Entraînement en musique (PV Aloyssa Turner) Terminé

Oh oui il était curieux je le voyais bien, et surtout parler de mon passé c'était vraiment dure, surtout pour moi , cela me rappelais tellement de mauvais souvenir. Mais bon je voulais bien lui en parler et quand je voyais son regard et surtout en sentant son coup de langue dans mon cou, là il m'avait convaincue.Je déposais mes baisers sur le haut de sa tête.

-Oui je veux bien, mais arrête de me faire ce genre de regard.

Il était vraiment adorable quand il me faisait de tel yeux. Il savait comment me prendre par les sentiments lui.Bon maintenant je devais me lancer .

-J'habite à 15 minutes d'ici. Au moins je peux aller chez moi , enfin regarder comment sa se passe.Je suis dans le paté de maison juste à côté du central parc. Mais bon c'est du passé.

En repensant à tout ça, j'en avais un peu les larmes aux yeux. Mais bon j'étais avec Kura donc je ne devais pas repenser à ça.

-En effet, c'est vraiment pas loin. Et mais pleure pas, je voulais pas te faire de mal en te posant cette question.

Je posais doucement ma truffe sur sa joue, le goût de ses larmes me fit frémir doucement. Épuisé de garder cette apparence de loup, je repris lentement forme humaine. Je posais calmement mes lèvres sur les siennes. Je passais une main douce dans ses cheveux, une partie de son cou de marbre m'étais révélé, ma main glissais lentement sur se cou si fin.

-Un marché est un marché, je répondrais à toutes tes questions même les indiscrètes.

Je lui sourit doucement, je me relevais doucement pour me coucher près d'elle en la regardant dans les yeux. Son visage d'ange me réchauffer continuellement mon coeur enveloppé dans une coque de froid plus glacial que la mort, plus glacial que l'hiver et que l'on nomme solitude. Je passais mes doigts fins sur son visage en suivant les courbes douces qui se dessinaient sous mes doigts.

D'habitude j'arrive à me retenir de pleurer, mais là je ne tenais plus. Mais bon ce passé me faisais tellement de mal.Mais bon en sentant une nouvelle fois sa truffe contre ma joue j'essuyais mes larmes en lui faisant un sourire.

-Se n'est pas de ta faute, c'est juste le passé et savoir que je suis si près de chez moi.

En le voyant reprendre forme humaine,je fis un grand sourire. Je répondais à son baiser en passant aussi ma main sur sa joue que je caressais doucement.Sa main dans mon cou me faisais frissonner.

-A toute les questions....Hum je n'en ai pas trop en tête. Ah si, c'est quoi ton plus grand rêve?

Je ne voulais pas trop parler du passé avec lui, autant aller de l'avant maintenant.En le voyant s'allonger près de moi je me penchais pour aller me mettre sur lui en califourchon tout en le regardant et j'allais m'allonger sur lui en déposant de doux baisers dans son cou.En attendant sa réponse ma main passait sur sa joue.

-Mon plus grand rêve ? Voyons... J'en est plusieurs, alors le premier passé ma vie avec toi...

En lui répondant, je passais ma main sur son cou en souriant.

-Le Deuxième serait de devenir écrivain et le troisième serait de pouvoir regarder en face le reste de ma famille qui m'a tourné le dos depuis longtemps. Cependant, il faudrait que je les retrouve et cela est plus compliqué que prévus.

Je lui sourit doucement, c'est vrai que retrouver sa famille sans aucune informations est une tâche difficile mais avec cet ange tout droit descendu du ciel pour me remettre dans le droit chemin. La douceur qu'elle m'avait apporter atténué toutes plaies.

-Il y a aussi un autre rêve que je voudrais accomplir, mais il veut dire me salir les mains et cela au risque de te perdre. Mais depuis que tu est à mes côtés, ce rêve à commencé à doucement se fanait et cela vaut mieux pour nous deux.

Je la serrais doucement contre moi, m'imprégnant doucement de son odeur.

-Vanille, rose rouge et une touche de framboise, c'est l'odeur de ta peau qui me plonge dans un calme les plus total.

En entendant sa réponse de son premier rêve serait de vivre avec moi, je me mis à rougir.

-Bah déjà ce premier rêve risque de ce réaliser puisque c'est un de mes rêves aussi.

Oui depuis que j'étais avec lui, je voulais vivre toute ma vie avec lui, il avait tout de même redonner un sens à ma vie et j'étais tellement heureuse maintenant.

-Ah bon tu veux devenir écrivain? Je ne savais pas ça. Tu pourras me montrer ce que tu écris, s'il te plait. Sinon bah on pourraient retrouver ta famille, je suis sûr qu'en faisant des recherches on y arriveraient et tu vas pouvoir leur prouver que tu n'es plus comme avant.

Puis il commença à me parler d'un autre rêve et je dois dire que je ne comprenais pas très bien de quoi il voulait me parler.Je le regardais alors d'un air sérieux en lui demandant.

-C'est quoi ce rêve, dit le moi au moins?

Je posais ma tête contre son torse en fermant les yeux, je me sentais bien là.En l'entendant me dire ce que je sentais je lui fis un sourire.

-Et bien tu vas pouvoir vivre avec cette odeur donc commence à t'y habituer.

Je me penchais pour déposer de nombreux baisers sur ces lèvres.Puis je le regardais droit dans les yeux, dans ces yeux dans lequel j'avais l'impression de m'y noyer.

-Tu crois que j'aurais plus à ta famille?

Mais je m'y suis déjà habitué et je m'en lasserai jamais.

Je lui sourit doucement en la voyant prendre un regard sérieux, même comme ça elle était trop mignonne. Je lui offrit un petit sourire emprunt de tristesse nostalgique.

-Avant que je te rencontre, je m'étais mit en tête de traqué tout ceux qui m'ont fait du mal par le passé car ils n'ont jamais arrêté les combats de mutants. Disons que j'était l'objet rare des arènes.

Je la regardais avec une touche de joie, mon bonheur illumina mes yeux en la regardant. Mon amour pour elle me permettais de lui dire ce que j'avais sur le coeur.
Je répondais avec amour à ses baisers papillon. Je me perdis dans son regard comme elle était perdu dans le mien.

-Si il m'avait accepté, oui tu leur aurait plus. Ma mère aurait adoré passait du temps avec toi, mon père t'aurait sans doute accueillit avec le sourire. La plus dur à convaincre enfin en apparence aurait était Alice ma petite soeur, mais elle t'aurait apprécié en te traînant un peu partout dans le Japon et en te racontant les pires bêtises que j'ai fait.

Je lui sourit et posa mes lèvres sur son cou.

-Et moi ? J'aurais plus à ta famille ?

-Continuons comme ça alors car moi non plus je ne m'en lasse pas. Je suis tellement bien avec toi.

En tout cas je voulais savoir ce qui était l'autre rêve qu'il avait, et rien qu'avoir entendu le fait que ça aurait put avoir des conséquences sur notre couple, cela m'inquiétais un peu je dois dire.Et quand je l'entendis me répondre, je comprenais mieux maintenant, je passais une main sur sa joue rassurante en lui disant.

-Ne pense plus à ces gens qui t'ont fait du mal.Maintenant tu es là avec moi et tout se passe bien.Ne pense plus à eux, pense à nous.

Je ne voulais pas qu'il pense à ça et encore moins qu'il aille traqué ces gens par peur de le perdre. Je ne voulais plus qu'on lui fasse de mal, je voulais le rendre heureux maintenant.J'écoutais sa réponse à savoir comment on m'auraient accepter et je fis un grand sourire.

-J'aurais aimé connaitre ta famille ou encore ta soeur, je suis sûr qu'on auraient passé de bon moment ensemble. J'aurais bien aimé toutes les bêtises que tu as faite.

Si il aurait plus à ma famille, je restais silencieuse un petit moment avant de lui dire:

-Tu aurais surement plus à mon frère, enfin au début il t'aurais mis au défis pour voir si tu étais quelqu'un de bien pour moi. Surtout pour me protéger. Mais il t'aurais apprécier j'en suis sûr. J'aurais aimé que tu le connaisse.

-J'aurais aimé le rencontrer comme j'aurais aimé que tu rencontre ma soeur. À nous deux, on était les champions pour voler les desserts dans les cuisines, combien de fois on c'est fait réprimander parce qu'on avait voler les flans au chocolat.

Je rigolais doucement en repensant aux crises de nerfs de la cuisinière quand on piqué dans ses plats. Je lui sourit doucement en passant une main dans le dos d'Aloyssa, ses cheveux d'or étalaient sur son dos. Mon coeur battait au rythme de la respiration de mon amour. Des phrases sur l'amour se formaient dans ma tête.

-Si l'amour est un crime, je veux être ta victime, si l'amour est un pêché, puni moi par un baiser

Je l'embrassa doucement et me glissa contre son cou.

-Je me disais que si je rénovait mon ancienne demeure, je voudrais te la faire visiter. Je pense qu'il n'y a pas trop de ruine, personne ne vient chez nous depuis la tragédie.

J'écoutais tout ce qu'il était en train de dire et ça me faisais rire. Je me rendais compte qu'il était très complice avec sa soeur, tout comme moi avec mon frère.

-Des flans au chocolats, hum que c'est bon. Vous étiez de vrai petit chenapan. Moi je me souviens de tout les moments passé avec mon frères , on étaient tout le temps fourré ensemble et il me protégeais de tout. Au moins je ne risquais rien avec lui.

Je me souvenais de tout ces moments avec lui, quand j'avais peur je pouvais allé le voir, même en pleine nuit. Je pouvais tout faire avec lui. Qu'est ce qui pouvais me manquer.
Je continuais de rester allonger sur lui, tout était calme dans le gymnase, il n'y avait que nous ici et personne pour nous déranger.En entendant sa phrase je l'embrassais avant de lui dire.

-Oui tu es ma victime et je te punirais toujours avec un baiser mon amour.

J'étais vraiment aux anges, surtout quand il me parlait, plus il me parlait et plus j'avais l'impression d'avancer dans la vie avec lui.

-Je pourrais t'aider à la rénover.Je veux vraiment tout savoir sur toi, savoir où tu as vécut et surtout avancer avec toi dans la vie, je ne me suis jamais sentis aussi bien avec toi.

Mon visage descendais vers son visage et je commençais à l'embrasser tendrement et surtout amoureusement.

-Et encore, il arrivait à Alice d'aller piqué des biscuits et ensuite de venir se réfugier dans ma chambre. Elle faisait ça les jours d'orage, car ça la faisait paniqué et ensuite, je lui chanté des berceuses ou on descendait dans la salle de musique et je lui joué un morceau de piano pour la calmé. Elle dormait régulièrement avec moi, Alice avait peur d'être seule, elle restait continuellement avec moi. Mais à l'école, elle était souvent seul car elle avait le même problème que moi.

Je regarda Aloyssa avec un grand sourire. Sa tête sur mon torse, elle me donnait l'air d'un chaton installé sur un gros coussins. L'espace d'un instant, je crus voir de l'interrogation dans son regard.

-Un problème qu'on tout les enfants, une imagination sauf que pour Alice et moi, notre imagination n'avait aucune limite, au grand désespoir des professeurs. Pour nous, la pluie était les larmes des anges, la neige était de la poussière de nuage et le bosquet où on se réfugier abritait un dragon fait de rose et de larmes de lune. Le monde était pour nous un grand dessin, cela pouvait aller de la plus coloré des visions à la plus cauchemardesque. J'en est effrayé des enfants qui en voulaient à ma petite soeur.

Je rigolais doucement en me souvenant des regards apeurés quand je m'étais déguisé en démon japonais. J'avais emprunté le masque de démon à ma mère. Je la regardais avec un sourire, Aloyssa avait le même éclat de lune dans les yeux comme Alice. Les murs de ma chambre avait été recouvert de dessins qui représenté notre monde.

-Notre monde, on l'avait nommé Infinity, je suis sur que tu a une place de choix, tu a la place de reine et j'ai la place de roi qui siège à tes côtés. Comme dirais Alice, Infinity n'a aucune limite, Infinity est l'endroit ou la réalité et rêves se mélange. Il ne reste qu'a toi d'ouvrir les portes de ce monde sans fin.

J'avais l'impression d'être dans un de mes histoire.

-Elle avait beaucoup de chance d'avoir un frère comme toi. Tu lui chantais une berceuse, ah bon. Si un jours je ne me sent pas bien et que j'ai peur, tu seras là pour me chanter une berceuse? Moi mon frère il était toujours là et je finissais souvent dans sa chambre et il m'enlaçait pour me protéger.Il me manque beaucoup!

Alors que j'étais allonger sur lui et ma tête sur son torse, je me sentais bien, aussi paisible que quand j'étais avec mon frère. Mais maintenant je n'étais plus avec mon frère, mais avec mon petit ami, l'homme de ma vie.

-Ah je vois, oui l'imagination , j'en avais aussi. Mais j'ai tout perdue quand mon frère est partis. A chaque fois que j'essayais de penser à quelque chose, c'était son visage qui me revenais en mémoire. Donc depuis je fais tout pour ne pas avoir l'imagination trop débordante.

J'écoutais ce qui me disait et il me demandait de devenir la reine de son monde qu'il avait créer avec sa soeur. J'avais dut mal de l'imaginer. Mais je lui fis un sourire, il était vraiment adorable de me proposer de venir dans son monde.

-Je veux bien être ta reine et toi mon roi. Mais si je viens dans ton monde , promet moi de ne pas me laisser comme mon frère à fait. Je n'arriverais pas à me relever.

Je la regarda en souriant, elle était magnifique allongé sur mon torse.

-Bien sur que je te chanterais une berceuse, pour toi je ferais tout.

Je déposa doucement mes lèvres sur celle de mon ange blond. J'avais l'impression de voir ma soeur au dessus de nous sourire doucement en me souhaitant un grand bonheur auprès de mon ange.

-Si tu te perd, je viendrait te récupérer ou que tu sois même perdu dans les limbes de l'enfers.

Je glissa une main dans son dos en lui souriant doucement. Je me noya dans ses yeux quand elle me demanda de ne jamais l'abandonner comme avait fait son frère.

-Si je devais t'abandonner cela serait pour ta sécurité, si jamais je devais disparaître, je te donnerais toujours une réponse. Peut être pas en face, mais la réponse seras toujours marqué sur un carnet qui est dans ma chambre. Jamais je partirais sans donné un explication, Jamais....

Je savais que je pouvais compter sur lui et que si ça allait mal il serait mal. J'avais hâte d'entendre sa berceuse. Je me voyais bien aller le rejoindre dans sa chambre et me faire bercer pour lui.

-Je savais que je pouvais compter sur toi. J'ai hâte d'entendre ta berceuse et m'endormir dans tes bras.

Je ne quittais pas son regard tellement que je me sentais bien sur lui. On étaient serte en pleins milieu de la journée et que tout le monde pouvait nous voir. Mais au moins tout le monde verrait notre amour.

-Tu sais que tu es un amour.Je ferais tout pour ne pas me perdre surtout pour ne pas qu'il t'arrive quelque chose.

Je déposais un baiser sur le coin de ces lèvres et ensuite sur son nez pour le remercier de me dire tout ça.C'est vrai que chaque jours j'avais peur qu'il m'abandonne, chose que je ne voulais. Mon frère m'avais déjà abandonner, maintenant que je redonnais ma confiance à quelqu'un je ne voulais pas perdre cette personne.

-Non je t'interdis de me laisser, même pour ma sécurité.Je ne veux pas que tu me laisse même avec une bonne raison.

Je collais ma tête contre son torse en me serrant contre lui.

-Je ne te laisserais jamais sans nouvelles... Jamais...

Je passais une main calme dans le dos de mon ange, dehors le monde tourné sans nous, mais qu'importe, seuls nous deux comptaient. Les couples qui passaient près du gymnase souriaient doucement, je ferma un instant les yeux en respirant l'odeur douce que dégagé mon ange blond. Des souvenirs de joies, de rire comme de pleurs m'envahis. Je fus pris de nostalgie sur une innocence trop longtemps détruit et arraché.
Je rouvris les yeux en fixant la jeune fille devant moi.

-Quand ce sont développé tes pouvoirs ? Si tu ne veux pas répondre c'est pas grave.

J'avais perdu mon innocence jeune alors savoir quand tout avait commencé pour elle.

-Je te corrige...Tu ne me laisseras jamais...

Je m'en fichais d'avoir des ennuis si je le suivais. Je ne voulais pas être séparé de lui et rien qu'à y penser ça me rendait triste. Mais sentir sa main dans mon dos me calmais un peu.Je restais à le regarder, je ne regardais même pas ce qu'il se passait autour de nous. Je posais ma tête dans son cou en fermant les yeux en même temps que lui tout en me reposant.J'étais vraiment sur un petit nuage.

-La première fois que j'ai vu que j'avais des pouvoirs c'était dans ma cuisine...Une dispute avec ma mère et c'est là que j'ai fais descendre la température et c'est là que ma vie à changer.

Je déposais mes lèvres sur son nez avant de lui dire:

-Je sais que je peux tout te dire, je te fais confiance.

-Lors d'une dispute ? Vraiment pas banal pour une première émanation de pouvoir...

Je lui sourit doucement et la mordilla dans le cou. Sa peau douce et sucrée me faisait sourire. Le vent frais de ce cette saison donnait aux arbres une apparence fantastique à l'extérieur. J'avais une soudaine envie de lui joué un morceau de musique, tout en la tenant dans mes bras, je me relevais lentement pour ne pas perdre l'équilibre. Je fus pris d'un vertige qui me fit tangué, je fermais les yeux en tentant de calmé cette sensation immonde. Je ressentais une espèce de rage folle s'emparais de moi, pourquoi ? Je ne savais absolument pas, je grognais sourdement en tentant de faire partir cette rage, en vain. Mes yeux devinrent brusquement rouge sang, si cela continué, je ne sais pas comment j'allais réagir. Je ne voulais en aucun faire du mal à Aloyssa.
Je lui offrit un grand sourire, mais cela ne semblait pas l'avoir convaincue, mon regard sanguinaire n'aidait en aucun cas.

-Ne t'en fait pas ça va passé...

-Oui c'est vrai. Mais mon pouvoir s'active souvent quand je suis en colère et énerver. Et c'est ce qui c'est passé.

Je me souviens très bien de cette journée , elle m'avait chercher et je m'étais mise vraiment en colère et voila ce qui c'était passé. Mais bon je ne voulais plus y pensée, maintenant j'étais dans les bras de mon amour et je me sentais vraiment bien. J'avais les yeux fermé quand tout d'un coup je le sentais se lever avec moi dans ces bras ce qui me fis tout de suite sourire. Je le regardais quand tout d'un coup je vis ces yeux devenir rouge et je voyais bien qu'il n'allait pas bien. Je revenais sur mes jambes en passant une mains sur sa joue, je ne rigolais plus du tout là, je l'inquiétais pour lui.

-Qu'est ce qui ce passe? Parle moi.

Je n'aimais pas du tout son regard rouge comme ça et je dois même dire que ça me faisais peur un peu.

Une douleur me vrillait le crâne sans me laissait une seconde de répit. Je me dégageais de la main d'Aloyssa avec le plus de douceur que la douleur me permettais. Je me reculais doucement en gémissant de douleur, mettant le plus de distance entre Aloyssa et moi, pour la protéger de tout mouvement trop violent que je pourrais faire sans attention. Je baissais la tête en observant Aloyssa, mon ange avait dans le regard une lueur de peur, mais je ne lui en voulait en aucun cas. Mon esprit ne formait aucune pensées cohérentes, juste des cris et du sang.

-Dans ma veste... la petite bourse...

Je me recroquevilla dans un coin d'ombre en tentant de faire taire ses voix qui me vrillait l'esprit. Devant mes yeux, les images du passé défilaient devant moi, les regards et le sang s'étendaient devant moi.

-Mes médicaments... sont dans... la bourse...

Je grognais fortement sans aucune retenue, mon appendice lupin s'ébouriffa, mes crocs s'allongèrent doucement mais pas beaucoup, mes yeux semblait cherché une proie à abattre. Mon regard froid et sanglant se posait sur mon ange, une voix hurlait dans ma tête de l'attaquait, la détruire sans aucune pitié.

-par pitié... tait toi... je veux pas... va t'en... je lui ferais rien...

Des larmes coulaient doucement sur mon visage, je gémissais en me tenant la tête pour tenté de calmé ses voix froides et ses images atroces. La blessure de mon dos me faisait mal et me brûlait. Je relevais doucement ma tête, je regardais autour de moi avec mon regard rouge, mes yeux se posairent sur mon ange.

Je ne comprenais pas du tout ce qu'il se passait, ce que je savais c'est qu'il n'allait pas bien. Mais qu'est ce qui ce passait,je ne savais pas. Je voulais l'aider, essayer de le rassurer pour essayer surtout de la calmer.Mais d'un coup je le vis ce reculer de moi, il s'éloignait de moi, mais pourquoi.

-Kura?

J'essayais d'écouter ce qu'il me disait, sa veste et la bourse. Mais qu'est ce qu'il voulait. Je ne cherchais pas à comprendre , j'allais chercher sa veste en fouillant dans sa veste en tremblant de peur.Je le voyais ce mettre dans un coin , j'avais peur, mais lui aussi, il avait l'air de vouloir ce battre contre quelque chose. Mais je ne comprenais pas. Une fois trouver j'allais vers lui.

-Kura qu'est ce qui se passe, dit moi.

Je restais debout en face de lui en prenant des distances quand même, il grognait et ces étaient toujours aussi rouge et je voyais sur quelque traits de son apparence loup ressortir.Son regard était sur moi, je ne l'avais jamais vu me regarder ainsi, j'avais l'impression qu'il me voulais du mal. Et je me demandais bien à qui il parlait. Je tremblait et j'avais peur ce qui me fis pleurer. Je sentais une larme couler le long de ma joue.

-Kura arrête...Tu me fais...Peur....

Je décidais de prendre mon courage à deux mains et je me rapprochais alors de lui en me baissant pour lui donner sa bourse et ces médicaments en tremblant de peur. Je ne savais pas quoi faire, reculer ou rester près de lui.

-Kura...Tu ne me ferais rien...Calme toi...Je t'en supplie....

Je passais ma main sur sa joue et je prenais ces mains pour ensuite mettre sa tête contre mon torse pour le calmer.

-e suis là, personne ne te ferais de mal, on est que tout les deux.

Tel un junkie en manque, je prit ma bourse de médicament et en sortit une espèce de petit comprimé rouge qui avait l'apparence d'être une petite pierre. J'en avalait deux trois pour faire diminué cette crise de violence. Mes crocs reprirent une taille normal, lentement mon esprit se calma. Je sursautais violemment en sentant Aloyssa m'attirais contre son torse puis je me calmais doucement. Même si je ne lui avait fait aucun mal physique, je savais pertinemment que je suis avait fait mal de manière psychologique.
Je tentais de reprendre doucement mon souffle, cela était laborieux mais j'y arrivais aux bout de quelques minutes. Dans ma tête, une phrase résonnait comme une litanie sans fin.

Tu n'est pas fait pour elle... Si tu ne lui dit pas tout, tu la perdras... de la manière la plus tragique qu'il soit...

Je fermais les yeux en me laissant aller contre le torse de mon amour, si je lui disait tout, je risquais de la perdre. Mais si je faisait pas, je risquais de lui faire beaucoup plus de mal. Lentement mes yeux passèrent aux bleu azure, je passais timidement les bras autour de mon ange. Calme toi Kuragi, rien ne peut t'arriver dans les bras de ton amour.

Je ne comprenais vraiment rien, mais je n'allais pas fuir devant lui. Je devais l'aider, c'était ça le plus important l'aider. Même si je dois l'avouer, j'avais peur, je me souvenais très bien de ce qu'il avait dit et ça parlait de vouloir me faire du mal. Je faisais tout pour effacer cette image de ma tête de lui me fixant en me menaçant ou encore de sa phrase. Je fermais les yeux en le serrant contre moi. Je prenais sa main que je serais dans la mienne. Je devais arrêter ces tremblement et me dire que c'était mon amour et qu'il ne me ferait rien.

Je le sentais moins agité, mais je restais quand même contre lui. Un long silence s'installa entre nous. Je n'osais pas lui parler moi je ne savais pas si il avait repris confiance, enfin si il avait repris sur lui surtout.Puis je sentis ces bras autour de moi ce qui me fis sursauter.e lui disais alors sur une petite voix.

-Qu'est...Ce...Qui c'est...Passé? Dit le moi....

Je sentais dans sa voix la peur, et j'en était responsable. Je gardais sa main dans la mienne. Je baissa la tête en cherchant un début d'explication. Je ferma les yeux en tentant de trouver des mots sur ce qu'il venait de se passait.

-je... j'ai eu... une... crise d'ultra violence...

Sa y est, maintenant le sujet était lançait, depuis que j'étais devenu chien de combat, il m'arrivait d'avoir des crises d'ultra violence plus ou moins longue. Avant le moyen le plus simple était de me laissé me défoulait, puis ce fut à coup de collier électrique et quand je me suis enfuis, j'avais réussis à acheter un médicament calmant contre l'ultra violence.

-C'est pas la première fois... que j'ai une crise...

Je tentais de la regardé en face, mais j'avais du mal avec la frayeur que je venais de lui faire, je buté sur les mots et serrait doucement sa main par intermittence.

-Je voulais pas te faire peur... pardon.... je ...

Je ne savais plus quoi dire, ma voix avec mes explications restaient coincé dans ma gorge.

C'est vrai il m'avait fait peur et plusieurs personnes seraient partis devant une tel réaction. Mais non moi j'étais rester ici, je ne voulais pas le laisser comme ça tout seul. Je devais l'aider, j'étais sa petite amie et je devais donc faire ça. Mais j'avais dut mal à ne pas montrer ma peur.Je gardais tout de même sa main contre la mienne pour lui montrer que j'étais là pour lui.Une crise d'ultra violence, oui je voyais ça, même si je ne comprenais pas beaucoup.

-Une crise ultra violence...Explique moi...

Je voulais tout savoir, je voulais être au courant maintenant pour que je sois prête pour sa prochaine crise.Je caressais sa main du bout de mon pouce pour essayer de le calmer. Je gardais ma tête dans ces cheveux, je ne voulais pas qu'il voit mon visage avec mes larmes qui avaient coulé le long de mon visage mais qui avait cesser de couler.

-Qu'est ce qui...Provoque cette crise?

Je voulais savoir si c'était de ma faute, si j'avais dis quelque chose de mal.En voyant qu'il n'allait pas bien et qu'il avait du mal à trouver des mots, je posais mes lèvres sur son crâne en y déposant un baiser.

-Se n'est pas grave...Je suis encore là tu vois...Maintenant explique moi....tout...

Je levais la tête et regardais timidement la jeune fille. Mes tremblements s'arrêtèrent lentement, je tentais de respirer calmement mais mon souffle était encore saccadé.

- Je ne sais pas ce qui provoque ses crises... Tout ce que je sais... C'est que je risque de te ...

Je garda la fin de ma phrase en silence, pensais à la perdre serait pour ma la pire des damnations. J'écoutais calmement son coeur qui m'apaisais avec une douceur extrême. Lentement, les derniers effets de rage se dissipèrent pour ne restais qu'un esprit détruit par la peur de perdre ce qui lui est très chère à son coeur.

-Ces crises étaient avant contrôlé par un collier, mais depuis mon départ, mon état animal est contrôlé par ses petits comprimés... Si je tente de calmé la chose tout seul, cela entraîne des dégâts.

Je soupira doucement et ferma un instant les yeux.

-Ne t'en veux pas... tu n'y est pour rien...

Je lui souris timidement en tentant de la réconforter.

Pendant toute sa crise je me pensais impuissante,je ne comprenais pas ce qu'il c'était passé. Mais maintenant qu'il allait un peu mieux, je voulais comprendre ce qui provoquais ça, pour ne plus que ça arrive. En entendant sa phrase en suspend , cela me fis peur sur le coup, mais je faisais tout pour le cacher.

-De me quoi? Dit moi.

Je continuais de le garder contre moi pour lui montrer que j'étais toujours là pour lui et qu'il pouvait tout me dire. Je n'allais pas le laisser ici tout seul, c'était hors de question. Je tenais trop à lui et même si il m'avait fait peur, je restais là quand même.

-Tu en as déjà parler à quelqu'un d'autre ici. Ils pourraient trouver une idée pour réussir à te calmer tout seul. Bon tu as les comprimés, mais si un jours tu en as plus. Faut que tu arrive à contrôlé tout ça.

Je laissais ma main passé dans ces cheveux doucement pour l'apaiser. Puis je lui fis un sourire avant de déposer un doux baisers sur ces lèvres.

-Je voulais savoir....a qui tu parlais tout à l'heure?

Je voulais savoir à qui il demandait de ce taire et ce que cette autre personne voulait me faire.