Welcome to the jungle [pv : Vermine]

Sinistre se trouvait dans son laboratoire, il piratait actuellement les bases de données de différents service traitant avec des mutants dans le but de trouver un nouveau mutant susceptible de servir ses intérêts, le grand nombre de sous-mutant comme il les qualifier sans aucune gênes, le faisait douter de trouver là-dedans quoi que ce soit d’intéressant. Un bon nombre de mutants ne possédaient qu’une déformation physique comme seul pouvoir, rien de bien utiles, rare n’était ce qui possédait un pouvoir sortant de l’ordinaire. C’était quelque par logique de ne trouver que ce genre de mutants dans ces bases de donnée, les autres, a l’aspect humain ne se faisant pas aussi facilement identifier. Trouver un « Scott Summers » n’est pas courant.

Ses principaux critères de recherches était ceux portant sur, le renforcement physique, les capacités de déplacements accrut et bien entendu les afflictions. Un Scrabbler désactivent les pouvoirs des mutants ou une Vertigo capable de détraquer les sens de l’équilibre de n’importe qui, était bien que faible physiquement, des atouts indéniables de son équipes. C’est dans la base de données d’une personne pour qui il avait par le passé travailler sous couverture de sa métamorphise, qu’il trouva une piste des plus prometteuses. Un jeune mutant, dont la mutation avait altérait l’aspect physique, et qui produisait une toxine affaiblissant les personnes en contacts. Il ne lui en fallait pas plus pour envoyer une équipe de maraudeurs sur son lieu de vie, espérant récupérer le sujet le plus rapidement. Convoquant rapidement une équipe d’assaut, il les envoya dans ce qui semblait être le milieu naturel de ce mutant. Les égouts de New-York, un des terrains de jeux favoris de ses hommes.

Ils se rendirent sur places dans l’heure, Sinister suivant l’avancé de l’opération grâce aux liens mentaux qu’il a avec ses hommes. Il y eu des plaintes de l’odeur, et des rats vivant dans le coin, mais aucun retour de la localisation de ce mutants. Surement qu’un autre scientifique s’était intéressait a cette homme. Mais ses hommes savaient très bien que revenir les mains vide n’étaient pas une possibilité, ils récupéraient la majorité des effets personnelles du mutant sur le quel leur maitre pourrait extraire des traces d'acide désoxyribonucléique afin de recréer ce mutant en laboratoire, et ainsi, contenté leurs chefs, qui n’aurait pas été tendre avec eux dans le cas contraire.

Quand il rentraire avec leurs prise, Sinistre sans un merci récupéra leur trouvaille et commença à prélever dessus le matériels génétiques qui si trouvé, un grand nombre de cheveux lui permettrait facilement de recréer cet homme. Sinistre étudia ce qu’il venait de trouver, le scientifique n’eu pas grand mal à identifier l’origine de ces poils, c’était ceux d’un rat … si ses homme n’avaient sue trouver que des cadavres de rat, ils subiraient son courroux. Seul une incohérence, la taille de ses poils lui fit pratiquer des testes génétiques pour regarder si le génome était celui d’un mutant ou d’un simple rat d’égout.

Une fois la carte génétique du sujet d’études établie, le scientifique put étudier l’aspect génétique de son A.D.N, il semblait effectivement y avoir quelques similitudes génétiques entre un rat et lui mais le nombre de chromosomes ainsi que les combinaisons, assuré l’humanité de ce sujet. Un rat humain, c’était comme trouver un cadeau sous le sapin le 23 décembre, aussi inattendu que jouissif. Il n’en fallait pas plus pour que Sinister décide de mètre en route sa machine de clonage et ainsi se procure ce sujet qui lui faisait tant envie, l’incubation prendrais quelques jours, mais bientôt il aurait son rat humain sur lequel il pourrait pratiquer à volonté toutes ses expériences. Bien sur il aurait été trop compromettant de garder un telle sujet dans son laboratoire personnelle c’est pour cela qu’il utilisa son deuxièmes laboratoire dans les locos de la Milbury’s Gênes, entreprise qui servait de couverture à ses agissements publiques.

Derrière la bibliothèque coulissante de son bureau, il installa son cobaye qui commençait déjà à prendre forme humaine, ainsi il pourrait suivre de plus prêt son développement. Un jeune homme flottait dans le formol et sinistre ne pouvait s’empêcher de sourire à chaque fois qu’il regardait au travers du vers. Son activité cérébral apparue au bout de quelque jours, c’était un signe de son réveille imminent, ce n’était plus qu’une question d’heure son activité musculaire allait être activé par la machine pour évité qu’il soit atrophier en sortant du liquide.

Quelques heures plus tard, un signal sonore lui fit par de la maturité du clone, prenant l’apparence de Mike Mibury, il se dirigea verre son laboratoire ou il vu son clone encore endormit enfin finalisé, une impulsion électrique dans le liquide le réveilla, Mike fit s’évacuer le liquide et ouvrit la cuve, pour laisser sortir ce gamin qui ne devait pas avoir plus de 14 ans, un jeune qui n’avait si ça se trouve pas encore conscience de son potentiel. En souriant Mike s’adressa au jeune.

« Bonjour et bienvenu a la Milbury’s Gênes, je me présente Mike Milbury directeur général de ce centre de recherche médical, prenez votre temps vous avez passé plusieurs jours dans cette cuve à récupérer de sérieuse blessures, il se peut que vous soyez déstabiliser … »

Il était là, dans sa cellule, recroquevillé sur son lit. La tête entre les genoux, il s’était résigné à en finir. Assez de souffrance, assez de désillusion ! A quoi bon vivre si c’est pour passer le reste de ses jours entre quatre murs ? Alors, Vermine, poussé aux tréfonds du désespoir par ce dernier interrogatoire, tailla dans le vif… le vif de sa langue… Une dernière douleur pour gagner l’oubli, un dernier effort pour ne plus avoir à en faire. Il se mordait la langue tout en s’efforçant de ne rein laisser paraitre. Il ne savait que trop bien qu’on pouvait le surveiller grâce à la caméra. Le sang envahit sa gueule. Il commença à le boire mais finit par le cracher, le vomir. C’était un ruisseau, un torrent. Il s’était presque sectionner la langue… La douleur lui donnait le vertige. L’obscurité envahissait son regard. Sa dernière vision fut celle de ses draps imbibés d’hémoglobine… le dernier son qu’il perçu fut celui de pas hâtifs s’approchant de sa cellule…

Puis plus rien…

Ce qui accueillit le réveil d’Ernest fut le bruit d’évacuation d’un liquide. Il ouvrit les yeux et fut éblouit. Il se dit qu’il devait être dans une salle de réanimation, sans doute à l’hôpital. Vraisemblablement, il avait loupé sa tentative de suicide. Cette tentative, il avait l’impression de l’avoir fait à peine deux minutes plus tôt. Cela ne l’étonnait pas. Il savait que le coma laissait cette impression. Toutefois, à mesure que ses yeux s’habituaient à la luminosité et qu’il prenait conscience de son corps, il constata que quelque chose clochait. Il apercevait l’intérieur d’une cuve translucide. Il était allongé au fond de cette cuve. Une sensation de froid l’envahit. Il porta une main à son torse et sentit sa peau. L’espace d’une fraction de seconde, il devina simplement qu’il était nu, ce qui le laissa de marbre. Mais l’instant d’après, ce fut le choc. Un sentiment d’effroi l’engloutit. Avec précipitation, il porta ses deux mains à son visage, un visage humain.

-M’mais… balbutia-il, craignant de comprendre.

Comment cela se pouvait-il ? Il n’était donc plus à moitié rat ? Il se redressa, passant à la position assise, et s’observa. Il voyait un préadolescent de 13 ans tout à fait banal. Et là, nouveau choc : il voyait de ses deux yeux ! Il n’était donc plus borgne ? Mais c’était impossible ! L’odeur du formol choisit cette seconde pour chatouiller ses narines. Son cœur tambourinait dans sa poitrine. Heureusement que le jeune Lenoir s’était endurci à cause de ses précédente mésaventure. Sinon il aurait fait un malaise. Sentant un vertige le prendre, il luta pour se ressaisir. Encore un coup du B.A.M. ! Il ne leur ferait pas le plaisir de céder, ha ça non ! Bien qu’engourdi, il trouva la force de se lever et de quitter la cuve. Le voilà face à un homme, un docteur visiblement. Il lui offrit un visage glacial. Si un regard pouvait tuer, le docteur serait mort.

Ce dernier se présenta sous le nom de Mike Milbury. Il prétendait que ce lieu était la célèbre Milbury’s Gênes. Cela faisait du docteur le directeur. Que d’éloge d’être accueillit par pareille personne ! Mais Vermine n’en devint pas plus aimable pour autant. Selon les dires du directeur, il avait passé plusieurs jours dans cette cuve à cause de sérieuses blessures. Cette histoire ne collait pas. On n’atterrissait pas dans une cuve de formol juste parce qu’on s’était bouffé la langue. Mais peut-être y avait-il eu des complications, ou bien un accident…. Mais même dans ce cas, où était le collier de rétention ? Où était les fenêtres munies de barreaux ? Où étaient les flics ? il était criminel, coupable de terrorisme. Dans cette situation, même le meilleur des avocats et une fortune colossale ne pouvaient suffire à se soustraire au courroux des USA. Le garçon était très perplexe. De nature suspicieuse, il aurait presque parié que le bon docteur face à lui mentait. En attendant, il jugea préférable de rester correcte à défaut d’être chaleureux.

-Et bien docteur, il semblerait que vous m’avez bien réparé. C’est stupéfiant. Puis-je me… me… mince...

Il s’interrompit. Il avait désigné l’une des blouses de patient accrochée à proximité afin de demander à se vêtir, mais une nouvelle sensation s’empara de lui. Un étrange picotement parcourut son corps. Il le reconnu immédiatement car sa mémoire hors norme n’oubliât rien. Cela le ramena plus d’un an en arrière, le matin de Noël, lorsque son gêne X s’était éveillé. Oui, aucun doute possible, c’était la même chose qui se produisait. Sans se poser plus de question, il s’allongea parterre avant qu’il ne perde l’équilibre. Le picotement était devenu une intense démangeaison. Toute autre sensation l’abandonna. Comme la première fois, il ne sut dire combien de temps cela dura. Mais ce fut rapide. A peine cinq minutes, tout au plus. Le spectacle qu’il offrit au docteur fut celui de sa métamorphose en hybride rat. La transformation était assez violente puisqu’elle modifia jusqu’au squelette du mutant. L’enfant perdit plusieurs dizaines de centimètres de hauteur alors qu’une queue lui poussait dans le dos à vue d’œil, que son corps se couvrait de poils, que ses jambes et sa tête adoptaient une morphologie animale. L’Altérium montrait en cet instant une partie de son vaste potentiel. Quand Crapule revint à lui, ce fut avec soulagement qu’il constata le retour à la normal. Il perdit bien dix secondes à se tâter le museau. On n’allait pas lui reprocher de se payer une petite pose. Puis l’idée d’être allongé au sol, aux pieds du docteur, tout d’un coup le dérangea. Il était fils de milliardaire tout de même. La force des choses l’avait poussé à se comporter ainsi mais c’était fini ! Toujours un peu tremblant, il se releva.

-Voilà, c’est mieux comme ça, commenta-t-il avec une certaine fierté.

Il y avait bien que lui pour apprécier son altération physique mais au moins, il s’était accepté.

-Il faudra m’expliquer la cause de se retour à ma forme humaine, monsieur Milbury, et aussi les causes exactes qui m’ont conduits dans cette cuve. Je suis curieux de combler ce petit passage de mon existence, quelque peu trouble, voyez-vous ? Mais avant cela, auriez-vous l’amabilité de m’apporter de quoi me couvrir ?

Voilà du Vermine tout craché. Même pas un mètre de haut et des airs de prince. Il s’exprimait avec amabilité mais son accent trahissant ses hautes origines montrait qu’il ne se prenait pas pour un vulgaire citoyen de la classe moyenne. Sa seule réelle crainte à présent était de découvrir qu’il allait retourner en prison dans peu de temps.

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