Un petit tour en forêt... [David L. Nothingamms]

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A l'extérieur de New york, la foret faisait la loi. Samuele avait entendu parler de ces endroits où les arbres étaient immenses, chatouillant les nuages, et assombrissant le sol recouvert de feuilles mortes. On lui décrivait une ambiance plutot glauque, et froide, mais Samuele devait y aller, découvrir cette ambiance et ressentir la différence qui existait entre La ville et la forêt. En Italie, il avait l'habitude de faire des virées dans la nature, en général de lac en lac, prenant des centaines de photos qu'il retouchait parfois sur l'ordinateur. Samuele était quelqu'un d'assez sensible, et faisait très attention aux détails qui l'entouraient, ressentant des choses que certains ignoreraient...

Il était ainsi seul dans cette forêt, son appareil photo pendant à son coup et le regard perdu entre les branches plus ou moins fines qui quadrillaient le ciel... il était environ 15h00, et le soleil brillait de de tout son éclat, ce qui créait un jeu d'ombre interessant sur le sol, dans cette confusion de formes et d'ombres. Il descendait et remontait les pentes, à le recherche de jolie photos à faire, scutant le paysage comme un chien reniflerait un piste sur le sol. Ses yeux bleus étaient illuminés par cette journée mais aussi par l'enthousiasme qui animait samuele. Fatigué de marcher depuis quelques heures, il s'assit sur une grosse pierre et sortit de son Sac à dos, un grande bouteille d'eau qu'il ouvrit pour boire. Il continuait de contempler le paysage, tout en écoutant le silence: Il comprenait maintenant les professeurs qui disaient vouloir entendre le silence... il ressentait l'effet reposant du silence, et son imagination allait bon train. Il apperçu un petit écureil remontant à un arbre, il le regarda et le suivit du regard de branche en branche. Comme il s'éloignait, et que Samuele aimait bien cet animal, il le suivit, intrigué par le comportement que pouvait avoir un écureuil sauvage... C'était encore un enfant dans l'âme, et il considérait ça comme une qualité!

Il se rendit compte au bout de quelques minutes qu'il avait laissé son sac sur la pierre où il s'était reposé, il retourna donc en arrière, apprès avoir attendu que l'animal se soit caché. Il ne s'en rendait pas compte, mais il avait quand même parcouru pas mal de chemin sans son sac... alors le doute s'installa en lui mais il gardai son sang froid... après tout, il devait être seul dans la forêt, et il retrouverais son sac à un moment ou à un autre...

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Les journées pour un écrivain sont très ouvertes, on peut y faire beaucoup de choses mais il y a toujours un temps où l'auteur prend sa plume et fait sortir son imagination sur du papiers même si de nos jours les ordinateur on remplacés la bonne vielle écriture ! C'est temps si, David ne fais qu'acheter revus, livres et tout ce qui pourrait l'aider à trouver la grande inspiration pour en faire la vente de l'année ! Un choix assez peu communs avec sa nature. Depuis quelques temps, la confrérie et mis au second plans, et sa vie professionel en est donc remonté à la vitesse de la lumière. Une bonne chose, car côté affaires et même si l'argent afflues sur ces comptes bancaires, on parles très peu de lui.

Aujourd'hui, David avait décidé de s'octroyer une séance de tir à l'arc en plein air, dans les alentours de New York. A vrai dire on pouvait certainement remplacer séance par chasse. Il avait donc pris son matériel, préparé la veille et mis dans son sac couleur noir. Il possédait un arc à poulies de 55 livres, couleur lui aussi camouflages. Habillé de noir, dont son manteau cuir noir, une paire de botte de moto, sous lequel des crampons de suretés avaient été fixé.

Il mis son sac sur les épaules, mis ses gants et son pris son casque ainsi que c'est clés de moto. David ferma la porte de son loft et descendit au garage, récupérer sa moto et partir pour la forêt au alentours de New York City. Lorsqu'il y arriva, il couvra sa moto d'un camouflages une fois dissimulé derrière un arbres. Il pris son arc, ces flèches aux pointes toute bien aiguisée et partie dans la forêt une fois son casque oté.

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Soulagement, son sac était encore là, posé sur la pierre plate sur laquelle il s'était reposé quelques instants, avant que le petit écureuil n'attire son attention. Il rebroussait chemin, en essayant de se repérer grace aux arbres à coté desquels il était passé. Il faisait attention à ne pas se faire mal, en évitant de trébucher là ou il avait faillit tomber la tête la première par exemple... mais plus il avançait plus il se sentait en décalage avec son souvenir: il ne reconnaissait pas cet endroit. Il s'arrêta alors net, en regardant les branches en l'air, car c'était les branches qui faisaient office de repère, puisqu'il avait suivit l'écureuil grimpant dans les arbres. Il ne voulait pas l'admettre, mais il était perdu... littéralement égaré dans la forêt, avec un bouteille d'eau à la main, l'appareil photo autour du coup et un pull autour de la taille.

Il ne pouvait faire confiance qu'à son instinct, maintenant qu'il n'avait aucun repère."Par là" ou "Par là-bas"... il n'arrivait pas a prendre de décision, alors il se laissa tomber sur le sol, pour réfléchir mieux, ou pour attendre l'inspiration. Il ne se sentait pas si angoissé finalement, parcequ'il était seul, et Samuele aimait la solitude, de temps en temps. Il en avait probablement besoin, pour se lancer dans cette aventure seul, dans la forêt.

Au bout de quelques minutes, il se décida à marcher, sans vraiment savoir dans quelle direction. Il traversa un petit ruisseau, et suivit un petit chemin déjà marqué par des pas. Il ne s'était pas attardé sur les détails, mais concrètement cela signifiait qu'il n'était pas seul. Il continua et entendit des bruit de voitures, surement une route nationale qui devait passer près de là, ce qui réconforta Samuele, qui se mit à avancer avec entrain. Il tomba ensuite sur des traces de roues... probablement des roues de moto puisqu'il n'y avait qu'une seule bande marquée au sol. Au bout du chemin il tomba sur la moto en question, et reconnu l'endroit: C'était par là qu'il était arrivé en bus, alors il pourrait retrouver son chemin.

Samuele retrouva son sac au même endroit où il l'avait laissé, ou plutot oublié. Il le pris sur son dos et se dit qu'il fallait vraiment rentrer, car il se faisait tard. Il marcha avec son gros sac sur le dos, en essayant de faire vire, car dans les forêts il faisait toujours nuit plus tôt qu'ailleurs. Il accéléra le pas, en faisant bouger les fougères, et en cassant les branches sur le sol. Un bruit retentit alors non loin de là... c'était un bruit indéfinissable, qu'il n'avait jamais entendu, et en se concentrant un peu plus, il detecta un mutant. Il avait maintenant la preuve qu'il n'était pas seul, et il devait s'agir probablement du propriétaire de la moto. Il s'approcha d'un buisson, assez piquant et remarqua un homme au loin, pratiquant du tir à l'arc. Comme il ne le connaissait pas, il n'osait pas aller lui parler, et il ignorait s'il valait mieux qu'on le découvre ou pas. Il préférait rester derrière ce buisson, en essayant de ne pas faire trop de bruit avec les branches seches, c'est pourquoi il gesticulait comme un ver pour trouver la bonne position à prendre, mais en tenant l'appareil photo, et surpris parce qu'il avait faillit tomber, il déclencha le Flash, ce qui le tétanisa, de peur qu'on le remarque.

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Il avançait, doucement, avec discrétion pour ne pas faire fuir les proies. Tout en regardant d'un regard habile, il ne cesser de chercher ce qui pourrait être l'une de ces cibles. Chaque bruit pouvait révéler celle-ci, et cela à tout moment.

* Pas grand monde en cet après-midi *

Se dit il, presque désespéré de ne rien voir, de ne rien entendre venir quelque chose... Il baissa son arc, fis une recherche télépathique, mais ne trouva, la aussi, rien. Il baissa sa main jusqu'à sa cheville, appuyant sur un bouton caché d'un protege en cuir, enclenchant alors ces crampons pour évité les trasses de pas. Le vent n'était pas présent. Pendant près d'une vingtaine de minutes, il marcha et observa. Il tira sa premère flèches dès qu'il vut un lièvre puis une deuxième dans un chevreuil.

* Enfin ! C'était pas trop tôt ! *

Pourtant, une chose aller lui faire perdre un peu de son calme. Le vent venait de se levé et il venait de l'est donc des côtes proches... Il marcha, récupérant ces flèches et mettant les deux animaux de côtés pour les dépessé plus tard au cours de la journée.

Il détecta alors quelqu'un par sa télépathie, il marcher dans sa direction. Il savait qu'il était mutant, ou du moins il se décidé à croire qu'il était mutant. David continua sa chasse, tuant de pleins fouet à plus de cent mètre un second chevreuil. Quant il avança pour récupérer sa flèche, un flash puissant se déclencha. Il arma alors immédiatement son arc et dirigea sa flèche en direction du curieux photographe.

" Voulez vous bien sortir de votre cachette ? Je n'aimerai pas vous envoyer une flèche en plein mollet... "

Dit il, un sourire se dessinant petit à petit sur son visage. Il en rié intérieurement de cette phrase. Il se retourna et tira dans le deuxième lapin de la journée. Il baissa son arc quand l'inconnue sortie de sa cachette.

" Bonjour ! Vous savez qu'il est dangereux de resté ici ? "

Bah oui quoi, David n'à pas vraiment envie de tué quelqu'un et puis une flèche fait bien plus mal qu'une balle tiré d'un flingue ou d'un revolver ! Il rangea son arc dans son dos, récupéra ses deux flèches et les deux cadavres d'animaux avant de revenir vers le jeune homme qui se tenait à quelques mètres de lui.

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Samuele avait été repéré. Au moins une chose était claire, il n'était pas fait pour l'infiltration. Il fallait vraiment être maladroit pour appuyer sur le flash alors que l'on essayait de se cacher dans des buissons. Il était trop tard, il fallait faire avec. La principale peur de Samuele était que l'effet de son pouvoir de "décuplement" se fasse trop ressentir chez l'homme qui s'approchait de lui. Il l'entendait ranger son arc et ses flèches, et ces bruits n'étaient pas trop rassurants. Il était certain d'une chose, c'est que l'homme en question était un mutant. Mais de là à connaitre ses intentions et ses motivations, il n'était pas devin. Il l'entendit parler entre chaque pas craquelant les branches de bois sur le sol:

" Voulez vous bien sortir de votre cachette ? Je n'aimerai pas vous envoyer une flèche en plein mollet... "

L'homme n'avait pas l'air d'avoir de pulsions meurtrières, et c'était un bon point. Samuele s'était plusieurs fois imaginé face à un adversaire puissant, contre lequel il ne pourrait pas vraiment agir à cause du faible potentiel actuel de ses pouvoirs, mais à chaque fois, il n'en sortait pas indemne. Le temps de penser à ces futilités, qu'il entendit à nouveau parler:

" Bonjour ! Vous savez qu'il est dangereux de resté ici ? "

Il comprit au son de sa voix qu'il n'était pas bien loin, alors Samuele avait le choix: Il pouvait rester accroupis dans les buissons en espérant qu'il ne le remarque pas... ou bien il pouvait prendre son courage à deux mains et se lever sans attendre que l'homme soit assez près pour le mettre mal à l'aise. Il choisit alors la deuxième solution. Il agrippa son sac, comme s'il avait besoin d'appuis pour se lever, et se leva découvrant ainsi le visage de l'homme. Il était plus âgé que lui mais n'était pas aussi terrifiant qu'il l'avait imaginé. Il se sentait rougir légèrement, mais malgré ça, il se présenta pour être poli:

Bonjour, je suis Samuele... Je ne voulais absolument pas vous déranger. J'ai vu la moto, et j'ai entendu ces bruits j'étais juste... intrigué.

Dit-il d'un air timide et gêné. Il lui tendit sa main, en espérant qu'il vienne la lui serrer. Il continua aors, pour détourner le sujet:

Vous chassez?

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Arc baissé, il attendait, patient et prévenant envers le jeune adolescent se levant pour se montrer. Il rangé déjà son arc et ses flèches pour ne pas faire fuir le jeune homme. David voyer et senter la nervosité de son interlocuteur, ces pensée firent que notre brundinnet fut indirectement alerter des pouvoirs de celui-ci. Etonnament, David se sentait à la fois vulnérable et au contraire fort. Il le vut donc sortir, certe, quelque rougeurs sur les joues, mais apparament soulagé. Ces pensée était déroutante, peut être certainement se faisait il du sang d'encre pour rien... Cela lui arrivé souvent malgré qu'il sache ne pas se defaire de son chemin principal. A se moment même il pense :

* Je suis pas terrifiant ? Il à crut que j'était terrifiant ? Je rêve... *

Se dit il à lui même en ne comprenant que la moitié du sens de la phrase émise par le jeune homme.

" Ce n'est rien, je m'appel David, désolé si je vous est fait peur "

Il le regarda puis alors qu'il allait se retourner entendit une question assez spontanné.

" Oui et vous ? Que faite vous par ici ? "

EDIT : J'ai édité le premier paragraphe, j'espere que cela est suffisant...

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- Oui et vous ? Que faite vous par ici ?

Cette réponse lui avait parut froide et directe, mais elle allait avec le personnage. En le regardant Samuele semblait comprendre qu’il lui avait donné l’impression d’être apeuré par cet homme… mais pas du tout. Au contraire, son visage était réconfortant, mais il était juste intrigué, et se posait beaucoup de questions. Après tout ils ne se connaissaient pas, il se devait en quelque sorte de se méfier de lui… pour répondre à la célèbre phrase « on ne parle pas aux inconnus… ». Il lui répondit alors :

- Moi je suis venu faire quelques photos… la nature m’intéresse et je suis venu ici pour y faire un tour… je ne m’attendais pas à rencontrer quelqu’un. –

Il baissa alors les yeux pour ne pas le déranger, après avoir remarqué un comportement étrange de sa part. Le même que d’habitude, il venait de décupler ses pouvoirs et cela se voyait alors il ne pu s’empêcher :

- Je suis… Désolé. Je ne veux pas vous importuner avec mon pouvoir. –

Il lui lança un regard l’air de lui demander de ne pas lui en vouloir. Samuele était quelqu’un de timide et réservé, c’était à croire que son pouvoir lui était apparut pour changer cette partie de lui. Ce décuplement brisait sa couverture de la discrétion, car en ne sachant pas le contrôler il se retrouvait automatiquement dans la case « Mutant » des autres qui ressentaient ces pouvoirs… Et c’est pourquoi il était si impatient de savoir contrôler ce pouvoir… comme pour avoir une vengeance, une revanche sur son pouvoir.
Il regarda à nouveau l’homme et lui expliqua automatiquement, conscient que cet homme était aussi un pouvoir.

- Je décuple vos pouvoirs, et je sais aussi que vous êtes comme moi parce que je vous ai détecté… J’espère que vous ne m’en voulez pas ? –

Cette phrase était sortir par habitude… Samuele espérait sans cesse ne pas gêner les autres… une qualité qui le mettait au rang de proie facile.

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