[Plan Néron] Peurs élémentaires [Surion, Tyrone] [TERMINE]

Tyrone venait de proposer à "Bonnie and Clyde" un "voyage" express loin des ruines du bâtiment, la réponse de la fille fut surprenante et âpre.

La fille (Ampère): « Putain mais t’es complètement malade mon pote. Dans ton état, tu peux même pas monter un kinder surprise. Alors t’as fait ton kéké avec le commando, on est tous très impressionnés, mais ça suffit pour aujourd'hui. Perso, j'ai pas envie que tu nous téléportes dans un mur. »

« Monter un Kinder… ? bon qu’est-ce qu’on fait dans ce cas ? hum ?»

Elle remit en question la capacité de Tyrone de se porter ailleurs sans provoquer d’incident, ce qui n’était d’ailleurs pas si dénué de sens étant donné son état, la chaleur et les arcs électriques qui jaillissaient de ses mains étaient probablement coupables d’avoir déclenché cet état d’irascibilité chez la jeune femme, à tel point qu’elle mentionna une marque de chocolat pour enfant en vitupérant à voix basse sur Tyrone, ce dernier aurait été amusé s’il n’avait pas été surpris par l’air sérieux que prenait le type à côté, opinant de la tête aux propos de « Bonnie »…

Le gars (Surion) : «Je suis tout à fait d'accord, c'est une très mauvaise idée.»

C’est comme s’ils venaient de dire à Tyrone qu’ils préféraient prendre l’autobus plutôt qu’un hélico… qui risque de s’écraser mais un hélico tout de même !, toutefois ils eurent raison concernant la possibilité de s’empaler dans un mur aux vue de la fatigue de Tyrone, mais il n’était nul besoin de pérorer ainsi sur lui alors qu’il perdait du sang et était contraint de compresser la blessure avec un gros morceau de sa cape réduit en chiffon pour jugulé l’effusion du sang, car après tout c’était juste une aimable proposition réprouver avec vigueur, fin bref il semblait à Ty que le surnom d’ « amazone » était définitivement le bon.
Après avoir porté son regard sur son comparse qui crée de la glace à volonté et après avoir analysé le panorama, une idée (pas) lumineuse vint à la jeune femme, se tirer par là rue par laquelle elle est arrivé avec son ami, leurs motos s'y trouvaient et c'est pour cela qu'elle reconnaîtrait la rue, encore fallait t-il parvenir jusqu'à ces dernières en évitant soigneusement d’être transformé en passoire de cuisine, mais un cours instant de réflexion plus tard une seconde options fut proposé par la dame hélas cette solution était la plus malodorante et la plus insalubre de toute, les égouts ! c’était la cape trop longue de Tyrone qui allait en payer le plus lourd tribut par contre la machine-à-laver devait se réjouir, elle ; Mais passons cette digression salissante, le type dont Tyrone ne connaissait toujours pas le nom appelons-le « Clyde » avait commencer à avancé en soutenant « Bonnie » et lui sur ses épaules à la recherche d’une bouche d’égout qui constituerait une échappatoire, il en trouva une et l’ouvrît après avoir été prit d’une quinte de toux passagère puis fit la primeur à son amie de descendre en première, Tyrone suivit la jeune femme puis le type descendit à son tour et tira le couvercle de la bouche d’égout derrière lui .
Mais avant d’avancer Tyrone voulait connaître les noms de ses deux compagnons d’infortune.

« Ma cape est toute haillonneuse maintenant rhôooo ! et au fait… moi c’est Tyrone et vous ? Bonnie et Clyde ?»

Difficilement, elle se met en marche et s'appuie volontiers sur l'épaule de Surion pour profiter de l'aide qu'il lui apporte. Penser à le remercier plus tard, songe-t-elle, reconnaissante, entre deux grognements de douleur. Parce que pour l'instant, il est l'homme de la situation, celui qui porte le poids des responsabilités, celui qui les supporte. Ampère sent également l'agacement poindre, celui de se sentir comme le boulet de service, celui qu'il faut aider. Elle aimerait avoir la force de revenir en arrière et de balancer toute la force de sa haine sur leurs ennemis. De les électrocuter tous, un par un, autant qu'ils sont. Mais la douleur l'en empêche. Cela fait bien longtemps qu'elle ne s'est pas sentie si mal...Pas depuis que l'homme en rubis, larbin du Professeur Xavier, l'a piétinée et défigurée à coups de poing. Et avant cela, la bataille du pont, celle où elle a fini à l'eau, balancée par un coup de poing de Malicia et ce, après s'être faite étranglée et être tombée d'un hélicoptère.

Oui, il fallait bien la chute d'un immeuble en flammes sur sa tronche pour prétendre être au niveau de ses pires souvenirs.

Une fois à l'abri sous la terre, elle s'arrête l'espace d'un instant et s'appuie contre le mur pour reprendre son souffle. Essuie l’hémoglobine poisseuse et chaude qui coule sur ses lèvres. Peu lui importe si la paroi sur laquelle elle se repose est loin d’être un modèle de propreté...De toute façon, elle est tellement couverte de poussière, de saletés et de sang séché qu'un peu de pourriture, un peu plus, un peu moins, quelle importance? L'inconnu profite de cette pause pour prendre la parole et se présenter.

- Ampère, enchaîne-t-elle sans enthousiasme particulier, en pointant un index vers sa poitrine. Et lui, c'est Surion.

Puis elle se redresse péniblement et étouffe un grognement de douleur. Entre deux grimaces, elle lance un faible sourire à Peter.

- Mon pauvre petit...De toute façon, la cape est passée de mode depuis combien de siècles déjà?

Petit ne semble en aucun cas être un adjectif vraiment très opportun pour s'adresser à un grand gaillard qui mesure quinze bons centimètre de plus qu'elle, mais elle n'en a cure. Et accessoirement, elle n'a aucune envie de se montrer particulièrement aimable. Son corps entier lui fait mal, la douleur et l’énervement l’empêchent d'aller puiser dans se maigres ressources de politesse et de bienséance. Brusquement, elle détourne le regard pour examiner ses plaies et tente évaluer les dégâts. Cynique, légèrement défaitiste, elle se force à rire, mais son rire sonne faux.

- Bordel, je dois ressembler à rien du tout. Si on sort de celle-là…j’vais avoir besoin d’une boite entière d’Efferalgan. ..Non, deux….Au fait, on ne devrait pas trop trainer par ici. ajoute-t-elle. Vous avez vu qui étaient ces barjes ? Une idée de qui ça peut être ?

De groupes anti-mutants, il y en a par paquets. Trop, ne serait-ce que dans la ville de New York, où ils pullulent comme la pire des vermines…A commencer par le gouvernement lui-même. Et puis soudain, un flash...et elle réalise:

- Ce putain de taré qu'est passé à la télé y'a pas longtemps, p'être...Stryker...

Excellente nouvelle. Joyeuse perspective. Au moins, l'électricité sur son corps semble s'être totalement apaisée. Ca, au moins, c'est une bonne nouvelle...

Surion n'avait pas eu le temps de se présenter que Ampère le fît à sa place, ce qui l'agaça légérement, il aurait préférer ne pas dire son surnom, il était assez connu de ses ennemis, et ça pourrait présenter un danger, mais bon c'est trop tard, et puis il à pas l'air si méchant. Peter vît la jeune mutante souffrir de ses blessures, il lui aurait bien calmer sa douleur, mais il commença à manquer d'énergie, et il en aura encore surement besoin, pour sortir d'ici. D'ailleurs le petit commentaire que jeta Louise à Tyrone (oui maintenant on peut lui donner un nom) à propos de sa cape, le fît sourir légérement. C'est vrai que c'est un peu ridicule, mais bon peut être que ça peut lui servir pour son pouvoir, ou pour se protéger, comme le casque de magneto qui le protège mais qui n'est pas spécialement esthétique.

- Bon c'est pas le tout de se reposer, mais quelqu'un aurait pu nous voir rentrer dans les égouts, donc il faudrait se dépêcher.

Surion ne se rendait sûrement pas compte qu'ils n'étaient pas tous comme lui, certains avait besoin de beaucoup de repos surtout quand ils ont mal. Il releva quand même Ampère et la refît s'appuyer sur son épaule, tout en répondant à sa question.

- Aucune idée, à prioris des anti-mutants.... mais lesquels ?

Surion commença à avancer et invita Tyrone a faire de même, pas besoin de le porter il devrait pouvoir s'en sortir seul. Ampère parla d'un certains Stryker, ça devait être le salop qui a crucifié de valeureux mutants. Surion avait failli casser la télé du salon de la confrérie quand il a entendu cette information, d'ailleurs il serait bien aussi aller casser les tête de ce révérant, mais bon c'est pas si simple. En tout cas elle avait raison, ça ne pouvait être que lui.

Puis Peter remarqua que l'électricité avait cessé de sortir de son corps, une bonne nouvelle sans doute. Et Surion profita pour l'interroger, savoir pourquoi ça faisiat ça. C'est vrai qu'il n'avait pas eu le temps de lui poser la question avant.

- Comment ça se fait qu'il y avait de l'électricité qui sortait de ton corps? Je croyais que tu pouvais seulement la manipuler.

Pendant qu'Ampère répondait à la question, Surion avait entendu quelque chose, probablement des bruits de pas, qui provenaient non loin d'ici. Et coupa la jeune mutante dans sa phrase. Et les stoppa net.

-... Attendez ! .... Non rien j'ai cru entendre quelque chose. C'est sûrement rien... Continue Ampère, désolé de t'avoir coupé.

Ils reprirent leur marche, mais Surion resta quand même sur ses gardes, ce bruit qu'il avait entendu l'intriguait.

Une multitude de plaisanteries vinrent à l’esprit de Tyrone en entendant les pseudonymes de ses deux comparses, la fille déclina sans grande volonté un surnom très singulier, mais ce n’était pas tant le nom qui prêtait à rire mais plutôt la manière de le dire, comme si c’était banal de s’appelé Amp…Ampère, ce simulacre de prénom n’allait pour plaire à Tyrone, et puis le mec aussi, sou-ri-ions (jeu de mot avec le nom Surion) devant un nom aussi subtilement suspect, il n’y eut qu’a voir le visage du type lorsqu’Ampère le nomma ainsi pour comprendre qu’il était lui-même recherché par je ne sais qui sous ce nom fallacieux.

Ampère : « Mon pauvre petit...De toute façon, la cape est passée de mode depuis combien de siècles déjà?

*Il est préférable pour ma santé auditive de ne pas répondre à ce qualificatif absurde… petit ? non mais où on va ?!*

« Cette cape amplifie mes capacité de téléportation jeune femme. »

Au jeu de la condescendance Tyrone n’était certainement pas le plus fébrile, la jeune femme ne semblait plus tenté de répondre et semblait maintenant s’atteler à comptabiliser le nombre de point de suture qui lui serait nécessaire après être sortit de ce trou. Tyrone pouvait lui aussi tenter de déterminer la quantité de sang qu’il perdait jusque là, la douleur était supportable mais l’énergie vitale de Tyrone, elle, supportait moins bien cette légère hémorragie.

Ampère : « Vous avez vu qui étaient ces barjes ? Une idée de qui ça peut être ? »

«Ce sont des hommes de Stryker, il ne faut pas les sous-estimé, il est évident qu’ils ne ce sont pas pointé à Mutant Town pour repartit la queue serré entre les deux jambes comme les Dalton, ils connaissent le terrain, chaque bâtiment et chaque ruelle, on est pas dans une série Z là, l’ennemi est coriace au point d'avoir fait tombé un bâtiment sur Bonnie et Clyde… euh je veux dire vous deux et de transpercer un puissant téléporteur, pardon pour la modestie, en clair il nous attendent au bout de ce couloir souterrain…»

Surion : « .. Attendez ! .... Non rien j'ai cru entendre quelque chose. C'est sûrement rien... Continue Ampère, désolé de t'avoir coupé. »

«*Tu as raison Su…Surion, écoutez ce bruit, il y a des fissures qui se forment, ça va s’effondrer c'est sûr…*en s’exprimant calmement*»

Des fissures engloutissaient les parois qui servaient de murs jusqu'à présent et ceci jusqu’au plafond et inversement, c’était évidemment moins naturel que d’origine humaine, Tyrone eu raison de souligner l’audace des anti-mutants, un pan du plafond s’effondra partiellement derrière eux, un amas de béton vint s’écraser sur le sol, peut-être la structure était-elle fragilisé, mais ensuite ce fut comme une avalanche d’effondrement à une quinzaine de mètre derrière eux, il n’y avait plus de doute sur l’origine de l’effondrement, des bruits sourds d’explosion se substituait désormais au silence d’auparavant suivi immédiatement par la chute irrésistible du plafond…

« Bordel !...Courez !...ça s’effondre !*en criant* il ne savent pas exactement où nous sommes dans le tunnel…»

- Comment ça se fait qu'il y avait de l'électricité qui sortait de ton corps? Je croyais que tu pouvais seulement la manipuler.

Question pertinente mais elle n'a malheureusement pas de réponse complète à fournir à son collègue. Le choc peut-être, qui lui a fait perdre le contrôle de ses pouvoirs? Pourtant, elle a déjà reçu de sacrés coups, mais jamais avec de telles conséquences ensuite. Décontenancée, Ampère ouvre la bouche, bredouille un début de phrase mais une nouvelle intervention de Surion l'interrompt. Elle, trop occupée à penser à ses pouvoirs et à lutter contre la douleur, n'a rien entendu. Le cri d'alarme de Tyrone finit de la réveiller, l'effondrement d'une partie du plafond derrière eux la cloue littéralement sur place, et elle ne parvient à réagir que lorsque Peter l’entraîne. Aidée par le confrériste, elle part au pas de course pour s'éloigner du danger. Ou du moins elle essaye. Si marcher est difficile, courir se révèle être un véritable supplice. La douleur la freine, mais l'adrénaline qui envahit ses veines l'exhorte à avancer.

Rapidement, le trio s'éloigne et se met à couvert le plus vite possible. Après quelques dizaines de mètres, un tournant sur la gauche leur offre la possibilité de s'abriter dans une galerie adjacente. Sécurité. Ou pas. Dans le nouveau couloir, une surprise de taille les y attend, et elle prend une forme inattendue. Face à eux, apparaissent soudain deux individus...Ampère n'a pas le temps de s'attarder sur le visage des deux nouveaux, les longues griffes peu amicales retiennent toute son attention. Ca, et le rugissement inhumain que l'homme pousse.

Action, réaction. Aussitôt, Louise lève la main vers lui, prête à faire sortir l'un de ses fouets si l'inconnu décide de les attaquer. Simple geste défensif, puisqu'en réalité elle n'a pas l'intention d'attaquer.

- Eh, du calme toi. On est dans le même camp, je pense.

Puis elle le fixe d'un air de défi.

- Rentre tes griffes minou et on ne te fera pas de mal.

*Tu as raison Su…Surion, écoutez ce bruit, il y a des fissures qui se forment, ça va s’effondrer c'est sûr…*

Apparemment, Surion n'était pas fou il y avait bien un bruit étrange, cela semblait aussi intriguait Tyrone. Cependant Ampère elle semblait n'entendre rien, ses blessures la faisait tellement souffrir qu'elle n'avait sûrement rien entendu. Et là le bruit repris, mais il fût beaucoup plus important, les murs commençaient à trembler, on aurait dit que le tunnel allait s'ecrouler... derrière eux le plafond s'effondra... bah en fait c'est entrain de s'effondre.

*Bordel !...Courez !...ça s’effondre !* .

Surion agrippa la jeune mutante, pour ne pas la lâcher, elle avait encore beaucoup de mal à se déplacer, et la lâcher pourrait être fatale non seulement pour Ampère mais aussi pour Surion qui en allant la rechercher, risqueraient de se faire aplatir par les décombres et non merci, une fois dans la journée c'est largement suffisant, surtout que cette fois-ci, ils pourraient ne pas s'en tirer. Ils courraient tous les trois vers un endroit où se protéger et ils trouvèrent une galerie qui semblait beaucoup plus résistante que celle où ils étaient, ils s'y abritèrent donc.

Surion laissa Louise s'adosser au mur, pour qu'elle puisse se reposer, mais ils eurent à peine eut le temps de reprendre leur souffle, que deux personnes, dont l'une très étrange avec ses grandes oreilles, et l'autre très grand et très costaud avec des griffes, plutôt grandes d'ailleurs. En tout cas ils semblaient être des mutants, donc à priori aucun danger. Mais vaut mieux rester sur ses gardes, car Tyrone, Ampère et Surion n'ont à première vue rien de mutant, les deux "animaux" pourraient donc les prendre pour des purificateurs. Ampère, elle, semblait plutôt les défier, tout en les rassurant, c'est une technique très sympas, mais risquer, le lapin et l'homme aux griffes pourraient se méprendre. Surion était prêt à enlever ses gants, pour les maîtriser, car c'est vrai qu'avec un petit coup de froid tout le monde se calme.

- Oui range moi ces griffes tu ne feras pas le poids, et ça serait dommage qu'il y ait encore d'autres blessés, il y en déjà suffisamment eut aujourd'hui.

"JE VEUX VOUS ENSEVELIR"

"c'est en tout cas ce qu'aurait dit le plafond des égouts s'ils pouvait s'adresser aux trois mutant, Tyrone se mit à courir et vociféra "Courez !"pour que les autres fassent de même, tandis que Surion courait en soutenant la fille qui ne veux pas dire son prénom... pardon je ne suis que le narrateur...je voulais dire Ampère, Tyrone lui les suivait en se disant qu'il leur sauterai dessus si le plafond juste au dessus d'eux par manque de chance venait à s'effondrer, puis ensuite il les rendraient intangible, y compris lui même, pour ne pas ce voir devenir les agréments d'un sandwich fait de béton et de... bah de béton quoi, nos trois comparses bifurquèrent très vite dans une galerie, où ils purent ce mettre à l'abris et s'arrêté, soudain quelque choses fit son apparition dans cet ombrageux couloir, deux hommes étaient là, il ne ressemblait en rien aux hommes de Stryker que Tyrone avait refrodit plus tôt, l'un émit un mugissement puis laissa apparaitre des dents proéminente et saillante, l'autre aurait pû être comparer au lapin des parents de Tandy, mais pourtant les premiers échanges verbaux ne furent pas une suite d'amabilité, cette joute verbale atteignit très vite son apogée, Ampère prenant toutes les précaution nécéssaire à l'approche d'un animal sauvage..

Ampère : "Rentres tes griffes minou et on ne te fera pas de mal."

Un type normal aurait répondut "viens me dompter ma belle" en prenant un air de défi alors qu'un type en carence affective en aurait fait une interprétation érronée et quelque peu tordante.
L'homme avec les dents acérée répondit à l'amazone Ampère de se calmer un petit peu, ce qui n'était pas la réponse la plus audacieuse quand on a devant soit une pile électrique, un type qui peut vous les geler sur places et un autre qui pourrait vous tuer rien qu'en rematérialisant son bras à l'intérieur de vous, si nos trois compagnons était méchant et stupide il aurait fait usage de leurs attributs mentionner en haut, mais il n'en fut rien et le type, voyant l'état de nos trois mutants fut un peu moins hostile et se présenta.

"Moi c'est Bob *mugissement* et toi mec... (en s'adressant au type à côté) Ha oui...lui c'est John."

Etre aimable ou pas, ou être vigilante face à un adversaire inconnu, voilà bien des questions sur lesquelles Ampère ne s'arrête pas. Fière et orgueilleuse, et la douleur n'arrange rien. L'ordre donné à Surion de ne pas faire n'importe quoi quand tout ce chaos a commencé? Envolé, oublié, jeté aux oubliettes. La demoiselle n'est plus vraiment portée sur la modération et la prudence, et si l'un des nouveaux venus s'avise à faire le malin, il finira sans doute grillé comme un vulgaire steak, et ce même si elle est loin d'être dans son assiette. Heureusement, Surion la seconde et appuie ses propos, sans doute un peu plus tranquillement. Cela la rassure mais ne la calme pas complètement. Son caractère de merde reprend le dessus et ne laisse aucune place à la négociation. Malheureusement pour lui, l'homme choisit de lui dire de se calmer...Visiblement, on ne lui a jamais appris à laisser tranquille une femme en colère, surtout quand elle vient de se prendre un immeuble sur la figure. La réflexion arrache aussitôt à la verte un regard chargé de haine.

- Ecoute moi bien Bob, vu qu'on est tous dans la merde, on va se serrer les coudes et tâcher de sortir vivants d'ici. Maintenant, si tu me redis de me calmer, je t'arrache les roubignoles et je te les fais bouffer, ok?

Son ton ne prête pas à la discussion et de toute façon, elle n'est pas prête à l'accepter. Près de l'homme, le type aux oreilles allongées ne semble pas être vraiment dans son assiette. La jeune femme lui lance un simple regard et lit la peur et l'incompréhension dans ses yeux...il n'a pas l'air pas vraiment dangereux en réalité, alors elle décide de le laisser tranquille.

- Très bien Bob et John...Voilà ce qui se passe. En haut, c'est la pagaille et en bas, tout est en train de s'écrouler. En gros, on est dans la merde...Donc, faudrait qu'on remonte vite à la surface et qu'on se démerde pour...mmh, pas se faire tuer, ça serait pas mal.

Rapidement, elle tourne la tête vers l'arrière, et jette un regard vers la galerie qui vient de leur tomber quasiment dessus.

- Autant dire que par là, c'est mort. Quelqu'un a une idée? Là, perso, je sais même plus dans quelle direction se trouvent nos motos en fait..., rajoute-t-elle en s'adressant à Surion.

Paumée? Non, à peine...

Bob avait fait le bon choix en ne les attaquant pas, ça a évité des effusions de sang inutiles. Mais Surion resta tout de même sur ses gardes, un coup de pattes peut vite arriver. Il jeta un oeil vers sa consoeur, elle avait un regard de tueuse comme ci au moindre geste brusque de Bob elle allait se jeter sur lui. Elle commençait à devenir imprudente, car cet homme pouvait cacher d'autres pouvoirs, et très en colère, le conseil que lui avait donné Bob ne lui avait sûrement pas plu, normal car quand on est en colère vaut mieux laisser passer, Surion y connaît un rayon la dessus. La réplique de la confrériste confirma les pensées de Surion. Au moins, elle a mis les choses au clair. Quant à l'autre homme... enfin plutôt au lapin, la peur se faisait ressentir, il a avait l'air jeune, à première vue, cela était donc compréhensible car dehors c'était l'enfer et des personnes sans expérience pouvait avoir peur. Mais Surion n'y prêta aucune attention pour le réconfortait, ce n'était pas du tout son genre.

Surion écouta le petit briefing d'Ampère, c'est vrai que si ils restèrent là ils risqueraient de finir aplatit comme des crêpes, mais cependant si ils sortent, les risques sont aussi très grand de se prendre une balle par un sniper ou une rafale de balles par un groupe de purificateurs. Le choix était dur à prendre... mais sortir leur laissa le plus de chance de rester en vie. Par contre, par où pourraient-ils sortir ? Vu que derrière eux tout s'est écroulé et devant eux, ça ne devrait sûrement plus tarder.

- Oui le meilleur moyen c'est de sortir d'ici par la première bouche d'évacuation que l'on trouvera, après on devra devra trouver où on se situe dans la ville pour savoir où sont nos motos... Surion s'adressa à Bob et à John: Vous deux montrez nous par où vous êtes entré, on vous suit.

Surion réappuya Ampère sur son épaule, et suivit les deux mutants à la trace, Tyrone ferma la marche, assez rapidement ils se retrouvèrent prêt d'une échelle qui remontait à la surface, Surion prît l'initiative de monter en premier. Il ouvrît la bouche d'égout, il retrouva la même vision d'horreur que depuis le moment où ils étaient rentrés dans les égouts: du feu, des ruines et des coups de feu qui retentissaient encore et toujours. Et Surion avait du mal à se repérer, espérons que les autres sauront où ils se trouvaient. Il jeta un oeil des deux côtés de la rue, il semblait n'y avoir personne.

- C'est bon vous pouvez venir.

Cet homme visiblement choqué par ce qu’il était en train de vivre attira la curiosité de Tyrone, il s’en approcha, tandis qu’Ampère vitupérait sur Bob…

John : « Mais…mais vous saigné !? *tressaillement*»

« Oui j’ai été imprudent, et tu vois les deux là ? Oui celle qui échange des mots tendres et affectueux avec ton pote et le mec qui nous montre sa cicatrice, ils ont prit un bâtiment sur la tête, mais vous comment êtes vous arrivés ici ? »

L’homme était encore effaré par cette succession d’évènements, il balbutia silencieusement quelques mots de stupéfaction en écoutant Tyrone, et trouva suffisamment de concentration, malgré la menace déconcertante que venait de proféré Ampère à l’égard de Bob, puis répondit.

John : « Que ?... tout est allé très vite, des… des coups de feux sporadiques, des cris d’horreurs, une fenêtre qui explose, et puis je n’ai pas réfléchit plus longtemps, j’ai traversé le plancher puis repassé la tête à la surface pour connaître l’ampleur du carnage dehors, soudain il y avait ce type que tu vois là, le spectacle ne semblait pas lui inspiré une plus grande inquiétude que ça, ensuite je l’ai tiré sous terre à peu près ici, mais ce machin que tu portes, qu’est-ce que c’est ?»

«C’est la fête médiéval à Mutant Town, Ampère et Surion, eux, ont oubliés leurs tenues»

Tyrone était heureux d’avoir arraché un rire à ce type qui était plus disposé à pleurer qu’as s’esclaffer.

Un plan concerté fut établi, il fallait tout simplement trouvée une bouche d’égout pour sortir de là, à vrai celle par laquelle Bob et John sont arrivés, Surion leur indiqua gentiment que c’est eux qui monteraient en premiers pour voir si ça pleut encore, et pas de l’eau !, les cinq mutants se mirent en marche et furent très vite devant l’échelle menant à l’air libre, l’homme-glace prit l’initiative de d’escalader l’échelle le premier, lorsqu’il fut en haut on ne l’apercevait plus, puis sa voix résonna en bas, la voix était dégagé, Tyrone fut le dernier en haut lorsque tout le fut monté
y a peut-être des gens qui se cloîtrent chez-eux, les coups de feu sont très sourds d’ici, ‘fin bon il faut avancer et ils doivent êtres occupés avec les flics plus loin.

Bob : «Qu’est-ce que vous êtes capable de faire vous, vous êtes des mutants non ?»

« Me taper des nems en Chine puis revenir aussi rapidement à l’endroit ou on se trouve pour digérer le tout, surgir dans le coffre d’une banque. Mais dans mon état on oublie tout ça !»

Tandis qu’ils marchaient sur la route, les volets et les fenêtres autour d’eux s’entrouvraient, comme si une accalmie se dessinait, il y avaient bien des habitants ici, mais était-il en sécurité à cette endroit ou alors fallait-t-il leur prescrire de les suivre pour quitter le quartier, il était clair que les cinq mutants se posaient cette question d’ordre humanitaire.

Ampère pose sa main gantée sur le barreau froid et sale, et se met à grimper à la suite de Surion. C'est douloureux, elle a presque l'impression de ne plus avoir de forces dans les bras et que son corps pèse des tonnes. Et bien entendu, l'anti douleur qu'elle a pris quelques minutes plus tôt ne sert plus à rien. L'énorme bleu sur sa joue, récolté lors de son combat au Walhala, se perd au beau milieu des dizaines d'égratignures, de coupures et d'autres hématomes. N'y pense pas. Une fois de plus, la jeune femme serre les dents et lentement, elle rejoint la surface, aidée par son collègue, puis attend que tout le monde les ait rejoints. Finalement, elle est contente de laisser derrière elle l'atmosphère viciée du monde souterrain. Et la voilà qui respire profondément, comme pour se défaire de l'odeur putride qui s'est littéralement installée dans ses narines, et sans aucun doute, dans ses fringues. Méfiante, elle reste près de Surion et observe les autres sans rien dire. Après tout, ce n'est pas parce qu'ils sont momentanément dans le même camp qu'elle va se jeter dans leurs bras.

« Qu’est-ce que vous êtes capable de faire vous, vous êtes des mutants non ? » lâche le dénommé Bob.

Tyrone répond le premier, laissant les deux confréristes en faire de même. Petit moment de silence et d'hésitation...Ampère n'a pas vraiment envie de s'étaler en détails sur ses capacités et de toute façon, elle n'en a pas vraiment besoin. L'homme aux oreilles étranges semble la fixer avec insistance, bien que totalement paniqué, et de temps en temps, il jette quelques regards suspicieux à Peter. Elle soupire et laisse passer quelques longues secondes génantes.

- Quoi?

- Je vous...connais. Votre tête a été mise à prix. Vous...vous faites partie de la Confrérie...!

Eh merde. Elle aurait préféré que cela n'arrive pas, mais comme d'habitude, elle n'y peut pas grand chose. Depuis que sa tête a été exposée un peu partout, on la reconnait très souvent. Sans doute que ses cheveux verts, pas forcément très discrets, y sont pour quelque chose. L'espace d'un instant, elle songe qu'il serait peut-être temps de revenir à sa couleur normale mais à vrai dire, elle n'en a pas vraiment envie. Blasée, la demoiselle soupire de nouveau et regarde Surion, tout en se demandant si l'homme l'a reconnu lui aussi.

- Eh ben maintenant, vous savez qui nous sommes et ce qu'on peut faire. Et vous, vous êtes?

L'homme ne répond pas tout de suite, et c'est son compagnon aux griffes indélicates qui s'en charge.

- La Confrérie, j'ai déjà eu affaire à vous...Un de vos gars a essayé de me recruter.

Ampère hausse un sourcil, ne sachant pas vraiment si l'homme dit la vérité ou pas, et finalement hausse les épaules.

- Génial...vu ce qui se passe aujourd'hui, tu devrais peut-être repenser à nous rejoindre...

Peu à peu, alors qu'ils avancent, Ampère commence à se repérer. Elle reconnait les rues, pour les avoir déjà parcourues en long et en large depuis quelques années maintenant. Pour l'instant, le bruit des combats leur parvient en sourdine. D'un coup d'oeil, la jeune confrériste évalue leurs forces. Surion a l'air d'attaque, si ce n'est qu'il doit se coltiner le poids de la demoiselle qui s'appuie un peu trop sur lui. Tyrone peut peut-être encore faire quelque chose mais elle ignore quelles sont ses capacités...Il en va de même pour Bob. Quant à John, il a l'air tellement effrayé et si peu sûr de lui qu'elle le voit mal affronter une horde de purificateurs assassins.

Et elle? Elle, elle ne rêve qu'à une injection d'anti-douleurs par intraveineuse.

- Okay, si je me trompe pas, en passant par cette rue-là, on doit pouvoir faire un petit détour et rejoindre les motos, et rentrer...J'suis même pas sûre de pouvoir conduire en fait...

Ces derniers mots, elle les a chuchotés, plus pour Surion et elle-même que pour les autres. Laisser sa moto en plan lui attire déjà une migraine pas possible...Parce que même si à la base, elle l'a volée, elle a ensuite passé nombre d'heures à la bichonner et à la modifier pour en faire un véhicule puissant et adapté à ses attentes, et en toute logique, elle n'a donc pas envie de la laisser au premier venu. Seulement, vu son état, elle risque de ne pas trop avoir trop le choix et il est fort possible qu'elle doive rentrer avec Peter...Et là voilà qui réfléchit déjà à comment la cacher, pour pouvoir la récupérer plus tard.

Quant aux autres, elle ne sait pas quels sont leurs plans, mais autant dire que c'est un peu le cadet de ses soucis...

Surion regardait tout autour de lui, pendant qu'il soutenait Ampère, il avait beaucoup de mal à reconnaître où ils étaient, il espérait que quelqu'un savait, cela le soulagerai car il commençait à en avoir marre des flammes et des explosions, et surtout il avait besoin de récupérer de l'énergie. Des cries pouvaient s'entendre au loin, les purificateurs n'avaient pas encore fini de terrifier les habitants de mutant town. En tout cas, ici rien ne semblait supposer que des exterminateurs s'approchaient, ou étaient encore là.


« Qu’est-ce que vous êtes capable de faire vous, vous êtes des mutants non ? » demanda l'homme aux griffes.

- Tout ce que je peux te dire c'est qu'il serait préférable pour toi que je ne l'utilise pas contre toi.

Tyrone répondît aussi assez vaguement mais resta quand même plus précis que Surion, c'est un risque de déballer ce que tu sais faire à un inconnu. Quant à Ampère, elle ne répondît même pas, un simple: Quoi ? suffisait à dire que sa question était déplacer. Puis une des voix avait reconnu les deux confréristes. Evidemment, avec ma cicatrice en plein milieu du visage et Ampère avec sa chevelure verte, qui est très jolie d'ailleurs, attirait facilement l'attention. Surion et Ampère se regardèrent, se demandèrent si ils se sont fait reconnaître tous les deux. Bob semblait d'ailleurs connaître la confrérie, on lui avait déjà proposé de venir, ce qui s'est passé aujourd'hui va peut être le faire réfléchir, et enfin venir les rejoindre. Ampère a eu la même idée que lui.

- Bon Amp j'espère que tu sais où on est, et que l'on est pas très loin des motos parce que je commence à en avoir ma claque des flammes.

Surion réappuya bien Ampère sur son épaule car il commençait à la lâcher, ses côtes qui compressaient ses poumons lui rendait la respiration très difficile, et le poids de la mutante n'arrangeait rien, mais vaut mieux que se soit lui qu'il la porte plutôt que l'un des trois autres, il n'avait pas confiance en eux. Ampère lui fît savoir d'une faible voix qu'elle reconnaissait l'endroit et qu'ils n'étaient pas loin de leur but. Enfin une bonne nouvelle.

- T'en fais pas, on va planquer ta moto et tu montera avec moi, par contre où la planquer ? ça c'est une autre question. Chuchota-t-il à sa collègue.

Après plusieurs minutes de marche, très épuisante, ils arrivèrent au niveau des motos, au moins, la marche n'a pas était interrompu pas ses salops d'anti-mutants. Les motos étaient encore à l'endroit où ils les avaient laisser, sauf celle de Surion qui était par terre.

- Ah putain, j'espère qu'il n'y a rien de casser. Surion la releva et fît s'asseoir la jeune mutante à l'arrière de la moto, par chance Peter avait une bâche dans le coffre de son engin. Il la déplia et cacha avec, la moto de Louise, c'est très rudimentaire mais Surion ne voyait pas d'autres moyens de la cacher. Puis il s'adressa aux trois autres mutants.

- Bon sur ceux, on va vous laisser là, je crois que par là c'est Manhattan. Surion pointa du doigt le bout de la rue sur laquelle ils étaient. Surion donna un casque à Ampère et pris le sien, puis monta sur sa béquane, et partirent tous les deux direction la confrérie.

Ampère et Surion répondirent avec vacuité et langueur à la question de Bob, elle était peut-être trop indiscrète, plus que jamais on pouvait faire une analogie avec le célèbre duo de truand auquel Tyrone les avait comparé, un climat de suspicion s’installait doucement.

Bob : « La Confrérie, j'ai déjà eu affaire à vous...Un de vos gars a essayé de me recruter. »

Tyrone avait déjà ouï-dire sur cette organisation, il imaginait une structure colossale, et des chefs qui ne se montrait jamais, mais il songea un instant, peut-être avait t-il à côté de lui deux mutants affilié à cette confrérie, une floraison de question lui vinrent, voilà pourquoi il ne dévoilait pas leur identité, cependant ils semblaient ressentir des émotions humaines sans toutefois en arriver à s’appesantir sur le sort qu’ils réservent aux humains, un élément prouvait le ressenti de Tyrone, la fille avait eu peur tout à l’heure, une peur somme toute très élémentaire, mais une peur tout de même. Tyrone n’est pas du genre égocentrique ou imbus de lui même mais à cette instant il lui sembla incongrue de ne pas avoir entendu ne serait-ce que le début d’une proposition de rejoindre cette confrérie, mais la fatigue lui coupait maintenant l’envie de s’étendre sur ce sujet, tant mentalement qu’oralement.
Le groupe de mutants, arriva dans une rue après périple distendu par un long détour, et dont l’utilité n’apparaissait pas clairement, sauf peut-être pour l’amazone et son acolyte, deux motos se trouvaient là, l’une était renversé et l’homme-qui-glace craignait qu’elle soit hors d’état de rouler, mais cette crainte fut dissipé lorsqu’il l’a releva.

Surion : « Bon sur ceux, on va vous laisser là, je crois que par là c'est Manhattan. »

Puis le moteur vrombît et les deux mutants disparurent au loin.

Bob : « Ils auraient pût nous filer les clés de celle-ci »

« On va faire quelque chose, mais il faut que ça fonctionne parce qu’ensuite je serais aussi harasser qu’un escargot agglutiné sur du sable ; Si ça marche on devrait être en train de ronfler avant que les deux tourtereaux n’ai franchit la limite de Mutant Town, mais attention une seule destination, l’appartement de Tandy, à Upper East Side, ensuite vous pourrez allez où bon vous semble… »

Bob : « De quoi parles-tu garçon ? »

« Approchez, *De fines tentacules ressemblant à de la fumée noir se mettent à circonvenir Bob et John, les deux hommes n’ont pas le temps d’être surpris *Téléportation*»

À l’appartement de Tandy, les colocataires de Tyrone étaient tous agrippés à leur téléphone pour tenter de s’informer ou d’informer d’autres gens de là où pourrait se trouver Tyrone, *apportation (signifie arriver à un endroit après s’être téléporté )*, les trois mutants arrivèrent dans le salon devant les humains, à moitié médusés par cette apparition même s’il connaissent Tyrone.

« Ne me regardez pas comme ça, ce n’est que tu sang, mais j’attends vos soins tout de même ! »

Tyrone proposa à Bob et John de se poser ici en attendant que Mutant Town soit débarrassé de ceux qui étaient maintenant surnommé à la télévision « les purificateurs ».

Journaliste (femme) : « Selon les dernières informations qui nous parviennent les terroristes qui ont prit d’assaut le quartier de Manhattan subissent actuellement l’incursion progressive de la police dans le quartier… »
« Il se fait très tard maintenant, tu m’en dira plus demain sur cette… confrérie, si tu veux bien Bob, simple curiosité. »

HRP : Je pense que le rp est clôt pour moi, ce doit aussi être le cas pour Amp et Surion.