié pour servir à leur dessein. Dessus il y avait le plan de chargement du camion et indiqua aux ouvriers où se trouvait cette caisse. Il l'apportèrent à deux et l'ouvrir avec des pieds de biche. Il y avait deux grandes malettes qui une fois ouvert révélèrent les fouets. De la belle ouvrage à n'en pas douter. Cher ! Mais très efficace. Il recula un peu, voir plus que ça pour lui laisser du champs de libre pour essayer ses nouveaux outils de travail. Un coup de fouet pourfendeur ou castrateur était si vite arrivé.

Faites attention, ce genre de jouet ça ne pardonne pas. Sans un peu d'entrainement, se que vous n'aviez pas la dernière fois qu'on s'est vu, on risque facilement de se couper quelque chose.

Dans le pire des cas où il viendrait à mourir, les bombes dans le camion emporterait tout le monde et l'usine avec lui.
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Ampère
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMar 15 Juin 2010 - 20:55

Le moment le plus attendu par Ampère était enfin arrivé. Évidemment qu'elle allait faire attention en essayant les fouets, elle avait parfaitement conscience de leur dangerosité. Maximilien ne semblait pas vraiment rassuré quant à ses intentions. Sans doute craignait-il qu'elle ne profite pour l'attaquer...Histoire de pouvoir ramasser la marchandise sans débourser le moindre sou. Cette pensée la fit rire. Non, sur ce point là Maximilien n'avait rien à craindre. Même si elle avait une profonde aversion pour cet homme et même si elle se méfiait de lui comme de la peste, elle n'avait pas non plus l'intention de le tuer pour une vulgaire histoire de fric. Les principes de la Confrérie, même s'ils étaient probablement discutables par une bonne partie de la population, n'étaient pas basés sur la richesse ni sur les délires d'une mégalomanie puissante. Non, ils étaient basés avant tout sur la justice...Les humains pourrissaient la vie des mutants, il était juste qu'on leur rende la monnaie de leur pièce. Et bien que Maximilien ne pouvait se compter au nombre des amis, il était clair qu'il n'était pas pour autant L'ennemi.

    « Vous avez l'air pressé. détendez-vous, vu l'endroit que vous nous avez dégotté, j'pense pas que quelqu'un puisse nous trouver si facilement...Bref. Je les essaye, on vérifie deux trois trucs avant et puis on vous paye. Et on décollera ensuite, je pense que personne a vraiment envie de s'attarder ici. »

Le sourire aux lèvres, elle s'approcha de la caisse. Elle ne craignait pas d'éventuelles attaques pendant qu'elle était distraite par l'essaie des fouets. Fatale derrière elle veillait au grain, elle pouvait faire confiance au professionnalisme de sa supérieure. Tranquillement, elle enfila les gants qui renfermaient les fouets et aussitôt ressenti le courant qui traversait les puissantes armes. Parfait, parfait. Elle recula ensuite de quelques pas, afin de s'éloigner de toute potentielle victime et activa manuellement les fouets en prenant bien soin de les lancer en avant. Elle savait plus ou moins comment faire, Max lui ayant laissé les instructions quelques jours plus tôt. Aussitôt les deux deux serpents de métal filèrent devant elle, éclairant la nuit. Elle ne pouvait pas faire grand chose, maitrisant très peu les fouets, et elle se limita à les agiter un peu, jouant un peu à manier les arcs électriques qui les recouvraient. Bien, elle était encore loin d'être au point mais une chose était sûre: avec de l'entrainement, les fouets lui iraient comme un gant...C'était le cas de le dire.

Un air de satisfaction intense sur le visage, elle rangea les fouets dans leurs étuis et se retourna vers sa patronne, ignorant Max. Avant de lui adresser un simple signe de tête.

    « Niquel.»

L'un des mutants qui avait amené la caisse lui proposa alors de ranger les deux armes dans leur emballage d'origine mais Ampère secoua la tête. Non, non, ces fouets étaient à elle, ils restaient avec leur désormais -heureuse- propriétaire.




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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMar 22 Juin 2010 - 22:48

Pour l'instant tout se passait sans encombre, ce qui n'était pas pour déplaire à Fatale. Ce genre de transaction était toujours délicate et le moindre petit grain de sable pouvait enrayer la machine. Ce qui aurait été extrêmement fâcheux aux yeux de la tueuse. Elle s'était donné du mal pour mener à bien cet opération. C'est surtout la perfidie qu'elle craignait le plus.
Les caisses se baladaient d'un camion à l'autre et déjà une bonne partie de la marchandise avait été transvasée. Sa collègue insista pour voir son matériel et surtout pouvoir tester ce dernier. Ce que la tueuse trouva fort judicieux, après tout il fallait s'assurer qu'il ne se fasse pas rouler. Elle se doutait que Maxmillien ne jurait pas à ce petit jeu sauf s'il voulait perdre la vie, mais l'excès de confiance pouvait être préjudiciable. Mieux valait être vérifier par soi-même.
Fatale laissa faire Ampère s'amuser avec ses nouveaux joujoux, visiblement elle était satisfaite de son achat . A ce que Fatale pouvait constater c'est que les fouets fonctionnaient apparemment à la perfection. Ce qui démontrait que la technologie proposée par l'entreprise de Maximillien méritait bien leur réputation. Tout semblait en règle.
Depuis le début, elle sentait leur fournisseur sur la défensive ce qui l'amusait profondément. Cela avait légèrement surprise la tueuse, car lors des négociations celui-ci s'était montré tenace et surtout très sur de lui. En même temps elle comprenait son désir d'en finir le plus vite.
Elle se demandait si ce changement d'attitude était lié à son état physique. Elle voulait en avoir le cœur net. Elle n'était pas contre de le déstabiliser un petit peu.

« Pour la transaction, nous allons procéder en deux fois! La première quand la marchandise sera chargée, la seconde quand je me serais assuré qu'elle soit en lieu sur. »


Elle n'était pas dupe, elle ne voulait pas se faire avoir. Elle avait prévu le coup. Elle était la seule à connaître les codes pour la transaction et si lui arrivait quelques choses ce pauvre Maximillien pourrait s'asseoir sur l'argent. Elle avait décidé qu'il n'aurait que la totalité de la somme quand elle serait certaine que rien ne pouvait plus arriver à son matériel.

Maintenant elle voulait en savoir un peu plus sur les mésaventures de Maximillien. Elle s'approcha de ce dernier, affichant un petit sourire qui était presque angélique sous son apparence.

« Je vous ai connu en meilleure forme, qui a bien pu vouloir toucher un si joli minois. N'avez vous pas donner satisfaction à l'un de vos clients?»

Elle posa donc un faux doux regard sur ce dernier. Attendant avec une légère impatience la réponse de Maximillien.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMer 23 Juin 2010 - 21:56

Décidément l'OC vendait vraiment du super matériel ! Les fouets tranchait le sol en ciment comme un couteau chaud du beurre, et encore mieux, ils passaient dans le sol comme s'il n'y avait rien et qu'elle les faisait tourner dans le v looping looping looping loopingide. Impressionnant. Une chance pour lui qu'il ne soit pas humain. Même si elles ne l'aimaient pas trop, en théorie elles n'étaient censées tuer que des humains. Ca faisait du bien parfois de se dire qu'on est né du bon côté de la barrière. Mais les barrières ont la fâcheuse tendance à ne pas rester fixe et à se déplacer au gré des courants de l'opinion et de la culture. Si demain les mutants étaient victimes d'une vrai chasse aux sorcières, il changerait peut être d'avis d'ici là.

« Niquel.»

Évidemment ! Comme si vous pouviez en douter, mon organisation n'a rien à gagner à gruger un client sur la marchandise, c'est très mauvais pour les affaires. Une bonne réputation, c'est encore plus important pour les affaires illégales que pour les affaires légales ! On ne fait pas du commerce avec une personne qui risque de vous arnaquer quand vous n'avez aucun recours légal.

« Pour la transaction, nous allons procéder en deux fois! La première quand la marchandise sera chargée, la seconde quand je me serais assuré qu'elle soit en lieu sur. Je vous ai connu en meilleure forme, qui a bien pu vouloir toucher un si joli minois. N'avez vous pas donner satisfaction à l'un de vos clients?»

On va dire que comme je n'en ai plus rien à faire j'accepte vos conditions. Il va de soit que si vous tentez de nous arnaquer, mon organisation utilisera toute sa puissance pour vous exterminez, nous savons où vous êtes, nous sommes bien renseignés, et vous savez que nous avons les moyens de faire sauter la confrérie sans difficulté. Mon jolie minois est justement lié au fait que je n'en ai plus rien à faire, c'est à mes employeurs que je n'ai pas donné satisfaction, et il semblerait que se soit ma dernière affaire. Vous avez été trop chiche à leur gout et ils basaient plus d'espoir sur vous ou sur moi. Une erreur apparemment. Alors ils ont décidé qu'une petite leçon s'imposait pour m'inculquer certaines valeurs. Charmant non ? En toute logique je devrais vivre, mais plusieurs échelon plus bas. C'est sans doute la dernière transaction que nous faisons ensemble. Il y a aussi des histoires de tensions internes et j'ai servi de soupapes de sécurités pour certaines personnes. Enfin rien que vous n'avez besoin de savoir. Alors du moment que vous payez, ça me convient.
Il avait lâché tout ça un peu énervé comme un homme qui se soulage enfin de tout se qu'il a sur le coeur. Mais je vais remonter vous pouvez en être sur, et certaines personnes regretteront d'être né quand elles passeront entre mes mains.

Bon voila, il venait d'organiser sa disparition de la scène. Ca ne valait pas un final avec explosions et effets lasers mais c'était se qu'il lui fallait pour tirer un trait sur une époque où il s'exposait pour le travail. En disparaissant, il ne fallait plus qu'on puisse relier Maximillien à Hades. Hades ne devait pas avoir d'identité, et rester une entité surpuissant qui tiendrait le monde du crime dans sa main.
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeDim 25 Juil 2010 - 1:19

Pendant que les deux chefs discutaient business, Ampère s'était occupée de ranger tranquillement les fouets. Si elle avait pu, elle se serait permis d'avoir un grand sourire béat sur les lèvres, mais elle se contenait . Après tout, il s'agissait d'un deal "officiel", si on pouvait l'appeler ainsi, et qui comportait de nombreux risques. Le sérieux était de mise, on ne trafiquait pas avec des enfants de cœur, et il fallait rester sur ses gardes. Face à elle, son collègue mutant lui désigna ses fouets puis la caisse d'où elle les avait sortis. A sa question muette, la jeune femme se contenta d'un simple signe de tête, indiquant que non, il n'était pas question que ses précieuses armes rejoignent le reste de la cargaison dans le camion. Elle laissa ses gants sur ses mains, les fouets correctement rangés dans leur étuis, puis jeta un dernier regard circulaire aux caisse posées sur le sol face à elle. Tout semblait en ordre. Pendant qu'elle s'amusait à vérifier l'état de ses armes, les deux confréristes s'étaient occupés d'ouvrir quelques caisses au hasard afin d'en vérifier la marchandise. Elle releva les yeux et jeta un regard au responsable qui hocha la tête...Parfait, tout semblait prêt. D'un simple geste, elle leur ordonna de commencer à charger le camion puis elle se retourna vers sa patronne, en pleine discussion avec Maximilien.

    « C'est ok pour la livraison Fatale. Ils commencent à charger. »

Elle était arrivée pile à temps pour entendre le petit discours oh combien affligeant du livreur. Voyons, qu'est-ce qu'elles en avaient à faire qu'il n'ait pas su satisfaire ses employeurs? Personnellement, Ampère ne voyait pas l'intérêt de perdre du temps à écouter ces sornettes et elle ne retenait qu'une seule chose de ses paroles: la pseudo menace qu'il avait lancé à la Confrérie. Visiblement, il semblait croire dur comme fer qu'il pouvait les battre...Décidément, cette organisation tellement secrète avait réussi à capter l'attention de la mutante...

    « Voilà une histoire bien triste et c'est vrai que c'est dommage pour votre belle gueule...Tiens, je me demande quand on descend de quelques échelons après avoir été livreur où on arrive...Balayeur peut-être? »

Elle n'ajouta rien de plus. Inutile de rajouter de l'huile sur le feu et énerver l'homme qui semblait commencer à perdre patience. De toute façon, Fatale gérerait la situation bien mieux qu'elle...






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Fatale
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeLun 26 Juil 2010 - 22:25

Fatale n'était pas du genre à s'émouvoir, si effectivement Maximillien n'était pas compétant il avait même de la chance de ne pas l'avoir comme chef. Elle détestait par-dessus tous les tires au flanc et les têtes brulées. Elle pouvait se montrer impitoyable pour ce genre d'individu qu'elle jugeait n'être que des parasites, elle n'aimait pas s'encombrer avec de tels individus. La pitié était un luxe qu'elle ne pouvait pas se payer. Ces méthodes étaient assez radicales, mais elle avait fait ses preuves. La confrérie avait de la chance qu'elle ne soit qu'une exécutante, même si elle avait des hautes responsabilités, elle n'était pas entièrement libre de ses faits et gestes.
Non elle n'allait pas le plaindre de ne plus voir ce pauvre monsieur Fray, cependant elle était quand même contrariée par cette nouvelle. En effet, elle aimait avoir un seul et unique interlocuteur. Ce qui facilitait le langage. Elle trouvait que c'était plus simple dans ce genre de transaction, connaitre l'autre permettait de savoir les limites à ne pas dépasser ou bien l'attitude à adopter. Puisqu'il avait été leur intermédiaire elle estimait qu'il devait le rester.
Leur prochain contact serait peut-être plus malléable que Maximillien qui s'était montré redoutable en affaire. Elle devait admettre que cela lui avait plus d'avoir une personne qui lui tienne tête avec de la subtilité. Il avait agi tout en finisse. Pour cela même si sa confiance envers lui était limité, elle avait du respect pour cela. Ce petit jeu du chat et de la souris ne lui avait pas totalement déplus.

"Si un jour vos patrons vous saoul, vous savez ou me trouvez, je pense que nous pourrions fortement nous arranger d'une façon ou d'une autre."

Après tout, si ce dernier était vraiment désespéré peut être serait il plus conciliant à vouloir leur donner quelques précieuses informations. Elle savait que la vengeance était une gangrène qui pouvait ronger les hommes et corrompre les plus fidèles serviteurs.
Ampère lui fit signe que tout était opérationnel. Quelques instants plus tard le chargement fut terminé. Les hommes n'avaient clairement pas chômé pour faire le transfert. Ce qu'elle jugea préférable.

"Bien passons à la première transaction."

Elle sortit son téléphone portable, elle composa un numéro.

"Oui, tout est ok, Les gens généreux font de mauvais commerçants."

Ces paroles pouvaient sembler étrange, mais elle avait codé ses ordres pour que le banquier sache s'il devait ou non autoriser la transaction. Elle avait pris beaucoup de précaution, elle était la seule à connaitre les deux contacts à appeler pour faire les deux versements. Sans son accord verbal la transaction tomber à l'eau.
Elle s'approcha de leur vendeur, elle lui fit un regard fort aguicheur sous son apparence angélique.

"A vous de jouer, vous n'avez qu'à me donner le numéro de compte ou vous voulez que le versement soit effectué."

Puis à l'attention d'Ampère et de ses hommes.

"Dès que la première transaction est effectuée, vous partirez, Ampère, tu me contactes dés que la marchandise est en sécurité pour que je finisse de payer notre très cher ami."

Visiblement elle avait tout planifié. Elle avait toujours été très méticuleuse. C'était ce qui en faisait d'elle une adversaire redoutable.
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Maximillien Fray
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMer 28 Juil 2010 - 1:35

Bon, il en avait peut être un peu trop fait, il n'avait pas l'habitude de jouer la comédie pour simuler une défaite. Il manquait d'expérience en la matière. Les deux étaient fortement désagréables et pour un peu, vu sa mauvaise humeur chronique, il les aurait bien fait pulvérisé s'il l'avait pu. Mais bon, l'inconvénient dans ce métier, c'est qu'on abime pas le client, enfin, pas plus que nécessaire, car un client en vie est un client qui a plus de pouvoir d'achat qu'un macchabée. La dure réalité du commerce, tout se monnaye et a un prix, de la chose la plus insignifiante à la plus indispensable.

Ne vous en faites donc pas pour moi, je suis redescendu de quelques marches, mais je vais les remonter rapidement quitte à devoir abattre quelques gêneurs au passage. Mais je prends note de votre invitation, pour la forme. Les gens généreux ne peuvent pas réaliser de profits, et sans profits, impossible de prospérer, et une société qui stagne finit forcément par chuter. Joli code.

Maximillien leur communiqua le numéro de compte en banque d'une société fantôme off shore basée au Luxembourg. S'en suivrait tout un périple de transaction pour que l'argent échoue sur un compte auquel personne ne toucherait pendant un certain temps. Absolument intraçable, ni par l'électronique, ni par rapport à la société. L'OC ne serait en rien relié à cette transaction, et les seuls à être mis en cause ce serait AIM, des abrutis qui sous estimaient toujours le facteur humain et sa victoire sur la machine, encore que Phobos faisait de même malgré son génie, ou peut être à cause de son génie.

Alors nous allons rester ensemble à attendre, voila qui promet une réjouissante réunion, je suis sur que vous êtes pleines d'anecdotes et d'histoires à raconter au sujet de votre carrière. Sinon nous parlerons actualité, ou encore nous ne parlerons pas et nous nous contenterons de nous toiser du regard à attendre le premier qui dégainera, charmante perspective.

Qu'elle reste ici semblait logique, mais il aurait préféré, un peu, la syréne plutôt qu'elle. Elle au moins était de son âge, environ, et agréable à regarder, bien que pâle. Fatale faisait beaucoup trop mante religieuse pour son gout. Ou alors une rose imbibé de curare et de tétanos. Si on y touche, on en ressort pas indemne. La syréne était à peu prés aussi mortelle, mais comme elle était plus jeune, elle n'était pas aussi hardcore que la vieille et du coup elle était moins effrayante. En même temps quand on traite avec la confrérie, on s'attend à rencontrer tout le ramassis terrestre des laissés pour comptes névrosés et en colère.
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeSam 21 Aoû 2010 - 13:00

    Pendant que Fatale réglait les détails économiques de la transaction, Louise se désintéressa de l'affaire. Pas par réelle envie, elle aurait pu rester aux côtés de sa supérieure, mais à cet instant précis, ce n'était pas ce que Fatale attendait d'elle. Et puis de toute façon, ce Maximilien Fray lui tapait rudement sur les nerfs et elle avait envie de rentrer. De toute façon, elle débutait dans le monde de la négociation et c'était déjà bien joli qu'elle soit restée patiente jusqu'à ce moment. Encore trop jeune, inexpérimentée, avec à peine ses vingts balais au compteur, Ampère apprenait doucement les ficelles du métier. Petit à petit, on voyait les changements en elle, menés avec brio par ses supérieures. Mystique, Wanda et Fatale...Rien que des femmes de pouvoir qui lui montraient le chemin et faisaient d'elle la puissante mutante qu'elle promettait être.

    Enfin, puissante mutante, c'était vite dit. Il restait du chemin à parcourir et pour l'instant, elle en était au stade où il fallait se contenter d'obéir. Et encore, niveau hiérarchie, elle n'avait pas trop à se plaindre, son statut de bras droit de Wanda lui conférait déjà une place avantageuse au sein de l'organisation criminelle, et contrairement à ce monsieur max qui semblait dégringoler en flèche, elle, elle montait tranquillement les échelons. On lui faisait confiance, et c'était déjà pas mal.

    Elle hocha la tête en direction de sa supérieure.

      « Très bien Fatale. »

    Pas besoin d'en faire des caisses, eh. Elle fit simplement signe aux hommes qui l'accompagnaient de finir le chargement, restant près d'eux pour veiller à ce que personne ne vienne leur chercher des noix. Ses fouets accrochés à ses poignets. Bien sûr, elle n'était pas encore capable de s'en servir correctement mais elle sentait déjà l'électricité. C'était plus que suffisant pour concentrer leur énergie dans sa main et la renvoyer pour repousser un éventuel attaquant. Ca avant de lui coller une balle entre les deux yeux. Pas très fameux comme tactique quand on disposait de pouvoirs mais tout aussi efficace.


    *****

    La première transaction était effectuée, il ne lui restait plus qu'à mettre les voiles. Tranquillement Ampère remonta dans le camion, l'un des hommes à ses côtés. L'autre était resté auprès de Fatale en renfort, même si Louise doutait fortement que Fatale ait besoin d'une quelconque aide. Avec les deux mutants, restaient deux motos qui avaient été descendues du camion pour que la puissante acolyte et le sbire puissent rentrer par leurs propres moyens. De son côté, Ampère était simplement chargée de ramener la marchandise en lieu sûr, et il s'agissait d'une planque de la Confrérie. Un endroit sûr et bien gardé, où serait entreposé le matériel. Le temps de l'examiner -allez savoir ce que ces types avaient pu faire au matériel- avant de le transférer définitivement dans les souterrains de la Confrérie.

    Elle démarra, manœuvrant avec soin le lourd camion et s'éloigna du lieu de rencontre, espérant que tout se passerait pour le mieux...

    *****


    Les armes étaient enfin entreposées à l'abri des regards indiscrets. Le voyage avait été plutôt calme. Maintenant, il ne restait plus qu'à contacter Fatale et lui signaler que tout s'était passé pour le mieux. S'isolant rapidement, elle attrapa son téléphone et entreprit d'envoyer un message à sa supérieure.

      « Tout est en ordre. Attend les ordres.»




Excusez moi pour le retard...><


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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitimeMer 25 Aoû 2010 - 22:06

Fatale avait donné ses ordres, il avait été exécuté à la lettre. Elle aimait que ce genre d'opération se déroule sans anicroche. Elle se savait suffisamment méticuleuse pour mener à bien ce genre d'opération, mais elle ne pouvait pas tout prévoir. Il y avait certains paramètres qui lui échappaient.
Fatale ne fut pas mécontente de voir enfin le camion de marchandise quitter les lieux. De plus on venait de décharger le moyen de locomotion qu'elle préférait pour quitter le lieu de l'échange. Elle était restée en bonne compagnie, en cas de grabuge. La première partie du plan c'était déroulé sans aucun accrochage, elle avait imaginé le pire avec Maximillien et son esprit retord. Visiblement ce dernier s'était avéré rigoureux dans cette affaire. La belle attendait le feu vert de ses coéquipiers pour passer à la suite. Elle préféra garder le silence durant tout ce temps. A quoi bon perdre son temps en bavardage inutile. Ce n'était pas le genre de l'acolyte et depuis que Maximillien lui avait annoncé qu'il ne serait plus son intermédiaire, il avait perdu du peu d'intérêt qu'elle pouvait lui porter. Elle le savait suffisamment fidèle à son patron pour ne pas le trahir, malgré qu'il soit tombé en bas de l'échelle. Ce qu'elle trouvait dommage, après tout elle aurait aimé avoir un cadeau bonus avec sa commande. Il ne fallait pas trop en demander non plus. Elle prit une pause, de vamp en s'adossant sur le camion restant. Il ne restait plus qu'à attendre bien sagement. C'était dans ses moments là qu'elle appréciait son entrainement en tant qu'agent d'infiltration. Faire preuve de patience pouvait rapidement mettre les nerfs à rude épreuve.
Après un long moment, elle sentit son portable vibré. Elle le sortit et consulta son message. Elle esquissa un sourire, la marchandise était donc arrivée à destination sans aucun encombre. *Parfait!*
Elle se dirigea donc vers leur fournisseur, toujours avec sa démarche féline. Elle avait donné toujours son téléphone à la main.

"Bon tout est en règle !"

Elle composa un numéro de téléphone dans l'un des paradis fiscaux des îles Caïman. Elle avait brouillé les pistes pour éviter qu'un grain de sel vienne mettre en péril la machine. Il était temps de donner le code au banquier pour que ce dernier puisse vers le versement total

"Allo, oui c'est fait ! Le moyen d'être sauf, c'est de ne pas se croire en sécurité !"

Elle tendit le portable, à Maximillien.

"Tenez, c'est pour vous ! vous pouvez le garder, je n'en ai plus besoin. A vous de faire le reste !"

Le banquier avait pour consigne de faire le virement puisque tout était en règle. Tout se déroula comme pour la première fois. Fatale esquissa un petit sourire carnassier qui allait si bien à ce doux minois qu'elle avait emprunté. Le téléphone qu'elle avait remis à Maximillien était un cellulaire qu'elle avait acheté la veille et vierge de tout numéro à part ceux qu'elle avait composé et qui ne serait plus viable d'ici deux heures. Cette transaction ne laisserait aucune trace.
Puis sans rien ajouter de plus elle se dirigea vers l'une des deux motos et elle fit signe à son garde du corps de venir.

"Adieu Monsieur Fray !"

Elle enfila son casque et monta sur l'engin. Elle fit rugir le moteur, une fois que l'homme qui était à son service fut prét. Elle démarra sur les chapeaux de roue. Pour être sûr qu'elle ne serait pas suivi par les hommes de main de Maximillien elle généra un portail de téléportation. Elle fit signe au confrériste, de l'emprunter puis elle le suivit. Ce dernier ce referma derrière elle. Elle réapparut à quelques mètres, de l'entrepôt. La transaction avait été un succès, la confrérie était entrée en possession d'un matériel de haute technologie, qui allait permettre à la puissante organisation de passer à la vitesse supérieur. Il ne lui restait plus qu'à mettre en lieu sur le marteau, mais ce-ci était secondaire.
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MessageSujet: Re: le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron   le marteau n'est pas un poids mort dans la main du forgeron Icon_minitime

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