courses [ privé]

Invité

La marquise sanglante avait encore du temps libre, étant donné qu’elle avait échappé a l’entrainement des mauvais mutants. Bad girl a s’amuser a les sécher ? Bien sur que non, elle ne s’abaisserait jamais a ça, elle était trop fière de sa personne pour faire ce genre de conneries. Déjà qu’autrefois, elle traitait ceux qui prenaient plaisir a sécher les cours comme des bons a rien, donc elle n’allait pas se contredire pour se genre de conneries ! Non rassurez vous qu’elle en avait pas besoin de cet entraînement ci, vu qu’elle savait contrôler ses pouvoirs. Ben quoi ? Favole n’allait tout de même pas rester avec des novices pendant une heure, a s’ennuyer comme un rat mort. Quoi que c’était a peu près cela qu’elle faisait la plus part de ses journées, lorsqu’elle en avait marre de se frotter aux mortels. Soit disant jeune vampire de cette nouvelle époque, Favole s’était quand même donnée a écrire une nouvelle histoire. Cependant celle-ci était , selon elle, son histoire personnelle ! La ou elle pourrait enfin raconter toutes ses chroniques, ses souvenirs lointains, de ses chers compagnons, et de ses rêves les plus beaux et plus sombres. Un projet qui avancer plutôt bien a ses yeux, en voyant avec fierté qu’elle en était au chapitre 13 !

Comme quoi, l’ennui lui avait apporté quelque chose de bon, pour les rares fois que ça lui arrivait, fallait bien s’en souvenir. Bon l’écriture avait beau être son passe temps préféré, il en arrivait a un moment qu’elle en avait plus que marre. Gratter pendant des heures des heures devenaient lassant, et a force de faire cette activité, il était évident que la belle Favole avait perdu son inspiration. L’ennuie la rongeait de plus en plus, qui devenait de plus en plus pesant pour sa conscience. Pour ne pas tomber dans une vie monotone, comme la plus part des auteurs fous qu‘elle pouvait connaître. C’était sans doute la principale raison, de la décision de cette jeune vampire a vouloir vagabonder dans New York. Encore aller se traîner dans les villes ? A force, on vas bien finir par croire que tu les aimes, Favole ! celle-ci avouait qu’elle aimait bien aller dans les zones urbaines. Alors qu’elle avait passé une grande partie de son enfance à détester la ville, uniquement parce qu’elle devait constamment se frotter aux mortels, la elle prenait plaisir a vivre avec eux. Remarque que ça l’avait finit par l’amuser de rendre les hommes et les femmes envieux de sa beauté hors paire, sans oublier leurs comportement loufoques. Malheureusement et a cause de se soleil de merde, la marquise sanglante se retenait de mettre sa beauté en valeur. Elle savait que si elle mettrait sa peau au soleil, elle bronzerait très rapidement, une chose qu‘elle ne voulait absolument pas ! Logique, comme elle pensait qu‘elle était une belle vampire a la peau extrêmement pale, donc elle y tenait a sa peau blanche. De plus qu‘elle trouvait ça bien moche de prendre des couleurs, c’était les petites garces qui faisaient ça !

C’est pourquoi, elle s’était vêtu d’une très longue robe violet foncé, avec des longues manches, dont il y avait de la dentelle un peu partout. Pour protéger le reste de son corps, elle avait mis des magnifiques gents en velours ( ou elle avait fait exprès de portait une bague en diamant rouge), et s’était muni d’une ombrelle. Le centre commercial, voila quel était le point de chut de la rose noire, ou elle s’était dit qu’elle y trouvait quelques trucs a acheter sur place. Quand elle avait quitter le manoir de la conferie, elle n’avait pas tellement d’idées d’achats particilier, si ce n’était qu’elle irait sans doute voir les vêtements gothiques et les armes blanches. Malheureusement pour notre pauvre Favole, qui pour une fois avait pas eut l’idée de torturer les mortels, voila que ces derniers lui menaient la vie dure. En effet et comme il y avait une foule aux centre commercial, tout le monde se bousculait, se marchait sur les pieds sans même dire pardon. Mais ou était donc passé la politesse dans ce monde de sauvage ? On pouvait bien se le demander ma chère Favole, toi qui était restée malgré tout une personne très courtois ! Et oui, Favole avait grandit dans une famille ou régnait les codes de savoir vivre, dont le langage était soutenu. Une habitude qu’elle avait toujours gardé, même devant ses ennemies, en clair: la rose noire était sadique tout en étant diplomante, ce qui la différenciait encore plus des autres. Enfin elle s’en fichait un peu du comportement des mortels, du moment ou ils ne lui cassaient pas les pieds et qu’elle pouvait les faire chier quand elle le désirer ! et par une chance inccrouyable, Favole arriva a se faufiler dans une boutique de musiquessans problèmes. A peine deux minutes a admirer les quelques cds, elle se retourna au même moment ou elle entendit une personne lui parler.

Invité

C'était aujourd'hui une journée assez folle au centre commercial. Les gens venaient en masse et il y avait des foules tout partout. On avait du mal à se retrouver.

Et quel vacarme surtout! Bon sang, c'était donc ça, cette frénésie occidentale des capitalistes que Lebeau dont Lebeau avait tant parlé à Lucas. Personne qui ne s'occupe de personne, l'argent; toujours l'argent. Des victimes de la consommation, voilà ce qu'ils étaient.

Il n'en revenait pas. Il était en undercover aujourd'hui. Lunettes fumées, manteau de cuir noir sous lequel une veste par-balles légère était dissimulée, ainsi que son orreillette couleur peau discrète derrière l'orreille et le micro au bracelet. Il se promena dans les allées. Il avait pour tâche d'assurer une surveillance anonyme.

Il se fondit dans la masse aisément; personne ne prêtait attention à personne. Il passa à la boutique en même temps que Favole. Son teint pâle et ses traits fins ne lui échappèrent pas.

Il regarda autour, derrière ses lunettes, il scrutait attentivement tout autour. Puis proche de Favole, un métaleux pris discrètement quelques CDs pour les fourrer dans ses poches de pantalon cargo. Il se dirigea vers la sortie...

Et l'alarme retentit lorsqu'il passa les détecteurs! Ce fut à cet instant que Bishop fondit en courrant en direction du voleur et n'hésita pas à bousculer Favole si elle était dans le chemin...

Il courru comme un déchaîné et au moment où le voleur était sur le point de se mettre à courrir, le policier lui sauta dessus et le plaqua au sol!

- AAAHHH!!! J'AI MAAAAL!!!!

- POLICE!! Reste cool, c'est beau, tout va bien, ne bouge pas.

Il l'immobilisa brutalement et fut rapidement aidé par d'autres policiers en civil. Bishop lui passa les menottes tandis qu'il le tenait plaqué au sol. Les deux autres policiers le prirent et amenèrent le voleur. Bishop se releva, contemplant que plusieurs regards étaient à présent rivés sur lui. Il allait suivre ses collègues lorsque son regard, tout en relevant ses lunettes sur son crâne, se plongea dans celui de Favole... elle le fascinait par ses traits et sa curiosité était piquée...

Invité

Curieux de constater que Favole était rentré dans une boutique musique, elle qui était plutôt dans les livres. De plus qu’elle apperciait peu a musique de cette époque, en trouvant cela un peu trop commercial. Cependant, elle y était bien rentrée, et ça pour quelques petites raisons. La premiere c’était qu’elle voulait sortir au plus vite de cette foule en délire, mais aussi parce qu’elle cherchait un groupe. Quel genre de musique pouvait bien écouter la marquise sanglante ? Oh pas grand-chose vu qu’elle ne connaissait pas beaucoup de style, du moins elle restait quand même dans le rock metal et la syphonie. Non, désolée aux chers adorateurs de links park ou ACDC, c’était pas des groupes qu’aimait la jeune femme. Elle s’avouait avoir un petit faible pour rammstein, évanescence, Dark santuary et pleins d’autres dans ce genre la. Elle les avait connue par le biais d’un ami, le seul dans sa classe avec qui elle s’entendait merveilleusement bien. Pour l’heure, la marquise sanglante recherchait un Cd pour s’occuper a la conferie des mauvais mutants, a croire que cette vie était devenue trop monotone pour elle. Il fallait avoué qu’elle ne faisait pas l’effort d aller vers ses confrères mutants, sous prétexte qu’ils lui convenaient pas du tout. Remarque qu’elle recherchait toujours a aller avec des gens de son style, ou bien des inteclectuels qui ne parleraient que de livres.

Après avoir chercher pendant une bonne dizaines de minutes, elle trouvait enfin deux CDS pas si mal que ça. A première vu, elle s’était dénichée le nouveau d’Amy lee et un autre pour Gabriel, qui lui aussi s’était mis a écouter de la musique en même temps que Favole. Alors qu’elle avait sentit deux regards se poser sur elle depuis pas mal de temps, mais sans avoir trop fait gaffe, elle se retourna brusquement a l’entente d’une alarme. A ce moment la, elle vit un homme un peu du style métalliqueux a plat ventre, en train de se faire arrêter par la police. Apparemment il avait osé piquer des Cds, ce qui était bien pitoyable aux yeux de la marquise delarquois. Elle n’en revenait pas qu’on puisse se rebaisser a faire un trucs aussi mal propre, c’était d’une indécence pas possible. Voler s’était vraiment le pire crime qu’on puisse faire aux yeux de la marquise sanglante, et ça valait aussi bien pour les riches que pour les pauvres. Remarque que selon Favole, elle trouvait que les mortels étaient tous des féants, car tout le monde pouvait travailler pour gagner de l’argent. A croire que ce garçon avait perdu tout son honneur, a moins que ses parents ne lui avaient jamais apris les bonnes conduites.

Ce qui ne serait pas surprenant se disait elle, en repensant au comportement des gamins dans la rue. Sadique et fière d’être ce qu’elle était, la conferiste gothique essayer d’attirer les yeux de l’homme sur elle. Une fois parvenu, elle lui fit un magnifique sourire en lui envoyant un sentiment de dégoût et de rancœur par télépathie , avec ça elle espérait tout de même qu’il est compris la leçon. Après quoi, elle laissait faire les autorité s’occuper de lui, en se demandant ce qu’ils allaient bien lui réservé. Néanmoins, cette petite interrogation interne ne dura pas si longtemps que cela, comme son esprit se rebraqua sur le voyeur qui la regarder depuis un moment. Bon d accord, Favole était magnifique, mais de la à la regarder pendant une heure, ça devenant presque inquiétant. Surtout que le type en question qu’elle avait facilement repéré, n’était de loin le plus amical. Mais pourquoi la regardait il comme ça ? Qu’Est-ce qu’il pouvait bien lui vouloir encore ?Soit, il s’agissait d’un simple petit pervers qui ne savait pas quoi faire de son lard, et qu’il avait trouvé de quoi matter pendant un petit bout de temps. Soit, c’était un x men voir un chasseur de mutant, qui l’attendait a la sortie de la boutique. Par la crainte qu’elle soit persécuter ou enrôler comme les autres mutants, la marquise delarquois décidait qu’il fallait mieux l’aborder dès maintenant. En oubliant totalement de prendre ses biens, elle s’avançait vers lui d’un pas déterminer et assez rapide. C’était assez drôle de voir qu’elle appercu même pas de tout les regards qu’il y avait sur elle, comme quoi, elle s’était bien enfermé dans une idée très précise. Une fois arrivait a sa hauteur, elle entamait la parole sur un ton directe et fort. Elle ne faisait même pas attention aux gens qu’ il y avait autour, remarque qu‘elle s‘en fichait bien de ses mortels .

« vous comptez me regarder comme ça pendant combien de temps ? Que désiriez vous a la fin? »

Invité

Certes, cette fille avait un regard perçant, voilà ce qui avait tant attiré l'attention du policier post-apocalyptique. Il eut tôt fait de remarquer que nombre de regards étaient rivés sur lui et qu'un bouchon de circulation commençait à se constituer. Pas pratique pour sa couverture.

- NYPD, circulez tous, je vous prie...

Puis vit que la Marquise Sanglante approcha de lui. Elle semblait appartenir à cette secte étrange qu'il avait constaté depuis son arrivée... des « gothiques » qu'on les appelle. Le voleur fut amené dans un coin sombre, mais encore visible d'où étaient Lucas et Favole. Les deux policiers en civil le fouillèrent. Apparamment, ils ne trouvèrent rien suite à la fouille sommaire.

N'ayant pas vraiment de preuves contre lui dans un vulgaire vol de CDs, ils décidèrent donc de le laisser aller. Mais en s'écartant, un baggie de maryjuana tomba de sa poche... il fut replaqué au mur et cette fois, le baggie fut saisi et il fut menotté et sortit du Centre Commercial. Plus loin, on l'amena dans un véhicule. Lucas regarda cela du coin de l'oeil...

** Voilà quelques temps qu'on l'observe... (en pensées)... un voleur compulsif, mais on est sûr qu'en le coffrant pour la dope, il sera coincé! **

Puis plongea se regard dans celui de la Marquise. Dans le blanc des yeux...

** Ah, ces gothiques me filent la chair de poule... tiens, je vais l'enquêter, rien que pour voir... un prétexte, je dois trouver un prétexte... (en pensées)... Ah, j'y suis! **

Il regarda Favole et lui dit simplement, en montrant sa plaque du NYPD:

- Excusez-moi madame, je vous observe depuis quelques temps, et j'ai des raisons de croire que vous connaissiez l'individu... je suis désolé, mais je suis contrait de vous demander vos papiers d'identité et je vais devoir vous fouiller afin de m'assurer que vous n'ayiez rien pris. Si vous voulez bien me suivre...

Il lui fit signe de le suivre en direction de l'endroit où le voleur avait été fouillé...

Invité

L’ennuie qu’avec les mortels, c est que quand la curiosité les prend, ils sont vraiment pas discret. Toujours la même chose avec eux, dès qu’il se passe quelque chose d’anormal, ils ne peuvent pas s’empêcher d’accourir en masse vers le lieux. La preuve, un petit accident de rien du tout peut faire le tour de toute une ville ! Et même la, regardez moi les en train de se ruer pour voir ce voleur, c’est vraiment pitoyable de prendre en considération un minable qui ne le mérité pas. Ah, c est sur avec tous ces regards sur lui, il pouvait être satisfait de son coup. Si ça se trouve, il avait peut être piqué des trucs pour se faire remarquer, ça ne saurait pas étonnant ça non plus. De nos jours, j’ai constaté que les humains étaient près a faire n’importe quoi pour passer dans les journaux. Il faut dire que les autres non plus, sont pas très fut fut a tomber dans ce genre piège à deux balles. A croire qu’un rien pouvait les épater, tiens, c’est sans doute pour cela qu’ils me regardaient tous quand je passais devant eut tout a l’heure. Le meilleur dans l’histoire et ce qui me fait bien rire, c’était de voir ce pauvre policier qui avait bien du mal a faire dégager tout ce petit monde. Bref, on vas arrêter de dire les pensées négatifs de la marquise delarquois qui, comme vous l auriez deviner, ce prenait un malin plaisir d’Admirer cette scène. En tous les cas, ce petit vole de rien du tout, ne pouvait que renforcer son dégoût envers les humains, pour qui, elle trouvait qu’ils étaient de plus en plus stupide et fouineurs. De plus qu’elle se demandait s’ils apprenaient toujours les règles de bonnes conduites, et s’ils avaient encore la notion de l’honneur. Comme nous l’avions dit auparavant, la belle marquise fut interrompu par le regard d’un homme. Et alors qu’elle s’était déjà fait tous des films sur lui, elle venait tout juste de voir que c’était le fameux policier. Étant proche de lui, Favole n’avait pas peur de le regarder dans le blanc des yeux, et entre nous, elle n avait aucune raison de le craindre.

Pour le moment et selon elle, il ne pouvait pas l’emmerder, comme elle n’avait rien fait contre ces sois disants lois. Sur quoi, elle se disait que c’était un vieux flics qui ne savait plus quoi faire de son temps, donc il s’était amusé mater la jeune fille. Vu que tous cela n’était que des suppositions de sa part, ce pourquoi elle avait décidé de l’aborder directement pour qu’il lui réponde. Amusant de voir comment elle y avait était franco, remarque que policier ou non, cet homme n’était rien qu’a part un vulgaire humain. Calme et muette, elle attendit calmement qu’il lui donnait des réponses, pour une fois qu’elle était patiente. Au moment ou la jeune femme avait ressentit une certaine peur chez lui, elle ne pu lui faire un petit sourire moqueur en ricanant interrieusement. Ahaha, celui la ne devait pas tellement sortir de son trou s’il a peur des gothiques, pensait elle en se demandant si elle n’allait pas s’amuser avec sa peur. Enfin, il fallait pas être trop dur avec celui la, comme il avait quand même réussit a faire sortir tout le monde de la boutique. Et oui, celle-ci était presque vide, pas mal non ? Malheureusement les choses allaient empirer pour les deux personnes, a l’instant ou Favole apprit avec rage qu’elle était supposé être complice avec ce tuant. Étant parfaitement noble et très à cheval sur la diplomatie et les bonnes conduites, elle prenait les dits du policier comme une violente insulte. Aidez un voleur voler ? Et puis quoi encore, elle avait d’autres choses a faire plus intéressante que ça ! Jamais au grand jamais elle allait accepter de le suivre, elle avait bien d’autres choses a faire de plus intéressante de son temps. Sur quoi il avait interret a lui foutre la paix, s’il ne veut pas finir comme les nombreuses victimes de la marquise. Sans avoir conscience des conséquences et avec la ferme intention de se débarrasser de lui, elle lui répondit d’un ton méprisant.

« Vous me prenez pour qui ? Qu’Est-ce que j’en ai a faire de cette petite vermine ! Je ne vais pas me salir pour ce petit voleur ! »

Invité

Pourquoi donc réagissait-t-elle de la sorte? D'où venait donc son mépris envers les forces de l'Ordre? Lucas n'avait flairé un tel dédain que de la part d'un être ayant eu de mauvaises passes avec la police; ce qui signifie qu'elle s'était mise les pieds dans les plats, que la police avait fait son travail, et qu'elle devait les détester personnellement à cause de ça. Sinon, logiquement, on devait percevoir les policiers comme une force de sécurité, auprès de laquelle on se sent en sûreté. Pourquoi donc être hostile envers eux sinon qu'on avait de bonnes raison de l'être? Allié ou ennemi, tel était l'état des choses à l'ère post-apocalytique que Lucas avait laissé derrière lui.

Les choses étaient si différentes ici... les gens vivaient dans ce bonheur absolu qu'est la quiétude... relative dépendemment où et quand on est; mais encore là, les gens pouvaient aller et venir sans craindre pour leur vie. Une époque qui méritait de perdurer pour l'humanité. Une époque éclatante, que Luc n'aurait imaginé dans ses rêves les plus fous. C'était encore plus beau que ce que le Témoin lui racontait à sa soeur et lui dans sa jeunesse, il se souvenait de ces doux moments, les meilleurs qu'il avait connus, sans aucun doute... sa soeur lui manquait tant.

Il fixa la gothique dans les yeux, lunettes fumées sur le dessus du crâne... les criminels mutants pouvaient se dissimuler n'importe où... Lucas enverra tous ces monstres au Void jusqu'au dernier. Si, ces monstres... des vrais mutants ne se comporteraient pas ainsi. Bishop avait trop foi en l'humanité pour croire que ces bandits pouvaient avoir en eux ce qui fait de Bishop un mutant, ça ne pouvait être le même gêne X... il avait du mal à y croire.

- Mademoiselle, je crois ne pas avoir été suffisament clair. Par les pouvoirs qui me sont conférés par la Loi, je vous ordonne de coopérer, sous peine de quoi j'emploierai les moyens nécéssaires. J'ai des raisons de croire que pour la sûreté des personnes ici présentes ainsi que pour la vôtre, le fait de ne pas intervenir comme je tente d'effectuer pourrait constiuer une menace à l'intégrité physique d'honnêtes citoyens. Pour la dernière fois, suivez-moi à l'endroit où nous avons fouillé le premier suspect, montrez-moi votre pièce d'identité et mettez vos mains sur le mur afin que je puisse procéder à la fouille.

Bishop sortit sa badge de sa poche intérieure et le montra à Favole. Il avait pris soin d'enfiler ses gants d'intervention et porta l'autre main à l'intérieur de l'une de ses poches dans sa veste... Le « M » tatoué sur la moitié de son visage était clairement en évidence.

** Toi, avec le front que tu as, s'il fallait que tu sois un monstre, je t'assure que tu ne m'échapperas pas! (en pensées) **

» Des courses tranquilles ...ou pas. [everybody welcome !!]
» Tyler fait ses courses
» Quelques courses [Gabrielle Westermann]