TERMINE / [PV. Drimor]-Jeune recrue à soutenir

Depuis son arrivée à la Confrérie, Grégoire avait vu beacuoup des jeunes et des apprentis qui y étaient. Toute cette puissance latante, toute cette force à faire travailler pour la maîtriser... Cela attisait le désir de Requiem. Mais il s'était attardé sur un pouvoir pas très bien définit, et qu'il n'avait, il fallait l'avouer, pas vraiment compris. Le jeune Drimor possédait le don en question. Afin d'en apprendre plus et éventuellement d'aider le jeune mutant, il lui avait donné rendez-vous en ville, au restaurant The World.

Ariivé en grande pompe depuis pas loin d'une demi-heure, Grégoire avait refusé toute interview ou tout autre chose que ce soit de la part des journaliste. Il se moquait éperduement des photos qui paraîtraient dans la presse, mais il ne voulait pas répondre à un inbterrogatoire de la part de simples et faibles humains. Sa célébrité l'avait toujours accompagné partout, et il aimait ça, malgré certains désagrémzents... Mais là, il attendait le jeune confrériste.

*Je lui apprendrais la pnctualité avant toute chose à ce jeune ! Dix minutes de retard, c'est inaxceptable !!*
Cela se voyait que Grégoire était impatient et attendait quelqu'un. Mais qui ? Personne n'aurait pu le dire à part le Comte et son invité; qui désormais ne devait plus tarder.

Le rendez-vous avait été donné, mais bien que d'ordinaire il se hâtait pour être à l'heure, là il fallait clairement dire qu'il avait presque oublié sa convocation de la part d'un vieil homme dont le nom lui disait quelque chose bien qu'il ne savait pas exactement où. Il n'avait jamais mis les pieds dans le restaurant The World... donc il ne savait pas où il se trouvait, et ceux à qui il avait demandé n'avaient aucun talent d'orientation. Quant aux siens, il ne fallait pas y compter il ne pouvait en avoir dans la ville il n'y avait été qu'une fois avec son amie et c'était au centre commercial. En errant il remarque qu'une foule énorme piaillait devant une établissement dont le nom était, The World. Bien il avait trouvé le restaurant, il ne restait plus qu'à y entrer car la porte était bloquée d'abord par la fourmilières d'hommes et de femmes, dont les plus nuisibles étaient les journalistes, ou ceux qui chassaient l'image pour la revendre aux journaux. Quelle plaie ceux-là, chercher à prendre une vedette en flagrant délit ! Ils devraient avoir honte, mais tout le monde n'est pas doué de conscience personnelle, certains n'ont que l'argent comme mot d'ordre. Et ceux là représentaient bien l'avarice dans un pays qu'on disait chrétien... Cependant puisqu'il ne pouvait passer, il parvint néanmoins à se coller contre la vitre du restaurant, celle qui était en face de Requiem, et attendait que celui-ci remarque qu'il était là et fasse en sorte qu'il puisse rentrer, car nul doute que les serveurs ou ceux qui gardent le restaurant auraient des suspicions à son égard ne serait-ce que ses yeux.*Allez dépêche-toi de regarder par là ! Fais-moi rentrer si tu veux parler !* Et il frappa à la vitre pour être sûr d'être entendu.

[justify]Le Comte Grégoire commençait sérieusement à s'impatienter. Le jeune Drimor était sérieusement en retard, et l'ancètre fulminait déjà. Un poeu plus, et de la fumée allait sortir de ses oreilles et de ses narines ! Il tourna la tête vers la vitre poure se distraire, en attendant le jeune impertinent qui manquait singulièrement de respect envers le viel homme. Mais Requiem apperçut alors son invité. Il se leva, ce qui entraîna le mouvement de la foule des journalistes. Il sortit sur le pas de la porte d'entrée du restaurant, et de sa hauteur et se préstence, il fit taire la foule d'un geste de main et de sa voix grave et posée :
"SILENCE !"

La foule hystérique se tut d'un silence de tombe, et Grégoire fit signe à son invité, le jeune Drimor, de le suivre. Sur leurs chemins, un journaliste hésitant osa poser une question au chanteur :
"Peut-on savoir qui est ce jeune homme Monsieur le Comte ?"
Requiem le fusilla du regard, et le journaliste recula d'un pas. Si Grégoire avait fait saisser le brouhaha de la foule, ce n'était pas pour qu'on le questionne ensuite. Inspirant profondément, pusi expirant, il lâcha sèchement :
"Mon petit neuveu..."
Le silence reignait encore sur les lieux. Requiem et Drimor vinrent s'asseoir à la table, et les porte du restaurant se refermèrent derrière leur passage. Petit à petit; la foule en délire recommença son boucan incessant après quelques flash hésitant versx les deux personnes attablées.

"Vous êtes en retard, Mr. Naharalt..."
Grégoire fustigea le jeune homme du regard, attendant que celui-ci s'excuse et le salue comme il se doit, avec tous les honneurs dus au rang de Requiem.[/jusitfy]

Cet homme avec qui il avait rendez-vous devait être un homme connu, voir même une vedette car au moindre de ses mouvements bon nombre de photos étaient prises sans son accord. Par ailleurs, lorsque le vieil homme se leva, une réaction de la foule survint aussitôt. Ou plutôt dans le même instant. Car déjà la foule piaillait, criait jusqu'à ne plus s'entendre. *Comment ils veulent qu'on s'entende si tout le monde hurle pour ses propres questions ? Pitoyable...* L'homme se dirigea vers la porte, l'ouvrit et exigea le silence à ces idiots, ce qui fit son effet. Drimor reçut un signe, lui indiquant de venir, et à peine eut-il rejoint cet homme qu'un autre imbécile avait l'audace de demander qui il était. *Qu'est-ce que ça peut lui foutre !? C'est pas sa vie c'est la mienne !* Cependant Drimor ne répondit pas car son hôte avait déjà répondu qu'il était son petit neveu. Etrange, mais Drimor comprit que c'était un moyen de faire taire ces journalistes. Il espérait juste que les médias n'iraient pas l'ennuyer lui, or c'était fort probable. Et ce qui était sûr est que Drimor ne s'habituerait pas à cette vie. Si cela venait à se terminer ainsi, il ne bougerait plus de la confrérie, au risque de décevoir son amie. A peine eurent-ils réintégré le restaurant que la chaos incessant repris. Mais l'attention de Drimor ne se posa pas sur celui-ci, or plutôt sur le vieil homme qui le regardait d'un air mauvais, plutôt déçu. Il était en retard c'était un fait, d'une part parce qu'il ne connaissait pas la ville, d'autre part parce que cette satanée foule de gens abrutis avaient bloqué le chemin. Drimor aurait certes cherché à s'expliquer mais à quoi bon au final ? Il n'aurait fait qu'attirer les foudres de cet homme, ce en quoi il ne voulait pas prendre part. Il répondit alors, d'une voix assurée mais convaincante pour implorer le pardon :

"Je vous demande pardon, la faute me revient alors que vous ayez posé un moment précis. C'est fort inconvenant de ma part, aussi vaudrait-il mieux que nous engagions directement le sujet de notre conversation, non ? Alors, pour quelle raison souhaitiez-vous me voir ?"

C'était relativement embarrassant car Drimor ne savait même pas pour quelle raison on l'avait ainsi obligé à se rendre ici. Cependant, quel était le plus important ? Le sujet de cette invitation ou de parvenir à se faire pardonner ? Tant qu'on pouvait faire les deux, ce serait bien mais cela revenait principalement au vieil homme, non à lui.

Grégoire avait demandé du vin rouge alors que les deux gens se mettaient à table. Il écouté le jeune Drimor s'excuser, ce qui l'amusa intérieurement. Mais il ne fit parraître aucune compassion et aucun sentiment à ce propos, restant impassible et strict. Cependant, il n'épilogua pas sur le sujet, répondant de suite à la question de son petit neuveu concernant leur rendez-vous. A voix basse, couvert par le brouaha de la foule hystérique en émoi devant le Comte.
"Vous êtes, Drimor, un bien sombre sujet surlequel je veux m'éclaircir. Jusqu'à présent, je connais tout des membres de notre grande famille. Cependant, je ne sais encore en quoi consiste votre art, et c'est bien cela qui attise ma curiosité."

Le Comte De Foix avait utilisé des métaphors pour symboliser, et la Confrérie, et pouvoir mutant. Il espérait juste que lorsque le jeune homme lui répondrait, il ferait de même afin de ne pas attirer l'attention sur un mot prononcé trop à la légère. Grégoire pris un verre du breuvage qu'il avait demandé, et savoura le goût fruité du vin alors qu'il le buvait à petites gorgées.

Drimor eut une déception quant à l'attitude de son hôte. Drimor avait attendu le moindre signe du vieil homme pouvant traduire qu'il l'excusait mais le seul signe qu'il reçut ne lui était en fait pas adressé, il avait demandé du vin rouge et encore ce n'était qu'avant alors qu'ils s'installaient. Drimor croyait s'être déjà attisé les foudres du vieil homme mais en fait, il ne pouvait pas savoir si ce dernier éprouvait une certaine compassion ou s'il était en colère. C'était assez déstabilisant tout de même. Cependant rien ne se fit entendre de méprisant dans la voix du vieil homme, alors pourquoi Drimor s'inquiéterait-il ? Il resta méfiant, car selon le vieil il était un sombre sujet, mais en quel sens prendre cette phrase ? Enfin cela prit un sens plus ou moins clair par la suite. D'abord il lui confia connaître tout le monde de la grande famille, quelle famille ? Ce ne pouvait être la famille de Drimor par l'usage du "nous", et le seul lien qu'ils avaient étaient d'être membre de la confrérie. C'était donc ça, le vieil homme choisissait ces mots à cause de ces insectes qui grouillaient autour. Cependant il manqua de se tromper quant à son art. Il eut cru qu'il parlait de la façon dont il s'exprimait, mais puisqu'il avait insisté sur le terme art autant que sur notre grande famille, il ne pouvait s'agir de ce qui lui est propre, à savoir son don. Cependant, comment en parler sans que les satanés journalistes ne comprennent qu'il n'est pas ordinaire ? Problème difficile. Il réfléchit longuement quant aux mots qu'ils devaient dire, et s'efforça de sourire pour ne pas que ces fourmis autour d'eux n'y voient autre chose que ce qu'il voulait leur montrer, à savoir que c'était un artiste. Il répondit alors après avoir songé aux différentes manières de le dire :

"Il est clair que la banalité n'est pas mienne. Enfin la définition qu'on donne du génie est qu'il crée ses propres règles, sans quoi ce n'est que du talent. Pour ma part, les cadres communs de la vie et de la mort disparaissent. L'autre n'est pas la continuité de l'un. Car de la pensée que la mort est une immobilité du corps, j'insuffle plutôt la vie à chacune de mes oeuvres. Ainsi un certain mouvement est pris par la mort, effaçant le contraste entre les deux notions antinomiques. De fait, la perte de mon corps par mon esprit me permet d'intégrer mes oeuvres, de les manipuler avec mon esprit, afin d'en donner un bon résultat, bien que l'effort soit encore nécessaire. Je ne sais si je puis mieux expliquer, étant donné qu'un art ne se révèle ou ne se comprend pas forcément, que l'esprit agit involontairement de la volonté. Et bien souvent, la réalisation ne se fait qu'après que j'ai commencé à entreprendre une autre oeuvre."

Drimor espérait avoir été suffisamment clair, il avait regardé tout le temps le vieil homme dans les yeux, ne touchant pas au vin rouge comme son hôte l'avait fait. Drimor ne voulait pas y toucher tant que le vieil homme ne lui accordait pas, et quand bien même il aurait l'autorisation il n'en prendrait qu'un verre.

Grégoire écouta très attentivement son invité, alors que le boucan des vautours au-dehors du restaurant se faisait entendre malgré tout. Chaque mot prononcé avec un peu d'insitance était des plus importants pour Requiem qui, songeant petit à petit aux pouvoir que Drimor lui décrivait derrière son discours, buvait les paroles du jeune mutant à la même manière dont il dégustait le breuvage alcoolisé aux coulerus du sang.

*Donc il peut maîtriser un coprs défunt... De nouvelles ouvertures sont à envisager.*
Requeim voyait déjà la suite, mais n'oubliais pas qu'il se devait d'abord de gagner la confiance du jeune Drimor. Mais comme pour tout pouvoir naissant, il n'en maîtrisait pas toutes les facettes. C'est justement sur ce point que le Comte De Foix pourrait alors l'aider, et ajouter le nom de Naharalt à la liste de ses alliés privilégiés.
"Cher petit neuveu. Vos oeuvres et l'utilisation de votre art vous semblent assez, non pas difficiles, mais plutôt... assez complexe. Peut-être pourrais-je vous voir faisant usage de votre talent et ainsi vous mieux vous guider sur le grand boulevard des artistes."

Requiem entrait petit à petit dnas le monde du jeune homme, et lorsqu'il en saurait toutes les ficèles, tout deviendra plus clair quant à ses agissements pour Drimor. Mais en attendant, il valait mieux en apprendre davantage sur le jeune homme afin de pouvoir, par la suite, évoluer en terrain connu.

Requiem avait soit compris de quoi Drimor parlait, ou alors il faisait semblant mais il optait pour la première possibilité. Quoiqu'il en soit, il l'invitait toujours à lui montrer ce dont il était capable. Il aurait accepté sur-le-champ mais puisqu'il donnait l'image d'un artiste, habituellement il ne se montre pas en train de réaliser une oeuvre, au mieux il peint son lieu de travail ou le décrit avec des mots d'une forte puissance persuasive. Cependant il serait obligé de faire une exception, aux yeux des journalistes. Il observait en même temps la façon donc le vieil homme buvait son vin, il voyait les vagues successives dans sa gorge, et prit note dans sa tête si jamais il venait à en boire. Mais il n'était pas l'heure de songer à la manière de boire le vin ou des effets qu'il produit au sein de l'organisme. Il était question de choses plus sérieuses maintenant, concernant sa maîtrise future de son pouvoir. Il répondit alors :

"Sachez mon oncle que le travail d'un artiste ne se dévoile jamais au public tant qu'il n'est pas terminé. Mais puisque vous êtes mon oncle, le droit vous revient. Cependant, je rappelle le côté aléatoire de mon art, il vient plus quand ça lui chante que lorsque la volonté le permet. Il faudrait que vous soyez sans cesse présent auprès de moi. Et cela sera difficile. De plus généralement cela arrive la nuit, bien que tout à l'heure ce fut en plein jour."

Drimor ne savait pas vraiment pourquoi le vieil homme lui demandait de s'expliquer sur son pouvoir, car il n'était pas le chef. Peut-être un membre important de la confrérie ? Il faut dire qu'il n'y était que depuis peu donc peut-être était-ce normal qu'il ne le connaisse pas. Et il espérait que ce faux grand oncle saurait le guider convenablement comme il le disait sur le grand boulevard des mutants.

Requiem était le seul des deux à boire, alors qu'un serveur s'était avancé pour passer la commande. Mais Requiem n'avait nullement envioe de changer de nourriture : il dévorait à pleine dent ce que disait le jeune Drimor. Aussi, renvoya-t-il sévèrement le serveur :
"QUI VOUS A SONNE VOUS ?? JE VOUS FERAI DEJA SIGNE LORSQUE L'ON VOUDRA PASSER A TABLE !!"
Puis Grégoire continua à parler à Drimor comme si de rien n'était alors que le serveur repartait vers le comptoir où le gérant l'attendait déjà pour le réprimander une seconde fois après Requiem.

"Il est déjà assez tard, et la nuit ne se fera plus attendre. Peut-être préfèrerez-vous, cher Drimor, me montrer votre art une fois rentré à la maison ?"
Grégoire De Foix désirait véritablement voirà l'oeuvre le jeune homme, afin de juger si il serait utile de conserver cet atout dans sa manche, ou s'il faudrait composer son jeu sur d'autres jokers.

[HRP : désolé, c'est un peu court ^^"]

Il regardait toujours le vieil homme lorsqu'une présence étrangère vint s'ajouter à la discussion, ou plutôt s'imposa-t-il de lui même. Cela fut drôle car la réponse qu'il reçut le fit littéralement tremblé de peur. Le ton sévère employé avait même surpris Drimor bien qu'il ne fut pas la cible de ce haussement brusque et violent de ton. La première marque de changement de caractère dont faisait preuve son hôte, lequel il ignorait toujours le nom, sachant juste qu'il était comte. Cela importait peu, puisque de toute façon ce qui comptait le plus était qu'il était dans son camp, bien que pour l'instant il n'y eut véritablement que Jade avait qui il avait fait amplement connaissance pour déboucher sur une amitié très forte. Donc dans le pire des cas il lui restait son amie à défaut d'avoir une grande famille soudée. Cependant le vieil homme, s'il avait quelque chose contre lui il l'aurait déjà fait savoir, or il avait plutôt l'air de s'intéresser à lui. Drimor avait au moins le mérite d'avoir attisé son intérêt, bien qu'il ne savait pas pourquoi. Ensuite le vieil homme reprit sa conversation normalement, comme si ça n'avait jamais eu lieu, et l'invita ouvertement à rentrer pour qu'il voit de lui-même ce dont il pouvait faire lorsqu'il était à l'état de possesseur de cadavres. Mais apparemment, il ne voulais pas comprendre qu'il ne choisissait pas d'utiliser son pouvoir, mais que ça lui était imposé. Il était par contre obligé d'accepter, d'autant que la seule chose que proposait le vieil homme était une aide, en tout cas officiellement. Drimor répondit alors :

"Bien mon oncle, le droit maintenant vous appartient et votre décision de l'utiliser maintenant est acceptée. Vous verrez le cynisme de mon art alors même que mon visage témoigne du plus grand effort. Mais je ne vous promet un beau tour d'horizon car l'inconscient domine la conscience dans l'art."

Sur ce ils repartirent, Drimor avec une faim tenaillante car il n'avait rien mangé à ce repas. D'ailleurs son hôte non plus. Le teneur du restaurant allait certainement hurler sur le serveur qui avait fait perdre deux clients, voire même il serait renvoyé. A la sortie la foule était encore en admiration, et ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils ne se mettent à piailler de plus belle pour obtenir des informations même sur Drimor et à ses liens avec la vedette.

En se levant et se dirigeant vers la sortie, le Comte remarqua bien vite que la foule des vautours accrochés à leurs calepins et autres appareils photographiques s'agitait de plus belle. Lorsqu'ils sortirent tous les deux, Grégoire intima le silence qui ne se fit pas tarder. Une limousine attendait devant les portes, et les journalistes eurent bien vite fait de comprendre que le Comte De Foix et son hôte s'en allaient.

Mais alors qu'ils marchaient vers la voiture, une journaliste interpella le jeune Drimor en lui demandant son nom. Ce fut en toute innocence que ce-dernier lui répondit, mais cela ne sembla pas plaire à Requiem. Il fit volte-face, et attrapa le magnétophone de la journaliste, répondant ainsi à la dame dans un sourire sadique :
"Vous n'avez plus besoin de ceci..."
Puis s'adressant au jeune homme :
"Venez, ne perdons pas de temps !"

Puis ils montèrent tous les deux dans la voiture et partirent, sous les yeux éberlués des médias charognards...

[HRP : quelque chose à ajouter Drimor ? sinon, je considère ce RP finit... on pourra prendre la suite à la Confrérie si tu veux ^^]