Entraînement en musique (PV Aloyssa Turner) Terminé

Je rouvris doucement les yeux en relevant la tête, puis en la secouant de droite à gauche. Mon ange était la première à qui j'en parlait. Je ne voulait pas qu'on me pose des barrières mentales et que je me sentes emprisonner.

-J'en est parlé à personne ici, tu est la première...

Je la relevais la tête pour la fixait dans les yeux, me noyant à nouveau dans cette océan azur. Je devais dire la fin de cette phrase qui me faisait mal au plus profond de mon âme et de mon coeur. J'inspira doucement et murmura.

-Je risque de te tuer... ou du moins te blesser grièvement et cela me serais insupportable pour continuer de vivre...

La main fraiche d'Aloyssa dans mes cheveux me détendais énormément, mon esprit était redevenu aussi calme que la nuit. Je me mordilla l'intérieur de la joue quand elle me posa la question a qui je parlais durant ma crise.

-À mon ancien propriétaire...

Depuis ma fuite, je n'appelait plus mon père, je disais mon propriétaire car j'avais été son chien, et maintenant il n'est plus qu'une ombre qui entache mon passé.

J'étais surement la première personne à qui il le disait. Mais je savais qu'il devait en parler aux autres personnes ici, on devaient l'aider pour ne pas qu'il ai une autre crise.

-Mais tu dois en parler. Imagine tu as une crise et que tu n'as pas de comprimé à ta porté. Tu dois apprendre à te contrôler.

Je savais que se ne serait pas facile pour lui. Mais on devaient l'aider. Surtout moi, je ne le laisserais pas tomber de toute façon. Mais pour le moment je voulais savoir ce qu'était la fin de la phrase qu'il ne m'avait pas dite. Et quand je l'entendis je fus un peu sous le choque et pendant un petit moment je restais silencieuse, je me doutais de ce genre de phrase, mais ça m'effrayais un peu. Mais je lui répondais d'une voix calme.

-Regarde tu as eu une crise et je vais bien. Donc ça n'arrivera pas d'accord.

Je fus sous le choque en apprenant à qui il parlait, je relevais son visage et je mettais mes deux mains sur ces joues pour qu'il me regarde.

-Il n'est plus là tu m'entend, il ne te feras plus rien , il n'a plus d'emprise sur toi. Oublie le.

Et je rapprochais mon visage pour lui donner un tendre baiser pour le calmer encore un peu plus.

Je réfléchis un instant, si cela pouvait m'empêcher de faire du mal à Aloyssa, alors je prendrais tout les moyens pour stoppé ses crises qui s'offriront à moi. Je hocha lentement la tête contre sa poitrine.

-Un collier serait le moyen le plus sûr pour empêché ses crises... Mais qui pourrait le faire ?

Je lui sourit lentement et répondit avec désespoir à son doux baiser, la sentir en vie me soignais absolument tout les maux que la vie pouvait me faire subir. Sa douceur et sa joie de vivre apaiser la haine et la violence de mon âme. Tout en elle me soignait, lentement, doucement, avec une patience extrême que je n'avais que rare vu. Les ténèbres du passé était lentement remplacé par la chaleur de la lumière du présent et du futur.
Le temps n'était plus froid mais doux et calme.

Je trouverais un moyen de la protégé de ce démon qui me ronge, un démon nommait vengeance. Je la serra contre moi, voulant me réchauffer de sa douce chaleur.

-je t'aime... je te promet de te protéger même de moi...

Je voulais trouver n'importe quel moyen pour l'aider et surtout pour lui empêcher d'avoir une nouvelle crise. Cela m'avais fait tellement peur, heureusement que j'avais été là pour l'aider et lui donner sa petite bourse. Je ne voulais pas imaginer ce qui se serait passer si je n'avais pas été là.Je repoussais tout de suite son visage en l'entendant me dire qu'il aurait besoin d'un collier pour stopper ces crises.

-Non je ne veux pas te voir avec un seul collier comme ça autour de ton coup tu m'entend. Tu n'es plus la même personne qu'avant, tu es une toute autre personne , qui n'a plus de collier tu m'entend.

Personne ne lui mettrais de collier, je ne supporterais pas de le voir avec un collier ou encore voir quelqu'un le traiter comme avant. En tout cas si je voyais quelqu'un lui faire le moindre mal, je pourrais devenir méchante et j'utiliserais mon pouvoir même si cela pourrait être dangereux.Je le gardais toujours contre moi,je ferais tout pour le protéger et prendre soin de lui pour l'aider à avancer dans la vie.

En l'entendant me dire qu'il m'aimait cela me fis sourire, ça fait toujours beaucoup de bien de l'entendre. Je laissais mes lèvres contre son front.

-Moi aussi je t'aime mon amour et je te protègerais. Maintenant ne pense pas à ce qui viens de se passons et allons se promener dans le parc, tu veux bien mon amour. Cela va te faire du bien.

-Je ne voulais pas dire ce genre de collier mais un petit pendentif.


Je souris doucement, le fait de la voir réagir comme ça me réchauffait le coeur. Si j'avais était seul, je pense que j'aurais pus m'en prendre aux autres élèves, cela aurait pus être catastrophique. J'accepta avec plaisir le fait de se promener dans le parc. Je me releva doucement en titubant, une fois stable, je tendit la main à mon ange. Cette main fraîche me fit frissonner. Son pouvoir était la glace mais son coeur était plus chaleureux que le soleil. Un petit coeur qui battait pour celui que j'étais vraiment.

-Avec plaisir... Prendre l'air nous feras le plus grand bien...

Je récupéra rapidement mes affaires, rangeant précieusement la petite bourse de cuir, dans la poche de ma veste, je remit mon t-shirt et pris ma veste en main.

-Allons-y...

J'étais rassuré de voir qu'il ne voulait pas un collier comme il avait eut avant.

-Oui un petit pendentif, si cela pouvait t'aider. Mais je ne veux pas que ça te fasse le moindre mal. Je ne veux pas te voir souffrir. Pas une nouvelle fois.

Je ne veux pas le voir souffrir, quoi que pendant une de ces crises au début il souffrirait. En tout cas maintenant j'allais garder un oeil sur lui pour faire attention et surtout être là pendant que ça arrive. Je ne veux pas qu'il fasse de mal à quelqu'un d'autre, de un parce que je savais qu'il se sentirait mal et deux parce que j'avais peur qu'il se fasse renvoyer car c'était dangereux. Je secouais mon visage pour m'enlever cette idée là de ma tête.
Quand il se releva, je restais près de lui et une fois qu'il était près je lui offrais un beau sourire.

-Oui sa va nous faire du bien.

Je pris sa main dans la mienne pour me diriger vers l'extérieur. Il y avait quelque élève, c'était couvert c'était surement pour ça, mais pas grave, je voulais rester avec lui.

-Je te suis, emmène moi où tu veux.