Le pouvoir vien en travaillant ou... [PV Magdalenna]

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La vie du jeune jardinier évoluait de mieux en mieux. Tout avait commencer avec Plasm qui l'avait rassurer en lui avouant que les gens ici était sûrement en mesure de se défendre contre lui si cela aurait été nécessaire. Suivit de Thémis, cet homme qui lui avait réveiller quelque soupçons sur lui même et qui voyait de temps en temps, qui était maintenant un ami pour Walter. Il rencontra aussi cette femme, se professeur, Kate Sinclair. Une femme très gentille, que Walter avait bien apprécier. Il n'avait pas encore rencontré d'autre gens. Les peurs et les craintes de Walter était toujours la, toujours présente. Celle si avait bien dimminuer, mais ignorer qui était en lui, était si frustrant que cela poussa Walter à continuer à apprendre et écouter la nature le conseiller. Son pouvoir se développait plus que normalement. Il arrivait a faire de magnifique petit arbre, créait maintenant ses propres fleurs et les lianes étaient plus résistante. Il cragnait que c'était cette chose en lui qui y aidait, mais, Walter ne devait pas s'inquiété. L'Italien ne devait pas se laisser aller à la panique, cela serait un si beau moyen de donner sa place à cette chose, a se dragon.

Son corps recouvert de lianes noir et ses yeux recouvert d'un voile vert lumineux, le jeune homme rendait les arbres autour de lui encore plus vivant que jamais, mais cela l'épuissait, mais il ne devait pas abandonner. Il se mit à genou et leva sa main droite. Une fleur sortie du sol. Sa tige et ses feuilles était d'un noir très foncé, ses pétales, qu'on comptait en nombre de six, ressemblait à des lames d'épée. Les pétales était de couleur bourgognes et un reflet violet se voyait à la lumière du soleil. Il caressa cette petite chose qu'il venait de créé...

-Salut petite chose... je te nommerai ''La bella del cuore'' (La belle du coeur)... cela te plait?... je le savais...

Et oui... Walter peut facilement passer pour un fou, se parlant tout seul, mais en réalité, celui si avait une discution avec sa création, son enfant...

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Magdalenna avait profitée du calme de l'institut pour emporter avec elle Mélusine, Harpe de troubadour celtiques a 36 cordes, après avoir fait quelques accords, la musique montait peu a peu dans les airs...
Et au fil des accords, peu a peu les mumures d'accompagnement résonnèrent comme des paroles distinctes s'envolant dans les airs, écoutant le coeur de la nature....
Magdalenna vêtue d'une robe longue a la dentelle noire, assisse sur un tronc d'arbre pour siège, semblait faire partie du décor.
Nombreux étaient ceux qui savaient sa passion pour la harpe, mais aucun ne savait que celle qui était certaine d'être qu'une humaine projetant son amour protecteur sur les habitants de l'institut, ses élèves mutants comme professeur, était en fait une des leurs...

Et qui aurait put s'en apercevoir lorsqu'un pouvoir n'est autre que celui d'inspirer, d'augmenter les autres de veiller sur eux, comme une étoile dans le ciel... Même son empathie, aucun évènement n'aurait put permettre un tel rapprochement... Et si la jeune femme semblait épanouie, chaque soir ses rêves la hantaient sur un passé perdu... Ces moments de solitudes étaient peut être les seuls où l'on pouvait voir une larme perlait sur sa joue.

Elle n'avait pas entendu le jeune homme , ce jeune jardinier essayant de s'améliorer, elle n'avait fait qu'un avec la nature, se ressourcant, se perdant dans les bois, afin qu'une fois de retour a l'institut elle reprenne son masque, gardant son contrôle, prenant soin de chaque élèves, professeurs...
Avec le temps, elle était devenue comme une mère temporaire pour guider ceux qui avait remplis le vide de son coeur, lui redonnant la force de continuer le chemin de la vie, sans faiblir ...

Puis elle se tut, les dernières notes mourrant sur une dernière pincée, soupirant, elle eu un sourire, relevant son regard sur les arbres lorsqu'elle entendit un craquement.
La femme se retourna pour voir de quoi il en retournait...

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Devant sa création, Walter ne pouvait qu'être heureux devant cette merveille. Pourquoi l'homme joue t'il avait la vie de la Nature? Pourquoi lui fessait-il subir tout c'est tourment, tout ces blessures, toute mort d'arbre vivant? Ce qui poussait désormais était si dépourvue de vie, que Walter se sentait pousser à donner un peu de sa vie à ses protéger. Non! Il ne pouvait pas se résoudre à voir la nature mourir. Un jour les mutants seront accepter et Walter montrerait ce qu'il était capable de faire avec la Nature, ses créations, ses talents et la beautée de la nature. Mais, encore fallait-il trouver une personne qui puisse le comprendre.

Walter plongea sa main vers la fleur pour la faire sortir de la Terre et la cueillire au creux de sa main. Un petit vent vint froller le jeune homme. C'était en fait un soupir de la Nature qui lui apportait une douce mélodie. Immédiatement, Walter se sentit attirer par cela, tout comme la Nature. Il avança vers cette personne qui chantait. Étrangement, les larmes lui montèrent au yeux et coulèrent en silence sur sa joue. Il arriva devant une femme percher sur un arbre qui jouait d'un instrument qu'il avait vu dans des films de moyen âge. Il attendit donc que celle si finisse de jouer sa mélodies, mais celui si perdit l'équilibre, envouter par la mélodie et pilla sur une branche. Il rougit alors et dit, en italien, suivit de la traduction :

-Desolare, non volevo disturbarli... Euh, je veux dire, désoler, je ne voulais pas vous déranger... mais c'était si magnifique...

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Magdalenna eu un sourire, un jeune homme perdant l'équilibre, elle s'assura que sa harpe fut bien poser afin qu'elle ne tombe et s'abime, avant de se relever, inclinant sa tête dans un geste poli, et d'un regard tendre.

" Ce n'est rien, vous ne vous êtes pas fait mal au moins? "

Si Magdalenna ne le connaissait pas, elle pouvait être certaines qu'a 90% , ce jeune homme serait un mutant , voir un élève ou futur élève de l'école, les entrées et sortir de cet institut était son lot quotidien...Puis elle eu un petit rire, réalisant qu'elle ne s'était pas présenter, chose très impolie dont il était pas pour habitutes de la jeune femme....

" Je suis Magdalenna d'Arcadia, j'aide a l'institut dans les diverses tâches, bien que je n'ai pas réelement de fonction précise... Mais c'est a moi qu'on s'adresse lorsque les professeurs ou que personnes d'autres n'est présent ."

Il était vrai qu'il était dur de pourvoir dire le rôle réelle de la fée de l'institut, passant sans cesse de secrétaire a infirmière, en alternant femme de ménage, a pionne, toutes les casquettes s'enfilaient les unes après les autres, aux besoins de chacun...

" Etes vous nouveau en notre institut? "

La jeune femme préféra poser la question, car si il était nouveau, il fallait s'assurer qu'il est bien une chambre, et tout ce qu'il lui faudrait pour les jours a venir, il n'était pas rare que certains déposséder de tout, n'ai a peine que leur vêtements sur eux comme bien ... Il y avait aussi le réglement, les cours et bien d'autres choses en perspectives a régler.... puis elle observa la fleur qui se trouvait dans la main du jeune homme, un pincement au coeur, car pour elle quand on lui offrait des fleurs cela signifiait couper la vie de plante si douce... Elle préférait avoir des plantes en pots, voir une petite jardinière, mais elle évitait a tout prix les fleurs coupés dans un vase ..
Après tout n'était elle pas attirée par la nature...

" Voila une bien belle fleur, il ne me semble pas la connaïtre, mais n'aurait il pas été préférable de la laisser dans la terre au lieu de la kidnapper loin de son essence ? "

Magdalenna fit un sourire, elle n'était pas intolérante, elle possédait ses idées, ses opinions, sa façon d'être mais pas l'intolérance, cela était une chose certaine!

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Walter était très gêner d'avoir déranger cette femme. Il ne voulait pas paraitre mal polie ou mal élever. De plus, Walter aurait aimer que celle si dure encore. Il sentit enfin la larme sur sa joue et l'essuya en souriant. Il était sur le point de tomber, mais avec son pouvoir, une liane l'avait retenu et l'avait ramener sur ses pieds. Cela n'avait pas trop apparu et la conversation avec la dame était engager. Tout première question, c'était-il fait mal en perdant équilibre. Pas vraiment, mais il voulait la rassurer.

-Inquiétez vous pas... je suis plus résistant que je pourrais le paraître. Et j'ai plus d'un tour dans mon sac. Comme mon grand-père dit souvent ''Occorre sempre un piano B per ogni evento'', en autre mots, il faut toujours un plan de secours au cas où.

Et celle si se présenta sous le nom de Magdalenna d'Arcadie. Cela sonnait si médiéval. Il adorait ce nom et il ne le cacha pas et murmura :

-Un nome splendido!... Je suis ici depuis quelque mois maintenant... mais pour des raisons personnel, je suis me suis enfermer alors, cela m'étonnerais que vous m'avez vue... peut-être que Jean Grey vous à parler de moi. Je me prénom Walter... Walter Zaccarie. Deliziato!!!

Et il remarqua que la femme semblait être admirer mais aussi triste devant la fleur. Le jeune homme ne comprit pas immédiatment pourquoi celle si agissait ainsi jusqu'à sa remarque. Il se mit alors à rire et se pencha vers le sol et la fleur se mit à bouger et se dirigea vers la femme et s'engouffra dans le sol. Celle si grossissa un peu plus et semblait encore plus vivante.

-J'aurais été d'accord avec vous si je n'étais pas en quelque sorte l'essence même de la nature. Vous avez devant vous celui qui vie en communion avec la nature, qui parle avec les plantes, qui leur donne la vie, qui leur enlève lorsque le temps est venu. Qui redonne la vie au plante qui sont morte malgré qui rone toujours le sol. Bref, je suis Il padre naturale, le père nature. Et cette plante est de ma création... Elle porte le nom de '' La bella del cuore ''.

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Elflédéa eu un sourire, auquel se méler du rose au joue, lorsque le jeune homme écrassa une larme, ne s'apercevant pas de la liane retenant sa chute, il tenta de la rassurer.
C'est dans un sourire qu'elle écouta la langue chantante des pays du sud. Pourtant imperspectivement elle sentait un besoin de refaire jouer les notes de son instrument sans le laisser paraître.
Mais qu'elle ne fut pas la suprise lorsqu'elle appris que cela faisait des mois qu'il était ici, et qu'il avait préféré s'enfermer.... Faisant un effort de mémoire lorsqu'il se présenta, elle essaya de mémoriser le dossier...
Effectivement le nom lui disait quelques chose, mais elle ne l'avait jamais vu elle même, et Jean semblait préférer s'occuper de cet élève.

" Votre grand père est un homme sage, mais a votre âge il est mauvais de vous enfermer! Et je vous est effectivement pas vue, Jean a pris votre dossier sous son aile."

Elle n'avait pas relever le compliment non par impolitesse, mais tout simplement par ce que cela ne se faisait pas... Et lorsqu'il comprit la gêne envers la magnifique fleur, la remettant dans le sol, qui pris plus d'empleur, Magdalenna possédait se regard, ce regard remplit d'amour d'une mère devant la fiertée de ses enfants, de l'amour qu'elle leur portait, de l'inquiètude...
Un regard innocent et admirateur, remplis d'un peu de bonheur...
Elle écoutait en même temps Walter, tout en approchant d'une main douceur de la plante, comme l'apprivoissant petit a petit un petit être la découvrant pour la première fois.....
Elle eu un petit rire au terme père nature mais un rire attendrie, après tout la femme se souvenait de nombreuse divinités associé aux cultes de la nature, n'était pas que des femmes mais aussi beaucoup d'homme....

" Douce fleur , bonjour, permettais tu que je te caresse.... "

Pui relevant la tête.

" Il est vrai qu'avec un tel pouvoir, bien qu'il faille apprendre sagesse et respect, l'horizon de son comportement avec elle change... Et quelle magnifique création que cette plante, son nom lui va parfaitement! "

Puis elle se releva, elle restait inquiète, certains mutant ayant des pouvoirs envers la nature, supportaient parfois mal d'être éloigné de celle ci, où encore d'être enfermé, surtout lorsque ceux ci developper a un certain niveaux lors capacités...

" Il faudra pourtant faire attention, point rare sont ceux qui possédant des pourvoirs de la nature en demeurent dépendant... Un peu comme les légendes ou les contes, on n'apercoit rarement de fées ou de créatures loins de la nature, certains mutants peuvent avec le temps être mal loin d'elle ... Certains vivent sans soucis, d'autres découvrent ce soucis .... "

Elle eu un sourire plongeant tour a tour son regard entre les yeux de Walter puis observant la plante, et dans un geste tendre elle se retourna pour retourner la harpe vers eux, puis pris la main de Walter pour l'inviter a s'asseoir, avant de pincée quelques notes...

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Walter avait pus remarquer le sourire de la dame lorsqu'il essuya sa larme sur sa joue. Il ignorait tout d'elle et ignorait que Jean l'avait prit sous son aile. En faite, il ne l'avait pas revue depuis et il voulait la revoir. Elle seule était en mesure de le comprendre et de l'aider. Il savait aussi qu'une avis des avis de recherches étaient en vigueur sur son compte et était surpris que presque personne dans cette école aille entendu parler. Peut-être que Jean en était la cause ou peut-être qu'ils avaient juger bon de faire en sorte que personne ici ne vois quoi se soit.

La femme avait raison. Il savait que pour son âge, alors qu'il n'avait que vingt ans, c'était pas super de s'isoler du monde. Mais si seulement elle savait. Il garda cet partit de lui inconnu. Il regarda son bras droit, celle qui était parcouru de liane noir. Tout avait commencer depuis se jour. Il adorait ce nouveau pouvoir mais, il le considérait parfois comme un malheur, car le jour du réveille de son pouvoir, fut aussi le réveille de cet entité, de se double. Il répondit donc à la dame :

-Si vous saviez... Disgrazia a me… J'ignore pourquoi mais, je suis rechercher par tout ce qui à d'autorité dans ce pays et personne ici le sait... à croire que les professeurs ont tout fait pour que personne ne puisse savoir quoi se soit sur ce que j'ai fais avant d'arriver ici...

Et la jeune femme se pencha pour pouvoir caresser la fleur, en lui demandant la permission. Walter sourit et lui dit que La bella de cuore lui permit de la toucher. C'était devant cela qu'il adorait ce pouvoir qui lui permettait de contrôler les plantes. ET les paroles de la jeune femme lui fit sourire et dit.

-Vous savez... depuis ma naissance que je vous un PLUS grand respect envers la natura. Depuis que je suis tout petit, la nature ma toujours parler et ma confier de bien nombreuse chose mais, elle est toujours rester mystérieuse en se qui me concerne.

Mais la suite le fit sidéré. Il n'avait jamais penser que la nature pourrait devenir quelque chose de dépendant, comme pour la drogue. Il regarda la femme et lui avoua.

-Je... je crois que je préférais devenir dépendant d'elle que de continuer à vivre parmi l'erreur des humains, des normaux... ils gâchent tout, détruit tout, vole la vie de toute chose vivante et cela, sans même s'en inquiété. Ces plantes me demande toujours mon aide pour aider un tel ou un tel pour assurer leur survie... Que puis-je faire d'autre? La natura non si può protetto senza il mio aiuto… (La nature ne peut se protégé sans mon aide)...

ET la main de la femme saississa la sienne pour l'amener avec elle et pour rejouer de sa mélodie. Il ferma alors les yeux... Tout semblait devenir calme. Toute les plantes se tournèrent vers la femme pour écouter la mélodie. Walter pouvait entendre les murmures de la forêt... mais quelque chose en lui changea. Un dragon surgit sur son visage et les yeux de Walter devinrent vert et la voix de celui si changea...

-Qui êtes vous? Vous êtes si pure... Vôtre âme est si bonne... La Nature suit vos chant... Vous semblez avoir un pouvoir très puissant... Et je sens en vous quelque chose de très... attirant...

Walter n'était plus... l'entité était bien là... mais... il ne semblait pas menacent. Au contraire... Il semblait hypnotisé par cette femme...

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Une chose était sûre si le professeur Xavier c'était arrangé pour étouffer cette affaire, c'est qu'il y avait une raison, et par respect et confiance envers son débiteur a vie, Magdalenna ne chercherait pas plus loin, sauf en cas d'extrème nécessité. Mais elle regardait le jeune homme, certes il était jeune et ce n'était pas le meilleur moyen que de s'isoler, mais elle savait que beaucoup avait eu besoin de cela, de se remettre en question, de se découvrir, avant d'aller découvrir les autres...C'est alors qu'il s'expliqua, qu'il osa parler de son secret, et de ses peurs...
Et de ses rêves aussi, elle fut a la fois attendrie et l'écoutait, laissait planer le silence juste rompue par les notes de musique s'élevant dans les airs, la musique appaissait les moeurs du moins c'est ce que le proverbe disait....
Parfois les mots n'avaient aucun sens, on pouvait harceler l'enfant de morale, de parole inconhérente sur des expériences déjà vécues, mais il fallait aussi parfois laisser l'oisillon,prendre sa tentative d'envol, et être juste là pour l'accompagner pour le rattraper au bon moment... Combien de fois cela arrivait que Magdalenna se retienne pour ne pas leur crier de ne pas aller vers le danger, mais elle en avait pas le droit, alors en silence dans l'ombre elle restait éveiller a surveiller pour juste être là le bon moment venu.....

Tout devenait calme peu a peu, seule la musique répondait aux mumures de la nature, et Magdalenna n'aperçue pas le dragon sur le visage de Walter tandis qu'elle pinçait l'une des trentes six cordes de la harpe.... C'est a l'intonation de la voix changeante qu'elle s'arrêta pour regarder le jeune élève. Ses paroles n'avaient rien de menaçant pour elle du moins, et Magdalenna ne montra aucune crainte dans sa réponse...

" Je suis Magdalenna nous discutons depuis maintenant plusieur minutes... Votre voix a changé... Que se passe t il ? Chaque âme contient sa part de bon ou de mauvais, seul notre désir nous ammène sur le chemin que nous désirons... "

Puis elle eu un sourire, dans un regard tourné vers la nature, fermant les yeux, inspirant l'air bienfaitrice de cette dernière avec ses odeurs relevant les souvenirs d'enfances, ses mumures imperceptible a l'oreille humaine...

" Je suis honorée si celle si apprécie mes chants , car elle m'inspire, je la respecte tout simplement... Mais je ne possède point de pouvoirs, sauf celui de l'amour et de la tolérance... Puis je savoir qui vous êtes ? Et où se trouve Walter? "

Elle parlait d'une voix calme et douce, rien ne servait de paniquer, tant qu'aucun danger ne se présentait, et peut être que après tout cette conversation ammènerait a Walter des informations qui recherchaient sans qu'on lui permette de savoir....

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Dragonis regardait cette femme... elle ressemblait tant à cette femme avec qui il avait vécu lors de son existence. Mais comment pouvait-on dire que le double de Walter puisse avoir une ancienne vie, à moins que celui si ne soit pas aussi fou qu'il croit. L'autre regardait la femme. Habituellement, lorsqu'il apparaissait, c'était souvent pour attaquer la personne qui était avec lui pour quelque soit les raisons. Mais cette femme possédait une douceur qui apaisait Dragonis. Qui était-il réellement? Personne ne le savait! Seul lui pouvait répondre à cette question, mais aucune chance que cela puisse être possible. La femme lui parla alors de la bonté et du mauvais, que seul le désire guide nôtre destin. Dragonis regarda la femme, elle ne semblait pas comprendre immédiatement ce qui c'était passer. Il répondit alors :

-Et moi mon désire est celui de protégé la nature de la menace humaine... Et en se qui concerne les autres, je serai toujours considéré comme étant une menace, car mes idéaux seront jamais compris par qui se soit. Alors que les X-Mens cherchent à faire en sorte que les mutants sois respecter, la Confrérie elle cherche à détruire les humains pour leur protection... moi, je veux destruction de toute forme de vie qui na aucun lien avec la Nature.

Le visage de Walter devenait de plus en plus sombre. Il commençait en avoir assez de parler avec cette femme... même si celle si lui rappelait sa femme, morte depuis si longtemps. Il n'avait pas que celaà faire... et il sentait que Walter reprenait le dessus. Mais Dragonis réussi à reprendre le dessus, reculant son départ. Et par la réponse et question de l'elfe, elle semblait ignorer tout de son potentielle. Le dragon le sentait... cette chose en elle qui semblait venir en synbiose avec lui, qui le rendait encore plus fort, mais qui rendait Walter encore plus fort... Mais, Le Dragon Vert avait assez de force pour rester encore la à discuter avec cette femme.

-Ne sous estimer par cette force qui se cache en vous... vôtre lien avec la nature est plus grande que vous le croyez... il y à des choses en vous qui devrait être exploiter... Mais mon nom na aucune importance pour le moment. Vous comprendrez que Walter n'est plus pour le moment...

En faite, l'accent de Dragonis était tout autre. Il y avait la un accent encore jamais connu...

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Magdalenna baissa les yeux, se concentrant sur la harpe, lorsque Dragonnis la regarda.Un regard troublant, elle se sentait proche et a la fois étrangère par rapport a cet homme. Et si cette nouvelle apparence de Walter pouvait parraître doux avec elle, il semblait vouloir mener le jeu. Malgrès des paroles sages, lorsque celui ci répondit, la jeune femme fut troublée, et le son sur sa harpe s'en ressentait, non pas d'angoisse, de haine ou de peur, juste de tristesse, elle ne disait rien , elle écoutait simplement, pourquoi tant de haine, elle savait que cela pouvait représenter une menace, aussi bien pour les mutants que pour les humains...
C'est qu'après quelques minutes de silence qu'elle lui répondit en gardant son calme et sa voix douce.

" Pourquoi vouloir une telle déstruction, ne vous voit on pas comme une menace car vous êtes différents et que vous partager pas les mêmes idéaux... Tout est une histoire d'apprentissage... Après tout, si nous apprenons aux enfants d'aujourd'hui le respect de la nature, il l'apprendront aux leurs... Comme ce que font les x-men en apprenant a leurs élèves a respecter les humains et a trouver une harmonie avec eux ... Contrairement a la confrérie qui ne veulent aucune négociation, aucun effort pour tenter de vivre tous ensemble ... L'homme est né de la nature ... vouloir détruire ce qui n'a aucun lien avec la nature est vouloir détruire aussi l'innocent enfant qui s'extase lorsqu'on lui montre la chenille devenant papillon... "

Lorsqu'elle vit le visage s'assombrit, sentant qu'elle risquait de l'agacer, elle le regardait, inquiète pour walter mais aussi pour ce côté qui semblait pouvoir devenir aggressif si on ne montrait pas un calme résolu... Et lorsqu'il répondit a sa question elle l'écouta intriguer...
Un accent qui apparaissait mais sans qu'on puisse dénoter son origine, des paroles qui parraissaient encore trop mystérieuse pour Magdalenna, car si elle reconnaissait les mutants, qu'elle les respectaient et tentait de les aider, elle ne pouvait imaginer détenir elle même un pouvoir, et de plus les capacités apparaissaient en général a l'adolescence pas aussi tard dans une vie ... Mais elle ne voulait blesser ou se faire mal comprendre de cet être , car après tout peut être que d'une certaine façon son amour de la nature, sn lien comme il disait était une simple façon de percevoir les choses...

" Ma force est l'amour que je porte a chacun, et mon respect de la nature, certes, mais nous avons tous des choses que nous exploitons pas les ignorants, peut être les découvriraient je un jour. Mais pourquoi ne pas me donner votre nom... Il a une importance, lorsqu'on apprécie quelqu'un il est agréable de se souvenir de son nom, de son visage... Mais rassurer moi Walter va bien ? .... "

Malgrès l'accent, elle ne voulait pas lui faire croire qu'il la dérangeait, mais elle ne désirait pas que Walter est mal, ou souffre d'une quelqueconque façon... et peut être devaient il réussir a s'harmoniser comme chaque plante s'harmonise dans la nature pour donner cette symbiose ...

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Dragonis sentait ses souvenirs surgirent mais il ne pouvait pas se permettre. L'incognito avec Walter se devait être rude. Il n'avait aucun droit de connaître son nom, son passé et tout ces secrets. Tout devait rester dans l'inconnu. Mais ce qu'il ignorait c'était que, par les pouvoirs de Magdelenna, cette petite barrière ne tenait plus maintenant qu'a un fil. Mais il put revoir cet enfant qu'il avait vu mourir de la main des hommes... et tout la forêt semblait devenir de plus en plus sombre. De plus, ceux si avait tuer sa femme, sachant qu'elle était comme lui, une druidese. Car à vrai dire, Dragonis ne se comparait pas réellement à un mutant, il se comparait à un druid. Il se rappalait aussi de se pouvoir qu'il avait de pouvoir communiquer avec les animaux... il se rappelait de se temps où il y avait tant de pouvoir et tant de crainte à son égard. Il secoua la tête pour effacer tout cela et la forêt redevin à la normal. Et la cette femme possa la question fatal... pourquoi tuer les humains? La forêt devint alors très menaçante. Il serra son poing droit et d'une vive rage, il cracha.

-Parce que les humains détruisent tout ce qui leur est inconnu. Il n'on aucune pitié sur les gens différent... Les humains ont tuer ma famille et moi, je turai leur descendance...

Toute les plantes devinrent de plus en plus sombre. La rage de Dragonis était toujours présente et son esprit était si noyez dans le noir que plus rien ne pouvait en sortir. Son passé était toujours mystérieux et remplit de haine. Le dragon vert haissait tant les hommes qu'il se demandait pourquoi les Dieux avait-ils osé créé cet abomination. Aucun humain ne méritait de vivre... et les mutants qui était du côté humain ne le méritait pas plus. Cette Confrérie... elle semblait si intéressante... Dragonis regarda le visage de cette femme... elle lui ressemblait si bien... et son pouvoir se rapprochait à celle si. Il voulu alors avoir le coeur net et approcha sa main de ses cheveux et les recula pour dévoiler ses oreilles...

-Vous avez les mêmes oreilles que cette femme que j'ai aimé... êtes vous aussi une druidesse? Et en se qui concerne mon nom... appeler moi simplement Mervyl...

Mervyl... voila longtemps qu'il n'avait pas utilisé se nom, son nom de druide datant. Il fixa la jeune femme. Tout cela ne lui fit que rappeler de mauvais souvenir... il sentit alors l'esprit de Walter reprend le contrôle et il s'écroula à genou au sol, les mains sur la tête.

-NON... LAISSE MOI ENFIN... TU N'ES QU'UN MINABLE...

-C'EST TOI QUI L'AI, À VIVRE AINSI... JE NE TE LAISSERAI PUS FAIRE DE MAL À PERSONNE...

Et dans un crit, la forêt s'affolait, ne sachant pus à qui obéir. Les deux esprits se battaient un contre l'autre et le vainqueur?

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Que peut on répondre face a de telles paroles, surtout lorsqu'on ignore qui l'ont a en face de soi. Magdalenna écoutait, compatissait pour cet homme, elle même après tout avait vécu ces deuils qui vous déchire a vie, seulement elle avait fait le choix, de combattre d'une façon différente. Elle ne se jugeait pas supérieur a ceux qui les avait juger. De plus n'ignorait elle pas qu'elle même était une des personnes atteinte du gène X.... Et plus sa rage augmentait, plus la nature devenait sombre, elle tentait d'appaiser par sa musique, une musique douce, sans paroles, celle ci parlait d'elle même ... Et sans voir venir, il découvrait l'une des particularités de la jeune femme... Ses oreilles, ces oreilles pointues, lui indiquant la ressemblance avec la femme que lui avait aimé...Comment cela était il possible, Magdalenna tentait de réfléchir aux possibilités, mais y en avait tellement, une vie antérieure? un mutant ayant vécu trop d'année et tellement d'autres, elle se concentra pour répondre, tentant de ne pas laisser paraitre son émouvance...

" Je ne sais si on peut dire cela... Les femmes de ma famille ont depuis des générations eu de légères tendances, mais pour beaucoup de gens, cela faisait partie de notre folklore de nos origines..."

Elle eu un sourire Mervyl, un nom celtique, qui sonnait si doux, elle releva ses yeux en révèlant elle même la coutume des matriarches de la famille ..

" Álfheimja ceci signifie fille des Alfes, ma mère avait elle Guenwyhvar pour son côté assez félin... Ma grand mère avait eu Cliona pour la comparée au fées... c'est disons une tradition des femmes de la famille, rappelant de toujours respecter ce qui nous entoure... La famille de feu mon époux eux même possédait leur nom... "
Puis elle tenta de l'appaiser...
" Comme vous Mervyl j'ai vu ce que l'humanité peut apporté, le chagrin comme le bonheur... J'ai pleuré, j'ai hait ceux qui avait privé mon coeur des êtres chers, je leur est pardonner... Chaque lot de malheur apporte un bonheur... Si cela n'était point arrivé, je ne serais ici, près de vous, a trouver un peu de paix dans ses bois ... "

Mais d'un coup il s'agenouilla, Magdalenna courru a ses côtés, Walter et Mervyl désormais se battait pour le droit d'occupation, elle posa sa main sur l"épaule, tentant de les appaissaient tout deux ...
" Calme, arrêtez tout les deux... Vos visions sont différentes, mais votre amour de la nature est immense, chacun de vous doit se reposer... L'harmonie existe, le monde est gris, remplis de couleur et non noir ou blanc..."

Elle se tue, elle allait en dire plus mais cela n'était peut etre pas nécéssaire ...

Invité

Les deux hommes se battaient un contre l'autre... Walter se rendait alors compte que son problème était tout autre, que cette chose n'était pas lui, ni un double... mais une entité... Cela pouvait qu'expliquer son tatouage qui avait grandit avec lui, de cette puissance qui pouvait sentir lorsque le druide prenait le dessus. Plus aucune musique, plus aucune parole ne su apaiser le druide déchu. Il avait bien aimer la comparaison que cette femme lui avait dit et il caressa son visage pour lui dire :

-Vous avez de magnifique nom pour vous comparez... cela fait si longtemps qu'on ne ma pas redit se nom... Cliona... ma femme portait se nom jadis...

Et la, les deux esprit se battaient... Et Walter tomba sur le sol. Des lianes surgirent du sol pour s'enrouler autour du corps de cet homme et le retenait. Le corps était recouvert de marque de blessure, créé par les deux esprits. Walter poussa alors un crie qui était inhumain. Se crie était celui d'un dragon. Son corps propulser vers le ciel, celui-ci retomba sur le sol... le souffle redevenu normal. Les lianes se disipèrent du corps de cet homme et Walter ouvrit les yeux et demanda...

-Es-ce que cela à marcher? Les lianes ont telle retenu mon corps? Qui est cette personne?... dite moi tout... je... je n'étais pas conscient de ce qui c'est produit... alors que généralement je le peux...

Il se rassit et regarda ses mains qui était blesser. Il ne remarqua pas son visage immédiatement. Il sentit un liquide visqueux couleur sur son cou. Il remarqua que son visage possédait des blessures superficielle.

Invité

Les souvenirs semblaient envahir les personnes, la nature ressentant le trouble, tant de point commun et a la fois, tant de différence, dans les épreuves chacun avait réagis différement, et lorsque le combat pris route, elle n'avait put agir, a part tenter de calmer ...
Mais calmer qui ou quoi, Magdalenna ne savait pas ce qui se passait, lorsque le corps fut propulser dans les airs, ne pouvant que se pousser, sous peine de ne même pas pouvoir appeller des secours si elle même était blessée... Des larmes coulaient silencieuse sur son visage diaphane, et lorsqu'elle s'approcha pour vérifier l'état de Walty, elle fut suprise de voir celui si ouvrir les yeux et lui poser une question...
Elle le put sur le coup que l'enlacer dans ses bras pleurant de joie, rassuré qu'il aille bien, sans pouvoir desuite repondre a sa question... Ce n'est qu'après plusieur minutes qu'elle put articuler un mot.

" Disons que tu as fait un joli saut périlleux... Mais tu semble aller bien... Est il toujours présent? .... Nous devrions t'ammener a l'infirmerie pour te soigner... Le professeur Mackoy vérifiera que tout aille bien... Tes questions auront des réponses bientôt, mais avant nous allons te soigner d'accord ? "

Elle lui fit un sourire caressa sa joue, les yeux emplies de larmes de joie, après une telle frayeur ...

" Je te promet ensuite de te parler, bien que je suis pas sûre de pouvoir répondre a toutes tes questions... allons viens..."

Elle se releva, tendant une main pour aider son jeune élève a se relever, elle n'avait pas peur de laisser la harpe en ce lieu, le pire qui pouvait arriver était la pluie ... Mais le plus important a cet instant était l'état de santé de ce jeune homme qui l'inquièter après une discution éprouvante et un tel saut ...

» Un pouvoir un peu trop envahissant (PV Andrew)
» Le travail ou la connaissance ? [Magdalenna]
» Savoir, c'est Pouvoir
» maitriser un pouvoir, pas pour tous de suite (Ben)