Souvenirs... Mais le présent ratrappes tourjours![Requiem]

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Souvenirs... Nostalgie... Des sentiments parfois désagréables qui assaillait notre pauvre syrène pendant qu'elle marchait dans le batîment de son ancienne maison de disques. Les gens la reconnaissaient et se détournait. La mutante était de passage. Tous n'attendait qu'une chose : son départ. Ce qu'elle ne s'empressait pas de faire. Elle était arrivé par hasard et cherchait quelque chose. Elle ne savait pas quoi mais elle le cherchait. Un son. Une voix peut-être.

Abandonnant, la Syrène sortit à l'air frais. Mutante. Un mot, comme un enfant qui fait plein de bétises mais qu'on aime malgrés tout. Elle adorait sa condition de confrériste, son but, ses pouvoirs... Mias l'ombre au tableau ne l'a lachait pas. Elle voulait de nouveau chanter. C'est bête comme on est attiré parce ce qui est mauvais pour nous, hein ?

Maiwenn entra dans un autre building. Pour la simple raison qu'il était midi, qu'il y avait un restaurant ouvert au public au deuxième étage et qu'elle connaissait le patron du resto en question. Un mutant empathe. pratique pour cerner les besoins de gens. Ilsse connaissait de l'époque ou elle chantait. Pas mal de gens important fréquentait l'endroit.

Elle s'engouffrait de la cage de verre et d'acier. Elle monta au second étage et vit tout de suite qu'elle connaisait quelqu'un. De la confrérie. Sa voix et son visage s'étaient gravés dans sa tête. Requiem. Nouveau comme elle mais beucoup plus vieux. La connaisait-il ? Sans douteque non. Ell avait beau être ouissante elle n'avait encore rien accompli à la Confrérie pour être connue. Elle s'avança néanmoins vers la table de l'homme et dit :

- Je ne vous dérange pas ? Comte de Foix ?

Non non elle n'avait pas voulu la rime ! Juste monter qu'elle savait qui il était. Elle attandait une réponde et patience. le menton relevé avec fierté mais sans insolence. Nouveau ou pas Requiem était son aîné. Elle lui devait un minimum de respect. D'où le salut.

Il était rare que Requiem puisse trouver le repos face aux médias dans cette immense ville qui, malgré tout, n'était qu'une passoire face aux informations soit disant "secrètes" qui pouvaient y circuler. Le Compte avait enfin trouver un restaurant pour manger ; la condition de noble n'enlevant en rien les nécessités de se nourrir. Il avait jugé l'endroit acceptable pour lui, bien qu'il aurait sans nul doute préféré son habituel restaurant français qui lui rappelait sa terre natale. Son midi qu'il avait quitté pour assouvir sa soif de Pouvoir qui ne saurait jamais satisfaite, il se savait bien. Mais quitte à le savoir, autant s'en rapprocher le plus près possible, non ?

Grégoire repensait aux différentes discussion qu'il avait eut avec les membres de la Confrérie : Raven Darkhölme, Erik Lehnsherr, John Allerdyce. Face à ses trois là, il n'aimait pas usé du mot échec... Mais il avait encore des portes ouvertes. Il avait aussi pu parler à plusieurs apprentis confréristes, et même Dents-de-Sabre. Mais il voulait affirmer sa position et se devait de le faire.

- Je ne vous dérange pas ? Comte de Foix ?
Une voix le tira de ses rêveries. Une voix qu'il ne connaissait pas, mais qui connaissait son nom : ce genre de situation était normale pour lui, quoique pourtant étrange. Il releva la tête lentement pour dévisager l'inconnue qui venait de l'interpeller. A sa grande surprise, il reconnut le visage de la jeune femme. Il l'avait déjà aperçut à plusieurs moments à la Confrérie, et comme pour tous les nouveaux arrivants, il s'était empressé de faire jouer ses contacts personnels pour en apprendre un maximum à son sujet. Mais il n'avait pas encore obtenu les résultats qu'il avait quémandé. Cependant, il connaissait tout de même le nom de son interlocutrice.

Apparemment, la jeune demoiselle attendait quelque chose. Grégoire De Foix engagea la conversation, qui à ses yeux ne pourrait être que des plus intéressantes. De sa voix grave et caverneuse, il dit à la jeune femme :
" Mademoiselle Short. Que me vaut l'honneur de votre présence en ce restaurant ? "
Il prenait les gens de haut, de manière naturelle. Son orgueil et son dédain vis-à-vis des autres étaient devenus un habitude, qu'il lui avait joué bien des tours auparavant, mais également bien aidé. Il s'empressa d'ajouter à ses paroles :
" Asseyez-vous ma chère, je vous en prie.
Il demanda au serveur d'ajouter un couvert supplémentaire à la table, et de revenir avec une bonne bouteille de Gaillac ; un petit vin rouge typique de sa région d'origine.

" Mademoiselle Short. Que me vaut l'honneur de votre présence en ce restaurant ? Asseyez-vous ma chère, je vous en prie."

Le ton pompeux et orgueilleux ne surprit pas le moins du monde la jeune fille. Le conmte n'avait pas hérité d'un titre de noblesse pour rien. Tout en s'asseyant comme il l'avait convié et répondit de sa
voix délicate :

- Merci pour ce siège. Je venais ici simplement pour m'aérer or de la Confrérie. Et je vousa i aperçut. Comme parler avec quelqu'un de votre importance et toujours si... interessant je me suis décidée à vous saluer.

A la mention de la Confrérie elle avait fait en sorte que seul le comte puisse entendre sa voix. Elle ne voulait pas lancer un conflit avec des anti-mutants. Surtout le ventre vide.

Elle avait essayé d'utiliser le vocabulaire qu'elle n'avait pas orti depuis qu'on l'avait identifiée mutante et qu'elle avait perdu son boulot de "star de la chanson". Bien que le titre lui ait toujours parut ridicule, elle avait toujours gardé précieusement les mots de son professeur de langues. A l'époque ele écrivait ses chanson, et son vocabulaire était pauvre, en raison de son enfance dans la rue. Peu luxueuse.

Parler avec un membre de la Confrérie était une occupation que Maiwenn adorait. Elle se faisait lentement conaître dans ce petit monde et imposait un respect face à sa puissance. Effectivmeent son don était fort. Et elle en jouait volontier.

Spoiler:

" Il est généralement rare que de jeunes... collègues... viennent me voir directement, et surtout, sans invitation. Voyez-vous ma chère, il est dans mes habitudes de planifier mes rendez-vous : mais puisqu'apparemment vous êtes curieuses de ma parler, je vous prierai d'engager plus en profondeur cette conversation. "

Il est vrai que Grégoire n'aimait pas à être surpris, surtout concernant des points qu'il calculait méticuleusement, au moindre petit détail près. Il espérait néanmoins en apprendre grandement sur cette nouvelle Confrériste. Et bien évidement, il avait déjà en tête la possibilité d'en faire une de ses "fidèles", et d'ajouter son nom à la liste qu'il tenait dans son projet.

* Si j'ai bonne mémoire, cette jeune demoiselle a fait carrière dans la chanson... *
Quelque bribes d'informations que Requiem avait pu lire de ci de là lui revenait lentement en mémoire, mais ce n'était en rien suffisant. Il haussa les sourcils en regardant fixement et avec insistance la jeune Maiwenn, attendant qu'elle continue la conversation déjà engagée par le vétéran.

" Il est généralement rare que de jeunes... collègues... viennent me voir directement, et surtout, sans invitation. Voyez-vous ma chère, il est dans mes habitudes de planifier mes rendez-vous : mais puisqu'apparemment vous êtes curieuses de ma parler, je vous prierai d'engager plus en profondeur cette conversation. "

Tiens, en voilà un qui ne semblait pas apprécier la spontanéité. Il allait être déçu car la jeune fille prenait toujours ses décisions elle même et ne supportait pas que l'on décide à sa place. Mais elle s'éxécuta et commenca un petit résumé de qui elle était :

- Comme vous semblez le savoir je m'appelle Maiwenn Short. Alias la Syrène. Vous connaissez peut-être le mythe d'Ulysse et des sirènes. Mon surnom est issue de leur chant. J'arrive avec ma voix à "convaincre" les autres de faire tout et n'importe quoi. L'autre possibilité de mon chant et une arme de destruction massive. Je peux grâce aux ondes de ma voix faire sauter un building du type de celui ou nous sommes. J'essaye de contrôler les uatres sin que ceux que je produit mais c'est compliqué.

Compliqué ? La dernière fois elle avait failllit devenir fole à cuase de la résonnace dans son craên; Maix autant se montrer puissante à face au comte, ca valait mieux.

Voilà pourquoi Requiem n'aimait pas les rendez-vous à l'improviste, où son interlocuteur, en l'occurence interlocutrice ici, venait sans carton d'invitation. Depuis toujours, le Compte s'était fait de nombreux "amis" et "alliés" dans son entourage proche et moins proche. Et ce n'était pas pour rien qu'il était au courant de nombreuses choses et en savait si long sur le passé des Confréristes et autres mutants qu'il cotoyait. Il aimait alors aller soi-même chercher les informations qu ces sources n'avaient pas pu lui fournir. Il n'avait en aucun cas besoin qu'on lui répète ce qu'il savait déjà, ou était susceptible de savoir.

" Mademoiselle Short. " Le ton de Grégoire De Foix traduisait bien son agacement de la situation. " Je possède suffisement de... contacts... pour ne pas avoir besoin que l'on me répète ce que je sais déjà. " Il maudit alors lesdites sources d'avoir été en retard sur le cas de Maiwenn. Certes, il venait d'en apprendre un bon bout sur cette jeune femme, mais il aurait déjà dû savoir tout cela. " Soit vous m'apprenez quelque chose que je ne sais pas encore, soit je ne vous retiens pas ! "
D'un autre côté, elle était à la base venue pour discuter avec lui parce qu'elle pensait que la conversation serait intéressante.

Qu'elle... délicatesse. C'est homme veniat en une phrase de passer ses nerfs sur la jeune fille. Et elle savait pertinement que le comte ignorait là moitié des informations qu'elle venait de lui révéler. Un, parce qu'elle avait percut des ondes d'agacement personnel dans sa voix; deux, parce que seule Mystique était au courant de sa capacité naissante à contrôler les autres sons et pour finir trois, elle avait un jour grâce à son ouïe entendit une dispute entre lui et la femme bleue. Aucune chance qu'elle lui ai révelé son "petit secret".

Maiwenn voulait bien être respectueuse de l'ancien, mais il y avait des limites. D'un ton irrité elle lança :

- Monsieur le comte, navrée de vous faire "perdre votre temps" alors que si j'ai encore toute ma tête, il n'y a aucune chance que je ne vous ai pas appris quelque chose aujourd'hui. Prenez vous en à vos sources. Pas à moi. Oh, et une petite chose que vous ignorez apparement, j'ai pensé en vous voyant à cette mission tenue secréte, en Europe que vous organisez. Il paraitrait que vous recrutez. enfin d'aprés mes propres sources.

Elle avait du contenir sa rage destructirce pour ne pas hurler. le comte lui en aurait tenue rigueur. Elle avait effectivement entendu le comte parler de ceci à la Confrérie. Elle avait eut l'idée de participer à la mission histoire d'être activement à la Confrérie.

Elle espérait toujours participer et avait en quelque sorte "monter" qu'elle n'était pas n'importe qui.

Cette petite était bien impertinente. Impolie et sans correction, le Compte n'avait jamais eut à faire avec une personne de ce style : fougueuse, pleine d'énergie, mais sans aucune manière ni morale face au vétéran. Mais au fond, elle lui ressemblait énormément. Il avait été exactement comme ça durant sa jeunesse, et c'était bien cela qui l'avait permis de monter au sommet à présent.

Maiwenn était le genre de personne, aux yeux de Grégoire, qu'il fallait mieux avoir sous son aile plutôt que dans la liste de ses ennemis. D'autant plus que le pouvoir qu'elle possédait intéressait grandement le chanteur : si elle pouvait, comme elle le disait, augmenter l'intensité d'une onde sonore, il pourrait déclencher des cataclysme rien qu'en fredonnant quelque air de son répertoire.

" Sans modalités, vous êtes engagées. Tenez-vous prêtes, nous partons dans 5 jours. "
Le Comte la voulait dans son "équipe" afin de reprendre possession de son héritage. Mais avant qu'elle ne réponde, il ajouta d'un ton plus grave, un sourire narquois et mesquin se dessinant sur sa bouche :
" Et affutez votre pouvoir, j'en aurai grand besoin ma chère... "

Le comte eut d'abord l'air choqué de son impertinence puis un curieux petit sourire apparut sur ses lévres. Lorsqu'il répondit, ce fut de nouveau avec ce calme sournois qui vous fais réfléchir à deux fois sur les paroles qu'il a prononcées :

" Sans modalités, vous êtes engagées. Tenez-vous prêtes, nous partons dans 5 jours. Et affutez votre pouvoir, j'en aurai grand besoin ma chère... "

Maiwenn sentit une pointe de fierté poindre au fond d'elle mais n'en laissa rein paraître. Tous ceux de la Confrérie étaient persuadés que par ses dix sept ans elle n'avait pas l'âge d'être un membre "actif" de la Confrérie. Elle mourrait d'envie de prouver le contraire.

- Il est déjà prés de pis longtemps. Cinq jours vous avez dit ? Parfait. Puis-je vous demandez plus... d'informations sur cette mission ? Mes sources ne sont pas toujours fiables.

Par sources elle entendait pouvoirs. Effectivement, même si son ouïe était surhumainement fine, elle n'avait pas tout capté des autre conversation. Ah ! Faiblesse ennemie !

Elle espérait que le comte était d'humeur à parler car elle avait envie d'entendre. Si il souhaitait d'autres renseignement sur elle, et bien il demaderai.T quoiq'uil yt avait peu de chance qu'il s'y abaisse.

Le Comte venait, par une habile manœuvre tactique, de capter toute l'attention de son interlocutrice. Maintenant, il devait la rallier à ses "fidèles" : s'il y parvenait, il aurait tout gagné face à Maiwenn.
" Avant toute chose, ma chère, je me dois assurer de votre entière confiance. J'ai déjà rallié à moi plusieurs autres Confréristes, et si vous désirez en apprendre plus maintenant, vous me devez promettre, en quelque sorte, votre... fidélité... "

Un sourire entre mesquinerie et sournoiserie se dessina sur son visage, laissant apparaître une de ses canines. Il ferma les yeux une seconde, puis repris son discours, en se penchant en avant : sa voix devint plus grave et plus profonde, un masque impassible de sérieux couvrit son visage :
" Je n'ai aucune divergence d'opinions quant aux idées de notre chef et guide, Erik. Cependant, mes objectifs sont quelques peu différents... géographiquement parlant. Sachez juste qu'en vous ralliant à moi, vous ne trahirez pas notre maître... "

La balle était dans son camp, et Requiem n'attendait plus que la réponse, positive, de la part de la jeune femme. Un atout de plus dans son jeu, et tout devenait plus facile de pas à pas. A chaque apprenti rallié, la distance entre Grégoire et son but ultime réduisait.

" Avant toute chose, ma chère, je me dois assurer de votre entière confiance. J'ai déjà rallié à moi plusieurs autres Confréristes, et si vous désirez en apprendre plus maintenant, vous me devez promettre, en quelque sorte, votre... fidélité... Je n'ai aucune divergence d'opinions quant aux idées de notre chef et guide, Erik. Cependant, mes objectifs sont quelques peu différents... géographiquement parlant. Sachez juste qu'en vous ralliant à moi, vous ne trahirez pas notre maître... "

Si Maiwenn s'attendait à quelque chose, ce n'était pas ça. Sa fidélité ? Et puis quoi encore ? Pas de surprise que Mystique l'ai envoyé baladé aussi vertement. La seule fidélité de la dame bleue était vouée à Magnéto. Aussi dure que le granite.

Mais elle ? Elle était arrivée il y a peu. Elle avait beau ne l'avoir vu qu'une fois, elle se sentait redevable à lui. Et être redevable à quelqu'un c'était lui être fidéle. Elle ne connaissait rien au comte. Il avait beau être un moyen de se faire une réputation à la Confrérie, elle ne se sentait pas en confiance avec lui. Et allait lui faire comprendre le plus calmement possible :

- Ecouter monsieur le Comte... Je ne suis pas en mesure de donner ma fidélité pendant une longue durée comme l'éternité. Voyez-vous, je peux me souvenir d'une bonne action, avec ça je peux vous accordez disons, une aide en retour. Mais la fidélité c'est un bien grand mot.

Voilà, le calme au possible. Elle fonctionnait au donnant donnant, pas question de ne rien recevoir en retour. Il avait beau lui offrir une place dans la mission, elle ne s'engagerait pas à lui être entièrement fidèle.

Grégoire se mordit la langue et faillt s'étouffer lorsque Maiwenn lui répondit. Jamais durant sa vie, du moins jusqu'à sa venue dans la Confrérie, personne ne s'était opposé à lui de la sorte. Certes, Mystique et Pyro avaient été durs avec lui, mais légitime était la chose. La jeune femme ne semblait pas comprendre le pouvoir que le Comte pouvait exercer : ou plutôt, si, elle le comprenait. Mais que trop bien, au final ! Que trop bien !

Requiem ferma les yeux quelques secondes pour tenter de se calmer, puis il revit sa conversation avec Erik. Le chef de la Confrérie appuyant fermemant ses convictions et ses objectifs, alors que lui-même, Grégoire De Foix, ne désirait qu'atteindre son propre but. Par certains aspects, la conversation actuelle était semblable : Maiwenn lui ressemblait beaucoup. Mais elle n'avait pas ce grain de folie, ou de génie, qui faisait de Requiem ce qu'il était. Le Comte chuchota, comme pour lui-même :
" Ma chère... Je saurais faire de vous un de ses puissants de ce monde. "
A penser tout haut, elle avait dû l'entendre. Il continua de vive voix :
" Un prété pour un rendu, cela vous convient-il ? Vous m'aidez dans mes démarches, et je serais là pour vous soutenir lorsque cela sera nécessaire. "

Il espérait qu'elle accepte, maintenant qu'elle en savait beaucoup sur sa mission personnelle. De plus, si son pouvoir permettait effectivement d'augmenter l'intensité sonore, il se devait de s'en faire une alliée.

Le comte devait vraiment être interresée par quelqu'un comme elle dans ses troupes pour la mission parce qu'il eut l'air de ce maîtriser à grand peine de l'envoyer balader. Très poli il lui exposa le système "un prété pour un rendu" qu'elle préférait.

C'était un homme dangereux qui savait ce qu'il voulait. Ca, c'était sur. Mais Maiwenn hésita encore un instant avant de dire :

- Ca me convient amplement, Comte.

Elle avait trop bien compris ce qu'il voulait et avait cherché à pouvoir donner raison au proverbe : "le bateau coule, les rats quittent le navire". Car pour elle couler était or de question. Elle savait cependant reconnâître une dette. Il en allait avec son sens de l'honneur. Le comte ne risquait rien avec sa parole.

Revenant à ses petites affaires elle demanda :

- alors ? Cette mission ? En quoi consiste-t-elle plus exactement je vous pris ?