Un papillon aux ailes déchirées [ PV Niana ]

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La nuit était tombé sur la grosse pomme, mais elle grouillait d'activité comme parcouru par des milliers de petit vers. Joseph avait décidé de prendre une petite marche cette nuit pour se détendre un peu. Malheureusement les rues des New York sont tout sauf relaxantes. Le bruit de cette ville vivante, les voix, les voitures, la musique qui sortait des bars, ses individus tous unique vivant dans la grosse pomme, les différentes ethnie, les bourgeois, les pauvres, les junkie, les filles de joies, les contables, les jeunes, les vieux tous cela formait le milieux de cette la grande cité.

Joseph était un peu étourdie par tant d'activité, si tard le soir. Il se faisait le plus discret possible et gardait sa capuche sur ça tête pour cacher son visage qui pourrait en confondre plus d'un. Après un long moment a suivre la masse grouillante des citoyens de New York, il décida enfin d'entrée dans l'une de ces nombreuse boîte de nuit. Dès qu'il entra il fut frappé par l'atmosphère qu'il y régnait, la musique techno a fond, les spots de lumière qui faisait des jeux de couleur digne d'un génocide pour épileptique, le brouhaha ambiant, les gens qui dansait, les gens qui n'était pus trop lucide du a l'effet de l'accole ou d'autre substance que Joseph préférait ignorer.

Il se rendit donc au bar pour se désaltéré, il y parvient difficilement en essayant de n'accrocher personne, plan complètement impossible quand on sait le nombre de personne qui se tenait dans cette boîte. Il demanda au barman une limonade, celui ci lui répondit avec un grand rire et à la place lui servit un drôle de breuvage bleuté surmonté d'une paille tordu dans des angles incongrus. Il paya sa consommation, l'odeur que le liquide dégageait était très forte mais Joseph se risqua à prendre une gorgée, le infecte avait un gout infect à l'image de son odeur trop forte. Il déposa son verre, la gorge lui brûlant encore, il attendit que le barman regarde ailleurs pour verser le reste du liquide dans le pot d'une plante à ça droite.

-Je suis désolé petite, c'était toi ou moi

Il se leva et se dirigea vers la sorti, pour échapper à cette enfer. Sans le vouloir il bouscula une femme en robe moulante et se retourna pour s'excuser

-Excusez moi Mada....euh monsieur

Il venait d'apercevoir le visage de la personne qui avait bousculé et c'était celui d'un homme. Il accéléra donc le pas, cet endroit n'était vraiment pas pour lui. Dehors il s'adossa au mur, il entendait encore la grosse musique techno, étouffé par la porte et le grand "Doorman" musclé comme un joueur de catch.

Joseph se dirigeait lentement vers l’institue quand soudain il entendit une discussion assez forte venant d’une ruelle, il si dirigea silencieusement et pus mieux entendre la conversation.

-Yo Jee est complètement camé on va pouvoir en profiter

- Yeah man tire la d’la

Joseph regarda de quoi les deux hommes pouvaient bien parler et distingua un forme chétive dans une cage, vu la façon dont ils en parlaient, ça devait être une femme. Choqué de la façon dont il parlait de la mademoiselle il sortit de sa cachette et dit d’un ton fort et autoritaire

-Éloignez- vous de la dame messieurs si non je vais m’occuper de vous.

-Yo pour qui qui s’prend l’bargeo ?

-On va lui régler son compte jee

Joseph retira sa capuche, ses longs cheveux blancs tombèrent dans son dos, il releva la tête et regarda dans les yeux celui qui était le plus proche. Il commença à faire l’éviter les débris métallique autour de lui, ses yeux devinrent d’un bleu métallique très pâle. Il faisait cela seulement pour leur faire peur, il n’avait nullement l’intention de leur faire du mal.

-Oh phoque ct’un mutant Jee! Cours!

Et sur la démonstration de ses pouvoirs, les deux malfrats prirent la fuite. Joseph n’était pas peu fier de se qu’il venait de faire, mais rapidement il se concentra sur la jeune femme dans la cage, il s’en approcha et dit

-Madame? Vous allez bien?

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Prisonnière d'une toile inébranlable: le coeur fragile, l'esprit tangible. Elle se noyait dans une mare aux tons d'aurore, foulant mentalement les vertus froides qui la composaient. Elle restait immobile, inerte, pleine de la seule volonté qui l'avait vivifiée depuis les dernières lunes. La créature avait perçue les paroles loufoques de potentielles victimes, mais une présence s'était interposée. Elle avait crispé ses ongles sur ses jambes dénudées, presque emballées de ce papier blanc qui l'habillait. Des sillons dorés avaient rejoint ses précédentes injures faites avec un soin sadique. Elle avait la gorge semblable à un désert chaotique. Les sons n'en exhalaient plus comme si un rugissement de cris préalablement ressentis bloquaient ses émotions dans son for intérieur. Elle ressentit quelque débris autour d'elle s'arracher de leur place pour aller voleter plus loin, plus animés que son propre corps glacé. Elle aperçut sans le désirer réellement une longue chevelure de neige ou de nuage, ne savait-elle donc plus la couleur de ce crin en cet instant. Elle perdit ses souvenirs momentanément, tombant dans une surinconscience aussi grave qu'intense. Niana revint à elle-même quand la voix de l'inconnu rechercha sa présence, son bien. Logeant sa voix pour elle-même, sa main violette, légèrement azurée en raison du froid mortel qui l'habitait, monta entre les barreaux. L'inconnu avait désormais de petits doigts aux ongles bien noirs qui compressaient un cadenas. La main de princesse de la jouvencelle craqua obstinément, laissant croire à une poupée en papier se réveillant. Chaque articulation semblait ne pas avoir bougé depuis plusieurs jours.

Elle tenta de parler, mais elle ne put rien faire. En vérité, son corps était trop distancé de la réalité pour apercevoir désormais les immenses fils de fer qui attachaient ses chevilles, ses coudes à ses cuisses et ses épaules à ses genoux. La boule violette pencha son crâne vers l'avant, laissant quelques boucles noires tomber au sol. Des ciseaux semblaient avoir massacrés quelques mèches qui arpentaient désormais son faciès. Un foulard blanc parait le bas de son visage, l'étouffait à en cesser de respirer. Son thorax, faible mouvement de ses côtes visibles à la taille gracieuse dont la danse envoûtait. Le corps, pire cadeau emballé, ressemblait à une rénovation immobilière négligée. Il devint facile de comparer une morte à cette créature violacée qui ne faisait que trembler, que se verser elle-même. Des rivières anciennes et nouvelles naissaient sans la moindre misère au coin de ses paupières closes avec la plus grande volonté. La chose sans nom, sans vie, sans passé s'éteindit quelques secondes. Son index délaissa le cadenas trop imposant de sa minuscule demeure, sa cage souillée de rouille, puis alla chercher sa gorge. Elle réussit avec une peine avouée à libérer quelques notes cristallines qui se tuèrent plus tard par le gré du silence:

- Tue-moi. J'ai mal, trop mal.

Une quinte de toux rongea ses pauvres poumons qui semblaient vouloir s'extirper d'elle. La créature poussa ses genoux contre elle-même, l'étouffant spontanément. Sa conscience variante, valsante entre deux feux, finit par se poser quelqeus minutes. Véridique, la lune regardait l'abjection humaine, la narguant en montrant sa peau si voilée, si chérie de soieries sombres mélancoliquement portées pour s'en faire victime. Elle noya ses larmes sur un sanglot sourd. Niana entendit sa nuque craquer sèchement, tandis qu'une de ses mains tombaient une fois de plus hors de ses barreaux. Ses doigts tremblaient tellement, évoquant ceux d'une fillette qui quémandait presque une simple main pour se satisfaire de son malheur. Or, ses gestes frémissants ne voulaient que cette fin tant aimée, tant attendue. Il lui fallait la nécéssité de celle-ci pour se soularger du monde et de sa cruauté. Niana frappa soudainement sa tête contre les murs de son cocon de douleur. Sa chevelure de velours retomba sainement dans son dos, ses boucles immortelles composant des chutes ténébreuses à souhait. Elle ressentit ses mains serrer ses barreaux au point de ne plus sentir ses doigts. Au final, sa poigne tenace s'imprima d'une faiblesse lancinante et si évidente. Le corps frémit de froid et d'oubli. Elle se replia, laissant tomber la présence sans plus attendre l'aide des autres pour se satisfaire. Elle retenait désormais son souffle à ses risques et périls, immobilisant sa précédente rage au statut d'une simple jeune fille tranquille.

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Oula cette jeune femme n'était clairement pas qu'une simple humaine la couleur de sa peau violette et ses ongles noirs le confirmaient. Tous se passait très vite dans la tête de Joseph, cette jeune mutante souffrait et lui demandait de lui enlever la vie, il ne pouvait se résigner à ça. Il arracha la porte de la cage, dans un fracas infernal avec l'aide de ses pouvoirs, celle si alla s'écraser sur le mur en arrière de lui. Joseph se tourna vers la rue et appella a l'Aide.

- Si il vous plait quelqu'un, venez m'aider! Il y a une femme ici et elle a besoin d'aide.

La nature humaine est très égoïste et Joseph l'appris a ses dépend, pas une seul personne n'osa venir l'aider, quelque curieux jetèrent un regard dans sa direction pour pouvoir observer le drame avec une curiosité morbide, mais sinon rien. Il y avait une femme allonger dans une cage et elle était très mal au point dans un état surement instable, mais personne n'allait daigner lui venir en aide. De rage Joseph se détourna de la rue et se déplaça vers la cage.

Il entra lentement dans la cage pour ne pas lui faire peur, idée stupide car âpres avoir arracher la porte comme ça il avait surement fait peur a tout le voisinage et même au petit Timmy vivant au Texas. Il se pencha au dessue de la jeune femme, celle-ci n'était vêtu que de papier, par se mois de décembre elle devait être frigorifiée. Il enleva donc sa veste et s'apprêta a la mettre sur le dos du fragile être violet devant lui quand soudain il s'arrêta. Le papier qui habillait la jeune femme ne la recouvrai pas complètement et laissait beaucoup de zone de peau a nue, Joseph rougit, il ne savait pas trop comment s'y prendre, il ne voulait pas offenser la damoiselle en la touchant a des endroit inappropriés. Il avait l'air d'un fou a approcher ses mains du corps si fragile et a les retirer au dernier moment, il avait les joues rougit par la gêne et le froid et bafouillait des excuses dans le vide.

-Euh pardoner moi...scuser moi... je je je veux pas vous faire de mal euh.. je ... désolé

Avec une gêne et une dextérité mal habile il tenta de mettre sa veste a la jeune femme, quand il eu enfin réussi il prit la jeune femme dans ses bras, l'un passé sous les genoux, la main tenant la cuisse de la jeune femme et l'autre dans son dos avec l'autre main qui retenait la jeune femme,pres de côte, sous les seins . Elle était plus légèrte qu'il ne s'y attendait et d'une beauté étrange. Ses frêle membre était entraver par de solides chaines attaché a ceux ci, mais elle ne firent pas le poids face a la puissance du pouvoir de Joseph et elle allèrent rejoindre la porte de la cage âpres s'être détaché. Il souleva quelque morceau de linge et découvrit des morceaux de fer planté dans la chaire de la damoiselle, c'était ignoble, qui avait bien pus lui faire une telle chose. Avec sa maitrise du magnétisme il les retira doucement pour ne pas endommager les tissu musculaires. Il secoua doucement l'épaule de la jeune femme et lui dit.

-Mademoiselle esceque vous allez bien, esceque vous m'entendez?

Outre sa peau et ses ongles il y avait aussi sa longue chevelure qui sortait de l'ordinaire, même si la jeune femme était dans ses bras, ses cheveux touchaient a terre et surtout ses yeux, il ne pouvait que les entre-apercevoir a travers des paupière mis close de la jeune femme, il était doré, avec quelque tache de couleur qui avait l'air d'être choisi au hasard, Joseph était incapable de détourner ses yeux de ceux de la mutante.

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