Sur un banc (libre).

La tueuse à gagaes marchait tranquillement, du sang sur le visage.
Elle venait juste de finir une mission qui l'avait un peu fatiguée.
Elle n'avait pas pris le temps d'essuyer le sang qui maculait son visage, ni meme d'apeller son employeur actuel pour lui dire que la mission était accomplie.

En traversant Central Park, elle aperçut un homme à l'air étrange. Sans doute un mutant, lui aussi. Elle l'observa un moment et repartit.

Achetant un sandwich dans un snack du coin, elle revint rapidement à Central Park et s'assit sur le banc en face de cleui du jeune homme, pour l'observer. Si il l'interessait, peut-être allait elle prolonger sa marche Nocturne.

Elle modit donc dans son sandwich, Thanatos et Lucifere, ses deux pistolets, soigneusement rangés à sa ceinture, et Shinigami, sa faux à manche court, mais à la lame tout sauf courte, était présente appuyée sur la banc, car elle gênait son utilisatrice pour s'asseoir....

La tueuse à gages dévisagea l'homme qui venait de lui parler. Il était étrange, ou peut être était ce elle qui ne rentrait pas dans les normes.... Après tout, elle s'en fichait..
Elle cessa de mastiquer, avala la bouchée de sandwich qu'elle avait dans la bouche et regarda l'homme.
Puis elle secoua lentement la tête.

"non, j'ai pas l'heure." dit elle d'une voix rauque en regardant l'homme d'un air impassible.

Puis elle continua de manger son Sandwich. A sa ceinture, Thanatos et Lucifere pendouillaient. Les deux pistolets étaient eux aussi maculés de sang. Shinigami, rangée dans son fourreau était elle aussi rouge de sang. Doppelganger n'avait pas pris le temps d'essuyer ses armes après son massacre. Elle cherchait juste un peu de repos. Cet homme était il un humain normal? Elle sentait que non....Surement un mutant.

La jeune femme haussa les péaules et sortit son portefeuille.
Sa quincaillerie, comme il avait dit, c'était son ame, ses armes, et ses outils de travail. Elle n'avait pas trop aimé cette apellation, mais elle était dans une situation contrariante. Pas dangereuse, mais contrariante. Seul Dieu, si il existait, savait le nombre de fois où elle s'était faite arrêter par les flics qui la prenaient pour une criminelle........... Mais elle s'en était toujours sortit, avec un minimum de frein à ses instincts fous.
Puis elle prit la parole le plus doucement possible.

"je viens de rentrer du travail." fit elle de sa voix grave.

Elle n'avait absolument pas l'intention de mettre ses précieux outils de travail par terre, et encore moins l'intention de s'en séparer. Elle essaya de sourire, sans grand succès. Si la police prenait les tueurs sous contrat pour des assassins, où allait le monde............Du moins, la jeune femme croyait être légale dans ses actes... Pour elle, ui c'était son travail.

L'androgyne termina tranquillement son sandwich et se leva, soupirant devant tant de courage, qu'on aurait pu apeler folie, ou témérité.

"vous ne voulez pas être raisonnable?"

Devant l'air déterminé du policier, elle posa précautionneusement ses armes au sol. Puis elle mit les mains dans ses poches et en sortit les rares choses qui y trainaient: son portefeuille, ses papiers et un peu d'argent.
Enfin, elle leva les mains, dans la position de quelqu'un qui se rend. Elle n'aurait pas besoin de ses armes pour se battre. le tout était que, si les policiers abimaient ses outils de travail, elle les abimerait à leur tour.
Puis elel devisagea le policier qui la tenait en joue.

"qu'est-ce qui vous choque ?"

La tueuse fronça les sourcils quand il shoota dans ses armes. Se retenant de ne pas le tuer, elle s'expliqua calmement:

"je n'essaie pas de légaliser mes actes. Et prenez soin de mes outils de travail, s'il vous plait."

Elle essayait de paraître aimable. Elle n'était pas en faute, pour une fois.

"je ne vous prends pour rien du tout, seulement, je n'aime pas que l'on ne me crois pas quand je dit la vérité. Tuer, c'est mon travail."

Elle était devenue tueuse il y a longtemps et c'était la première fois qu'un flic la prennait pour une criminelle. C'était la meilleure qu'on lui ai jamais fait. Seulement, la, il commençait à aller trop loin. Doppelganger tenta de se retenir de le tuer. C'éatit difficile, mais si elle voulait se sortir de cette situation épineuse, elle n'avait pas le choix.

"si c'est rémunéré, c'est un travail, non ?"

(hr juste comme sa, le métier de tueur à gage s'est très illégale et la carte dont tu parle, s'est pour la mafia,(si tu est digne de confiance) allor la police peut-très bien t'arreter pour ça...encor plus si tu montre ta carte)

(je viens de m'en rendre compte)

Doppelganger soupira.

"si vous voulez m'emmner chez les flics, allez y. J'en ai absolument rien à faire. "

Elle haussa les épaules, et sans bouger les mains, elle s'assit sur le banc. Puis elle décocha un sourire digne d'un psychopathe au policier. Elle restait cool, presque froide, devant l'attitude du flic devant elle. Elle se fichait absolument d'aller au commissariat, car elle pourrait toujours s'évader de prison. Mais elle s'inquiétait pour ses armes.

(comment t'as fait pour mettre Shinigami qu'est aussi grande que mon perso dans un sac plastique ?)

La jeune femme esquissa un demi sourire.

"si j'étais vous,je ne ferai pas ça. Et les menottes ne serviront à rien."

Devant la mine du policier, elle reprit son calme habituel.

"ne vous en faites pas, je ne ferai rien."

Sa force lui permettrait sans doute de briser ses menottes et de s'enfuir. Mais elle voulait savoir la suite de cette aventure...

(Shinigami et sous mes pieds pour la bloquer)

Andrew souria a son tour, il la regarda encore un peu du haut en bas puis regarda les alentouur, mais ques qu'ils foutaient ? Cette femme devenait de plus en plus bizarre, elle disait que ces menote ne servirais a rien pourquoi ? par se qu'elle pourrais les ouvrir ? Il n'en savais rien, mais se doutait qu'elle ne pouvait pas le faire a moins qu'elle est une force supérieurs a la moyenne.

_Bon ok maintenant vous allez me dire pour qui vous bosser. Mafia ? Privé ? Terroriste ?

La jeune femme haussa les épaules.

"je travaille seule. Privé, comme vous dites. La mafia ou le terrorisme ne m'interessent pas."

Elle leva les yeux au ciel, regardant les étoiles. Puis elle se tourna vers le policier.

"vous pourriez pas me les enlever" fit ele en désigant les menottes du menton. "je ne résisterai pas ."

Elle n'aimait décidemment pas ces machins qui lui enserraient les poignets. La lliberté lui convenait mieux.......

La jeune femme haussa les épaules.

"comme vous voulez."

Elel s'assit en tailleur, et jeta un coup d'oeil au policier. Il était tétu....
Elle regarda d'un oeil meurtrier les hommes qui s'approchaient. Elle n'aimait pas les policiers, tels qu'ils soient........ Pusi elle darda ses yeux couleur sang sur le policier qui lui avait passé les menottes. Son visage n'exprimait rien. Pas la moindre émotion. Aucun sentiment.
Rien.

Les flics étaient la maintenant, Andrew leur designa la femme assit sur un banc avec les menottes, il leur dmanda de l'emmener au poste de police, pour un interrogatoire.

"Et vous inspecteur ? Qu'allez vous faire ?"

Dit un policier assez gros a Andrew. Cet homme était le super cliché du flic américain qui mangent des nuggets et quine fait absolument rien de la journé.

_Moi j'ai encore un truc a régler mais je vais m'occuper de l'nterrogatoire.

Un policier prit par le bras la tueuse a gage pour l'emmener dans une voiture de police. Andrew la regarda elle avait des yeux injecter de sang. Il eu un frisson.

La tueuse haussa els épaules quand les policiers l'emmenèrent. Elle jeta un coup d'oeil à Andrew, ses pupilles couleur sang rivées sur le policier. Avant de monter dans la voiture de police, elle lui murmura trois mots.

"on se reverra....."

Puis elle grimpa sans faire d'histoire dans la voiture...........

La jeune femme n'appréciait pas les menottes. Elle haussa les épaules.

"au parc, je n'ai tué personne. Mais si vous cherchez un corps allez voir à cette adresse."

Elle prit un papier qui trainait et un crayon. Puis elle isncrivit une adresse sur le morceau de papier. Enfin, elle tendit le bout de papier au policier.

"j'ai accompli mon travail. Le corps sera sans tête, elle est deja partie pour preuve du travail accompli chez mon employeur."


elle eut un rictus méchant à l'attention du policier qui se tenait devant elle.