Prisonnière [membre de l'OC]

Invité

Lisbeth avait la désagréable impression d'être passé sous un rouleau compresseur. Elle était un vrai aimant à problème que se soit la mafia, les attentats terroristes et maintenant ça. Kidnapper, alors qu'elle se pensait à l'abri dans son appartement, cela c'était avéré présomptueux de sa part. Elle flottait encore dans une semi conscience, pourquoi se réveiller, pour l'instant elle n'était pas trop mal. Pas besoin de constater les dégâts, et surtout aucunement besoin de savoir ou elle était. Chez un génie du mal, comment l'avait appelé cette étrange femme, Le seigneur de la terreur, un nom un peu pompeux. Mais qu'attendre de plus d'un mégalomane voulant sans doute conquérir le monde. Elle s'était faite avoir comme une imbécile. Ils étaient organisés, elle n'aurait pas pu leur échapper. Dans le cas ou elle s'en sortirait, elle se ferait oublier, très loin, sur une plage de sable blanc de préférence.

Elle cligna des yeux. Blanc. C'était aveuglant et ce bref aperçut de son environnement lui colla la migraine. Elle se redressa, frotta ses yeux qui lui paraissaient pleins de sable. Sa gorge était sèche, depuis combien de temps était elle là ? Elle s'habitua progressivement à la luminosité, trop agressive. Enfermée, comme un animal, est ce quelqu'un allait venir lui jeter des cacahuètes ? Son regard balaya la cellule, la vue d'une caméra de surveillance lui arracha un rire amer.

« bande d'imbécile »

Qu'ils fassent ce qu'ils veulent, son cas était particulier. Un génie du mal, qui mettait une caméra dans sa cellule, un bel abruti oui. Bien sur elle ne pouvait pas sortir, ça il s'en était assuré. Elle l'étranglerait, de rage elle attrapa le premier objet à porté de main, une assiette en l'occurrence, qui vint se fracasser contre le mur. Ça au moins la caméra l'aura perçu. Lisbeth observa suspicieusement le verre d'eau encore intact, elle le senti, il ne s'en dégageait aucune odeur étrange. Elle n'était de toute façon pu à sa près et complètement assoiffée, elle le but d'une traite.

Lisbeth se laissa glisser contre le mur, la tête posée sur les genoux et les mains perdus dans ses cheveux emmêlés. Combien de temps ça allait durer ? Elle ne supportait pas l'incertitude, le doute, elle avait une peur presque panique de l'inconnu, toute son existence était réglée comme du papier à musique. Jusque là ça avait très bien marché, mais elle avait accumulé les erreurs, la première étant de s'être présenter à l'Institut. Rendre son existence publique d'une certaine manière, elle n'était plus protégée derrière l'identité d'Anna Caroll. Elle le payait chèrement. Adung l'avait remis une fois en état, là il n'y pourrait rien. Être seule ne lui avait jamais fait si peur. Elle resserra ses mains dans ses cheveux, elle ne devait pas craquer, ce n'était vraiment pas le bon moment. Elle était en vie. Retenue prisonnière elle ne savait pas où, mais en vie.

Recroquevillée dans un coin, elle ne savait même pas ce qui allait lui arriver. Finir disséquer sur une table d'opération ne lui paraissait pas un destin très enviable. Mais être dans l'attente était pire. Trop de questions se bousculaient dans son crâne, sans qu'une n'ait de réponse. Et c'était sans compter les envies de meurtres, faire souffrir cette femme qui l'avait kidnappé, démolir celui qui était à la tête de tout ça. Bien sur, elle n'avait pas de super-force, mais elle rivalisait d'imagination lorsqu'il s'agissait de vengeance. C'était un mot qu'elle adorait, œil pour œil, dent pour dent. Elle était bien loin d'être aussi tolérante que le Professeur. Lui pardonnait si simplement, pour simple preuve il lui avait ouvert les portes de son Institut, alors qu'elle avait bien plus de sang sur les mains que n'importe qui d'autre de son âge. Circonstance atténuantes, certes, mais les faits étaient tout de même là. Elle était une criminelle. Tout ça pour dire qu'elle serait incapable de faire pareil, une seule erreur était suffisante. Ses ennemis savaient qu'il ne fallait jamais lui tourner le dos, pas même une seconde. Ses ennemis le savaient, oui, mais elle, elle l'avait oublié, et en ce cas présent la leçon était dure à prendre.

Sujet: Ethienne REVOIR Sam 7 Nov 2009 - 21:27

Ethienne était un petit homme d'un mètre cinquante-cinq plutôt maigrichon le neerds par excellence il portait une veste avec une chemise rouge a carreau et un pantalon en velours marrons, son visage était très pale il avait les yeux vitreux surligner par de grosses lunettes avec des sourcil très fin il avait étè convié par Mkar SVON qui lui avait promis une pièce de choix pour ses expérimentations, il passa la porte de l'immeuble dont il lui avait parlé par lettre interposer, c'était impressionnant, il y avait plusieurs accueils, un service de sécurité monsieur SVON ne c'était pas moqué de lui, il avait effectivement des moyens conséquent.

Il avança d'un pat hésitant serrant la poigniez de sa sacoche fermement, impressionner par tant de moyen lui qui travaillait habituellement dans une université il n'avait pas l'habitude du clinquant, mais plutôt du vétuste arrivé au niveau des secrétaires, il posa son sac sur la table

« Bon bon bonjour »

Ethienne était bègue, il avait du mal à se faire comprendre depuis toujours ce qui avait renforcé son isolement durant ses études et lui avait permis de réussir brillamment ses études en génétique, il arrivait à parler de temps en temps de façon normal, mais dès qu'il ressentait le moindre petit stress il bégayait,

« je je je su su suis Ethienne Vé vé VERROIR, mon mon monsieur Sv Sv SVON ma ma inv inviter »

la secrétaire le regarda essayant de rassembler la phrase dans sa tête pour en sortir une interprétation correct Ethienne rougissant au possible arrivant presque à la couleur de sa chemise

« Monsieur VERROIR ? Oui vous êtes attendu ses messieurs vont vous escorter prenais l'ascenseur sur votre gauche »

deux colosse s'avancèrent pour l'escorter il n'avait pas vue une telle accueil depuis la première et unique fois où il avait tenté d'entrer en boite de nuit et ou les videurs l'avaient gentiment raccompagnés dehors, il les suivi jusqu'à l'ascenseur où il se plaça dans le font les deux pitbull devant lui, les secondes de descente lui parure une éternité quand les portes s'ouvrirent, il arriva dans un endroit aseptisait avec des portes lourdes un endroit confortable pour Ethienne, son stress se dissiper petit a petit ils firent quelque pat avant de s'immobiliser devant une immense porte

« C'est ici monsieur, veuillez prendre le plus de précaution possible le sujet n'est pas sédaté. »

l'un des deux garde déverrouilla la porte et l'ouvris Ethienne avança dans la pièce, il regarda dans le coin avant même de s'attardait sur le sujet, supérieur une caméra était tournée verre lui monsieur SVON souhaité savoir ce qu'il faisait ... il ressortit et demanda aux gardes de désactiver la caméra et de fermer la porte, quand la porte fut close il prit quand même la pêne de tourné la caméra dans un chant fermé ne permettant pas de regarder ce qu'il faisait Ethienne tenait à garder ses travaux secrets, il posa son sac sur la petite table de la pièce et déballa ses ustensilse, Scalpel piqure et un bloque note avec un stylo, ainsi que tout un tas de pochon en plastique pour recueillir tout un tas d'échantillon génétique, il s'approchât du sujet et lui donna quelque claque pour la réveiller.

« Mad Mademoi moiselle !! »

il saisit son calepin et son stylo et s'assit sur la chaise prit une cigarette dans son sac et l'alluma, ça l'aidait à se calmé, avec ça, il pouvait ce concentré suffisamment pour ne pas bégayer

« s'il vous plait des informations pour commencer, nom, prénom, âges, date de manifestation de vos pouvoir et type de pouvoir ? »

il appuyait machinalement sur le bouton de son stylo en attendant les réponses du sujet il semblait plutôt naïf à demander des informations comme ça, mais il faisait confiance a monsieur SWON pour lui avoir donné un sujet docile qui coopérerait bien gentiment

Invité

Lisbeth ne savait exactement à quel moment elle s'était endormis, mais nulle doute que le réveil fut particulièrement désagréable. Premièrement, la douceur du réveil laissait à désirer, secondement elle se sentait courbaturé et troisièmement, ce n'était pas un cauchemar,elle était toujours dans cette immonde cellule. En apercevant l'intru elle se redressa vivement, un peu trop et elle eut un vertige et dut s'appuyer contre le mur pour ne pas tomber. La tête légèrement baissée, elle fusilla du regard le petit homme face à elle qui semblait prendre ses aises. Lorsqu'il entama son interrogatoire, elle répondit presque du tac au tac :

« Allez vous faire foutre »

Du coin de l'œil elle aperçut, soigneusement posé, un matériel qui ne la rassurait guère, mais précisait les intentions de l'homme. Son regard alla de l'homme au scalpel, puis vers la porte, toujours verrouillé sans doute. Elle savait qu'il ne servait à rien de demander qu'on la libère. Pourquoi ferait-il une chose pareille ? Mais il ne serait pas dit qu'elle coopérait à leurs projets sordides. Elle s'aperçut que la caméra avait été débrancher, et un sourire mauvais orna un instant ses lèvres. En un éclair elle bouscula l'homme et attrapa le scalpel, d'un geste habituée elle sortie la lame, et la glissa contre le cou de l'intrus. La pointe de la lame appuyé juste en dessous de la pomme d'Adam.[/i

« Je sais que je n'ai aucune chance de pouvoir m'enfuir, mais je n'hésiterais pas à t'égorger si tu ne réponds pas. »

[i]Lisbeth laissa passer un temps, elle attrapa la seringue et en observa le contenu, elle ne pouvait dire ce qu'il y avait dedans, un sédatif sans doute. Elle appuya et fit couler le liquide parterre avant de laisser tomber la seringue et de l'écraser sous sa doc marteens.

« J'ai trois questions »

Elle appuya un peu la lame, et plaça sa main libre devant les yeux du scientifique, elle leva l'index

« Un : c'est quoi cet endroit ? »

Puis le majeur.

« Deux : qu'est ce que vous voulez exactement de moi ? Réponds moi de la coopération et je t'égorge. »

Et enfin l'annulaire.

« Trois : C'est quoi le nom du type qui gère tout ça ? Le vrai nom. »

Avec un peu de chance, les gardes, dont elle soupçonnait déjà la présence, mettraient un certains temps avant de se rendre compte qu'il y avait un problème. Elle aurait les réponses à ses questions et aurait débarrassé la planète d'une enflure. Lisbeth trouvait juste incroyable qu'ils aient laissé un gringalet pareil entrer seul dans sa cellule. Soit ils la sous-estimaient, soit le nabot n'était pas ce qu'il paraissait. En plus, il fumait, il la narguait de par ce simple fait et elle en éprouvait autant plus de haine. Actuellement elle aurait tué pour une dose de nicotine.

Sujet: Coup de préssion Mer 11 Nov 2009 - 15:04

La petite fouine c'était réveillée et quelle réveil explosif en quelque seconde elle avait saisi le scalpel et lui avait collée sur la gorge en ayant prit soin de l'insulter avant bien sûr, elle lui posa des questions, Ethienne arrêta de tripoter machinalement son stylo et fini tranquillement sa clope avant de réagir, il était bien sûr embêtant qu'un sujet d'expérience se rebiffe contre le scientifique, mais cela apportait des éléments supplémentaires à l'analyse, c'est marrant quand une souris de laboratoire sort de sa cage et viens à vous mordre les doigts,

« Ho ? On ne vous a informée de rien ? Attendez juste pour mes archives »

il griffonna sur sa fiche les informations qu'il venait de demander tout en les énumérant au fur et à mesure comme pour se les rappeler d'un souvenir abstrait qu'il aurait eu il y a longtemps en fait cela venait du fait de la recherche dans le subconscient de la réponse automatique à une question que nous fournissons tous automatiquement même sans en avoir nous-même conscience

« Salanders Lisbeth, 20 ans, découverte de ses pouvoir à 14 ans et pouvoir classe anonymat avec particularité propre »

Ethienne n'en revenait pas quelle particularité singulière elle allait à l'encontre de toutes les bases de mutation répertorier, une absence de code génétique ? Oua monsieur SWAN ne c'était pas moqué de lui, il ne souhaitait plus qu'une chose la disséquer, découper chacun des morceaux de son corps les répertorier et les mettre dans du formol ce spécimen était vraiment unique et il ne parlait pas de ces fables moralisatrice qui nous disent unique il parlait du fait qu'un mutant n'ayant pas de code génétique était une pièce de collection malheureusement il devait aussi en prendre le plus grand soins l'absence de code génétique empêcher le clonage,

« Mademoiselle Salanders vous êtes un spécimen de premier choix, j'aimerais avoir à éviter de vous éviscérer si possible, j'aimerais beaucoup que vous posiez mon matériel de travail je connais suffisamment mon patrimoine génétique et je n'aime vraiment pas que l'on utilise des outils de médecine comme armes ... »

Ethienne regardais Lisbeth droit dans les yeux de son regard globuleux ne témoignant aucun changement depuis que le scalpel lui était mis sous la gorge les petits éffet de style de la jeune fille avec ses doigts était quelque peut ridicule, mais elle devait avoir un goût prononcé pour le théâtre et les situations dramatique, espérons que ça sois dû au fait quelle fut isolée.

« Et pour répondre a vos questions vous êtes dans une cellule, au cas ou vous ne l'auriez pas remarquée je suis un scientifique et je souhaite percé le mystère de votre mutation et pour ce qui est de cette organisation je n'en sais strictement rien je n'en fais pas partie, d'autre questions ? Ou vous souhaitez recouvrir votre nouveau lieu de vie de sang et cohabiter avec un cadavre ? »

Invité

Lisbeth s'attendait à un certains nombres de choses, mais certainement à ce qui lui semblait un inoffensif et peureux petit scientifiques reste totalement impassible. Ce n'était pas une réaction à laquelle elle s'attendait, cela la surprit tant qu'elle décala la lame de quelques millimètres. Lorsqu'il prononça son nom, elle la rapprocha à nouveau, son identité n'était plus si secrète que ça depuis quelques temps. D'abord la russe et maintenant lui, par contre ce qu'elle entendit par la suite l'enchanta encore moins. Spécificité propre ? L'étudier ? Certainement pas et repeindre sa cellule de sang et cohabiter avec un cadavre lui paraissait un sort bien plus enviable.

L'unique chose qui l'avait fait douter fut qu'il prétende ne pas venir de cette organisation. Cela laissait sous entendre qu'en plus d'avoir crée un dossier sur elle, ils l'avaient partagé, ou vendu. Lisbeth s'en sentit d'autant plus révoltée. La colère qu'elle éprouvait à cet instant était immense, la seule raison pour laquelle elle n'avait pas égorger ce type était le simple fait qu'il ne semblait pas particulièrement dangereux, sans doute un fanatique disposant d'un peu trop d'argent. Par contre cette organisation, si elle s'en sortait en vie, elle se ferait une affaire personnelle de démanteler chacune de leurs actions. Ils avaient plus qu'interêt à ce qu'elle ne s'en sorte pas.

D'un geste précis elle éloigna la lame et baissa le bras, se reculant du scientifique, étant de nature profondément méfiante, elle se recula légèrement mais conserva son arme de fortune dans sa main, la braquant sur le scientifique.

« Le mystère de ma mutation ? Tu peux te vanter d'avoir le dossier le plus complet qu'il existe sur moi, c'est déjà pas mal, non ? »

Il était strictement hors de question qu'elle se laisse approcher avec une seringue, un scalpel, ou même tout autre instrument tranchant. Si elle parvenait à se concentrer, elle pourrait lui faire oublier ce qu'il faisait ici, il ne la verrait même plus, mais elle contrôlait pas ce pouvoir, le premier était un état dont elle ne pouvait se défaire, même si elle le souhaitait elle n'aurait jamais pu apparaître sur une photo ou sur un vidéo. Alors que cette nouvelle phase de sa mutation elle ne comprenait pas comment elle fonctionnait, parfois cela se déclenchait à des moments impromptu, elle s'en rendait compte parce que le regard des gens paraissaient légèrement plus flou, et même s'ils ne faisaient pas attention à elle, si jamais ils tournaient le regard vers elle, c'est comme s'ils voyaient à travers, elle était complètement transparente à leurs yeux. Mais le plus agaçant avec la mutation, c'est qu'on n'avait pas un mode d'emplois, écrit en une dizaine de langue pour expliquer comment cela fonctionnait.

« Dégage et oublie moi »

Elle ne supportait pas son air détaché et encore moins le fait qu'il paraisse si confiant, il n'avait pas tressaillit, et se permettait de lui parler comme on parle à une enfant bornée. « je n'aime vraiment pas que l'on utilise des outils de médecine comme armes ... ». Elle se moquait prodigieusement de ce qu'il aimait ou non, elle voulait qu'il parte, qu'il dégage lui et sa dégaine de premier de la classe, pour avoir envie de disséquer des gens, il avait du s'en prendre des coups dans la cours de récrée.

Spoiler:

Quelle dommage de voir que cette jeune femme le prenait de la sorte, abimer mon matériel était de très mauvais goût, il n'y avait rien de pire pour m'agacer, que pouvait-elle bien penser ? Bloquée dans cette pièce elle voulait toujours imposer sa supériorité ne comprenait-elle pas qu'il n'y avait plus aucune chance quelle sorte de ce sous-sol ? Elle s'était armée, mais dans quel but, en effet il était seul en charge des études sur les prisonniers à ce qu'il lui avait été dit et les gardes pouvaient facilement gazer la salle en cas de problème, tenir une arme sans vouloir l'utiliser c'est stupide ou signe d'une grande peur, machinalement il rajouta ces quelques informations sur son carnet, d'un coup de chaussure il racla les bouts de verres de la seringue dans un coin de la pièce avant de légèrement se baisser pour parler à Mademoiselle Salander.

« VouVous oubliez ? Mais c'est popopopossible si vouvous le sousousouhaitez, je peux vous oublier une semaine, un mois, ou peut-être six... je suis sûr qu'à ce moment la, vouvous serez plus coocoopérative ... »

Ethiene rassembla ses affaires tranquillement, rangent soigneusement ses stylos et fiches puis se leva il prit soin de repositionner la caméra et se dirigea verre la porte, il toqua de trois coups sourds sur l'imposante porte en fer, un immense vigile qui dépassait de plusieurs têtes le frêle scientifique fit pivoter la lourde porte, Ethienne sortie de la pièce n'adressant même pas un regard au sujet d'étude. Le vigile refermant derrière lui dans un grincement insupportable.

Plusieurs semaines pessaires avant que la porte de la cellule ne soit réouverte, Ethiene un gros dossier cartonner sous le bras toujours équiper de sa sacoche, se tenait dans encadrement fixant N°1 comme on regarderait une vielle télé cassée dont on ne sait pas encore si on la réparera ou si on l'ajoutera au reste de nos encombrants, d'un signe de la main il fit entrait les deux gardiens massifs, l'endroit ne se prêtait pas à l'étude qu'il espérait mener, il fallait la déplacer, mais bien sûr Ethienne n'était pas homme à apprécier la violence, cette jeune femme d'un tempérament hostile devait préalablement être endormie, ce ne fut pas sans mal pour les deux hommes d'arriver à la maitriser, ils durent si mettre tous les deux pour y arriver, administrant finalement un dose d'anesthésique à la jeune femme qui sombra dans un état second végétatif. Ethienne fit glisser un brancard jusqu'aux deux hommes qui l'installa dessus. Il la fit rouler jusqu'à la salle qu'il avait réaménager.

=> Sur le Billard.

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